Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 23 octobre 2013

Les normes de minceur : une comparaison internationale


La corpulence des femmes et des hommes varie fortement dans le monde. Les pratiques alimentaires et les activités physiques jouent un rôle important, mais les normes corporelles ont aussi une influence. Utilisant une enquête sociale internationale sur la corpulence idéale dans 13 pays de 4 continents, Delphine Robineau et Thibaut de Saint Pol analysent les variations des idéaux corporels entre pays.

 

La valorisation de la minceur est plus ou moins forte selon les pays, et peut s’imposer davantage à l’un ou l’autre sexe. On peut distinguer quatre groupes de pays : ceux majoritairement européens telle la France, où la pression à la minceur est plus forte sur les femmes que sur les hommes. Des pays comme l’Uruguay où la minceur est davantage un idéal pour les hommes, une corpulence plus élevée étant préférée pour les femmes. Des pays où la minceur est peu valorisée pour les deux sexes comme l’Irlande. Enfin, la Corée du Sud, où la pression à la minceur est très forte sur les hommes comme sur les femmes.

 

L’écart entre corps désirable et corps réel est important dans nombre de pays. Dans un contexte social où les individus apparaissent responsables, voire coupables, de leur corpulence, l’insatisfaction qui en résulte quant à leur poids peut avoir des conséquences en termes de comportements, pouvant conduire à des régimes amaigrissants ou même à des dérèglements alimentaires. La France, pays à l’idéal féminin relativement mince et à la faible corpulence moyenne est, après la Corée du Sud, le pays où la volonté de perdre du poids est la plus fréquente chez les femmes : six Françaises sur dix déclarent vouloir perdre du poids.

En savoir plus : Institut national d'études démographiques : 133, boulevard Davout 75980 PARIS cedex 20 - FRANCE

mercredi 6 mars 2013

Substituts de repas : mieux les comprendre pour en finir avec les clichés


Les régimes hyperprotéinés trop drastiques, prônant une consommation exclusive de protéines sans apport maîtrisé en glucides, lipides et micronutriments essentiels, ont connu un engouement sans précédents. Mais, retour de bâton, ces mono-diètes « tout protéines » se sont vues sévèrement décriées. Les substituts de repas, quant à eux, se révèlent être de vrais alliés dans la « boite à outils » minceur. S’ils sont riches en protéines, ce ne sont pas des « tout protéines ». Avec un apport calorique réduit, ils garantissent un quota de vitamines, de minéraux, de glucides et de lipides, dont des acides gras essentiels, indispensables au maintien du capital santé. Utilisés en alternance selon les besoins de chacun, ils s’intègrent dans la journée avec les repas dits « classiques ». Le lien avec l’aliment n’est jamais rompu. (Cliquez sur l'image pour lire la vidéo). Lire la suite...