Invitation presse
18 octobre - 9h15
France Parkinson demande un nouvel acte de soin post diagnostic, qui pourrait changer la donne pour les 27 000 personnes nouvellement diagnostiquées de la maladie de Parkinson chaque année en France
Un entretien post diagnostic de prévention assuré par un kinésithérapeute pour améliorer la qualité de vie et prévenir l’évolution de la maladie de Parkinson par l’activité physique et la kinésithérapie
Les patients font face à des inégalités criantes en matière d'accès aux soins, notamment en kinésithérapie, et ne sont pas informés des bénéfices de l'activité physique dans la gestion de leur maladie. Le manque de prévention secondaire dans la maladie de Parkinson est une préoccupation essentielle, caractérisée par des disparités significatives dans les pratiques de professionnels de santé, accentuées par les déserts médicaux. Si les recommandations émises par la Haute Autorité de Santé (HAS) précisent les conditions de la prévention d’évolution de la pathologie, à savoir que le kinésithérapeute « accompagne le patient suite à l’annonce diagnostique, a une mission d’Education Thérapeutique pour transmettre au patient la nécessité de pratiquer une activité physique régulière, pour l’éduquer à la réalisation des bons exercices et pour le conseiller autour de la pratique sportive », la réalité sur le terrain est tout autre et met en lumière un défaut d'application de ces recommandations.
Face à ces constats, corroborés par une enquête menée auprès des patients et des kinésithérapeutes, France Parkinson alerte sur l'urgence de prendre des mesures en demandant la création d’un entretien de prévention post diagnostic « Activité physique et kinésithérapie ». Il s’inscrira dans une démarche de prévention secondaire et tertiaire, enjeu majeur dans le parcours de soins de la maladie de Parkinson, réaffirmé par le Haut Conseil de la Santé Publique dans sa contribution à la Stratégie nationale de santé 2023-2033 sur le volet des maladies chroniques.
Ce nouvel acte de soin permettra, pour un faible coût, par ailleurs ponctuel (une seule fois au début du parcours de soins), d’améliorer la qualité de vie des personnes malades, de prévenir la perte d’autonomie et de réduire la progression de la maladie, qui représente la 2ème cause de handicap moteur après les AVC et qui est en constante augmentation.
Cette conférence de presse fait suite à l'atelier parlementaire du 11 octobre 2023 visant à solliciter l’appui des députés pour la mise en œuvre rapide de ce nouvel acte de soin post diagnostic, dans un contexte de préparation des mesures à porter à la Stratégie nationale Maladies neurodégénératives 2024-2028.
Point presse le 18 Octobre à 9H15
accueil petit-déjeuner, conférence de presse à 9H30
Rendez-vous à l'Espace SAINT-LAZARE (Keeze)
57 rue de la chaussée d’Antin, Paris 9
Digicode Immeuble : Bouton porte
Ascenseur jusqu’au 5 ème puis escaliers jusqu’au 6 ème
Digicode Espace : 1182
Trinité – d’Estienne d’Orves : Ligne 12
Chaussée d’Antin : Lignes 7 et 9
Saint-Lazare : Lignes 3, 12, 13 et 14
Parking Saint Lazare Klepierre : 20 rue de Rome 75009
Parking Indigo Passage du Havre : 109 rue de Saint Lazare 75009
Avec la participation de :
- Jean-Louis Dufloux, Président de France Parkinson
- Amandine Lagarde, Directrice générale de France Parkinson
- Laurent Rousseau, trésorier de la Fédération Française des Masseurs Kinésithérapeutes Rééducateurs
- Témoignage d’un patient sur l’après-diagnostic
RSVP
CONTACTS PRESSE : PRPA
Damien MAILLARD – 06 80 28 47 70 – damien.maillard@prpa.fr
France Parkinson : Aurélie Camm Chapel - 06 14 48 08 50 - a.cammchapel@franceparkinson.fr
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