Les bienfaits du
régime crétois pour le bien-être et la santé
Le régime crétois
est un modèle basé sur l’alimentation méditerranéenne traditionnelle. Préconisé
par les scientifiques et les médecins pour ses bienfaits sur la santé, il est
inscrit par l’UNESCO sur la liste du Patrimoine culturel immatériel de l’Humanité.
Le régime crétois permet un
apport élevé en nutriments protecteurs au travers d’une alimentation riche en
fruits, légumes, céréales et poissons (1). Compte-tenu de
notre mode de vie actuel, notre alimentation n’est pas toujours en cohérence avec
ces pratiques traditionnelles. C’est pourquoi les Laboratoires Pierre Fabre ont
développé la formule Kretoa.
Le régime alimentaire crétois
Sur la base des observations réalisées depuis plus de
cinquante ans, les nutritionnistes s’appuient sur des critères particulièrement
précis. L’apport calorique est varié et équilibré ; les aliments et les
nombreuses préparations évoluent selon les saisons ; le rythme de trois repas
est respecté- le petit-déjeuner (des fruits ou même des légumes, du pain et du
yaourt ou du fromage frais), le déjeuner autour d’un plat central et le dîner,
souvent constitué d’une soupe.
Le modèle alimentaire crétois
comporte :
Des légumes tous les jours (tomate, olive, oignon,
ail, aubergine, pourpier, concombre, courgette, poivron, artichaut, fève,
haricot …)
Des céréales complètes (blé dur, millet, orge …) en
pain et galettes - chaque jour beaucoup d’aromates (aneth, basilic, thym,
sarriette, origan, menthe…)
De l’huile d’olive
Du poisson plusieurs fois par semaine rarement de la
viande (agneau, chevreau)
Des fromages et des yaourts de chèvre et de brebis
Des fruits frais ou secs (abricot, fi gue, citron,
orange, pastèque, noix, amande…)
Du miel très rarement des préparations sucrées
Du vin coupé avec de l’eau, bu à table.
Ces
caractéristiques sont souvent représentées sous la forme d’une pyramide
alimentaire*. Le choix des aliments se fait du bas vers le haut : à la base figurent
les aliments à privilégier au quotidien ; au sommet, les aliments à consommer
occasionnellement.
Sur la base des observations réalisées depuis plus de
cinquante ans, les nutritionnistes s’appuient sur des critères particulièrement
précis.
L’apport calorique est varié et équilibré ; les aliments et
les nombreuses préparations évoluent selon les saisons ; le rythme de trois
repas est respecté- le petit-déjeuner (des fruits ou même des légumes, du pain et
du yaourt ou du fromage frais), le déjeuner autour d’un plat central et le
dîner, souvent constitué d’une soupe.
Le modèle alimentaire crétois
comporte :
des légumes tous les jours (tomate, olive, oignon,
ail, aubergine, pourpier, concombre, courgette, poivron, artichaut, fève,
haricot …) des céréales complètes (blé dur, millet, orge …) en pain et
galettes - chaque jour beaucoup d’aromates (aneth, basilic, thym, sarriette,
origan, menthe…) de l’huile d’olive du poisson plusieurs fois par
semaine rarement de la viande (agneau, chevreau)des fromages et des yaourts de chèvre
et de brebis des fruits frais ou secs (abricot, fi gue, citron,
orange, pastèque, noix, amande…) du miel très rarement des préparations
sucrées du vin coupé avec de l’eau, bu à table.
Ces caractéristiques sont souvent représentées sous la
forme d’une pyramide alimentaire*. Dans le schéma ci-dessous, le choix des aliments
se fait du bas vers le haut : à la base figurent les aliments à privilégier au quotidien
; au sommet, les aliments à consommer occasionnellement.
La Crête en modèle, pourquoi ?
Le régime
alimentaire crétois
• Viande et sucreries : le moins possible
• Volaille, œufs : tous les 2 jours, ou moins
• Vin : 1 verre par jour ou moins, bu à table
• Fromage et yaourt : 1 fois par jour, en portions modérées
• Poissons et fruits de mer :
2 fois par semaine, ou plus
• Fruits et légumes, céréales complètes, légumineuses et
graines, herbes et épices, huile végétale (olive, colza…) : à chaque repas
• Eau (du robinet) à volonté
Rencontre avec le chef
Alain Passard
Comment vous est venue votre passion
des légumes ?
L’Arpège autrefois était une rôtisserie,
on y venait pour sa cuisine animale. Cela pendant une quinzaine d’années…
Puis une porte s’est fermée : il n’y avait plus d’inspiration,
plus de créativité. Et un jour, une autre porte s’est ouverte : celle du
légume, que je ne connaissais pas.
Je me suis rendu compte qu’il y avait plein de choses à
créer. J’ai répondu à l’invitation qui m’était faite, avec énormément d’enthousiasme.
Et j’ai retrouvé la joie de cuisiner.
Comment se traduit cette
mutation dans votre art de cuisiner ?
Je mets tout mon savoir-faire au service de cette cuisine ”légumière”,
que j’associe aux produits de la mer. Le légume dégage des émotions très
différentes, la sensibilité du tissu végétal est tout autre. Mais la cuisson
est aussi précise.
Aujourd’hui nous parvenons à rôtir, cuire à la broche,
griller, flamber, fumer des légumes ! On entre dans des conjugaisons insolites,
on marie le cacao et la betterave, c’est fantastique !
L’éventail des saveurs offre une très grande diversité. C’est
surtout une cuisine de saison, rythmée par ce que nous propose notre jardin.
Car vous possédez vos propres
potagers, l’un dans la Sarthe, l’autre dans l’Eure, ainsi qu’un verger dans la
Manche.
Leur présence répond à l’envie d’avoir des légumes ”propres”.
Ce sont de vieux potagers remis en activité.
Nos jeunes jardiniers sont des passionnés comme nous. Ils
travaillent à l’ancienne, au cheval et à la charrue. Nous avons sept hectares
en tout. C’est une terre saine autour de laquelle toute une vie animale s’est
redéveloppée.
Nous produisons quarante tonnes par an, dont trente pour L’Arpège.
Nous sommes totalement autonomes, tant pour les légumes que pour les fruits
et les aromates.
Comment choisissez-vous les
variétés ?
L’essentiel est de faire naître des produits qui ont énormément
de saveur. Je veux définir le légume comme un grand cru. Je veux qu’on parle de
la carotte, du poireau, comme on parle du chardonnay ou du sauvignon.
Nous cherchons à donner aux légumes un vrai confort par
rapport à notre climat et à notre terroir. Dans la Sarthe, notre jardin est
très sableux ; on fait de la carotte et du poireau.
Dans l’Eure, c’est une terre noire et argileuse, où la
betterave et le chou se portent mieux. Et dans la Manche, nous cultivons un
verger. Nous faisons des essais, par exemple sur le petit pois : on sème dix
sortes de graines, puis chaque variété est goûtée, dégustée, pour élire la
variété la plus expressive.
Votre cuisine reste donc
résolument végétale ?
Actuellement le consommateur est dans une dynamique de
qualité et de ”cuisine santé”. Le légume a pris une place importante parce qu’il
est digeste et savoureux.
Pour moi, c’est surtout le produit le plus créatif. La
diversité est immense, et on joue sur quatre saisons. Pourtant le registre de
la cuisine légumière est encore très pauvre.
Tout reste à faire ! En cuisine, je sens l’ivresse nous
envahir. Le produit réclame d’être associé à l’herbe, à l’aromate, à l’épice, à
la fleur… C’est très vibrant. Aujourd’hui je vis ma deuxième vie de cuisinier.
Kretoa® est le premier
complément alimentaire qui associe les éléments essentiels du régime crétois à
savoir des Oméga 3 et des Antioxydants.
Kretoa® est particulièrement
conseillé à partir de 40 - 45 ans en complément d’une alimentation variée et
équilibrée et d’une hygiène de vie adaptée (en particulier une activité
physique régulière), pour préserver son capital
santé.
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