Nora ANSELL-SALLES

mardi 1 octobre 2013

Festival du Tatouage de Chaude-Aigues 2014


Les 13 et 14 septembre 2013, Stéphane Chaudesaigues était présent à la Convention de Tatouage de Pittsburgh (USA). Il avait accepté d’en être l’invité d’honneur à la demande de son ami Shane o’Neill, reconnu comme l’un des meilleurs tatoueurs réalistes au monde, couleurs et noirs et gris et organisateur de cette Steel City Tattoo Convention. Durant cette première convention de rentrée, Stéphane Chaudesaigues a officiellement annoncé l’organisation du 2e Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues, les 4, 5 et 6 juillet 2014.

Chaudes-Aigues. Plus besoin de présenter désormais ce petit village cantalien de 1.000 âmes. Quand on aborde le sujet, Stéphane Chaudesaigues -dont le nom éponyme laisse entendre qu’il doit y avoir une histoire emplie d’émotion entre les deux- s’enflamme : «Surtout connue pour ses thermes et ses sources, Chaudes-Aigues a vibré en 2013 le temps d’un week-end fabuleux, sous les dermographes de plus de 140 artistes tatoueurs venus de 26 pays. L’occasion rêvée de faire découvrir un métier, une passion, mais aussi une région d’exception, aux paysages magnifiques encore préservés». Mais pour ce grand nom du tatouage, c’est aussi «une aventure qui, à un moment de ma vie, m’a conduit à une forme d’aboutissement personnel et professionnel. Celui d’œuvrer moi-même, sur la terre de mes ancêtres, pour construire et bâtir à mon tour, avec mes outils, mes moyens et mon époque».

Réitérer cette rencontre, doublée du pari fou de faire venir encore plus de tatoueurs et de festivaliers nationaux et internationaux, est un enjeu qui fait à nouveau vibrer toute la famille Chaudesaigues ! «Nous avions délibérément communiqué en 2013 sur un symbole fort» commente Stéphane Chaudesaigues. «Un symbole si puissant que, bien souvent, on pourrait ne plus le remarquer : la famille. La ou les familles d’ailleurs. Car il y a celle que l’on a, celle que l’on crée et celle à laquelle on appartient sans s’en rendre compte, finalement. Je souhaitais faire découvrir -et espérais  faire se rencontrer- mes deux familles : ma communauté professionnelle et les habitants d’un petit village, niché à 750 mètres d’altitude dans l’étroite vallée du Remontalou, sur les terres du Caldaguès, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal».
Si l’on peut parler de succès pour la première édition, c’est bien de celui-là : la rencontre réussie d’une communauté, celle du tatouage, et des Auvergnats.

Chaudes-Aigues et le Cantal In’k the Skin -le Cantal on l’a dans la peau-
Reconnue à l’international comme étant la plus familiale et la plus atypique convention de tatouage, la deuxième édition se devra de s’inscrire dans cette même filiation. Les plus grands noms ont déjà fait acte de candidature. Le public de festivaliers, amateurs ou avertis, va donc à nouveau affluer vers cette terre cantalienne assez peu coutumière de performances dermographiques ! La fête, Stéphane y tient : «Plus qu’un moment inoubliable, dans le Cantal, pour vivre et découvrir la planète tattoo, ce sera l’occasion de nous retrouver, d’échanger et de partager autour de notre passion. Se faire tatouer, certes. Mais aussi profiter, une nouvelle fois, en famille, avec nos enfants et tous nos amis. Découvrir ou redécouvrir un pays, une région, mais aussi des valeurs. Le Cantal In’k, c’est tout simplement faire la fête !».
La fête dans la convention. Mais aussi la fête autour ; sur les quais et dans les rues de ce paisible petit bourg.

Du 4 au 6 juillet 2014, Chaudes-Aigues, capitale mondiale du tatouage…mais pas que !
Chaudes-Aigues, future concurrente de Cannes et de Saint-Tropez ? Il n’y avait un pas… que Stéphane Chaudesaigues va s’employer à faire franchir à toute la commune ! Même si la Place du Gravier ne peut égaler la Croisette, ou si le Remontalou, avant d’aller se jeter dans le Truyère, ne réussit pas à se charger d’effluves marines, c’est quand même un Festival à part entière qui verra se mêler néophytes, amateurs, caldaguès* et fans du tatouage.

Parmi ces derniers se trouvent nombre de passionnés des années 50.  Alors, l’idée a jailli de la créativité jubilatoire de Stéphane, telle l’eau coulant de la Source du PAR : Cadillac, Ford Mustang, et autres Chevrolet aux chromes rutilants serviront d’écrin à un Concours de PIN’UP.


Le premier prix sera un voyage à Las Vegas. Le second prix, deux menus dégustation chez Serge Vieira, Bocuse d’or 2005 et 2 étoiles au Guide Michelin, dans son fabuleux Restaurant au château du Couffour.

 

Ces deux prix seront décernés par un jury particulièrement averti. Mais aussi par le public qui pourra voter pour la candidate dont la tenue, le maquillage, l’élégance l’auront le plus séduit. De nombreuses autres récompenses seront décernées également au plus bel équipage (voiture + chauffeur).


Voitures et concurrentes peuvent d’ores et déjà se préinscrire sur : contact@festival-tatouage.com


Le Cantal In’k the skin, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal, en Auvergne, les  4, 5 et 6 juillet 2014 ; plus qu’une convention du tatouage, une véritable histoire d’amour.
*habitants de Chaudes-Aigues
Affiche du Festival 2014
- Photo Stéphane Chaudesaigues- Shane O’Neil
Communiqué de presse

Contrats responsables : position de la FNMF


En alourdissant le prix des complémentaires santé, cette taxation aggrave les difficultés d'accès aux soins, a fait valoir Etienne Caniard à l'adresse du ...




 

Mélange boisson énergisante-alcool, une hécatombe : des alternatives existent !


Le fameux vodka-Redbull est entré aujourd’hui dans les habitudes de consommation des jeunes adultes. 2/3 des 18-34 ans ont déjà l’habitude de mélanger boissons énergisantes / boissons alcoolisées et c’est devenu en quelques années la boisson la plus vendue en boite de nuit.

 

Mais quels sont les risques? La caféine présente en très (trop ?) forte quantité dans les boissons énergisantes masque les effets de l’alcool et accélère le rythme cardiaque, pouvant aller de la tachycardie à la crise cardiaque.

 

Des alternatives existent ! La société TRENDY DRINK, jeune entreprise parisienne fondée en 2011 par Pierre-Michel Couturier, a lancé, il y a maintenant un an, une nouvelle boisson alcoolisée GO ON, à base de vodka Française, guarana, ginseng, gingembre. Leurs cocktails aux extraits naturels de plantes sont garantis sans caféine, taurine,  colorant ni conservateur. Surfant sur les vertus de ces plantes utilisées depuis des millénaires de manière traditionnelle ou en vitamine, le fondateur de la marque explique : « Notre objectif avec cette boisson est d’apporter avec un cocktail prêt à servir, une alternative responsable aux mélanges boisson énergisante / boisson alcoolisée. Nous avons alors travaillé notre boisson autour de 3 axes :
- une formulation responsable sans caféine ou tout autre produit aux noms étranges et parfois inconnus qu’on trouve dans les boissons énergisantes.


- Une marque et un packaging branchés qui correspondent aux nouvelles habitudes de consommation et aux nouvelles tendances en aromatisation.


- Un degré d’alcoolémie à 12,9% similaire au champagne pour que  le consommateur, contrairement aux mélanges artisanaux, puisse contrôler sa consommation.
Pour appuyer notre démarche nous avons été accompagnés par le CERVIA (centre régional de valorisation et d’innovation agroalimentaire) et subventionnés dans le cadre de l’ARAQ (l’Aide Régionale à l’Alimentation de Qualité) »
.

 

Alors pour que la consommation d’alcool reste un plaisir, préférez le coup de foudre à la crise cardiaque !

 

En savoir plus sur GO ON et TRENDY DRINK: www.go-on.fr / www.trendydrink.com

 

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Ouverture des inscriptions au cercle Droit et Mutualité du 17/10/2013


Le prochain cercle Droit et Mutualité se déroulera le 17 octobre prochain à partir de 14h00 à la Mutualité Française. Il aura pour thème : Les nouvelles règles Fit&Proper et la loi bancaire du 26 juillet 2013


L'accès à la conférence est libre sous réserve d'inscription sur Mutweb en cliquant ici.

L'EFS lance une nouvelle application Facebook


Afin d'encourager le don de sang entre amis, l'Etablissement français du sang lance sur facebook l'application « Je donne, nous donnons !»

 
 

Destinée aux 18-35 ans, elle permet de créer un évènement « don de sang » et de le partager avec ses proches. Aujourd'hui, près de 150 événements ont été créés !

 

Pour faire connaître ce dispositif, une campagne de promotion de l'application est lancée sur Facebook début octobre puis mi-novembre.

 

Faire un don de sang entre amis, prévoir une sortie culturelle, un resto ou un ciné après avoir donné, tel est le concept de l’application qu’a lancé l’EFS. Destinée aux 18-35 ans, elle permet de créer un évènement « don de sang » et de le partager avec ses proches. Simple et efficace, l’appli permet en quelques clics de mobiliser son entourage.

 

Déjà près de 150 événements ont été créés. L’EFS espère ainsi inciter les jeunes à aller donner leur sang. Une campagne de promotion de l’application sera lancée sur Facebook début octobre et mi-novembre afin de faire connaître le dispositif. Pour cela, l’EFS a réalisé quatre vidéos teasing, des micro-trottoir en milieu étudiant, témoignant dans la bonne humeur de l’expérience du don.

 

A découvrir dès maintenant sur la chaine You tube de l’EFS. http://www.youtube.com/user/ChaineEFS

 

Pour tenter l’expérience du don entre amis, n’hésitez plus : rendez-vous sur la page Facebook de l’Etablissement français du sang! www.facebook.com/EtablissementFrancaisduSang

 

A savoir :
1.7 million de donneurs et 3 millions de dons en 2012,
10 000 dons de sang nécessaires chaque jour,
1 million de malades soignés chaque année grâce aux dons
de sang,
Ne pas venir à jeun pour donner son sang,
Etre muni d’une pièce d’identité si c’est un premier don.
Pour connaître la collecte de sang la plus proche de chez vous : www.dondusang.net
 

Libres propos signés Jacques DRAUSSIN

Docteur Google et Mr Hyde


Là-bas, puisque l'Etat se révèle décidément aussi impuissant à réglementer la protection sociale que la possession des armes à feu, c'est comme d'habitude le business et la finance qui tirent les premiers.

Après Bill Gates, dont une bonne partie de l'immense fortune permet aujourd'hui de financer - et donc de contrôler - les programmes de l'OMS, c'est le président de Google qui s'y colle. Et il n'y va pas avec le dos de la cuillère à dollars.

A preuve, l'inimaginable interview de Larry Page publiée dans le numéro de Time Magazine de cette semaine, dont le titre de couverture annonce la couleur : « Can Google solve death ? » [Soit, à peu près « Google peut-il résoudre le problème de la mort ? »]. Mazette, rien que ça !

Le Dieu des moteurs de recherche, sans promettre de sauver le monde du vieillissement et des maladies dégénératives en 7 jours chrono entend bien donner à sa toute nouvelle société, la California Life Compagny, des objectifs à sa démesure. Réussir, grâce à ses capacités de collecte des données et de gestion du Big-data, là où la recherche médicale échoue encore par empirisme naïf et reléguer dans le Cloud de l'histoire les cancers ou la maladie d'Alzheimer…

Du côté de Mountain View, Larry Page ne se laisse pas davantage distraire par de médiocres considérations éthiques que décourager par l'échec de la précédente tentative de Google dans le secteur.

En 2008, Google Health prétendait offrir à chaque internaute un espace de stockage de ses données de santé mais l'initiative avait lamentablement capoté. Une pierre dans le jardin de notre ministre de la Santé qui vient d'affirmer sa volonté de ressusciter le Dossier Médical Personnel…

Là où Google a échoué, Marisol Touraine réussira-t-elle ?

Jacques DRAUSSIN


NDLR : MGEFI et Jacques DRAUSSIN

Jacques DRAUSSIN, Rédacteur en chef du magazine Bien Sûr Santé - anime chaque année la table ronde qui clôture l’assemblée IDF de la MGEFI.

 
Bien Sûr Santé Le magazine gratuit de la prévention  Tous les deux mois sur papier dans les salles d’attente des cabinets médicaux et tous les jours sur le Net.

Pour vous abonner à l’Infolettre et la recevoir chaque semaine gratuitement inscrivez-vous sur www.biensur-sante.com

Pour un véritable service public de l’information en santé !


Une première étape

 

Le gouvernement vient de présenter le premier volet de service public de l’information en santé annoncé dans la stratégie nationale de santé. Ce service devrait répondre aux attentes d’information sur le médicament. C’est donc une bonne nouvelle.

 

Des attentes encore très fortes

 

Cependant, nos concitoyens témoignent que leurs attentes dépassent largement la question très ponctuelle du médicament. Ainsi, les recommandations vaccinales, notamment le calendrier des vaccins, sont insuffisamment connus des familles et conduisent aujourd’hui à de faibles couvertures vaccinales préjudiciables à la santé publique.

Au-delà du médicament, les malades attendent aussi des informations sur la maladie et les modes de prise en charge. En outre, alors que les maladies chroniques explosent, les patients et leur entourage peinent à accéder à des informations fiables sur les parcours de santé, notamment dans leurs aspects médico-sociaux et sociaux (séjour en établissement, prise en charge des coûts d'hébergement et d'accompagnement par les familles, revenus de remplacement, actions d’accompagnement, aide aux aidants…).

Enfin, alors que nos concitoyens connaissent des difficultés économiques majeures, une véritable information en santé ne peut pas éluder la question des prix et de la qualité des biens et services objets de cette information.

 

Autant de défis pour un véritable service public de l’information en santé.

 

Une clarification attendue avant de poursuivre

 

Cela fait plus de dix années maintenant que tous nos responsables politiques admettent que les patients sont proprement victimes d’une asymétrie d’information dans leur usage du système de santé par rapport à ceux qui sont les fournisseurs de biens et services en santé. Pour autant, la stratégie nationale de santé qui vient d’être annoncée ne consacre que quelques lignes confuses au futur service public de l’information en santé, donnant même le sentiment qu’il se réduirait à un annuaire des services de santé mis à jour deux fois par an par les agences régionales de santé.

 

Il faut aller vers un portail global fournissant des réponses de référence adaptées aux attentes de nos concitoyens.

 

 

 

Le service public de l’information en santé doit être accessible par un portail unique, contenir des informations lisibles et compréhensibles par tous, être animé en lien avec les personnes concernées et leurs représentants et contenir une réponse globale couvrant les domaines de la prévention, du soin et de l’accompagnement médico-social.




 
ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 




 







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