Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est Cancers. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Cancers. Afficher tous les articles

mercredi 8 février 2017

Chaque année, 10 000 cancers en moins d’ici 10 ans !

Colondays | du 7 au 14 mars 2017
Chaque année, 10 000 cancers en moins d’ici 10 ans !

Depuis bientôt 10 ans, les hépato-gastroentérologues, sous l’égide du CNP-HGE, se mobilisent en mars pour lutter contre le cancer du côlon. Cette année, du 7 au 14 mars, ils s’engagent sans précédent à l’échelle nationale avec l’opération Colondays !

Une semaine d'information gratuite visant à sensibiliser les 18 000 Français concernés à l’importance du dépistage précoce. En effet, dans 9 cas sur 10, s’il est identifié à temps, ce cancer insidieux peut être guéri. A moyen terme, par ces actions de prévention, la profession entend réduire de 20% la mortalité de cette maladie.

En pièce jointe, veuillez trouver le Dossier de Presse 2017.

Contact :
Thomas MONGIN
Tel. 03 67 10 08 68
Jérémie LOTZ
Tel. 06 11 25 48 05

lundi 21 octobre 2013

LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi


Pollution de l'air et cancers : il y a des solutions pour éviter l'hécatombe
 
Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’Organisation mondiale de la santé vient de classer la pollution atmosphérique comme cancérigène certain. En effet, les scientifiques disposent de preuves suffisantes pour affirmer que l'exposition à la pollution de l'air extérieur provoque le cancer du poumon notamment.
 
Michèle Rivasi, députée européenne EELV, rappelle qu'avec 42.000 morts prématurées par an en France, la pollution de l’air extérieur, notamment due aux particules fines du diesel (classé lui aussi cancérigène en 2012), au dioxyde de soufre (SO2),  monoxyde d’azote (NO) ou encore à l'ozone (O3) "pèse particulièrement sur notre santé, et sur notre système de sécurité sociale. Je rappelle par ailleurs que la France est actuellement en contentieux européen pour non respect des seuils d’exposition des populations aux particules fines : elle encourt de très lourdes pénalités financières si elle ne se met pas rapidement en conformité avec la réglementation européenne".
 
Pour la députée écologiste, "il est indispensable d’orienter le crédit impôt compétitivité destiné aux industries automobiles vers la création de véhicules consommant deux litres d’essence aux 100 kilomètres. D'autre part, les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) ont vu leur financement baisser et le principe des zones d'actions prioritaires pour l'air (Zapa) a été abandonné car aucun dossier n'a été déposé par les villes candidates : l’absence de volonté politique gouvernementale sur ce sujet est déplorable".
 
En tant que présidente du Comité territorial Drôme-Ardèche d’AIR Rhône-Alpes (qui est une ASQAA) je suggère quelques solutions simples, à appliquer au niveau des villes pour permettre  de réduire l’exposition des habitants à cette pollution, notamment :
 
-              En matière d’urbanisme, les écoles, maisons de retraites et équipements sportifs de plein air devraient majoritairement être implantées loin des grands axes routiers ;
-              Les parkings relais avec navettes gratuites pour rejoindre le centre ville doivent être multipliés ;
-              Les poids lourds ne doivent plus se retrouver en ville, et les livraisons en ville pourraient se faire à partir de plateformes logistiques à l’extérieur des villes, en camion électrique.
 
Enfin, les enjeux sanitaires liés à la pollution atmosphérique ne doivent pas occulter un autre sujet tout aussi préoccupant, à savoir la pollution de l'air intérieur. "La fumée de tabac environnementale, l’amiante, le radon, le benzène, le formaldéhyde (formol), plus le dioxyde de carbone (CO2), souvent imputable à une mauvaise ventilation  peuvent provoquer l’apparition de certains cancers".
 

lundi 7 octobre 2013

Pas d'hésitation, vaccination !

Aujourd’hui on constate qu’une baisse de la couverture vaccinale entraine des recrudescences des maladies que l’on souhaitait éradiquer. La rougeole pour ne citer qu’elle connaît des pics d’épidémies qu’elle n’a jamais atteints depuis 10 ans ! Il est donc primordial de faire un point sur la vaccination, départager le vrai du faux, redéfinir les urgences, savoir que la recherche sur la vaccination permettra un jour de soigner les pires maladies de notre siècle (sida et cancers), c’est ce que nous propose Jacques Draussin rédacteur en chef de Bien sûr santé, le magazine gratuit de la santé, disponible dans les salles d’attente des médecins.


C’est la rentrée Il est temps de se mettre au sport

lundi 10 juin 2013

Enquête PACE : les Français face aux cancers


 

Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité aux nouveaux traitements

Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.

En France, les principaux résultats de l’enquête révèlent que 59% de la population sont satisfaits des avancées effectuées ces vingt dernières années dans la lutte contre le cancer¹. En revanche, 60% regrettent la lenteur de la mise à disposition des molécules innovantes aux patients¹. Deux perceptions partagées par l’ensemble des personnes auditées dans le monde.

Le cancer est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ13% de la mortalité mondiale2. En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2011 à 147 5003.

Une bonne connaissance générale en oncologie mais des idées reçues persistantes

Les résultats de l’enquête PACE soulignent la bonne compréhension en oncologie de la population générale. A l’image des 5 autres pays interrogés, près d’1 Français sur 2 (48%)¹ considère que l’annonce du diagnostic n’est plus synonyme de mort assurée (contre 65% des Américains)¹. Cet optimisme relatif est partagé par les patients (67%)¹ et les personnels soignants (56%)¹.

34% des Français estiment également que le taux de mortalité par cancer a diminué¹. En effet, le taux de décès attribué au cancer a baissé de 22 % chez l'homme et de 14 % chez la femme, en vingt ans, en France¹.

Cependant, certains clichés persistent chez les Français interrogés :
            ®     
46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
            ®     
70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.

« Le niveau de connaissance est relativement faible car on est en face d’un paradoxe. On a une maladie qui tue près de 150 000 personnes par an en France, et nos concitoyens veulent à la fois qu’on les guérisse mais ne veulent pas trop en savoir et surtout ne pas savoir s’ils ont eux-mêmes une conduite à risque » explique le Professeur Philippe Rougier, ex-Chef de service Oncologie Digestive à Hôpital Européen Georges Pompidou. « Le niveau de connaissance varie en fonction des niveaux socio-économiques, des expériences personnelles et des âges : il augmente brutalement quand l’individu ou un de ses proches est atteint d’un cancer » affirme-t-il.

« Au-delà de l’envie du malade d’en savoir plus ou non et de son niveau socioculturel, le niveau de connaissance sur la maladie dépend aussi de la qualité de l’information disponible » ajoute Bernard Delcour, Président de l’Association Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M).

 

60% des Français pointent du doigt le délai d’attente trop long pour l’accessibilité des patients aux molécules innovantes¹

59% de la population estiment que les progrès en oncologie ont été remarquables ces vingt dernières années¹ ; la moitié des Français interrogés se dit d’ailleurs satisfaite du financement de la lutte contre le cancer¹. Un point de vue que ne partagent pas les 74% des patients¹ et 81 % des personnels soignants¹ qui attendent davantage de financement. Ce manque d’investissement est aussi dénoncé par une bonne majorité de la population des cinq autres pays participant à l’enquête PACE¹.

Autre point important soulevé par 60% de la population française¹ : le temps d’attente beaucoup trop long des patients pour accéder aux produits innovants. En effet, les patients sont 86% à se plaindre de ce délai¹ contre 65% des personnels soignants¹. Pour la recherche et le développement de nouveaux produits innovants, 77% des Français attendent plus de coopérations au niveau international¹. Et 3 personnes sur 4 souhaitent une meilleure collaboration entre les différents acteurs de la lutte contre le cancer¹, à savoir les pouvoirs publics, les ONG, les institutions académiques et les entreprises du médicament, afin d’accélérer les progrès en oncologie.

« Avant d’être autorisées sur le marché français, toutes les molécules innovantes sont souvent autorisées bien avant aux Etats-Unis. En France, le volet réglementaire a pris le dessus. On cherche avant tout à se couvrir des risques d’image, financiers et sanitaires. Une telle approche très réglementée est antinomique avec une démarche d’innovation. La prise d’initiative doit être primordiale. Il faut viser une démarche plus globale qui prenne mieux en compte la qualité de vie des malades, développer des approches projets qui garantissent un haut niveau de sécurité sanitaire tout en simplifiant les processus et en réduisant les délais. Tout cela convergera vers une meilleure maîtrise des coûts » souligne Bernard Delcour.

« Le public n’a pas conscience de la rigidité des critères qui s’appliquent à l’industrie et de la notion de « service médical rendu », c’est-à-dire du fait qu’un produit est jugé à la fois sur son efficacité et sur sa tolérance » ajoute le Professeur Philippe Rougier

 

Optimiser l’accès des patients aux essais cliniques pour leur faire bénéficier des traitements innovants et faire avancer la recherche

Les résultats de l’enquête PACE mettent en avant que 72% des Français souhaitent que les patients puissent participer à des essais cliniques¹. En effet, 56% de la population générale¹ considèrent que les essais cliniques offrent aux patients l’opportunité de faire progresser la recherche mais aussi de recevoir un traitement meilleur. Actuellement, seulement 15% des patients en France ont déjà participé à un essai clinique¹ ; 68% des patients affirment n’avoir jamais abordé ce sujet avec leur médecin¹.

« Le rôle des médecins pour optimiser l’accès des patients aux essais cliniques est très important. Cela demande une certaine discipline parce qu’il existe beaucoup d’essais de types différents : les essais cliniques peuvent être menés par  les industriels, en particulier pour évaluer les  nouveaux produits, ces essais ne pouvant inclure qu’un nombre limité de patients ; ceux qui sont soutenus par le gouvernement à travers  les programmes hospitaliers de recherche clinique (PHRC) et ceux menés par les sociétés savantes » précise le Professeur Rougier.

Enfin, 89% de la population française ne verraient aucune objection à ce que les médecins et les chercheurs exploitent leurs données médicales pour améliorer la recherche en oncologie¹. Près de 9 patients sur 10 en feraient de même pour aider les autres malades¹.

 

« Le cancer n’attend pas, les malades non plus ! »

Références

[1] Etude PACE (Patient Access and Cancer Care Excellence) réalisée par les laboratoires Lilly auprès de la population, de patients atteints de cancer et de personnels soignants le cancer en Allemagne, en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Japon et aux Etats-Unis – août/octobre 2012. En France, 500 personnes issues de la population générale, 100 patients et 102 personnels soignants ont été interrogés du 24 août au 4 octobre 2012.
[2] Une des plus grandes entreprises mondiales d’études, de sondages
[3] Globocan 2008, IARC, 2010. 
http://globocan.iarc.fr/factsheets/populations/factsheet.asp?uno=900
[4] « La situation du cancer en France en 2012 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2012.
http://www.e-cancer.fr/publications/69-epidemiologie/629-la-situation-du-cancer-en-france-en-2012
[5] Dynamique d'évolution des taux de mortal- Collection Rapports & synthèses, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, novembre 2010.
[6] Cancer Research UK, “Can cancer be prevented?”, http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerprevention http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerpreventionAccessed January 11, 2013.FRCPR00110 - Mai 2013

mercredi 20 février 2013

LIBRES PROPOS Signés Jacques Draussin







 


 

jeudi 17 janvier 2013

Congrès de Pneumologie de Langue Française

17ème Congrès de Pneumologie de Langue Française

1er au 3 février à Lille Grand Palais.
 
Le dossier de presse, remis ce matin lors de la conférence de présentation du congrès, met en lumière 5 sujets :


◊ BPCO, les nouveaux visages de la maladie (Fil rouge)
◊ Les maladies de la plèvre (Fil orange)
◊ Sommeil et apnées : dernières actualités scientifiques
◊ Cancers bronchiques : avancées de la recherche et question du dépistage précoce

◊ Cigarette électronique : derrière le brouillard, une situation à éclaircir !


 Prochaines communications:
◊ Un focus dédié aux maladies orphelines
-        LAM : nouveauté traitement
-        HTAP : Rappel et dernières avancées
-        Mucoviscidose de l’adulte
-        Les fibroses pulmonaires : nouveauté traitement)
 
◊ Un focus spécial nouveautés
-        Mucoviscidose sublinguale, où en est-on ?
-        Nanoparticules et pathologies respiratoires ? Quoi de neuf ?
-         Recherche en pneumologie

 

Contact presse
Recevoir  le dossier de presse : Deleuze Alexandra <a.deleuze@ljcom.net