Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 28 novembre 2013

ASSUREURS: Vous avez dit activisme....

Dans le climat exacerbé actuel, il faut souligner que, pour les philosophes grecs, seule la discussion débouche sur la vérité. L’anathème est l’expression de l’ignorance.

Activisme des assureurs

On peut comprendre l’activisme des assureurs face à la généralisation de la couverture complémentaire de santé. Le marché est d’autant plus attractif que l’obligation d’assurance facilite la vente, ce qui mérite d’être mis en parallèle avec le peu d’intérêt manifesté jusqu’ici pour la commercialisation des contrats de prévoyance dans les TPE, sauf pour le dirigeant. Mais il ne faut pas se tromper sur l’avantage dont va bénéficier le salarié.



 Lire l'article :
http://www.miroirsocial.com/actualite/9448/les-acteurs-de-la-prevoyance-et-l-interet-economique-general

mercredi 20 novembre 2013

ALERTE INFO : 11ème colloque professionnel IPSE le 22 novembre 2013 dès 8h30 17-21, place Etienne Pernet, Paris 15ème


 

Généralisation de la complémentaire santé :

quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires ?

 

Vendredi 22 novembre 2013

de 8h30 à 13h00

 

accueilli par le groupe Macif: 17-21, place Etienne Pernet , Paris 15e

 

Compte-tenu des aléas législatifs et alors que le PLFSS 2014 est en cours d’adoption, les modalités de  la généralisation de la complémentaire santé  continuent de faire débat y compris chez les fonctionnaires. De nombreux défis demeurent. Ils tiennent à la place, au rôle des organismes complémentaires et à l’accès aux soins. Ils portent également sur l’articulation nécessaire avec l’assurance maladie obligatoire et la rénovation des contrats solidaires.

 

 

La généralisation représente un progrès puisqu’il va permettre d’augmenter la couverture de millions de salariés. Mais cette avancée pose incontestablement un certain nombre de questions.

 

En premier lieu, la généralisation de la complémentaire santé ne va-t-elle pas avoir pour effet d’augmenter des inégalités flagrantes et croissantes puisque les jeunes en situation précaire, les chômeurs de longue durée et les retraités, populations qui ont le plus besoin d’une complémentaire, ne sont pas visés par cette généralisation ? La complémentaire santé obligatoire ne va-t-elle pas par ailleurs encourager indirectement au désengagement de la Sécurité Sociale, clé de voûte d’une protection sociale solidaire, dans la prise en charge des soins ambulatoires ? Ne risque-t-on pas en outre de voir s’aligner les garanties de la complémentaire santé vers un minimum fixé par le panier de soins et se développer en sus un « marché » de la sur-complémentaire santé ?

 

La généralisation de la complémentaire santé appelle avant tout à couvrir et accompagner les personnes dans leur parcours de santé tout au long de la vie. Cela ne peut se faire qu’avec une coopération étroite entre le régime obligatoire et les régimes complémentaires, mais aussi avec les collectivités territoriales telles que les conseils généraux, les intercommunalités et les régions. La généralisation de la couverture santé ne pourra donc être réussie que si un certains nombres de défis sont relevés, comme la rénovation des contrats solidaires et responsables, une clarification de la participation des complémentaires à la gestion du risque ou encore une meilleure articulation avec l’assurance maladie de base.

 

PROGRAMME

 

08h30 Accueil des participants

 

09h00 Allocutions de bienvenue

 

Gérard Andreck, Président du groupe Macif

 

Alain Chenot, Président de l’Ipse

 

Animation de la matinée : Jean-Marie Spaeth, Président du GIP Santé et protection sociale internationale

 

 

09h20 Mise en perspectives des enjeux de la généralisation de la complémentaire santé et du rôle des acteurs de la protection sociale

 

Jean-François Chadelat, Président d’honneur du Fonds CMU

 

09h40 Table ronde 1 : Le point de vue des opérateurs

Michel Régereau, Président du conseil de la CnamTS

• Paul Grasset, Directeur général de ProBTP

• Joseph Deniaud, Président d’Harmonie Mutuelle

• Serge Brichet, Président de la MGEFI, Vice président MFP, membre du groupe Istya

 

10h30 Débats avec les participants

 

11h00 Pause

 

11h15 Table ronde 2 : Le point de vue des décideurs

Véronique Descacq, CFDT

Geneviève Roy, CGPME

Philippe Thouron, UPA

Michel Dieu, FO

 

12h15 Débats avec les participants

 

12h45 Conclusions

Valérie Devillechabrolle, Rédactrice en chef, Protection sociale Informations

 

13h00 Cocktail déjeunatoire

 

Renseignement et Inscription : Ipse - 92, boulevard de Magenta - F 75010 Paris
Tél. 33 1 40 37 13 88 - Fax : 33 1 40 36 07 65 - europesociale@euroipse.org

 

 

Coup de projecteur
 
MGEFI ET IPSE
09h40 Table ronde 1 : Le point de vue des opérateurs
 
Michel Régereau, Président du conseil de la CnamTS
• Paul Grasset, Directeur général de ProBTP
• Joseph Deniaud, Président d’Harmonie Mutuelle
• Serge Brichet, Président de la MGEFI, Vice président MFP, membre du groupe Istya

 



 


Contact presse MGEFI

Nora Ansell-Salles




Vous n’avez pu assister au colloque
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La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

■ Un réseau de 800 militants.

■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR

lundi 28 octobre 2013

La MGEFI recherche un(e) Responsable de service (H/F) basé à Paris



Responsable de service « Gestion des contrats »

Description de l'offre

Encadrement, animation et gestion de l'ensemble des ressources humaines, financières et techniques du service ou de la région dont il a la charge.

Proposition de projets de développement et étude de leur faisabilité humaine, financière et technique.-

Conduite de projets spécifiques et thématiques, participe de manière très opérationnelle aux activités du service ou de la région placé sous son autorité.

Coordination des activités d'un service conformément aux orientations politiques et stratégiques validées par la Direction Générale.

Définir et mettre en œuvre l'organisation des activités du service, du département

Définir et mettre en place les procédures de traitement des dossiers (délais, réglementation, ...)

Elaborer ou mettre à jour les outils de suivi qualitatif et quantitatif de l'activité

Prendre les mesures correctives selon l'évaluation de l'activité du service, groupe, département

Entreprise

La MGEFI place l'adhérent au cœur de sa mission qui repose sur la gestion du risque santé et prévoyance des agents des ministères économique et financier. Elle s'engage par ailleurs dans des actions de prévention sur l'ensemble du territoire. La MGEFI, comme le mouvement mutualiste, est portée par les valeurs de solidarité, de liberté, de démocratie et de responsabilité.

Informations complémentaires

Détail de l'offre

 

Lieu de travail : Paris (Ile de France)

Type de contrat :  tout public

Date de début de contrat : 16/10/2013

Expérience : Expérience exigée de 5 An(s)

Connaissances bureautiques

Qualification : Cadre

Salaire indicatif : Annuel de 36 000,00 à 36 500,00 euros sur 13.5 mois

Durée hebdomadaire de travail : 35h HEBDO Horaires normaux

 

Taille de l'entreprise : 250 à 300 SALARIES

Secteur d'activité : Mutualité
http://www.miroirsocial.com/offre-emploi/la-mgefi-recherche-un-e-responsable-de-service-h-f-base-a-paris

Vos candidatures sont à adresser par courrier électronique :
MGEFI
Frédéric RICHERT
recrutement@mgefi.fr

mardi 1 octobre 2013

mardi 15 janvier 2013

Complémentaire santé pour tous les salariés :


une déception programmée ?

 A la grande surprise des acteurs de santé, et en particulier de ceux représentant les usagers qui n’ont à aucun moment été associés à la proposition, l’accord sur la sécurisation de l’emploi débouche notamment sur la création d’une obligation de complémentaire santé pour tous les salariés en France.

 
Le principe d’une telle disposition pourrait présager d’une meilleure couverture santé pour un nombre important de salariés, en particulier au sein des petites et très petites entreprises, qui ne pouvaient jusqu’à présent bénéficier de contrats collectifs dont on sait pourtant qu’ils sont en général plus protecteurs que les contrats individuels.
 

Toutefois, nous craignons que cette avancée pour l’accès aux soins se révèle, en l’état, illusoire :

 

-       D’abord parce que le fait de rendre les complémentaires systématiques pour tous les salariés pourra servir de prétexte à entériner le retrait de l’Assurance maladie, en permettant d’accentuer plus encore les transferts de charges du régime obligatoire vers celui des complémentaires.

 

-       Cela alors que, contrairement à ce qui est laissé entendre par le qualificatif de « complémentaire santé généralisée », une partie de nos concitoyens n’y aura toujours pas accès puisqu’elle ne concernera que les salariés. Nombre d’étudiants, de retraités, de professions indépendantes, de personnes sans emploi…, resteront confrontés aux difficultés d’accès aux contrats individuels de complémentaires santé, difficultés encore augmentées du fait que les contrats collectifs seront par ailleurs plus courants : ceux qui ne pourront toujours pas y avoir accès se verront donc d’autant plus discriminés.

 
-       Ensuite, y compris pour ceux qui pourront en bénéficier, la couverture proposée est insuffisante pour permettre un réel accès aux soins, en particulier à ceux faisant l’objet d’un renoncement pour raison financière à savoir le dentaire, l’optique et les actes ou consultations avec dépassements d’honoraires. En effet, la protection proposée est annoncée comme étant bien inférieure à celle de la CMU-C, ce qui n’est pas acceptable pour assurer un accès satisfaisant aux soins requis par la population.

 
Pour les représentants des usagers, une complémentaire santé généralisée ne peut s’entendre que comme réellement universelle, c’est-à-dire accessible à l’ensemble de nos concitoyens dans des conditions encadrées qui assurent à la fois un tarif juste et équilibré pour chacun des souscripteurs, ainsi qu’un panier de soins garanti. Deux conditions indissociables pour dépasser les inégalités connues entre les niveaux de prise en charge proposés par les complémentaires santé suivant qu’elles sont souscrites dans un cadre individuel ou collectif.

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