Nora ANSELL-SALLES

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lundi 3 mars 2014

ACOUPHENES ET HYPERACOUSIE

Focus sur des troubles de

l’audition qui pourraient bien s’avérer

les maux de notre siècle

 

 

Parmi les troubles de l’audition, les acouphènes


(bourdonnements et sifflements dans la tête et dans les oreilles)

et l’hyperacousie (hypersensibilité aux bruits normalement

supportés) sont des symptômes ORL de plus en plus fréquents

au sein de la population française. Entre 2 et 2,5 millions de

Français de tous les âges sont officiellement déclarés

acouphéniques (source : association France Acouphènes).

Mais on estime que 6 à 8 millions de personnes en souffriraient

parmi la population française.

L’origine de ces troubles de l’audition est multiple :

Traumatisme Sensoriel Auditif (lié aux pratiques d’écoute

de musique amplifiée ou au bruit au travail) ; usure des

mécanismes de l’oreille avec l’âge ; choc émotionnel ;

prise de médicaments ototoxiques…
Vivre avec ces gênes ou troubles en permanence est

insupportable et provoque fatigabilité, dégradation

de la vie intellectuelle, physique, psychique et sociale.

 

17 e Journée Nationale de l’Audition
 
Avec la participation de :
Mme Roselyne Nicolas - France Acouphènes
Dr. Pascal Foeillet - ORL
Dr. Paul Zylberberg - Médecin du travail
Dr. Martine Ohresser - ORL
membres du Comité Scientifique de la JNA

Au cours de cette Conférence,en avant-première :

les résultats de l’Enquête Nationale JNA - IPSOS - Crédit Agricole :

‘‘Acouphènes et Hyperacousie : Quelles solutions ? ’’







Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette année l'attention sur la nécessaire mise en place de programmes de prévention liée à la perte auditive, dans de nombreux pays.

En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détectés.


NDLR : MGEFI et AUDITION

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  • lundi 16 décembre 2013

    Vitesse limitée à 70km/h sur le périphérique dès janvier 2014


    Vitesse limitée à 70km/h sur le périphérique dès janvier 2014


    A partir de janvier 2014, la  vitesse sera limitée à 70km/h sur le boulevard périphérique parisien contre 80km/h aujourd’hui. Bertrand Delanoë s’est mobilisé ces dernières années en faveur de cette mesure qui va permettre de réduire la pollution de l’air parisien, diminuer le bruit du périphérique et faire baisser le nombre d’accidents sur cet axe urbain fréquenté quotidiennement par 1,3 millions de véhicules. Le maire de Paris en avait formulé la demande au ministère de l’Intérieur à plusieurs reprises, sans succès jusqu’à présent : en juillet 2011 lors d’un vœu au Conseil de Paris et dans sa communication sur la lutte contre la pollution présentée au Conseil de Paris en novembre 2012.

     

    Qui décide de la vitesse sur le périphérique ?

     

    C’est une décision du ministre de l’Intérieur qui prend la forme d’un décret. La vitesse sur le périphérique étant inscrite dans le Code de la route, une consultation préalable du Groupe interministériel permanent de la sécurité routière (GIPSR),  a été nécessaire. Un avis favorable a été donné par ce dernier au projet de décret abaissant la vitesse à 70km/h, le 19 septembre 2013. Le décret est actuellement examiné par le Conseil d’Etat, dernière étape avant la promulgation par le ministre qui devrait intervenir au cours du mois de janvier. Manuel Valls avait déclaré y être favorable en juillet 2013.

     

    Quel impact sur la pollution ?

     

    La plus grande fluidité de circulation, en limitant les effets d’accélération et de décélération sur le boulevard périphérique permettra de faire baisser les polluants atmosphériques jusqu’à 5% selon des études de l’ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie).

    Le Boulevard Périphérique contribue à lui seul à 35 % des émissions des particules fines liées au trafic routier parisien, soit 20% des émissions totales parisiennes. Il contribue à hauteur de 35 % des émissions de CO2 liées au trafic routier parisien, soit 12 % du total de la capitale. (Source : étude Airparif de juillet 2013)

     

    Le bruit va-t-il baisser pour les 100 000 riverains du périphérique ?

     

    La baisse de bruit qui pourrait être générée par la diminution de la vitesse limite de 10 km/h sur le périphérique parisien se situe autour de 1,7 décibels pour les véhicules légers, 1,2 décibels  pour les poids lourds, soit une baisse équivalente à ce qui pourrait être obtenu par une réduction de 15 à 20 % du trafic. Les périodes creuses, sur lesquelles la vitesse limite est atteinte, sont particulièrement bruyantes : la réduction du niveau sonore sera donc appréciable pour les riverains la nuit. (Source : étude Bruitparif de juillet 2013)

    Rappelons que cet été, 10 % du boulevard périphérique a été traité par un nouveau type de revêtement phonique qui a permis une diminution du bruit de 7 décibels, soit l’équivalent d’une division par cinq du bruit du trafic routier. Plus de 10 000 riverains du périphérique sont concernés.

     

    Peut-on évaluer les effets de la baisse de la vitesse sur les accidents ?

     

    L’impact de la baisse de la vitesse sur la sécurité a été évalué de nuit, quand la circulation était fluide. On estime que la diminution de 10 km/h aurait pour conséquence une baisse de 23% du nombre d’accidents et une réduction de près de 65 % du nombre de blessés graves et de tués. En 2011, 25,5 % des accidents corporels parisiens avec vitesse excessive ont eu lieu sur le périphérique. Ce pourcentage a régulièrement augmenté depuis 10 ans (+ 7 % en 2011 par rapport à 2010). En 2011, 48,4 % des accidents corporels ayant eu lieu sur le périphérique sont dus à la vitesse. (Source : Préfecture de Police 2011)

     

    Le périphérique en quelques chiffres

     

    ·         Plus de 100 000 habitants habitent à proximité du périphérique.

    ·         Chaque jour, 1,3 millions de véhicules empruntent le boulevard périphérique, ce qui représente 7,7 millions de kilomètres parcourus (chiffre 2013).

    ·         40% de la circulation automobile de Paris concerne le boulevard périphérique, cela représente 1 à 2% du trafic national.

    jeudi 13 juin 2013

    "Opération pilote "-3 dB" au sein des établissements de Nuit - Lyon


    « Baissez le son : Montez l'ambiance »

    Parce que trop de bruit nuit aussi à la convivialité ! Mieux prévenir aujourd'hui... pour mieux entendre demain.

     

    L'audition concerne toutes les tranches d'âge, et notamment les plus jeunes avec leurs habitudes d'écoute liées aux bruits de loisirs, à l'écoute trop forte des MP3, aux concerts ou aux sorties dans les lieux festifs.  Selon l'enquête JNA 2012 « Le capital auditif des jeunes est-il en danger ? » réalisée à l'occasion de la 16e Journée Nationale de l'Audition, 56% des jeunes jugent que le volume sonore est fréquemment excessif lors des soirées en discothèque.

     

    L'association JNA , l'UMIH Nuit, la Ville de Lyon, et l'Ecole des DJ UCPA
    - l'association France Acouphènes,
    - les protections auditives Quies,
    - le Réseau Audition Conseil,
    - la Mutuelle des Etudiants
    ,
    - les étudiants de la Faculté de Médecine,
    - l'Ecole d'Audioprothèse de Lyon

    - www.lesoreilles.com,


    ont choisi de créer une synergie pour
    lancer une opération unique en France d' information et de sensibilisation auprès des clients des Etablissements de nuit et Bars à Ambiance Musicale et discothèques sur le volume sonore dans un contexte festif et convivial, sur le déni face à la perte auditive, et sur ses conséquences non seulement sur la santé mais également sur la convivialité au cours de la soirée.

     

    En effet, véritable sujet de société et de santé publique, il semble important pour les trois initiateurs du projet de renforcer la prise de conscience auprès de l'ensemble des intervenants et des cibles de cette opération inédite.
    Par ailleurs, tous les autres publics concernés par la prévention dans le domaine de l'audition (nuisances sonores au travail, les pratiques d'écoute mal maîtrisées, etc.) pourront profiter des enseignements produits par cette expérience.

    Cette opération permettra au plus grand nombre de s'intéresser de près à leur capital auditif. Ce sera l'opportunité pour les clubbers et le personnel travaillant dans des lieux sonorisés de rencontrer des scientifiques et des médecins spécialistes des questions liées à l'audition.

     

    C' est dans ce cadre, et avec cette volonté que l'association JNA, l'UMIH Nuit, l'Ecole des DJ UCPA et  la Ville  de Lyon  ont fédéré plusieurs participants et partenaires prêts à se prêter à cette expérience grandeur nature.

     

    Une  expérience labo en 3 temps  :

     

    1)  Conférence presse de présentation  le vendredi 14 juin à 11h dans les salons de l'Hôtel de Ville en présence des partenaires et des scientifiques mobilisés :

    Mr. Jean-Louis Touraine, député du Rhône et 1er adjoint au Maire de Lyon

    Mme Céline Faurie-Gauthier, conseillère déléguée à la Prévention santé et représentant la Ville de Lyon

    Mr. Dominique Wolton, sociologue et directeur de l'Institut des sciences de la communication du CNRS

    Mr le Professeur Hung Thai Van, Professeur des Universités - Praticien Hospitalier Service d'Audiologie & d'Explorations Orofaciales (Chef de Service Adjoint)

    Hôpital Edouard Herriot - Hôpital Femme Mère Enfant - Hôpital Lyon Sud  Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon, INSERM U1028 CNRS UMR5292

    Mr le Pr Alain Bergeret, Professeur universitaire et chef de service Médecine du travail CHU de Lyon orientation maladies professionnelles

    Mr Pierre Chambon, Vice Président UMIH pour L'UMIH nuit

    Monsieur Jean Stanko, Président de l'association  JNA: , Madame Roselyne Nicolas 2è Vice Présidente de l'association JNA, Monsieur Jean-Louis Horvilleur (lesoreilles.com et référent technique JNA), avec l'appui opérationnel de l'association France Acouphènes, la société Quies, le Réseau Audition Conseil, La Mutuelle des Etudiants, les Etudiants de la Faculté de Médecine et de l'Ecole d'Audioprothèse de Lyon.

    Mr Pascal Tassy directeur de lécole de DJ UCPA

     

    2)  Programme de la soirée expérimentale au sein des établissements phares à Lyon


    Le 4 juillet 2013 au sein des établissements situés  aux quatre coins de la ville de Lyon seront proposés aux professionnels des établissements et clients  :


    - Baisse  du  volume de  3 dB

    - Pauses auditives par changement de sets musicaux 15 minutes toutes les deux heures

    - Intervention de professionnels de l'audition (médecins Orl, audioprothésistes...)

    - des tests de l'audition  réalisés  par des audioprothésistes D.E du Réseau  Audition Conseil avant et après la soirée auprès des professionnels et clients volontaires avec recueil des ressentis

    - La présence d'étudiants de la Faculté de médecine de Lyon , de l'Ecole d'Audioprothèse, de l'association France Acouphènes et de la Lmde (relais santé jeunes).

    - la distribution de  brochures de prévention JNA "Nos oreilles on y tient !" et de paires de de bouchons de protection auditives QUIES - JNA

     

    3) Conférence de presse mi-septembre

    Présentation des résultats de l'expérience.

     

    L'opération "Baissez le son.....Montez l'ambiance  "-3dB"" sera ensuite développée dans d'autres villes de France selon le modèle lyonnais.

     

    mardi 5 février 2013

    13ème Journée du Sommeil : 22 mars 2013 - L'environnement : Bruit, lumière, température



    Trois grandes nuisances environnementales perturbent la qualité de notre sommeil, non sans conséquences sur la santé et la qualité de vie :
     
     - Le bruit, premier facteur perturbateur du sommeil, provoque difficultés d’endormissement et réveils nocturnes.
     - La lumière nocturne (éclairage urbain, éclairage domestique trop puissant, lumières des écrans, etc.), désynchronise l’horloge biologique.
     - Les excès de température, canicules ou grands froids, fragmentent le sommeil et le rendent moins récupérateur.
     
    La présence fréquente d'outils électroniques dans la chambre s'ajoute à ces facteurs. Un phénomène particulièrement préoccupant chez les jeunes : ordinateurs et/ou jeux électroniques, sont autant d'éléments susceptibles de raccourcir grandement la durée et la qualité de leur sommeil.
     
    La Journée du sommeil®, vendredi 22 mars prochain, sera l'occasion pour les spécialistes de sensibiliser le public à l’importance d'un environnement favorable à un sommeil de qualité et de délivrer quelques conseils pratiques.
     
    L'enquête OpinionWay, qui est actuellement réalisée par l'INSV en partenariat avec la MGEN, apportera un éclairage sur les habitudes des français en matière d'environnement et sommeil.
      

    Merci de bien vouloir noter que la conférence de presse aura lieu à Paris
    le mardi 19 mars à 9h30


       
    Sensibiliser le public
    , favoriser le dépistage et rappeler que des structures de soins existent lorsque le sommeil devient pathologique, telle est la vocation de la Journée du Sommeil® depuis 2000. En 2013, plus d’une cinquantaine de centres de sommeil seront mobilisés dans de nombreuses villes françaises avec le concours d’associations de malades.


     • Information du public sur www.journeedusommeil.org
     
     Page Facebook dédiée


    Le programme sera disponible en ligne début mars 2013