Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 7 novembre 2013

Le groupe MGEN fait évoluer son pilotage exécutif

Depuis la rentrée 2013, le groupe MGEN a mis en place une nouvelle organisation des responsabilités au sein de son Bureau national et structuré les directions opérationnelles en 4 grands pôles.

 
Les fonctions dirigeantes assumées par des élus mutualistes sont dorénavant structurées selon les livres du Code de la mutualité : mouvement mutualiste, offre d’assurance maladie et mutualiste, offre sanitaire, médico-sociale et sociale.

Les directions opérationnelles sont réparties entre 4 Directions Groupe Adjointes (DGA) : « Assurance obligatoire et complémentaire », « Santé, sanitaire et social », « Finances » et « Affaires générales ».

       


 

En savoir plus :
Benoît Coquille
Direction de la Communication – Relations presse
01 40 47 23 92/ BCOQUILLE@mgen.fr
3, square Max Hymans - 75748 PARIS cedex 15
Retrouvez les communiqués sur la page presse de mgen.fr
Twitter : @groupe_mgen
 

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  • mardi 21 mai 2013

    Vente de médicaments sur Internet :

     
     
     
    1001Pharmacies soutient l'avis de l'Autorité de la concurrence défavorable au "Code de Bonnes Pratiques"



    "Les pharmaciens français doivent pouvoir se battre à armes égales sur Internet avec leurs concurrents et homologues européens. C'est la santé des Français et la pérennité de notre réseau d'officines qui sont en jeu".


    Sabine Safi, co-fondatrice et Directrice Générale de 1001Pharmacies.



    Paris, 20 mai 2013. 1001Pharmacies.com, premier portail de vente en ligne de produits de santé, s'engage aux cotés de l'Autorité de la Concurrence et recommande 3 actions à engager pour le développement online des Pharmaciens : une concertation contre les aberrations, des prix libres et un accompagnement numérique.

     



    Autorisée depuis le 1er janvier 2013 en France, la vente de médicaments en ligne était soumise à un arrêté relatif "aux bonnes pratiques de dispensation" jusqu'à ce mercredi 15 mai 2013. En effet, l'Autorité de la concurrence a rendu un avis défavorable sur ce guide de bonnes pratiques jugé trop restrictif : "un ensemble important d'interdictions et de restrictions (...) non justifiées par des considérations de santé publique, qui visent à limiter le développement de la vente en ligne de médicaments par les pharmaciens français, voire même à dissuader ces derniers d'utiliser ce canal de vente".


    Le Code de Bonnes Pratiques proposé par le gouvernement «marginalisait les officines françaises en les privant d'opportunités nouvelles de développement », notamment grâce au canal Internet. Un blocage évident alors que les pharmacies européennes vendent déjà en ligne auprès des consommateurs français sans être assujetties aux restrictions légales en vigueur sur le territoire français.


    Les pharmacies françaises subissaient jusqu'à présent cette concurrence déloyale sur Internet. Suite à l'autorisation de vente en ligne, il est maintenant du devoir des pouvoir publics et des institutions de permettre aux pharmaciens français de rattraper leur retard sur leurs voisins Belges et Allemands et de récupérer rapidement les parts de marché perdues.




    Les 3 recommandations de 1001Pharmacies


    1. La concertation contre les aberrations


    Ouvrir le dialogue avec l'ensemble des acteurs du secteur, le Gouvernement et les instances concernées (pharmaciens d'officines, spécialistes de l'e-Commerce, associations de consommateurs, associations de patients, élus locaux, etc.) afin d'éliminer des dispositions aberrantes (comme d'obliger les pharmaciens à ne proposer sur Internet que des produits en stock dans l'officine) issues d'une méconnaissance de la réalité économique, du mode de fonctionnement de cette profession et des besoins des consommateurs.


    2. Des prix libres


    Les médicaments autorisés à la vente en ligne sont des produits dont le prix est totalement libre, donc variable d'une officine à l'autre. Les pharmaciens doivent donc conserver cette liberté et laisser jouer la libre concurrence, tout en garantissant le bénéfice consommateur.


    3. Un accompagnement numérique


    La vente en ligne de médicaments va dans le sens de l'histoire. Le gouvernement et les autorités de santé doivent aujourd'hui accompagner cette transition et en expliquer les enjeux aux acteurs du marché.



    1001Pharmacies : un remède pour la disparition des officines

    La plateforme de vente en ligne 1001Pharmacies a été spécialement conçue afin de donner aux pharmaciens français les moyens et les outils adaptés pour développer des services de e-commerce tout en leur garantissant un cadre légale.


    "Le complément d'activité de la vente en ligne ne doit pas échapper aux officines. Lorsque l'on sait qu'une pharmacie disparait tous les trois jours, les professionnels doivent pouvoir compter sur tous les canaux de vente pour survivre et développer leur activité."


    Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.

    mardi 5 mars 2013

    Propositions au gouvernement sur le Code de Bonnes Pratiques


    1001Pharmacies.com demande une concertation sur la vente en ligne de médicaments

     

     

    Positionné en première ligne pour le développement de la vente en ligne, 1001Pharmacies.com propose sa vision et ses axes de réflexion sur le « Code de Bonnes Pratiques » du Gouvernement.


     

    Pour se mettre en conformité avec la loi européenne, la France a autorisé la vente en ligne de médicaments sans ordonnance. Le texte précise que seuls les pharmaciens titulaires d'une officine et inscrits au Conseil de l'Ordre des Pharmaciens peuvent réaliser ce type de ventes. Cependant, le gouvernement prépare un « Code de Bonnes Pratiques » qui prévoit des mesures restrictives, voire dissuasives pour la vente en ligne.

    En effet, dans sa version actuelle, le Code interdit au pharmacien de vendre ses produits moins chers sur la toile. Il doit aussi obligatoirement facturer les frais de port au client et nécessairement avoir en stock dans son officine le produit proposé sur son site internet. Ce texte montre un certain recul du gouvernement sur le sujet et représente une véritable entrave au développement de ce nouveau canal de distribution de certains produits de santé.

    Les propositions de Cédric O'Neill et Sabine Safi, co-fondateurs de la plateforme 1001Pharmacies :

    1. La concertation

    Suspendre temporairement l'application du Code et ouvrir une grande réflexion avec tous les acteurs du secteur ainsi que les instances concernées : pharmaciens d'officines et spécialisés dans la vente sur internet, associations de consommateurs, associations de patients, élus locaux, etc.

     

    2. Des prix libres

    Conserver la liberté de tarification afin de préserver une saine concurrence, et éviter à la profession d'être attaquée par la Haute Autorité de la Concurrence.

    Le Gouvernement veut interdire aux pharmaciens de vendre moins cher sur internet que dans leur officine. Or les médicaments autorisés pour la vente en ligne sont des produits dont le prix est totalement libre, donc variable d'une officine à l'autre. Pourquoi devrait-on encadrer ces prix à la hausse sur Internet, comme l'exige ce Code ?

    Il faut laisser la liberté aux pharmaciens de fixer les prix et laisser jouer la libre concurrence, tout en garantissant le bénéfice consommateur.

     

    3. Organiser l'évolution numérique

    L'évolution de la vente en ligne de médicaments est inéluctable ! Le gouvernement et les autorités de santé doivent aujourd'hui accompagner cette transition et ne surtout pas la freiner ou l'empêcher de se développer.

    Ils doivent accompagner pharmaciens et patients vers une inévitable transition numérique, comprendre et en expliquer les enjeux à toutes les parties prenantes : internet comme relais de croissance pour les petites officines, l'apport d'un service complémentaire réel pour les patients à mobilité réduite ou isolés, etc.

     

    4. Sortir des aberrations

    Des dispositions comme celle obligeant les pharmaciens à ne proposer sur Internet que des produits en stock dans l'officine démontrent une méconnaissance de la réalité économique, du mode de fonctionnement de cette profession et des besoins des consommateurs.

    "Par exemple, un patient ayant besoin de commander un produit très rare ou très spécifique que les pharmacies de son quartier n'ont pas en stock devra se déplacer deux fois : une fois pour commander, une fois pour récupérer le produit. Quand il aurait pu n'avoir pas à se déplacer une seule fois sans cette disposition règlementaire".

    Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies. 



    Une solution complémentaire pour contrer la disparition des pharmacies

     

    Aujourd'hui en France, un tiers des officines sont en difficulté financière et une pharmacie disparaît tous les trois jours. Il s'agit là d'un phénomène sans précédent, touchant notamment les petites structures installées dans les zones peu densément peuplées, et aggravant ainsi le phénomène inquiétant des déserts médicaux.

     

    "La vente en ligne n'est bien sûr pas la solution miracle, mais elle peut redynamiser certaines petites officines et éviter à des patients de faire plusieurs dizaines de kilomètres pour commander ou acheter une boîte de médicament. Nous engageons les autorités de santé à suspendre l'application du « Code de Bonnes Pratiques », afin d'engager une réelle discussion avec tous les acteurs du secteur. Si ce code, véritable non-sens économique, devait rester en l'état, il aurait pour conséquences d'empêcher tout développement de la vente en ligne par des officines françaises, obligeant nos concitoyens à se tourner vers des sites étrangers, dont la moitié des produits sont contrefaits."

    Sabine Safi, co-fondatrice et Directrice Générale de 1001Pharmacies. 

     

    A propos de 1001Pharmacies

    1001Pharmacies, développée par la société eNova Santé, est la première place de marché web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits de santé sur Internet. La société vise à devenir un acteur majeur et fédérateur du secteur en pleine évolution de la santé en ligne en France. Elle a obtenu le soutien de la Région Languedoc-Roussillon, d'Oséo et de l'Union Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34), La Financière des Entrepreneurs et Ki Partners depuis le lancement de sa plateforme en octobre 2012.Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com

    1001Pharmacies en 3 chiffres :

    80.000 visiteurs uniques chaque mois.

    7.000 produits référencés

    Un réseau national de 40 pharmacies