Nora ANSELL-SALLES

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mardi 19 juillet 2022

PRÉSENTATION DE L’EXPERTISE SUR LES RISQUES ASSOCIÉSÀ LA CONSOMMATION DE NITRITES & NITRATES

Suite au point presse sur les risques associés à la consommation de nitrites et nitrates dans l’alimentation, du 12 juillet 2022
👉 le lien vers l’enregistrement de ce dernier.

À LIRE ÉGALEMENT :
👉 l’actualitéle rapport et l’avis de l’Agence ainsi que vers la FAQ.

EN SAVOIR PLUS :

Service presse

Direction de la communication et des relations institutionnelles

Tél : 01 49 77 13 77 / 22 26 / 28 20

 

AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE de l’alimentation, de l’environnement et du travail

14 rue Pierre et Marie Curie 94701 Maisons-Alfort Cedex

www.anses.fr — @Anses_fr



mercredi 6 avril 2022

Dans le cadre de la Journée mondiale de la santé 2022, Slow Food présente sa nouvelle note de position sur l’alimentation et la santé

 alimentation, notre santé.

Nourrir la biodiversité pour préserver notre santé et celle de la planète

Dans le cadre de la 

Journée mondiale de la santé 2022, Slow Food présente sa nouvelle note de position sur l’alimentation et la santé

« Il existe un lien indissociable entre la santé des humains, des animaux, des plantes et de l’environnement : les problèmes qui touchent toutes ces formes de vie doivent être traités de façon globale », a déclaré Edie Mukiibi, vice-président de Slow Food, lors de la Journée mondiale de la santé 2022. « La santé est au cœur de la vision de Slow Food sur l’accès à une alimentation bonne, propre et juste pour tous. Se nourrir sainement n’a pas que des bienfaits nutritionnels, cela permet également de préserver la santé des humains et celle de la planète. Pour avoir une alimentation saine, il faut favoriser la diversité des aliments et des espèces végétales, la consommation d’aliments complets et le moins transformés possible, de produits cultivés

localement selon des méthodes durables.... Mais surtout, un régime sain peut être, et doit être, une source de plaisir ». 

À l’occasion de la Journée mondiale de la santé, Slow Food présente sa note de position « Notre alimentation, notre santé. Nourrir la biodiversité pour préserver notre santé et celle de la planète »

 L’objectif même de Slow Food est de promouvoir la biodiversité, le climat et la santé à travers l’alimentation. « La défense de la biodiversité, ce combat qui caractérise notre association depuis toujours, constitue une solution possible à la crise climatique et à la malnutrition sous toutes ses formes : la surnutrition, la sous-nutrition et les carences en micronutriments, ajoute Marta Messa, directrice de Slow Food Europe. Si l’on regarde les tendances sous-jacentes qui définissent les habitudes alimentaires du monde entier et provoquent les maladies d’origine alimentaire et la malnutrition,

malnutrition, l’approche One Health peut permettre de comprendre comment le mode de production de notre alimentation a un impact direct sur la santé des hommes, des animaux, des plantes et de la planète.

La note de position de Slow Food sur l’alimentation et la santé étudie l’état actuel de nos systèmes alimentaires mondiaux et les actions de Slow Food pour promouvoir un régime alimentaire sain. Elle présente également les recherches menées par Slow Food pour analyser la valeur nutritive des produits Slow Food et pour décrire les principales initiatives de Slow Food, telles que les jardins potagers et marchés locaux, qui soutiennent les communautés locales et garantissent un régime sain et durable en protégeant la biodiversité.  Elle décrit les processus qui dirigent actuellement nos systèmes alimentaires et la nécessité d’améliorer les décisions politiques prises dans le domaine de l’alimentation et la santé, avant de conclure avec les recommandations de Slow Food destinées aux décideurs politiques européens. 

Le système actuel est largement dominé par des multinationales qui produisent, fabriquent, distribuent et vendent des produits alimentaires, et façonnent les choix alimentaires auxquels sont confrontés les consommateurs en décidant de la disponibilité verticale des produits et de leurs prix. La qualité des aliments fournis est ainsi pauvre en nutriments : riches en gras, sel et sucre et carencée en nutriments importants tels que minéraux et vitamines. En outre, l’abondance excessive de ces aliments pose des problèmes de sécurité alimentaire, car de nombreuses personnes et communautés n’ont plus accès à un régime alimentaire adéquat et adapté à leur culture. 

« Souvent oubliées, les plantes comestibles produites localement peuvent contribuer significativement à l’adoption d’un régime nutritif adapté et diversifié. Sur le plan nutritionnel, de nombreuses espèces végétales comestibles locales sont plus riches en vitamines, minéraux et macronutriments tels que lipides et protéines que les espèces produites sur le territoire national de manière conventionnelle, explique Serena Milano, secrétaire générale de la Fondation Slow Food pour la biodiversité. Par ailleurs les plantes comestibles indigènes nécessitent moins de ressources (produits chimiques, eau, engrais), sont naturellement mieux adaptées à leur environnement et sont plus résistantes aux maladies et aux nuisibles. Défendre les plantes comestibles locales est une stratégie qui permet d'augmenter la diversité alimentaire au sein des populations urbaines et rurales tout au long de l’année et de réduire la faim et le risque de malnutrition en période de pénurie alimentaire et de famine. Il s’agit d’une stratégie durable, économique et qui a fait ses preuves. »

L’autre facteur qui impacte notre santé est la crise climatique. Elle touche tous les systèmes environnementaux et affecte donc la santé des êtres humains. De plus, des phénomènes tels que la hausse des températures, la modification des précipitations, et d'autres plus extrêmes comme les canicules, les inondations et les sécheresses fragilisent la sécurité alimentaire mondiale en affectant fortement la productivité agricole.

Notre alimentation est un des facteurs clés du changement climatique : la production de viande représente à elle seule environ un cinquième des émissions mondiales de gaz à effet de serre, tandis que la surconsommation de viande rouge a des effets négatifs sur la santé. Le changement climatique peut également nuire aux qualités nutritives des aliments : l’appauvrissement nutritionnel dû à la hausse des concentrations de CO2 peut affecter les concentrations de presque tous les micronutriments. Cette modification de la valeur nutritionnelle des aliments due au changement climatique s’ajoute aux conséquences de l’appauvrissement des sols.

C’est pourquoi, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, Slow Food réaffirme haut et fort son engagement à promouvoir une santé meilleure et des habitudes alimentaires saines et durables, dans lesquelles les aliments sont considérés comme vitaux, à la fois pour la santé des personnes qui les produisent et qui les consomment.  

Slow Food – Presse internationale
Paola Nano - p.nano@slowfood.it (+39) 329 8321285

Alessia Pautasso - a.pautasso@slowfood.it (+39) 342 8641029 

Slow Food est un réseau international de communautés locales fondé en 1989 pour contrer la disparition des traditions alimentaires locales et l’expansion de la culture fast-food. Depuis, Slow Food est devenu un mouvement mondial impliquant des millions de personnes issues de plus de 160 pays et œuvrant pour donner accès à chacun à une nourriture bonne, propre et juste.



If you would rather not receive future communications from Slow Food International, let us know by clicking here.
Slow Food International, Piazza XX Settember, 5 12042 Bra (CN), Bra, Cuneo 12042 Italy

mardi 7 octobre 2014

#Alerte #lancement du #site #Arthrocoach.com

Le lancement du site Arthrocoach.com,




Un service en ligne gratuit pour apprivoiser l’arthrose. Un nouveau site validé par des Experts, interactif, résolument conçu pour répondre à l’ensemble des attentes du patient arthrosique.


En France, l’arthrose affecte près de 10 millions de personnes, soit 17% de la population, dont 75 % de femmes. L’arthrose est une maladie chronique qui nécessite une prise en charge au long cours, médicamenteuse et non médicamenteuse. 80% des patients ont recours à Internet pour chercher des informations sur leur pathologie.



 Pourquoi un nouveau site sur l’arthrose ?

- Parce que les patients arthrosiques ont aussi besoin au long cours d’un accompagnement non médicamenteux qui les soutienne dans leur lutte au quotidien contre l’arthrose. En effet 50 % d’entre eux sont inobservants.

- Parce que l’hygiène de vie () fait partie intégrante d’une bonne gestion de l’arthrose, et qu’acquérir de bons réflexes au quotidien demande motivation et persévérance.

- Parce que les professionnels de santé manquent de temps pour délivrer et ajuster les conseils concrets de vie pratique bons réflexes .


mercredi 19 mars 2014

ACRYLAMIDE : Une information alarmiste peut cacher une information salutaire


Il est important d'informer sur les dangers potentiels de l’acrylamide, mais la tendance actuelle à ne  répercuter que certains éléments diffusés par des agences chargées de la santé et de l’alimentation, aboutit à un contresens en termes de santé publique.  

 

Connaitre la concentration en acrylamide est important mais insuffisant

Le comité mixte OMS-FAO (JEFCA) a identifié huit aliments responsables de 80% des apports en acrylamide (frites tranchées grossièrement, frites au four, croustilles de pommes de terre, céréales, pain grillé, biscuits, pain blanc et café). Mais, les expositions à l’acrylamide alimentaire varient de 0,3 µg/Kg/jour à 5 µg/Kg/jour, et, si les modifications biologiques sont corrélées à la quantité d’acrylamide ingérée, elles dépendent aussi en grande partie de variables individuelles.

 

C’est pourquoi il est plus pertinent de mesurer des témoins de l’exposition, à savoir les biomarqueurs dans les urines ou le sang : - dans les urines : en mesurant N-acetylcysteine-S-propionamide ou NACP, métabolite prédominant de l’acrylamide

             - dans le sang : en mesurant les adduits que forment l’acrylamide et le glycidamide avec l’hémoglobine, N-(2 carbamoylethyl) valine ou AAVal et le N-(2 carbamoyl-2-hydroxyethyl) valine ou GAVal. La concentration mesurée de ces adduits représente les 4 derniers mois d’exposition à l’acrylamide.

 

Définir les valeurs normales de ces biomarqueurs, comme c’est le cas pour la glycémie ou le cholestérol, est donc plus significatif en termes de santé que d’indiquer sur chaque paquet de produits agro-alimentaires son contenu en acrylamide ou précurseurs d’acrylamide. En effet, le consommateur aura des difficultés pour interpréter les valeurs indiquées sur ce qu’il achète et savoir effectivement quelle quantité il ne doit pas dépasser. En dehors d’éviter la surchauffe, il aura du mal à choisir le meilleur mode de préparation.

 

C'est pourquoi l'Académie nationale de Pharmacie recommande :

 

·         C'est aux industriels de définir les procédés de fabrication limitant la formation d’acrylamide ou de ses précurseurs.

 

·         Des études épidémiologiques fondées sur des interrogatoires téléphoniques ou sur la mortalité relevée dans les registres de mairie sont peu informatives sur le risque de décès par cancer ou maladie neurodégénérative lié à l’acrylamide. C'est aux organismes ayant vocation à faire de la recherche biomédicale de définir des programmes spécifiques ayant pour objectif de bien définir les conditions dans lesquelles l’acrylamide ou ses précurseurs sont un risque pour la santé.

 

·         La prévention par rapport aux risques de l’acrylamide ne se résume pas à supprimer les frites mais passe par une réelle définition des valeurs des biomarqueurs urinaires ou sanguins correspondant à un risque neurologique ou cancérigène afin de déterminer les personnes à risque.

 

Une frite ça va,  combien de frites pour avoir des dégâts ?

 

Rien ne sert de tenir un discours alarmiste, encore moins  de  mettre toute une population à un régime ne comportant aucun des 8 aliments majoritairement source d’acrylamide. Un seul conseil pour tous : la modération.

L'alimentation doit être personnalisée en fonction des facteurs de risque : diabète, hyperlipidémie, cancer, maladies cardiovasculaire et neurodégénérative.

mercredi 31 juillet 2013

Diabétiques traités par insuline : Une nouvelle application compte les glucides pour vous...


Gluci-Chek, l’application qui compte les glucides

 pour les personnes diabétiques traitées par insuline

 

(Désormais disponible sur Apple Store et Google Play)

 

 Parce que l’alimentation reste encore trop souvent une difficulté pour les personnes diabétiques, en particulier lorsqu’elles ne mangent pas chez elles, Roche Diabetes Care lance Gluci-Chek, une application smartphone qui permet d’évaluer les valeurs nutritionnelles des aliments, en particulier les glucides. Cette application est disponible sur Apple Store et Google Play.

 

Pour apporter une aide concrète, efficace et mobile aux patients traités par insuline, Roche Diabetes Care a développé une application smartphone qui leur permet, à tout moment, d’évaluer les valeurs nutritionnelles de leur repas (en identifiant la valeur glucidique rapidement et simplement) et d’enregistrer des événements qui peuvent influencer leur glycémie (stress, sport, fatigue…).

 

Elaborée en collaboration avec un groupe de patients diabétiques et avec des professionnels de santé, cette application gratuite s'adresse aux personnes traitées par insuline.

 

mardi 11 juin 2013

Compléments alimentaires


NUTRITING (www.nutriting.com) est un site de « nutrition intelligente » qui s'appuie sur 3 piliers :
- l'éducation : il reprend de façon très pédagogique et ludique les bases de la diététique dans le « NuLearning ».


- la supplémentation : le site comporte une boutique en ligne, le « NuShop » où sont vendus des compléments alimentaires innovants et de qualité pour couvrir les besoins nutritionnels.


- le plaisir : parce qu'il est tout à fait possible de concilier alimentation saine et plaisir gustatif !

jeudi 30 mai 2013

C'est à lire : Le meilleur des médicaments c'est vous ! du Dr Fréderic Saldmann



LE LIVRE

« En écrivant cet ouvrage, j’ai voulu vous donner l’ordonnance que je n’aurais jamais osé rédiger en consultation et vous confier la méthode pour être en meilleure santé, et guérir par vous-même !

Le cerveau et le corps humain disposent de pouvoirs puissants, qui ne sont pratiquement jamais utilisés. Il suffit de les activer … »

 

Dans cet ouvrage, Frédéric Saldmann va encore révolutionner notre rapport à la médecine en nous donnant accès à de nouvelles clés pour reprendre notre santé en mains et consolider tous les domaines qui la composent : alimentation, poids, allergies, sommeil, transit, sexualité, vieillissement…

 

L’AUTEUR

Cardiologue, nutritionniste, spécialiste de la médecine prédictive, internationalement reconnu, le docteur Frédéric Saldmann, auteur de plusieurs best-sellers, dont On s’en lave les mains et Le Grand ménage, propose dans ce nouveau livre une méthode révolutionnaire pour profiter pleinement de son capital santé : mieux utiliser notre propre corps.

mercredi 20 mars 2013

Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire


Présentation des résultats de l’étude Abena 2011-2012 et évolutions depuis 2004-2005

Les conditions de vie des personnes ayant recours à l’aide alimentaire peuvent avoir un impact sur leur santé, en particulier nutritionnelle. Ainsi, une première étude ABENA

réalisée en 2004-2005 avait montré la faible consommation par ces personnes de certains groupes alimentaires (en particulier les fruits et légumes et le poisson) et leur situation

défavorable au regard de nombreux marqueurs de leur état nutritionnel (obésité, hypertension, déficits vitaminiques et minéraux). Qu’en est-il aujourd’hui ? La deuxième édition de

l’étude ABENA donne un nouvel état des lieux de la situation nutritionnelle des bénéficiaires de l’aide alimentaire en France.

Françoise Weber Nathalie Sénécal Thanh Le Luong Sabine Fourcade

Directrice générale de l’InVS Directrice de l’ORS Île-de-France Directrice générale de l’Inpes Directrice générale de la cohésion sociale

Conférence de presse

Vendredi 22 mars 2013 à 09h15

Au CAPE Grand Palais,

Cours de la Reine, Perron Alexandre III, 75008 Paris

Métros : Champs-Elysées Clémenceau (L1 ou 13) ou Franklin D. Roosevelt (L1 ou 9)

Parking : Rond-Point des Champs Elysées (30 av des Champs-Elysées) ou Vinci (3 av. Matignon)

InVS – Katel Le Floc’h : 01 41 79 57 54 – k.lefloch@invs.sante.fr - Inpes – Vanessa Lemoine : 01 49 33 22 42 – vanessa.lemoine@inpes.sante.fr

ORS – Christine Canet : 01 77 49 77 46 – c.canet@ors-idf.org - DGCS – Chimène Mandrin : 01.40.56.82.03 – chimene.mandrin@social.gouv.fr

 

vendredi 14 décembre 2012

jeudi 6 décembre 2012

La Semaine Alimentation Santé, c'est la semaine prochaine dans toute la France !


Le Fonds français pour l’alimentation et la santé lance du 10 au 16 décembre 2012 la Semaine Alimentation Santé, une semaine de sensibilisation et d’information du grand public sur les liens entre l’alimentation et la santé. Avec cette semaine, le Fonds français pour l’alimentation et la santé souhaite accompagner la population, là où elle se trouve, et exemple à l’appui, sur le chemin qui conduit à restaurer l’alliance du plaisir et du manger sain qui sont et doivent demeurer les fondements du « bien manger » à la française.

 

Déployée au niveau national, la Semaine Alimentation Santé a pour spécificité de faciliter la mise en oeuvre, au niveau local, d’actions participatives pour aller à la rencontre de publics spécifiques (enfants, adolescents, étudiants, familles, seniors, personnes en situation de précarité), leur parler de l’alimentation et des bénéfices qu’ils peuvent retirer d’une alimentation saine. Par des actions enga­geantes, les participants pourront identifier des comportements alimentaires simples à mettre en oeuvre au quotidien leur permettant de concilier plaisir et santé.

 

Pour mettre en oeuvre cette semaine, le Fonds français pour l’alimentation et la santé a sélectionné 16 acteurs locaux de l’éducation alimentaire et les accompagne dans le déploiement de leur projet. Lors de la semaine, plus de 25 actions seront ainsi proposées en France métropolitaine et ultramarine. Selon les lieux, soit les actions sont ouvertes à tous, soit elles s’adressent à un public spécifique. Dans tous les cas, le public est attendu nombreux !

 

La Semaine Alimentation Santé est proposée par le Fonds français pour l’alimentation et la Santé, fonds de dotation créé et reconnu en 2011, et qui a pour mission de guider la population française vers un comportement alimentaire qui soit source de plaisir et favorable à la santé. Cette Semaine Alimentation et Santé est une de ses actions phares mises en oeuvre en 2012, avec l’appel à projets « recherche » portant sur quatre thématiques et doté à hauteur de 1,2 million d’euros, et l’organisation le 18 décembre d’un colloque intitulé « Comportement alimentaire : les leviers du changement ».

 

lundi 15 octobre 2012

Semaine Alimentation Santé


Le Fonds français pour l’alimentation et la santé lance du 10 au 16 décembre 2012 la Semaine Alimentation Santé, une semaine de sensibilisation et d’information du grand public sur les liens entre l’alimentation et la santé.

 

 Avec cette semaine, le Fonds français pour l’alimentation et la santé souhaite accompagner la population, là où elle se trouve, et exemple à l’appui, sur le chemin qui conduit à restaurer l’alliance du plaisir et du manger sain qui sont et doivent demeurer les fondements du « bien manger » à la française.

 

Déployée au niveau national, la Semaine Alimentation Santé a pour spécificité de faciliter la mise en oeuvre, au niveau local, d’actions participatives pour aller à la rencontre de publics spécifiques (enfants, adolescents, étudiants, familles, seniors, personnes en situation de précarité), leur parler de l’alimentation et des bénéfices qu’ils peuvent retirer d’une alimentation saine. Par des actions enga­geantes, les participants pourront identifier des comportements alimentaires simples à mettre en oeuvre au quotidien leur permettant de concilier plaisir et santé.

 

Pour mettre en oeuvre cette semaine, le Fonds français pour l’alimentation et la santé a sélectionné 16 acteurs locaux de l’éducation alimentaire et les accompagne dans le déploiement de leur projet. Lors de la semaine, plus de 25 actions seront ainsi proposées en France métropolitaine et ultramarine. Selon les lieux, soit les actions sont ouvertes à tous, soit elles s’adressent à un public spécifique. Dans tous les cas, le public est attendu nombreux !

 

La Semaine Alimentation Santé est proposée par le Fonds français pour l’alimentation et la Santé, fonds de dotation créé et reconnu en 2011, et qui a pour mission de guider la population française vers un comportement alimentaire qui soit source de plaisir et favorable à la santé. Cette Semaine Alimentation et Santé est une de ses actions phares mises en oeuvre en 2012, avec l’appel à projets « recherche » portant sur quatre thématiques et doté à hauteur de 1,2 million d’euros, et l’organisation le 18 décembre d’un colloque intitulé « Comportement alimentaire : les leviers du changement ».