« Notre projet d’entreprise relève d’un diagnostic de
vérité sur le besoin de transformation » - Christian Pasquetti, MGEFI
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Calipso, le
projet d’entreprise à l’horizon 2020 de la MGEFi, souhaite conjuguer les
valeurs mutualistes avec les exigences de services aux adhérents. Si 44 postes
vont être créés, 65 sont supprimés et 14 sont modifiés. Pour la première fois,
un PSE est au programme. Retour sur un projet de transformation qui dépasse le
champ d’une simple réorganisation, avec Christian Pasquetti, le nouveau
directeur général de la MGEFI, jusqu’alors en poste chez E&Y Advisory.
Comment s’est imposée l’intégration
d’un PSE dans le plan de stratégique Calipso qui engage une profonde
transformation jusqu’en 2020 ?
Mieux vaut prendre les décisions difficiles dès le départ. Si une grande entreprise peut miser sur des départs volontaires pour accompagner une réorganisation, cela n’est pas possible pour une entreprise comme la nôtre qui emploie 229 salariés. Compte tenu des changements à opérer dans l’ensemble de l’organisation, cela n’aurait pas été contrôlable car il nous fallait cibler les postes à supprimer et le facteur temps était essentiel. Le PSE apporte une sécurisation en la matière. L’accord collectif majoritaire a été signé par tous les syndicats après une négociation qui se sera déroulée du 2 juin au 2 août. Il a été validé par la DIRECCTE le 11 août. En amont, le premier trimestre 2016 a permis de s’entendre sur un diagnostic entre l’encadrement et les élus de la mutuelle. Ce diagnostic a rapidement été partagé avec les représentants du personnel. S’il y a bien un PSE, je tiens à préciser que nous créons plus d’emplois de droit privé que nous n’en supprimons car nous transformons la mutuelle.
Mieux vaut prendre les décisions difficiles dès le départ. Si une grande entreprise peut miser sur des départs volontaires pour accompagner une réorganisation, cela n’est pas possible pour une entreprise comme la nôtre qui emploie 229 salariés. Compte tenu des changements à opérer dans l’ensemble de l’organisation, cela n’aurait pas été contrôlable car il nous fallait cibler les postes à supprimer et le facteur temps était essentiel. Le PSE apporte une sécurisation en la matière. L’accord collectif majoritaire a été signé par tous les syndicats après une négociation qui se sera déroulée du 2 juin au 2 août. Il a été validé par la DIRECCTE le 11 août. En amont, le premier trimestre 2016 a permis de s’entendre sur un diagnostic entre l’encadrement et les élus de la mutuelle. Ce diagnostic a rapidement été partagé avec les représentants du personnel. S’il y a bien un PSE, je tiens à préciser que nous créons plus d’emplois de droit privé que nous n’en supprimons car nous transformons la mutuelle.
Ce début d'article est publié avec l'aimable autorisation de la rédaction de Miroir social.
Les abonnés pourront retrouver la suite de l'interview de Christian Pasquetti ici : http://www.miroirsocial.com/interview/13753/notre-projet-d-entreprise-releve-d-un-diagnostic-de-verite-sur-le-besoin-de-transformation-christian-pasquetti-mgefi …
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Nota : les
journalistes qui souhaitent rencontrer Christian Pasquetti en amont de la
réunion d'information sont invités à contacter : Nora Ansell-Salles 06
70 74 15 42 / nansellsalles@mgefi.fr