
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
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jeudi 23 janvier 2025
🤔Êtes-vous prêt à voir les cotisations de votre mutuelle augmenter ?
Une taxation supplémentaire des complémentaires serait «surréaliste», selon la Mutualité Française https://www.lefigaro.fr/social/une-taxation-supplementaire-des-complementaires-serait-surrealiste-selon-la-mutualite-francaise-20250122
mardi 1 mars 2016
Mobilisation des agents publics : je me demande pourquoi...
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Je me demande pourquoi...
|
Je viens de lire dans le magazine de la MGEFI, un article titré "Agents publics, notre protection sociale est-elle menacée ?". La mutuelle semble monter au créneau avec les syndicats.
Cette question, qui semble d'actualité revient un peu partout, y compris sur les réseaux sociaux : #24H24Semaines fait allusion à cette campagne de mobilisation d'information de la Mutualité Fonction Publique soutenue par pas moins de 8 organisations syndicales.
Si l'on en croit les propos évoqués la protection sociale des agents publics serait menacée...
Une démarche intéressante pour autant dès lors qu'il s'agit de sauvegarder nos droits.
Je me demande s'il est possible d'avoir des précisions sur les menaces qui pèseraient sur notre protection sociale?
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La réponse du blog Mine d'Infos |
La protection sociale des agents publics est en effet menacée au regard de celle des salariés du privé. Ainsi depuis le 1er janvier tous les salariés bénéficient d'une couverture santé avec au minimum 50 % d'aide de l'employeur dans la cotisation. Comme cette disposition est obligatoire, les remboursements peuvent être plus élevés car tous les salariés sont obligés d' y adhérer.
Alors que pour les agents publics, l’État verse une subvention qui ne représente que 3 % par agent.
De plus, quand un salarié est en arrêt de maladie : la Sécurité sociale lui verse 50 % d'indemnités journalières et au-delà, l'employeur complète y compris pour les 3 jours de délai de carence. Certaines sociétés prennent même à leur charge la invalidité et décès des conjoints de leurs salariés à hauteur de 75 %. C'est sans doute pour cela que le 4ème jour de délai de carence a été abandonné... Lorsqu'un agent de l’État est en arrêt de maladie il ne perçoit qu'un demi-traitement, s'il n'a pas souscrit de couverture complémentaire, car la Sécurité sociale ne lui verse pas d'indemnités journalières et l'État ne complète pas.
Pour tout complément d'information sur la campagne de la Mutualité Fonction Publique rendez-vous sur : MFP.FR/MOBILISATIONFONCTIONPUBLIQUE! Ou sur Mgefi.fr
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Vous souhaitez apporter une précision, sur le sujet traité, ou poser une question d'autre général |
Postez un commentaire. Pour toute question sur un cas personnel rapprochez-vous de votre conseiller mutualiste.
mardi 30 juillet 2013
Chiffres assurance vie - Collecte nette négative en juin 2013
Association Française de l'Assurance
Marché de l'assurance-vie (estimations)
------------------------------------------------------------
Collecte nette négative en juin 2013
Le montant des cotisations collectées par les sociétés d'assurances au cours des six premiers mois de 2013 est de 62,2 milliards d'euros (57,9 milliards sur les six premiers mois de 2012).
Les prestations versées par les sociétés d'assurances au cours des six premiers mois de 2013 s'élèvent à 54,5 milliards d’euros (64,2 milliards au cours des six premiers mois de 2012).
La collecte nette s'établit à 7,7 milliards d'euros depuis le début de l'année.
Pour le mois de juin, l’assurance-vie enregistre une collecte nette négative de 300 millions d'euros.
L’encours des contrats d’assurance vie (provisions mathématiques + provisions pour participation aux bénéfices) s’élève à 1422,8 milliards d’euros soit une progression de 4% sur un an.
Marché de l'assurance-vie (estimations)
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Collecte nette négative en juin 2013
Le montant des cotisations collectées par les sociétés d'assurances au cours des six premiers mois de 2013 est de 62,2 milliards d'euros (57,9 milliards sur les six premiers mois de 2012).
Les prestations versées par les sociétés d'assurances au cours des six premiers mois de 2013 s'élèvent à 54,5 milliards d’euros (64,2 milliards au cours des six premiers mois de 2012).
La collecte nette s'établit à 7,7 milliards d'euros depuis le début de l'année.
Pour le mois de juin, l’assurance-vie enregistre une collecte nette négative de 300 millions d'euros.
L’encours des contrats d’assurance vie (provisions mathématiques + provisions pour participation aux bénéfices) s’élève à 1422,8 milliards d’euros soit une progression de 4% sur un an.
mercredi 17 juillet 2013
Accès aux soins des étudiants : la LMDE dénonce la hausse de la cotisation Sécu des étudiants pour l'année universitaire 2013-2014
Lors d’une réunion au Ministère des Affaires
Sociales et de la Santé le 28 juin dernier, les organisations étudiantes représentatives
ont été informées de l’augmentation de la cotisation étudiante à la sécurité
sociale à 211 € pour l’année universitaire 2013-2014, contre 207 € aujourd’hui.
Alors que les étudiants sont dans une situation sociale de plus en plus précaire,
cette nouvelle augmentation entre en totale contradiction avec la volonté
affichée du gouvernement d’agir pour les jeunes.
Une augmentation qui va accroitre la précarité
sociale des étudiants
La LMDE s’inquiète des conséquences de cette augmentation sur la
situation sanitaire et sociale des étudiants. Depuis plusieurs années, le
pouvoir d’achat des étudiants a sévèrement diminué, les dépenses
obligatoires augmentant plus vite que les aides sociales, et la crise les
rendant de plus en plus précaires. La hausse de la cotisation à la sécurité
sociale étudiante vient, à chaque rentrée universitaire, peser un peu plus sur
leur budget.
En septembre dernier, la principale
organisation étudiante, l’UNEF, chiffrait à 3,7% l’augmentation du coût de la
vie pour les étudiants à la rentrée. Face à cette situation et afin que
les étudiants effectuent leur rentrée universitaire dans de bonnes conditions,
l’annonce récente de la hausse du nombre et du montant des bourses sur critères
sociaux ne saurait être annihilée par une hausse des dépenses obligatoires des étudiants.
Une cotisation sécu qui n’a plus rien de
symbolique
Le Régime étudiant de Sécurité sociale a été créé
en 1948 pour répondre aux comportements et besoins spécifiques des étudiants en
matière de santé. Le financement de ce régime, fixé par la loi du 23 septembre
1948, repose sur la solidarité du régime général des salariés, avec une
contribution des étudiants par le biais d’une cotisation « symbolique ».
Alors que plus de la moitié des étudiants
vit avec moins de 400€ par mois selon la 3ème enquête nationale
sur la santé des étudiants de la LMDE, porter cette cotisation à 211€ n’a plus
rien de symbolique !
A quelques jours du début des inscriptions dans
l’enseignement supérieur, la LMDE demande au gouvernement d’envoyer un
signal fort aux étudiants en gelant durablement le montant de la cotisation au
Régime étudiant de Sécurité sociale.
L’accès à une protection sociale de qualité en
danger !
Depuis plus de 10 ans, la cotisation Sécu des étudiants
n’a cessé d’augmenter tandis que la prise en charge des assurés sociaux n’a
cessé de diminuer. Alors que la sécurité sociale ne rembourse plus qu’1 euro
sur 2 des dépenses de santé courantes, comment le gouvernement peut-il demander
aux étudiants de cotiser davantage ? La LMDE réaffirme son attachement à un
haut niveau de protection sociale solidaire qui doit passer par une hausse de
la prise en charge des remboursements de la Sécu. C’est une condition
indispensable pour enrayer le renoncement aux soins des étudiants (34%).
Face au désengagement de l’Etat, une complémentaire
santé est plus que jamais indispensable pour se soigner, mais les étudiants ont
toujours moins de moyens à y consacrer ! 19% d’entre eux en sont privés. Malgré
une généralisation de la complémentaire santé promise par François Hollande,
seuls les salariés seront pris en charge par les dispositifs prévus dans l’ANI.
La LMDE appelle donc le gouvernement à prendre enfin des mesures
ambitieuses pour assurer le droit à la santé des étudiants, comme la mise en
place d’un Chèque santé national pour aider les étudiants à souscrire une
complémentaire santé.
Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est
dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus
de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle
intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de
solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir
suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien
pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.
La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431
791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.
lundi 19 novembre 2012
Accès aux soins, solidarité et Mutualité
A l’origine
La
Mutualité est une spécificité française, quasi unique au monde. C’est une noble
initiative, précurseur historique de notre sécurité sociale, facteur essentiel
de cohésion sociale. Ses principes fondateurs - aujourd’hui dévoyés - sont :
- la gouvernance par les adhérents
sur la base «un homme, une voix,»
- une cotisation identique pour
tous assortie de prestations identiques pour chaque adhérent.
La Sécurité Sociale
(issue des travaux du CNR de 1945) existe au travers de son principe fondateur
qui exige des cotisations obligatoires proportionnelles aux revenus et des
prestations identiques pour tous sur tout le territoire. Ce principe est constitutif
de la société française et constitue un des droits essentiels de la population.
Nous touchons là au fondement même de notre démocratie.
La Mutualité est devenue
au fil du temps, le complément naturel, indispensable et idéal du régime
obligatoire, qu’il s’agisse de compléter les remboursements de la sécurité
sociale, ou de développer le champ extraordinaire de la prévention aujourd’hui
en friche, qui a besoin de pionniers pour se structurer et contribuer à
améliorer la santé de la population.
De nombreux dirigeants
mutualistes (à l’ancienne…), respectueux de la démocratie interne, économes de
l’argent des cotisants, pionniers des interventions dans la prévention méritent
le respect de tous. Ils sont toutefois peu à peu remplacés par des entrepreneurs-gestionnaires
qui appellent ouvertement au regroupement des mutuelles en entités financières,
inscrits au code de l’assurance ou au code de la mutualité selon leurs intérêts.
Et aujourd’hui ?
On a récemment entendu la déclaration
péremptoire d’un responsable de la Mutualité: «C’est
nous qui payons les vitrines », allusion pleine de subtilité aux opticiens,
pharmaciens, biologistes, audioprothésistes, etc. Il ne peut pourtant lui avoir
échappé que tous payent leur outil de travail avec leur activité professionnelle
quotidienne et des relations commerciales transparentes.
On peut remettre en cause cet état
de fait et ouvrir un débat légitime. Avant de se lancer dans cette bataille, il
est sans doute préférable d’avoir veillé à avoir balayé devant sa porte. Car la
question se pose du côté des Mutuelles également: qui paye les vitrines des
Mutuelles? Qui assume les coûts de gestion pharaoniques des mutuelles? Qui les
décide? Qui paie les coûts d’acquisition des contrats?
Le principe fondateur mutualiste
«un adhérent, une voix» pourrait laisser penser que les plus de trente millions
d’adhérents revendiqués ont voté les investissements décidés et autres dépenses
de prestige. Ah vraiment?
Bien sûr que non et pourtant.
Chaque cotisant (sans le savoir) paie. La transparence en prend un coup car c’est
le SEUL secteur dans notre pays où celui qui paie, le cotisant, n’a pas le
droit de savoir où va son argent.
Les hauts dirigeants mutualistes
ont pour leur part obtenu dès les premiers pas du nouveau gouvernement le
report sine die de la transparence sur les coûts de gestion des
mutuelles.
Ce report a été justifié au nom
de la transparence. Belle ironie de l’histoire.
Quoi qu’il en soit, le récent
rapport de l’OCDE sur les coûts de gestion des assurances santé en Europe
explique sans doute cette soudaine timidité des mutuelles françaises à présenter
leurs comptes à leurs cotisants.
L’assurance santé est un des
rares secteurs où les coûts de gestion ne sont pas réglementés. Certaines
mutuelles arrivent à 18 et même plus de 20% de frais de gestion. A titre de
comparaison, la moyenne des frais de gestion des régimes obligatoires et complémentaires
en France se situe à 7% (contre 3% pour le groupe des pays OCDE aux
prestations comparables).
Les députés et sénateurs, toujours
prompts à dérembourser les malades ou à se saisir des plus petites recettes
fiscales, peuvent-ils raisonnablement continuer à se désintéresser des coûts
de gestion des complémentaires santé? Ont-ils vraiment conscience que le surcoût
des frais de gestion des complémentaires santé représente au total plus que le
déficit de l’Assurance Maladie?
Et les coûts d’acquisition?
Les mutuelles santé sont d’abord
et avant tout des entreprises privées qui se livrent à une concurrence effrénée
pour attirer de nouveaux clients à grands coups de publicité et de remise des
premiers mois de cotisations.
Une fois encore, ces «coûts d’acquisition»
sont payés par les cotisants sans qu’ils l’aient jamais décidé ni même sans le
savoir lors la signature du contrat d’adhésion.
Pour faire bonne mesure, la
Mutualité entretient des centres de santé et d’optique
notamment. Dans la mesure où ils ne paient pas d’impôts, ils représentent une
concurrence pour le moins déloyale pour le voisin privé qui déplore des charges
25% plus importantes ne serait-ce que par le fait qu’il paie, lui, ses impôts.
Les impôts ne sont pas la seule source d’inégalité puisque les centres de santé
mutualistes en cessation de paiement se sont généreusement vu octroyer 3,5
millions d’euros par le Président de la République à l’occasion de son passage à
Nice.
Ajoutons, pour faire bonne
mesure, l’extrême discrétion des hauts dirigeants mutualistes, toujours prompts
à dénoncer les rémunérations des médecins, sur leurs propres rémunérations et
train de vie. Là aussi l’opacité fait loi.
Contre la PPL 296
Dans ce contexte, l’adoption à
marche forcée de la Proposition de loi n°296 inscrite en moins de temps qu’il
ne faut pour le dire à l’ordre du jour des deux assemblées (quand de très
nombreux textes attendent depuis des années qu’on leur trouve une place à l’agenda),
constitue une entorse à la démocratie.
Pour signer la pétition contre la PPL 296 : www.soinscoordonnes.eu/petition/php
Ce texte est également paru sur
le blog www.martialolivierkoehret.net
C’est évidemment sans noter le conflit
d’intérêt manifeste que représente la défense de ce texte par une députée
anciennement employée de la Mutualité et d’autres députés qui lui sont liés de
près ou de loin.
Cette Proposition de loi bouleverse
les équilibres de notre société toute entière. Elle vient transformer en
quelques lignes notre système de santé sans aucun débat public et annihile les
droits fondamentaux de la population.
Confier le champ ambulatoire de
la santé au conventionnement individuel par une Proposition de loi, qui plus
est, adoptée en catimini, à des groupes financiers aux coûts de gestion
opaques et disproportionnés qui ne paient pas d’impôts et qui se
livrent à une guerre commerciale de centaines de millions d’euros pour
trouver des clients, est une hérésie.
Nous ne baisserons pas les bras
et appelons à la mobilisation de tous les citoyens.
Nous appelons aussi à rouvrir
le débat sur notre système de santé qui ne répond plus aux besoins des malades.
Nous y défendrons pour notre part l’accès aux soins de proximité pour tous et
sur tout le territoire, l’indépendance professionnelle, le respect du principe
d’égalité devant l’impôt et la participation active des patients et leurs représentants.
Ce débat s’impose. Il devra faire l’effort d’inviter
la totalité des intervenants et défenseurs d’idées et de principes pour ne pas
se contenter d’entendre les éternels briscards avec lesquels on a l’habitude de
parler. Cela nous promet de riches et passionnantes heures d’échanges qui ne
pourront manquer d’aboutir à la sécurisation et la refonte de notre pacte
social, sanitaire et républicain.
lundi 12 novembre 2012
La MGEFI à l’écoute de ses adhérents MGEFI cette info vous concerne
Une enquête téléphonique a été menée du 15 au 29 octobre 2012 auprès de
plus 1350 adhérents (*) qui constituent l'échantillon représentatif en termes
de répartition géographique, d'âge, de sexe et de situation professionnelle.
Le questionnaire élaboré avec l'ensemble des
directions, reprend le parcours adhérent
au sein de la mutuelle depuis son adhésion jusqu'aux modalités de remboursement
en passant par la cotisation et la communication.
(*) Pour réaliser ces 1 350 questionnaires, 4 285
adhérents ont eu un contact avec un enquêteur
Une première synthèse des résultats est prévue fin
novembre.
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