Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 26 septembre 2012

LES BIENFAITS DU REGIME CRETOIS



Les bienfaits du régime crétois pour le bien-être et la santé

 

Le régime crétois est un modèle basé sur l’alimentation méditerranéenne traditionnelle. Préconisé par les scientifiques et les médecins pour ses bienfaits sur la santé, il est inscrit par l’UNESCO sur la liste du Patrimoine culturel immatériel de l’Humanité.

 

Le régime crétois permet un apport élevé en nutriments protecteurs au travers d’une alimentation riche en fruits, légumes, céréales et poissons (1). Compte-tenu de notre mode de vie actuel, notre alimentation n’est pas toujours en cohérence avec ces pratiques traditionnelles. C’est pourquoi les Laboratoires Pierre Fabre ont développé la formule Kretoa.

 

 

Le régime alimentaire crétois

 

Sur la base des observations réalisées depuis plus de cinquante ans, les nutritionnistes s’appuient sur des critères particulièrement précis. L’apport calorique est varié et équilibré ; les aliments et les nombreuses préparations évoluent selon les saisons ; le rythme de trois repas est respecté- le petit-déjeuner (des fruits ou même des légumes, du pain et du yaourt ou du fromage frais), le déjeuner autour d’un plat central et le dîner, souvent constitué d’une soupe.

 

Le modèle alimentaire crétois comporte :

 

Des légumes tous les jours (tomate, olive, oignon, ail, aubergine, pourpier, concombre, courgette, poivron, artichaut, fève, haricot …)

 

Des céréales complètes (blé dur, millet, orge …) en pain et galettes - chaque jour beaucoup d’aromates (aneth, basilic, thym, sarriette, origan, menthe…)

 

De l’huile d’olive

 

Du poisson plusieurs fois par semaine rarement de la viande (agneau, chevreau)

 

Des fromages et des yaourts de chèvre et de brebis

 

Des fruits frais ou secs (abricot, fi gue, citron, orange, pastèque, noix, amande…)

 

Du miel très rarement des préparations sucrées

 

Du vin coupé avec de l’eau, bu à table.

 

Ces caractéristiques sont souvent représentées sous la forme d’une pyramide alimentaire*. Le choix des aliments se fait du bas vers le haut : à la base figurent les aliments à privilégier au quotidien ; au sommet, les aliments à consommer occasionnellement.

 

Sur la base des observations réalisées depuis plus de cinquante ans, les nutritionnistes s’appuient sur des critères particulièrement précis.

 

L’apport calorique est varié et équilibré ; les aliments et les nombreuses préparations évoluent selon les saisons ; le rythme de trois repas est respecté- le petit-déjeuner (des fruits ou même des légumes, du pain et du yaourt ou du fromage frais), le déjeuner autour d’un plat central et le dîner, souvent constitué d’une soupe.

 

Le modèle alimentaire crétois comporte :

 

des légumes tous les jours (tomate, olive, oignon, ail, aubergine, pourpier, concombre, courgette, poivron, artichaut, fève, haricot …) des céréales complètes (blé dur, millet, orge …) en pain et galettes - chaque jour beaucoup d’aromates (aneth, basilic, thym, sarriette, origan, menthe…) de l’huile d’olive du poisson plusieurs fois par semaine rarement de la viande (agneau, chevreau)des fromages et des yaourts de chèvre et de brebis des fruits frais ou secs (abricot, fi gue, citron, orange, pastèque, noix, amande…) du miel très rarement des préparations sucrées du vin coupé avec de l’eau, bu à table.

 

Ces caractéristiques sont souvent représentées sous la forme d’une pyramide alimentaire*. Dans le schéma ci-dessous, le choix des aliments se fait du bas vers le haut : à la base figurent les aliments à privilégier au quotidien ; au sommet, les aliments à consommer occasionnellement.

 

La Crête en modèle, pourquoi ?

 

Le régime alimentaire crétois

 

• Viande et sucreries : le moins possible

• Volaille, œufs : tous les 2 jours, ou moins

• Vin : 1 verre par jour ou moins, bu à table

• Fromage et yaourt : 1 fois par jour, en portions modérées

• Poissons et fruits de mer :

2 fois par semaine, ou plus

• Fruits et légumes, céréales complètes, légumineuses et graines, herbes et épices, huile végétale (olive, colza…) : à chaque repas

• Eau (du robinet) à volonté

 

Rencontre avec le chef Alain Passard

 

Comment vous est venue votre passion des légumes ?

 

L’Arpège autrefois était une rôtisserie, on y venait pour sa cuisine animale. Cela pendant une  quinzaine d’années…

 

Puis une porte s’est fermée : il n’y avait plus d’inspiration, plus de créativité. Et un jour, une autre porte s’est ouverte : celle du légume, que je ne connaissais pas.

 

Je me suis rendu compte qu’il y avait plein de choses à créer. J’ai répondu à l’invitation qui m’était faite, avec énormément d’enthousiasme. Et j’ai retrouvé la joie de cuisiner.

 

 

Comment se traduit cette mutation dans votre art de cuisiner ?

 

Je mets tout mon savoir-faire au service de cette cuisine ”légumière”, que j’associe aux produits de la mer. Le légume dégage des émotions très différentes, la sensibilité du tissu végétal est tout autre. Mais la cuisson est aussi précise.

 

Aujourd’hui nous parvenons à rôtir, cuire à la broche, griller, flamber, fumer des légumes ! On entre dans des conjugaisons insolites, on marie le cacao et la betterave, c’est fantastique !

 

L’éventail des saveurs offre une très grande diversité. C’est surtout une cuisine de saison, rythmée par ce que nous propose notre jardin.

 

 

Car vous possédez vos propres potagers, l’un dans la Sarthe, l’autre dans l’Eure, ainsi qu’un verger dans la Manche.

 

Leur présence répond à l’envie d’avoir des légumes ”propres”. Ce sont de vieux potagers remis en activité.

 

Nos jeunes jardiniers sont des passionnés comme nous. Ils travaillent à l’ancienne, au cheval et à la charrue. Nous avons sept hectares en tout. C’est une terre saine autour de laquelle toute une vie animale s’est redéveloppée.

 

Nous produisons quarante tonnes par an, dont trente pour L’Arpège. Nous sommes totalement autonomes, tant pour les légumes que pour les fruits et les aromates.

 

 

Comment choisissez-vous les variétés ?

 

L’essentiel est de faire naître des produits qui ont énormément de saveur. Je veux définir le légume comme un grand cru. Je veux qu’on parle de la carotte, du poireau, comme on parle du chardonnay ou du sauvignon.

 

Nous cherchons à donner aux légumes un vrai confort par rapport à notre climat et à notre terroir. Dans la Sarthe, notre jardin est très sableux ; on fait de la carotte et du poireau.

 

Dans l’Eure, c’est une terre noire et argileuse, où la betterave et le chou se portent mieux. Et dans la Manche, nous cultivons un verger. Nous faisons des essais, par exemple sur le petit pois : on sème dix sortes de graines, puis chaque variété est goûtée, dégustée, pour élire la variété la plus expressive.

 

 

Votre cuisine reste donc résolument végétale ?

 

Actuellement le consommateur est dans une dynamique de qualité et de ”cuisine santé”. Le légume a pris une place importante parce qu’il est digeste et savoureux.

 

Pour moi, c’est surtout le produit le plus créatif. La diversité est immense, et on joue sur quatre saisons. Pourtant le registre de la cuisine légumière est encore très pauvre.

 

Tout reste à faire ! En cuisine, je sens l’ivresse nous envahir. Le produit réclame d’être associé à l’herbe, à l’aromate, à l’épice, à la fleur… C’est très vibrant. Aujourd’hui je vis ma deuxième vie de cuisinier.

 

 

Kretoa® est le premier complément alimentaire qui associe les éléments essentiels du régime crétois à savoir des Oméga 3 et des Antioxydants.

 

Kretoa® est particulièrement conseillé à partir de 40 - 45 ans en complément d’une alimentation variée et équilibrée et d’une hygiène de vie adaptée (en particulier une activité physique régulière), pour préserver son  capital santé.