Nora ANSELL-SALLES

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mardi 5 août 2014

Sondage sur les ronflements....


Mauvaise passe ou  enjeu de santé publique

Comment est perçu le ronflement par la population française ?

Selon une étude online réalisée par Oniris, entre le 25 juin et le 16 juillet 2014, les Français sont globalement conscients de l’importance du phénomène du ronflement dans notre vie quotidienne. Si chacun d’entre nous y est plus ou moins régulièrement confronté, quelles sont les pistes préconisées pour lutter contre ce fléau ?

Découvrir l'étude :  http://fr.calameo.com/read/003152624e42c2eb7f814

mercredi 29 janvier 2014

ONDES ELECTROMAGNETIQUES : COMMUNICATION ACADEMIE DE MEDECINE


ACADEMIE NATIONALE DE MEDECINE

Communiqué de presse / 28 janvier 2014

EXPOSITION AUX ONDES ELECTROMAGNETIQUES

La santé publique ne doit pas être un enjeu politique

La proposition de loi relative à « la sobriété, à la transparence et à la concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques » remet encore une fois en cause les données scientifiques sur la dangerosité des ondes et, sous prétexte de précaution et de « modération », risque d'entretenir chez nos concitoyens une inquiétude sans fondement avéré. Une telle loi n'apporterait aucun bénéfice sanitaire, mais aurait au contraire, par son effet anxiogène, des effets indésirables préjudiciables à la santé publique en accréditant l’idée, réfutée par des dizaines d’expertises collectives, que les ondes radiofréquences des wifi ou antennes de téléphonie mobile seraient dangereuses, notamment pour les enfants.

L'Académie nationale de médecine tient à rappeler que :

·         aucun risque des radiofréquences n’est avéré en dessous des limites réglementaires et qu’il n’a pas été mis en évidence de mécanisme pouvant entraîner l’apparition d’une maladie : c'est la conclusion de l’ensemble des rapports d’expertises collectives internationaux, dont plus d’une trentaine depuis 2009, fondés sur des milliers d’études[1], expérimentales sur des cultures cellulaires, des animaux et des humains volontaires ainsi que sur des études épidémiologiques.

Les radiofréquences ont pour seul effet connu l’échauffement, par absorption d’une partie de la puissance émise. Si la puissance absorbée par unité de masse (DAS[2]) est négligeable, l’échauffement l’est également,  et l’absence de lésion ne peut pas conduire à leur accumulation. La réglementation limite la puissance autorisée avec une marge de sécurité importante et aucun « effet thermique » (échauffement) n’est susceptible d’apparaître au-dessous ces valeurs.

Les antennes relais émettent des radiofréquences qui conduisent à un très faible niveau d’exposition des personnes. Au niveau de la tête, la puissance absorbée est 10 000 à 100 000 fois moins élevée que celle engendrée par le téléphone portable lui-même pendant une conversation. C’est donc essentiellement l’usage du téléphone mobile (émetteur-récepteur) qui a été à l’origine des recherches sur les radiofréquences.

La recherche d’éventuels effets « non thermiques », qui surviendraient en l’absence d’échauffement significatif, a fait l’objet de centaines de publications. Les expériences conduites sont délicates et trois conditions sont nécessaires pour valider les résultats d’une étude : la maîtrise des conditions d’exposition aux radiofréquences, la maîtrise des effets biologiques recherchés, la réplication de l’expérience par une autre équipe avec obtention des mêmes résultats. Aucun effet biologique non thermique répondant à ces trois conditions n’a été observé. Aucun mécanisme par lequel les radiofréquences pourraient avoir un effet nocif en dessous des seuils réglementaires n’a été identifié.

·         En ce qui concerne l’électrohypersensibilité (EHS), aucun système sensoriel humain permettant de percevoir les champs émis par les antennes n’a été identifié. La quasi-totalité des études sur l’EHS a montré que les sujets concernés, bien que manifestant des troubles variés en présence de dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques, sont incapables de reconnaître si ces dispositifs émettent des ondes ou non. Le rapport 2009 de l’AFSSET concluait sur l’EHS : « aucune étude ne montre que l’électrohypersensibilité est due aux ondes électromagnétiques. Les études suggèrent un effet nocebo (inverse de l’effet placebo : troubles relatés résultant d’un mécanisme psychologique) et des facteurs neuropsychiques individuels ».

Toutefois, la somatisation en présence d’émetteurs de champs électromagnétiques peut se traduire par des troubles bien réels pouvant aller en s’aggravant jusqu’à constituer un handicap familial, professionnel et social sévère, nécessitant une prise en charge adaptée. On ne peut que déplorer que ces troubles soient utilisés à des fins contestables, notamment idéologiques ou lucratives, souvent au détriment des intéressés. Il faut ici rappeler les campagnes appelant à boycotter les centres de prise en charge et d’étude de l’EHS dans les hôpitaux publics ;

En Suède, une prise en charge adaptée est proposée dans les cas extrêmes, mais l’EHS n’est pas pour autant considérée comme résultant d’une perception réelle des ondes. Au contraire, dans une déclaration commune de 2009[3], effectuée avec les autorités sanitaires danoises, finlandaises, norvégiennes et islandaises, les autorités suédoises reprennent les conclusions de l’OMS, selon lesquelles il n’y a pas de fondement scientifique permettant de relier les symptômes de l’EHS à un champ électromagnétique.

·         Enfin, contrairement aux déclarations des directions de l'AFSSET en 2009 puis de l'ANSES en 2013, reprises en préambule de la proposition de loi, les rapports des experts réunis par ces organismes n'ont nulle part dans leur rapport recommandé « d’abaisser les expositions aux ondes électromagnétiques ». Les Académies des sciences, de médecine et des technologies n'ont pas manqué, en 2009 et en 2013[4], de dénoncer ce déni de l'expertise scientifique.

L'Académie nationale de médecine considère donc que, dans ce débat plus idéologique et politique que sanitaire, le vrai danger pour la santé publique consiste justement à accréditer des risques purement hypothétiques qu’aucune étude validée n’a confirmés.

C'est pourquoi, elle doit mettre en garde contre les effets indésirables de mesures restrictives régulièrement réclamées depuis des années, mais dont l'effet anxiogène risque de générer des inquiétudes susceptibles de provoquer des effets néfastes bien réels chez certaines personnes.

·         De telles mesures ne manqueraient pas d’être interprétées comme une confirmation de la dangerosité des radiofréquences, au risque de justifier sans raison la demande de mesures encore plus restrictives et contre-productives pour notre pays dans la compétition internationale à tous les niveaux, notamment sur le plan scolaire.

·         Loin d'aider les personnes électrohypersensibles, cette proposition de précaution ou de « modération » ne pourrait qu'aggraver leurs troubles. Il est en effet bien établi que ce ne sont pas les ondes elles-mêmes, mais l'information sur les ondes, que l'on retrouve à l’origine des symptômes attribués aux émetteurs (effet nocebo). On détourne ainsi les électrohypersensibles des circuits de prise en charge adaptés en favorisant leur isolement et leur détresse, et on laisse fleurir impunément le charlatanisme des dispositifs « anti-ondes » et certaines thérapies infondées. De plus, on provoque l’apparition de nouveaux cas[5] en entretenant contre toute justification sanitaire un débat artificiel et nuisible à la santé publique.

·         Ces mesures, enfin, peuvent générer une anxiété infondée chez les parents d’enfants exposés au wifi à l’école ou à la maison.

André Aurengo, ancien élève de l’Ecole Polytechnique, ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Docteur en médecine, Docteur es sciences physiques, chef du service de médecine nucléaire du Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière (Paris), professeur de Biophysique (Faculté de Médecine Pierre & Marie Curie), ancien président de la Société Française de Radioprotection, ancien membre bénévole du conseil scientifique de Bouygues Télécom, ancien administrateur d’EDF, président du Conseil médical d’EDF.



[1]  Environ 3000 publications scientifiques dans les gammes de fréquences de la téléphonie et du Wifi référencées dans la base de données emf-portal
[2]  « Débit d’Absorption Spécifique » exprimé en watt/kilogramme
[3]      Nordic Statement EMF 161109
[4]  Aurengo A. Réduire l’exposition aux ondes des antennes-relais n’est pas justifié scientifiquement. Bull. Acad. Natle Méd., 2009, 193, no 9, 2127-2130. http://www.academie-medecine.fr/publication100036100/

   Communiqué de presse, radiofréquence et santé. es utilisateurs de portable ont besoin de messages clairs

[5] Witthöft M & Rubin GJ, Are media warnings about the adverse health effects of modern life self-fulfilling? An experimental study on idiopathic environmental intolerance attributed to electromagnetic fields (IEI-EMF). J Psychosom Res 2013; 74 : 206

 

jeudi 20 juin 2013

AG MGEFI : Résolution générale adoptée le 19 juin 2013


RÉSOLUTION GÉNÉRALE



Réunis en Assemblée générale les 18 et 19 juin 2013 à Reims, les délégués de la MGEFI, dans un contexte où perdurent de graves inégalités sociales de santé, exigent de voir mis en œuvre les engagements des pouvoirs publics pour améliorer l’accès aux soins et préserver notre modèle de protection sociale solidaire.




Ils réitèrent leur ferme volonté de s’engager au sein du mouvement mutualiste pour faire aboutir les réformes devenues urgentes et porter avec détermination leurs exigences et propositions.


Droit à l’accès aux soins et à la protection de la santé.


Le droit à un égal accès aux soins et à la protection de la santé doit être une réalité pour tous.

En ce sens, les délégués confirment leur attachement au renforcement de l’assurance maladie obligatoire, à son caractère universel et solidaire. Ils attendent une profonde réforme de son financement ayant pour objectif une plus grande équité et pérennité.


Ils estiment que l’articulation d’une protection de base obligatoire et d’une protection complémentaire solidaire tout au long de la vie est plus que jamais indispensable, mais dans un cadre organisé et davantage régulé.


A cet égard, ils considèrent comme :


        - « inattendue » et largement incomplète la généralisation de la complémentaire santé  prévue par la loi relative à la sécurisation de l’emploi.

Pour eux, l’article 1 de ce texte soulève beaucoup d’interrogations et d’inquiétudes quant aux conséquences sur l’organisation de la protection sociale dès lors qu’il accroît les inégalités entre contrats collectifs et individuels complémentaires et les iniquités entre certaines catégories de la population ;


         - indispensable la rénovation des contrats solidaires et responsables accompagnée d’une fiscalité incitative ;


         - impératifs  la maîtrise des dépassements d’honoraires et le retour à une opposabilité des tarifs, dans le cadre notamment d’un parcours de santé organisé autour du patient ;


         - fondamentale la reconnaissance pour les mutuelles, en matière de conventionnement, de disposer des mêmes droits et conditions que ceux accordés aux autres acteurs de la complémentaire santé.


Pour faire reculer les inégalités, il est nécessaire d’agir sur les déterminants de santé et facteurs de risque qui se situent pour l’essentiel en dehors du système de soins : catégories sociales, dimension environnementale, santé au travail.


En cela, les délégués souhaitent voir s’intensifier une véritable politique de santé publique, tout comme ils attendent une véritable prise en charge de la perte d’autonomie intégrant des dimensions fortes de prévention, de coordination et d’accompagnement des personnes.


Défendre et promouvoir le modèle mutualiste : un enjeu social.


Dans un contexte où tout est fait pour aligner le modèle mutualiste sur celui des sociétés de capitaux, la Mutualité doit s’organiser et se mobiliser pour lutter contre une banalisation insidieuse.


Dès lors, les délégués :


-          considèrent comme une opportunité le travail autour de la loi sur l’économie sociale et solidaire pour faire reconnaître la spécificité mutualiste dans ce texte fondateur, comme ils attendent, au niveau communautaire, la définition d’un statut d’une mutuelle européenne ;


-          soutiennent  le projet stratégique de la FNMF tendant à définir une vision partagée de l’avenir en vue de contribuer à refonder et pérenniser le système de protection sociale, développer et structurer ses partenariats et adapter sa gouvernance ;


-          trouvent pertinent d’agir pour améliorer et mesurer le service social rendu afin de mieux valoriser la qualité de service aux adhérents et l’efficience de nos interventions.


Concernant l’environnement de la Mutualité fonction publique les délégués soulignent particulièrement la pertinence et l’importance :


- des travaux menés en commun avec les fédérations syndicales pour préparer le prochain référencement ;


- du projet de regroupement des gestionnaires mutualistes du régime obligatoire pour conforter leur rôle par la mise en place d’une organisation politique et fonctionnelle, garantissant équilibres économiques et efficacité du service.


Renforcer et pérenniser l’action de la MGEFI


Portée par l’ambition de demeurer la mutuelle référencée au sein de son environnement professionnel, la MGEFI se prépare et s’organise dans la perspective du prochain rendez-vous.


Dans ce cadre, les délégués se félicitent :


-          du haut niveau des taux de mutualisation et fidélisation, vecteurs de l’ancrage professionnel, appuyé par le maillage du réseau militant, véritable interface avec les adhérents, l’Administration et les partenaires ;


-          de la montée en charge des travaux menés au sein d’Istya, concernant la sécurisation financière, les mutualisations d’outils et de moyens, le contenu des offres par l’extension des dispositifs conventionnels comme Optistya ;


-          de la qualité des relations entretenues avec les organisations syndicales de nos ministères et avec l’employeur public ;


-          de l’amélioration constante du service à l’adhérent porté par le travail des équipes du siège et des conseillers mutualistes, qui devrait être reconnue par la certification « norme ISO » de la Mutuelle;


-          des travaux engagés en vue de réfléchir aux adaptations de l’offre et du système contributif pour, à la fois, renforcer les garanties et services proposés et satisfaire aux équilibres fondamentaux de la Mutuelle.



Dans un environnement complexe, où le mouvement mutualiste semble à la croisée des chemins, les délégués s’engagent plus que jamais à agir avec conviction et détermination pour défendre, promouvoir et faire vivre dans l’intérêt général le modèle mutualiste, porteur de valeurs de solidarité, de non lucrativité et de démocratie.

mardi 26 février 2013

FEDERATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CERVEAU



 




« Touchant  directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être « cause d’intérêt national ». Il relève plus que jamais de la vocation de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ».


Arnaud Brunel, Président de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemble 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau**.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau a pour vocation de :

Permettre au public de mieux comprendre le rôle du cerveau, son fonctionnement et ses maladies et informer des dernières avancées de la recherche en neurosciences.

Aider les chercheurs à mieux connaître le cerveau, son fonctionnement et ses maladies en contribuant financièrement à leurs travaux.

Militer pour la mise en place d’une vraie politique de santé centrée sur les maladies du cerveau.

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteur intellectuel et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…

parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau alerte l’opinion à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 sur le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ! ».

« Pour que les chercheurs travaillent et trouvent, il leur faut des moyens. C’est pour cela que la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau collecte tout au long de l’année et pendant la Semaine du cerveau sous le label « Neurodon ». Elle finance, en complément des associations membres, la recherche sur le cerveau. Celle-ci devrait être aujourd’hui la priorité pour préserver la santé de tous les citoyens ».

Professeur André Nieoullon, Président du conseil scientifique de

la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

*La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union Nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC (accidents vasculaires cérébraux) / Huntington France / La Fondation Motrice (paralysie cérébrale)).

**La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau se bat pour vaincre les maladies du cerveau. Toutes sans exception, de la plus répandue à la plus rare.

Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, l’épilepsie, la Sclérose en plaques, l’AVC, l’Atrophie multisystématisée, la dystonie, la Chorée de Huntington, les tumeurs cérébrales, la paralysie cérébrale, la Sclérose Latérale Amyotrophique) et les maladies psychiques et psychiatriques (anxiété, dépression, addictions, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs… et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives). Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.



Alerte de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La décennie à venir doit être celle du cerveau !

1/ Les maladies du cerveau sont en augmentation constante…

Plus d’1 Français sur 10

souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler

entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050*.

2/ Les maladies du cerveau sont des maladies violentes et dramatiques…

Le cerveau est l’organe clé de notre corps. Il nous permet de penser, de bouger, d’avoir des émotions…

Tout le reste de notre corps dépend de lui.

3/ Les maladies du cerveau sont un fléau social …

Bombes à retardement, les maladies du cerveau, sont pour la plupart des maladies chroniques, les patients doivent être soignés pendant 20 à 30 ans… leur coût est considérable pour la société.

Les
enjeux économiques sont à la mesure de la fréquence de ces maladies, du handicap associé et des dépenses hospitalières engendrées.


4/ La recherche sur les maladies du cerveau ne bénéficie pas

des fonds publics qu’elle mérite…

Les fonds publics alloués à la recherche sur le cancer sont deux fois plus importants que ceux attribués à la recherche sur les maladies du cerveau, alors que ces dernières coûtent à la société environ deux fois plus !**

5/ Comprendre les maladies du cerveau est un défi majeur.

Perte progressive et insidieuse de la conscience, perte de motricité, état de dépendance physique et morale, autonomie ébranlée…es maladies du cerveau sont des maladies pour lesquelles seule la recherche peut prévenir, freiner et enfin stopper l’évolution.

La recherche sur les maladies du cerveau est un enjeu à l’échelle mondiale pour le XXI
ème siècle. Les traitements qui, jusqu’à présent, n’étaient que symptomatiques et palliatifs devront être plus efficaces, préventifs et curatifs. Pour cela, il faut percer à jour le cerveau et son « code neural » !


Parce que la recherche sur le cerveau est la clé de notre futur, parce qu’il est impératif de s’organiser pour assurer un mieux-être aux patients et familles concernés.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau fait front commun et revendique la mise en place d’une vraie politique de santé sur les maladies du cerveau

Maladies du cerveau : donnez avant qu’elles ne vous rattrapent !

www.frc.asso.fr

Pour donner cliquer neurodon

lundi 19 novembre 2012

Fondation de l'Avenir : Collecte de fonds 2012 : un enjeu majeur pour les chercheurs que nous soutenons !


L’année 2012 risque de s’avérer difficile pour collecter les fonds nécessaires au financement de la recherche médicale appliquée. Aussi, la mobilisation des partenaires et des donateurs de la Fondation de l’Avenir est plus que jamais essentielle pour le progrès médical.

Alors que la Fondation de l’Avenir aborde la dernière phase de sa collecte de dons de l’année 2012, l’inquiétude est grande de ne pas collecter suffisamment de fonds pour soutenir efficacement la recherche médicale. En effet, un sondage, paru dans la presse récemment, révèle que plus de 50% des donateurs envisagent de se désengager d’ici la fin de l’année.

Certains projets, pourtant porteurs d’espoirs pour des milliers de malades, pourraient ne pas aboutir, faute de moyens.

Pour nous aider à soutenir la recherche médicale et le progrès de la médecine, vous pouvez faire un don à la Fondation :

1.     Par courrier, sans timbrer l’enveloppe en indiquant sur l’enveloppe :
Fondation de l’Avenir, Libre réponse AUTORISATION 41817
255, rue de Vaugirard, 75719 Paris cedex 15.

2.      

2. Par CCP,  CCP 3330A Paris. 2. Par CCP,  CCP 3330A Paris.

3. Par internet, sur le site : www.fondationdelavenir.org


Les donateurs reçoivent dans les deux mois un reçu fiscal qui permet de déduire des impôts, 66% du don dans la limite de 20% de l’impôt sur le revenu. Ainsi, un don de 25€ ne coûte en réalité que 8,50€.