Nora ANSELL-SALLES

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lundi 8 septembre 2014

C'est à lire : Labelle rouge de Michael Ween


"Label rouge"
de Michael Ween - Editions Bookelis


 

Matthew Anderson, flic végétarien du FBI enquête sur une série de meurtres commis à plusieurs endroits. Tous ces homicides ont un lien avec l'animal. Pourquoi ? Quelles peuvent être les raisons et les motivations du meurtrier ? Pourquoi reproduire des situations que subissent des animaux ? En découvrant différents milieux, le lieutenant Anderson et sa coéquipière vont mener les investigations qui les conduiront jusqu'à l'impensable.

Label rouge est un thriller qui entraîne le lecteur dans les méandres de l'exploitation de l'homme sur l'animal au service d'une société vouée à la surconsommation. Michael Ween propose un roman frénétique porté par des rebondissements et un suspens haletant avec pour toile de fond : la cause animale.

 

vendredi 21 mars 2014

C'est à lire : le recueil de Roland Sicard des bons mots de nos politiques


1erPrésentateur des "4 vérités" sur France 2 viens de publier "leurs 4 Vérités" chez Albin-Michel, un recueil des meilleurs bons mots de nos politiques



« Oui, l’humour politique est le plus souvent cruel. Il appuie là où ça fait mal. Il s’amuse à tourner l’autre en ridicule. A caricaturer. Une arme redoutable, à manier avec talent.

Seuls quelques-uns de ces bons mots entreront dans l’Histoire. Pourtant, les grands enfants que nous sommes restés se plaisent à en jouer. Et ça fait un bien fou ! Une conviction : tous auraient mérité de figurer dans le programme du vaste mouvement créé par Pierre Dac, Le parti d’en rire ! » Roland Sicard

 
 
 
 

lundi 27 janvier 2014

Une encyclopédie bien utile pour Ipad


Encyclopédie Larousse illustrée sur iPad

 

 
Une encyclopédie thématique

Ø 10 000 articles encyclopédiques classés sur plus de 50 thèmes de la physique à la philosophie.

Ø De nombreux dossiers liés aux programmes scolaires des collégiens et lycéens (1ère et 2nd guerre mondiale, la révolution industrielle…)

 

 Une galerie média interactive

Ø  10 000 photos  et dessins, plus de 200 cartes géopolitiques et thématiques.

Ø 300 animations et 200 extraits sonores.

 

Un dictionnaire accessible à partir de tous les mots difficiles pour afficher d’un clic leur définition.

 

Une chronologie de 1 200 événements incontournables sur l’histoire du monde, classés par grande époque historique.

 

 700 questions pour apprendre en s’amusant :

Ø Le jeu des illustrations : identifiez un dessin, une photo, un schéma.

Ø Le Quiz de culture générale.

Ø Le Géo quiz pour réviser les pays, régions et capitales.

 

 Un Atlas mondial en 3D

Simple et ludique, il suffit de rechercher un continent, un pays ou une capitale pour que le globe se positionne directement sur le lieu recherché.

 

 Une mise à jour mensuelle des contenus. Grâce aux notifications, recevez les mises à jour des contenus dès publication. Une fois téléchargés, tous les contenus sont disponibles hors connexion.

 

 De nombreuses fonctionnalités de navigation :

Ø Un hypertexte total sur tous les mots difficiles.

Ø Une fonction de surlignage pour noter les passages importants.

Ø Un export des articles dans ibooks pour une facilité de lecture

Ø Un correcteur orthographique.

Ø Un historique, des favoris et un partage par courriel.

 

 

Le meilleur de Larousse tout simplement !

 


 

Cette application ne nécessite aucune connexion Internet (excepté pour les sons et les vidéos).

 

En téléchargement sur l’AppStore : http://itunes.apple.com/fr/app/id728359646?mt=8


 

 

 

 

 

mardi 3 décembre 2013

54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PREOCCUPES PAR LES QUESTIONS DE SANTE


Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »

Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des 25 ans de l’agence de Relations Publiques santé et divulguée au 24ème Festival de la Communication Santé, révèle que 54% des Français interrogés déclarent être de plus en plus préoccupés par les questions de santé. Malgré leur caractère souvent anxiogène, les multiples informations santé qu’ils reçoivent et consomment ont pourtant des effets bénéfiques pour 82% d’entre eux : approfondissement des connaissances, modification de certains de leurs comportements, échanges avec leur médecin. Cependant, parmi le flot d’informations diffusées, notamment sur Internet et les réseaux sociaux, il est difficile de s'y retrouver. D'où le rôle essentiel de pédagogie des médias, des émetteurs et transmetteurs d’informations santé, pour un public qui a de plus en plus besoin de repères.



PLUS D’UN FRANÇAIS SUR DEUX EST DE PLUS EN PLUS PRÉOCCUPÉ PAR LES QUESTIONS DE SANTÉ

Selon l’étude Ifop/Capital Image, 54% des Français indiquent considérer les questions de santé comme étant de plus en plus préoccupantes.


"Ce chiffre important répond à la multiplication des messages de santé avec la diffusion d'informations à la fois de plus en plus nombreuses, diversifiées et aussi parfois anxiogènes’’ commente Damien Philippot, Directeur des Études, Département Opinion, Ifop.


‘’Les campagnes de santé publique, les informations concernant la sécurité sanitaire, l’allongement de la durée de vie et le souhait de rester en bonne santé le plus longtemps possible expliquent et justifient l'intérêt croissant des Français pour l'information concernant leur santé" ajoute Stéphanie Chevrel, Co-fondatrice et DG de l'agence Capital Image


Damien Philippot

’Dans la crise, c’est le corps qui souffre. Santé et insécurité sont deux grands thèmes symptomatiques de la souffrance actuelle des Français. Alors que la santé revêt une importance plus forte pour les citoyens - l'étude le confirme - ils observent un recul du collectif et ne croient plus guère dans notre système étatique de protection sociale, pas plus que dans l’égalité des soins. Leur souffrance s’en trouve accrue. Les mots qui les inquiètent le plus ? Stress, précarité, maladie, perte d’autonomie. Leurs principaux espoirs : la recherche médicale, l’innovation’’ explique Denis Muzet**, Sociologue, Président de l’Institut Médiascopie.



* Source : étude Ifop/Capital Image (1/2). Interviews par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 juillet 2013 auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

** Auteur de « Les mots de la crise », Editions Eyrolles, 2013



 LA TELEVISION RESTE LE CANAL LE PLUS UTILISÉ POUR SUIVRE L’INFORMATION SANTÉ


42% des personnes interrogées (contre 53% en 2003**) déclarent suivre l’information santé à la télévision ; 30% (contre 36% en 2003) la suivent dans la presse écrite et 19% à la radio (contre 26% en 2003).

36% se rendent sur les sites Internet d’information alors que 20% vont sur les blogs et forums.


"La consommation d'informations santé est plus forte chez les plus jeunes, ce qui peut paraître surprenant à un âge où on a moins de chance d'être atteint de maladies graves. On peut supposer que les personnes plus âgées vont préférer se renseigner directement auprès de leur médecin" constate Damien Philippot.



‘’Certains experts ont souvent annoncé la mort de la télévision. Si ce média est touché par la montée en puissance du web, il reste très apprécié des Français, et c’est encore plus vrai pour l’information santé qui fait appel à la raison, à la science et aussi beaucoup à l’émotion. Mais aucun média à lui seul ne suffit à alimenter l’appétit d’information santé ; les médias jouent tous ensemble. Les Français élaborent leur menu, ils apprécient leur grande liberté dans le choix de leur consommation‘’ précise Denis Muzet.



59% DES FRANÇAIS VONT MODIFIER CERTAINS DE LEURS COMPORTEMENTS


Après avoir entendu parler d’un sujet santé dans les médias, 82% des Français déclarent agir tandis que 18% ont le courage d’affirmer qu’ils ne vont rien faire du tout ! Plus précisément, 2/3 (66%) vont chercher à approfondir leurs connaissances et 59% vont modifier certains de leurs comportements.


35% VONT ALLER CONSULTER LEUR MEDECIN

Ils sont 55% à évoquer avec leur médecin les sujets abordés dans les médias lors d'une consultation déjà prévue alors que 35% iront le consulter délibérément après en avoir entendu parler dans les médias. "On peut noter que la relation plus forte des personnes les plus âgées avec leur médecin les conduit à davantage interagir avec celui-ci " ajoute Damien Philippot.


‘’Les Français vont chercher sur Internet un ensemble d’informations qui vont leur permettre de creuser tel ou tel sujet, de décider d’aller chez leur pharmacien ou chez leur médecin. Avec Internet, l’individu se sent libre d’explorer et de se faire en peu de temps un bagage d’information. Certaines informations sont d’intérêt inégal, plus ou moins fiables mais en même temps, les internautes ne sont pas dupes’’ indique Denis Muzet.
Denis Muzet


**Sondage A+A/Capital Image réalisé par téléphone du 12 au 13 décembre 2003 auprès d’un échantillon de 1004 personnes, représentative de la population française âgée de 18 ans et plus



MAIS DEUX FRANÇAIS SUR TROIS TROUVENT L’INFORMATION SANTÉ FLOUE ET CONTRADICTOIRE


Attentifs à l’information santé, les Français se montrent cependant particulièrement critiques sur la qualité perçue de cette information : 69% déclarent qu’elle est souvent floue et contradictoire ; une minorité seulement juge qu’elle est toujours compréhensible (39%) et toujours fiable (25%). D’autre part, 44% estiment que l’information santé est trop importante et ils sont 42% à juger qu’elle est souvent inutile.



En matière d’information santé comme d’ ‘’information tout court’’, les Français doutent de plus en plus. La responsabilité des communicants santé – et des médias – est grande. Donner la parole à l’ensemble des acteurs et adopter une relation de transparence est une bonne posture. On peut ensuite picorer l’information, écouter le point de vue des uns et des autres, puis se faire une opinion. Ce que les individus n’aiment pas, c’est une parole unique ; ou encore, derrière un semblant de diversité, des points de vue biaisés » réagit Denis Muzet.



« Chez Capital Image, nous communiquons sur des questions de santé depuis 25 ans. Nous sommes très attentifs au choix des sujets que nous médiatisons. Nous nous posons toujours la question de savoir s'il est opportun de communiquer ou pas, comment nous allons communiquer, quels messages nous allons transmettre. Nous nous attachons à ce que les informations transmises soient utiles au plus grand nombre. Nous donnons la parole à tous les acteurs de la santé, aux experts comme aux patients. Notre responsabilité est importante car, relayées par les médias et les réseaux sociaux, nos informations sont accessibles aux malades et à leur entourage. Nous ne pouvons donner de fausses promesses et susciter de faux espoirs » indique Stéphanie Chevrel.


Stéphanie Chevrel


« Les résultats de cette étude sont un message encourageant aux bonnes pratiques pour tous les émetteurs et transmetteurs d’informations santé dont leur rôle est essentiel - effort de pédagogie, utilité, simplicité et clarté de l'information, filtrage et indication des sources - pour un public qui a de plus en plus besoin de transparence mais aussi de repères " conclut Stéphanie Chevrel.



 

Retrouvez les résultats de l’étude, l’infographie, les slides et les itws vidéos sur


www.capitalimage.net - www.acteursdesante.fr

 

 

A propos de Capital Image :

« Marquer les esprits. Faire évoluer les comportements » est le credo de Capital Image, agence de Relations Publics et Relations Médias Santé, créée en 1988 par Stéphanie Chevrel (IFP) et Gaël de Vaumas (CFPJ). Cette agence santé engagée cherche à bousculer les idées reçues et marquer les esprits pour faire évoluer les perceptions et les comportements de santé des Français. A l’origine de nombreuses campagnes d’information, Capital Image est, avec plus de 25 récompenses en 10 ans, l’agence de Relations Publiques Santé la plus primée en France.


NDLR : MGEFI et Baromètre Santé des Fonctionnaires.



· 1er baromètre santé des fonctionnaires - synthèse de l'enquête

 L’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI
 
Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.
 
Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

 
Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI

Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé

Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.
 
Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent  majoritairement à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à prendre des médicaments non prescrits.

 Des comportements favorables au maintien d’une bonne santé : une grande majorité des répondants jugent leur alimentation équilibrée et ils s’inscriraient dans des comportements à risque de manière moins prononcée vis-à-vis du tabac, du jeu et des drogues. Ainsi, 42,9% n'ont jamais fumé de leur vie et 11,2% sont des fumeurs habituels. En France, ce pourcentage est généralement supérieur à 30%. En revanche, s'agissant de la dépendance à l'alcool, 10% semblent présenter une addiction (deux fois plus d'hommes que de femmes), soit autant que parmi la population française.

Des disparités importantes

Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont « aidés » et 12,9% sont « aidants ».

Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé (les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime  que son travail a un impact sur sa santé.

Un besoin d'information et de prévention

Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur problème de santé et leur médicament.

63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.

Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur les risques cardiaques.


En conclusion

Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de cerner une partie des attentes des adhérents.

En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents, actifs et retraités, a mis en place courant 2013, des actions locales enrichies par les conclusions de cette enquête.

                                                                       

* MFP Services est délégataire de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21 mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.

 2)    5 populations distinctes : MFP Services comprenant les agents des différents ministères (hors Education Nationale), les adhérents de la MGEFI, de la MMJ de la MCDEF et de la MGAS.

  
LA RETRAITE

Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite, principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas d'activité extérieure.

LE PROFIL DES RÉPONDANTS MGEFI

59,2% de femmes et 40,8% d'hommes. 

51,5% ont plus de 60 ans.

48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.

41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.

73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.


mardi 26 novembre 2013

C'est à lire : Selection de 4 ouvrages thématique Monde du Travail chez L'Harmattan


« Quels défis pour le management ? »
Sous la direction de Françoise Dupuich - Editions l’Harmattan


En quoi l'économie médicale et la surconsommation, notamment en France, de services médicaux, participent-elles à la gestion du mal-être au travail ?

 

En quoi cette surconsommation participe-t-elle à une régulation des tensions sociales et des rapports salariaux dans l'entreprise moderne ? L'hypothèse ici faite est que ce phénomène est en relation directe avec la montée en puissance des risques psychosociaux et notamment des différentes situations de stress au travail.

 

 

de Jean-Marie Gogue  - Editions l’Harmattan


Les conséquences de la crise financière de 2008 ont conduit de nombreuses entreprises à s'interroger sur les diverses techniques de management qui ont été présentées en un quart de siècle comme des moyens d'améliorer la qualité et la productivité pour faire face à la concurrence internationale.

 

 Afin de comprendre cette marche du management vers un " toujours plus ", l'auteur a exploré différents courants de pensée qui ont agité le monde patronal depuis la fin du XIIIe siècle jusqu'à nos jours.

 

 

de Cécile Roche - Editions l’Harmattan


Dans un monde où le changement est la norme, le Lean devient à la mode. Les entreprises qui ont choisi de se transformer en suivant les principes Lean et en investissant d'abord sur les femmes et les hommes ont globalement et sur le long terme des résultats économiques meilleurs.

 

Ce guide simple et complet, avec des concepts simples et illustrés de nombreux exemples analyse les idées reçues sur le Lean, en prenant à chaque fois le point de vue des managers et celui des opérationnels concernés.

 

 

de Luce Abrate, Hervé Mathe, Simon Paranthoën, Xavier Pavie -Editions l’Harmattan


Le propos de ce livre est de comprendre la relation client dans une dimension à la fois stratégique et opérationnelle autour de la notion fondamentale du dialogue.

 

Cette approche s'appuie sur l'étude approfondie d'organisations telles qu'EDF, le GHMF, IBM, SFR ou encore Zappos, qui illustrent, chacune selon ses spécificités, les enjeux de la prise en compte du dialogue avec le client et de son intégration dans les stratégies organisationnelles des entreprises.

jeudi 21 novembre 2013

C'est à lire : Un guide très utile à tous....


« Guide de la fin de vie 2014 »
Accompagnement, maladies, décès, obsèques...
Edition n°3 Novembre 2013
 
 
 
Disponible sur : www.petitfute.fr
 
Retrouvez maintenant vos guides Petit Futé sur votre Smartphone et sur votre tablette

 

Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. La fi n de vie aujourd’hui revêt des caractères différents par rapport au passé. Les Français vivent de plus en plus vieux mais ils se retrouvent souvent de plus en plus seuls pour affronter la maladie, le handicap, les problèmes liés à l’âge. Les familles sont éclatées, les enfants pris dans la vie quotidienne, l’éloignement de plus en plus fréquent.

 

Depuis quelques années cette période ultime avant le décès commence à être prise en compte : des médecins, des psychologues, des sociologues, des hommes et femmes de loi, des associations, des sociétés de service travaillent au quotidien, soit dans des structures adaptées soit à domicile, pour l’améliorer. Ainsi, le premier Salon de la Mort s’est tenu à Paris en avril dernier, etc. L’idée :

 

Faire tomber les tabous autour de la mort, en parler pour mieux vivre.

 

Un Observatoire national de la fi n de vie vient également de voir le jour. Son rôle : dresser un état des lieux des situations et des besoins à l’approche de la mort.

 

Mais la mort ne frappe pas que les personnes âgées : des enfants, des adolescents, des jeunes adultes sont confrontés pour eux-mêmes ou pour leur entourage à ce qui est parfois inéluctable. Comment y faire face ? Comment accepter, accompagner, comprendre la fi n de vie et la mort ?

 

L’angoisse, la souffrance morale, la douleur physique sont le plus souvent difficiles à surmonter.

 

Ce guide, respectueux de la déontologie, est conçu de façon pratique pour aider celles et ceux qui un jour ou l1autre devront gérer ce « temps du départ » pour eux-mêmes ou pour des proches. Il tente d’aborder et de répondre aux questions juridique, sociale, financière ou psychologique que l’on se pose avant le décès, au moment des obsèques et après le décès. Il informe sur l’évolution des funérailles et du funéraire sans oublier l’arrivée d’internet qui a révolutionné les habitudes de communication y compris sur le deuil. L’étape de la fi n de vie est une étape à vivre en toute conscience et en toute humilité. Pour Saint-Exupéry, «ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort ».

 

 

PLAN DU GUIDE :

 

Avant le décès :

 

rester à domicile ou en établissement spécialisé. L’accompagnement de la fi n de vie (la dépendance, les maladies du grand âge, les soins palliatifs, législation...). Les aides financières et la protection juridique. Transmission du patrimoine (testaments, legs, dons, assurances vie, etc.). Prévoir ses obsèques. Immortaliser. S’informer.

 

Le décès :

 Les formalités, avant les obsèques, organisation des funérailles, choix du funéraire, les obsèques.

 

Après les obsèques :

succession, l’étape du deuil, informations pratiques et complémentaires...



NDLR: MGEFI et DECES
 
Offre facultative : Plurio Obsèques                     
  • Offre facultative : Plurio Education                     
  • Offre facultative : Prémuo capital avantages                      
  • Offre statutaire renforcée - Prémuo M022                     
  • Offre statutaire de référence - Prémuo M022                     
  • SMODOM, une solution au problème de l'éloignement en cas de décès    
  • Plurio obsèques                     
  • Plurio éducation                     
  • Plurio conjoint – rente décès                     
  • Plurio capital décès