Nora ANSELL-SALLES

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mardi 19 novembre 2013

Le Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire propose des services innovants pour couvrir la santé des intérimaires



Paris, le 19 novembre 2013 – Avec plus de 25.000 salariés intérimaires adhérents et 60.000 bénéficiaires en 2013 (incluant conjoints et enfants), le Fastt (Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire) apporte, au travers d’une mutuelle santé spécifique « Fastt - Mut », une aide réelle à de nombreux intérimaires. En plus des garanties qui couvrent les frais de santé, le Fastt a mis en place un programme pédagogique pour aider les intérimaires à y voir clair sur le fonctionnement du système de santé. Il facilite aussi l’accès aux aides (CMU et chèque santé) et propose un service d’étude des devis « optique » et « dentaire » pour éviter de payer plus qu’il ne faut.
 
Peu d’intérimaires le savent, et pourtant, il existe bien une mutuelle qui leur est réservée. Cette mutuelle « Fastt Mut » est proposée par le Fastt*, le Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire, une association de Loi 1901 à but non lucratif.
Qu’offre cette mutuelle de plus que les autres ?
 

Elle se distingue par la souplesse des conditions d’accès et de résiliation. Ainsi les intérimaires peuvent dès la première heure de mission y adhérer. S’ils ne sont plus en intérim, ils peuvent continuer à en bénéficier jusqu’à la fin de l’année et les frais de santé sont couverts y compris entre deux missions. Autre avantage, le conjoint de l’intérimaire et ses enfants peuvent aussi être couverts. Enfin, il est possible de la résilier dans un délai d’un mois seulement notamment pour ceux qui décrocheraient un CDI accompagné d’une mutuelle d’entreprise obligatoire. Autant d’atouts qui la rendent particulièrement adaptée aux contraintes de l’intérim.


Une garantie particulièrement adaptée pour les jeunes

 
La mutuelle des intérimaires propose trois niveaux de garantie. Le premier niveau s’adresse particulièrement aux jeunes salariés intérimaires qui entrent dans la vie active grâce à l’intérim (69% des nouveaux intérimaires ont moins de 25 ans) et qui, en quittant le foyer de leurs parents, se retrouvent sans couverture pour des raisons de compromis budgétaire. Accessible à partir de 6,46 euros par mois seulement, cette garantie rembourse les visites chez le médecin généraliste et couvre les frais d’hospitalisation (hors dépassement d’honoraires).
 
 

Des aides et des services pour alléger le budget santé des intérimaires

 
Le Fastt propose deux solutions pour les intérimaires ayant des revenus modestes. La première est adossée sur le Chèque Santé (aussi appelée Aide à la Complémentaire Santé), une aide des caisses d'Assurance Maladie qui permet de s’équiper d’une complémentaire santé. Près de 1 200 intérimaires bénéficient de cette formule grâce aux efforts d’information engagés et aux conseils apportés par le numéro vert de la mutuelle. La seconde solution s’adresse à ceux qui présentent des revenus proches des minima sociaux et qui ne relèvent pas du Chèque Santé. Le Fastt propose un tarif réduit jusqu’à 75% par rapport à la cotisation de base. Ce tarif appelé « Coup de pouce » profite aujourd’hui à quelques 3 000 intérimaires. Outre ces aides à l’acquisition d’une complémentaire santé, la mutuelle des intérimaires a mis en place un service destiné à réduire autant que possible les dépenses en optique et dentaire, deux postes qui pèsent lourd dans le budget. Ce service consiste à étudier les devis préalablement remplis par les praticiens pour déterminer s’ils sont conformes à la moyenne des prix pratiqués sur le marché. Objectif : éviter de payer plus qu’il ne faut. En 2012, 80% des intérimaires qui ont bénéficié de cette prestation et obtenus les éléments qui leur ont permis de négocier avec leur opticien ont réalisé des gains sur leur devis optiques initiaux (en moyenne 50 € d’économie).


Un magazine vidéo, un site Internet et un guide pratique pour informer les intérimaires sur la santé


Au-delà des services d’une mutuelle santé, le Fastt apporte de nombreux conseils précieux aux intérimaires pour les sensibiliser aux enjeux de la santé dans un contexte où 7% des salariés Français renoncent à bénéficier d’une complémentaire santé (Insee, 2011). Les raisons sont diverses (compromis budgétaire, manque d’intérêt, manque de temps,..) et sont encore plus marquées pour des salariés intérimaires qui ont des activités et des revenus irréguliers.
 
En tant qu’intérimaire, suis-je couvert par la Sécurité sociale ? Ai-je besoin d’une mutuelle ? Comment faire le bon choix ? Quelles sont les aides pour accéder aux soins ? Le Fastt apporte les réponses à toutes ces questions, au travers de quatre numéros de Fastt’mag, le premier magazine vidéo entièrement consacré aux intérimaires. Pour aller plus loin, un site Internet dédié aux questions de santé (http://masante.fastt.org) et un guide pratique « Assurer ma santé » informent sur les aides financières mobilisables (CMU, ACS ou « chèque santé »).
 
 

Les quatre videos du Fastt’mag


Sécurité sociale et mutuelle, à quoi ça sert ?


Comment bien choisir votre mutuelle ?


Les aides pour acquérir une mutuelle


Que propose la Mutuelle des intérimaires ?

 
 
* Mutuelle assurée et gérée par SMI.
 
**
La nouvelle grille de tarifs Fastt-Mut 2014 est accessible sur le site du Fastt (http://www.fastt.org/Mutuelle-des-interimaires.html)
 

 
 

A propos du FASTT : Le Fastt (Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire), association loi de 1901 à but non lucratif créée en 1992, propose à l’ensemble des salariés intérimaires une gamme de prestations pour faciliter leur vie quotidienne. Financé, au travers d’un accord de branche, par les entreprises de travail temporaire et géré par les partenaires sociaux (Prism’Emploi, organisation représentant les professionnels de l’intérim, services et métiers de l’emploi, et les organisations syndicales représentatives des salariés intérimaires : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, CGT-FO), le Fastt contribue à la consolidation du statut professionnel des salariés intérimaires. Les actions du Fastt soutiennent les salariés intérimaires au travers de services et de prestations facilitant l’accès au logement, l’accès au crédit, et l’accès à l’emploi. www.fastt.org


 
 

jeudi 18 avril 2013

LIBRES PROPOS : signés Jacky Lesueur

 


 

 
 
Dans un contexte économique et social qui reste hautement préoccupant, les questions relatives à la protection sociale prennent légitimement une place majeure dans les débats d’actualité, et, sur bon nombre de dossiers, tels que ceux sur le financement de la sécurité sociale, les retraites, la dépendance, les chantiers sont ouverts pour dégager des orientations et des décisions pour les mois à venir, voire la fin d’année. A l’évidence il conviendra d’y être attentifs au regard des préoccupations que peuvent susciter les  pistes qui se profilent.
 
Devant le développement des restes à charge de plus en plus importants et le creusement des inégalités face à la maladie ou aux accidents de la vie, la question de l’accès à des soins de qualité et de la réelle généralisation d’une couverture santé pour tous, reste posée avec acuité.
 
C’est pourquoi l’action sociale et solidaire que nous menons et qui se trouvera encore renforcée dans le cadre de la fusion qui se prépare avec nos amis de la MASFIP-MAI demeure essentielle, et jamais la « signature » de notre mutuelle «  Prévoir et agir ensemble » n’aura eu autant de sens.
 
Aussi importe-il de préserver et de réaffirmer avec force les principes et valeurs mutualistes que nous portons en impliquant véritablement nos adhérents au fonctionnement de notre mutuelle.
 
Les assemblées départementales en sont un moment privilégié, permettant d’échanger directement avec vos responsables locaux et nationaux, et rencontrer nos différents partenaires. Nous souhaitons vivement que cette année encore, vous soyez toujours plus nombreux à partager ce moment d’importance.
 
 
Avec nos meilleurs sentiments mutualistes
 
Jacky Lesueur




 

Mardi 4 juin 2013 : Bloquez  la journée  sur vos agendas !
 
Les Assemblées départementales MT et MGEFI se tiendront, comme l’an dernier, Salle de réunions du Conseil Général à Evreux, en présence de M.Gloux et des principaux responsables de l’équipe de Direction de la DDFIP.
 
Des convocations personnelles vous seront adressées directement et seront à joindre à vos  demandes d’autorisations d’absences.

vendredi 12 avril 2013

LIBRES PROPOS : RALLYE AÏCHA DES GAZELLES du MAROC 2013


 

            Dans le cadre de son action sociale et solidaire, et dans le prolongement de sa participation à l’opération « Route des Jeux Londres 2012 » initiée par la cellule Sport Handicap du Comité Départemental Olympique et Sportif,  La Mutuelle du Trésor de l’Eure, avec la Banque Fédérale Mutualiste, a décidé cette année d’apporter son soutien à l’Association Rallye des Gazelles 27.

 

Karine Vieira, handicapée moteur qui  travaille à l’APF (Association des paralysés de France) d’Evreux c'est lancée, avec sa kiné (Martine Billard), dans l’aventure « Le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc »  qui a  rassemblé plus d’une vingtaine d’équipages  de toutes nationalités, pour un périple de 1.500 kms en désert saharien, du 16 au 30 Mars dernier.

 

Cette initiative courageuse, porteuse d’espérance fait partie de celles qui  contribuent à changer le regard des autres sur le handicap.

 

Jacky Lesueur

Président de la Mutuelle du Trésor Eure


NDLR :
Un retour sur cette belle aventure riches d'expériences et d'émotions multiples aura lieu début juin. Plus d'information dans une prochaine brève du blog

mercredi 6 mars 2013

Une action innovante à l'hôpital



Depuis 2006, la Compagnie ACM Ballet (cliquer pour accéder au site) développe un projet innovant dans des hôpitaux (unités de soins palliatifs adultes et services hospitaliers gériatriques), récompensé par le trophée Les Initiatives de la Bientraitance 2007 de la Mairie de Paris. Par équipe de quatre, des danseurs professionnels évoluent dans les services de chambre en chambre, à la rencontre de chacun, même des patients les plus affaiblis ou isolés. Il s'agit d'une démarche artistique, qui ne va pas vers les personnes en tant que malades, en fin de vie, ou hospitalisées, mais en tant que public. Elle apporte des bouffées d'oxygène, du plaisir, de l'émotion et de la vie dans les services, pour tous les protagonistes, des patients au personnel et aux familles.
Vous pouvez retrouver cette action sur Le monde des fondations et sur le site de la Mairie de Paris .

Loin d'une démarche anecdotique, la compagnie ACM Ballet intervient dans le cadre de collaborations de longue durée avec des hôpitaux, en Ile de France comme en province. Les établissements ne pouvant prendre en charge le cout des projets, la participation de mécènes, entreprises comme particuliers est nécessaire.
Des mini sites de collecte sont en ligne aux adresses http://compagnie-alouette-acm-ballet.aiderenligne.fr/des-danseurs-dans-une-unite-de-soins-palliatifs.html et  http://compagnie-alouette-acm-ballet.aiderenligne.fr/residence-deux-jours-en-province.html
Pour participer à l'ensemble des projets de la compagnie, don en ligne sécurisé avec IZI Collecte.
N'hésitez pas à prendre contact .


 

vendredi 15 février 2013

Journée Internationale du cancer de l’enfant



  La Fondation Sanofi Espoir et l’Union Internationale Contre le Cancer renforcent leur partenariat
My Child Matters pour trois ans

- 38 700 enfants pris en charge et 9 700 professionnels de santé formés depuis 2006 -



Paris, France et Genève, Suisse - le 14 février 2013

- A l’occasion de la Journée Internationale du cancer de l’enfant, l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) et la Fondation Sanofi Espoir annoncent le renouvellement pour trois ans de leur partenariat My Child Matters, visant à lutter contre les cancers de l’enfant dans les pays à ressources limitées.

Le nouveau plan d’action est construit autour de trois priorités : l’accompagnement renforcé et l’évaluation des projets en cours dans 15 pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, l’appui aux réseaux de soins internationaux et le déploiement d’actions de sensibilisation au plus haut niveau pour que les cancers de l’enfant deviennent une priorité de santé publique mondiale.

«

Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l’accès à la santé des plus démunis et qu’il a permis, tout à la fois, de renforcer la filière de soins et d’influencer les politiques de santé », explique Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de renforcer notre partenariat My Child Matters qui a démontré sa capacité à faire bouger les lignes. C’est le cas, notamment, au Philippines Children’s Medical Center, où le taux de survie à 2 ans, pour les leucémies, a progressé de 16% à 68% et où les traitements pour les plus démunis sont désormais pris en charge par l’Etat. »

Depuis 2006, plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. Au total, 38 700 enfants ont été pris en charge et 9 700 professionnels de santé ont été formés.

«

Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir, initié en 2005, est l’un des plus forts et des plus emblématiques pour l’UICC, en raison de son impact significatif sur la lutte contre les cancers de l’enfant dans le monde », résume Cary Adams, Chief Executive Office, Union Internationale Contre le Cancer. « Aujourd’hui, le fossé entre les taux de survie dans les pays développés et dans les pays à bas revenus se réduit. Les capacités de diagnostic précoce et de traitement ont été développées dans les pays concernés. Enfin, la cause des cancers de l’enfant est désormais défendue dans les pays et au plus haut niveau international, à l’OMS ou au Comité des Nations Unies sur les maladies non-transmissibles. »

Plus de 175 000
* enfants sont confrontés chaque année au cancer et au moins 90 000* en meurent. Près de 80 % des enfants atteints d’un cancer dans les pays développés guérissent grâce à une prise en charge précoce et efficace. Ce taux tombe malheureusement à 20 % des enfants, voire 10 %, dans les pays à faibles ressources où l’information, le diagnostic précoce, l’accès aux soins et aux traitements sont souvent difficiles.

Le programme
My Child Matters, conçu par l’équipe de la Fondation Sanofi Espoir et déployé avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), le St Jude Children’s Research Hospital (Etats-Unis) 2/2

et d’autres organisations partenaires, associe soutien financier, appui d’experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : l’information et la sensibilisation du grand public et des autorités, la formation de personnels qualifiés, le diagnostic plus précoce, l’accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, ainsi que le soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants.

Chaque année, un bilan est dressé avec chacun des partenaires locaux pour mesurer les impacts du programme sur les bénéficiaires directs, notamment les enfants et leurs familles, ainsi que les professionnels de santé, et pour juger de l’effet de levier sur les politiques de santé des pays.

* Source : UICC / SIOP (Février 2013) http://www.siop-online.org/


A propos de l’UICC


L’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation non-gouvernementale créée en vue d’aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l’éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l’UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Pour plus d’informations : www.uicc.org.


A propos de la Fondation Sanofi Espoir


La Fondation d’Entreprise Sanofi Espoir a été créée en octobre 2010 par le groupe Sanofi pour capitaliser plus de 15 années d’engagement de solidarité internationale. Sa vocation est de contribuer à réduire les inégalités en santé, en particulier auprès des populations qui en ont le plus besoin, dans une démarche de responsabilité sociale. Son action s’articule autour de trois axes majeurs : la lutte contre les cancers de l’enfant, la lutte contre la mortalité maternelle et infantile et l’accès aux soins pour les populations les plus démunies. Pour plus d’informations : www.fondation-sanofi-espoir.com


Liste des membres du Comité de pilotage de My Child Matters

Le Président, Pr Raul Ribeiro (Directeur de la division leucémies et lymphomes, St Jude Children’s Research Hospital, USA) et les autres membres : Pr Andrea Biondi (Clinica Pediatrica Ospedale S. Gerardo, Italie), Pr Franco Cavalli (Directeur, Istituto Oncologico della Svizzera Italiana), Prof. Mariana Kruger, présidente SIOP Afrique, représentant la Société internationale d’Onco Pédiatrie-SIOP, Pays Bas), Mr Kenneth Dollman (International Confederation Of Childhood Cancer Parent Organisations- ICCCPO), Dr Joe Harford (Directeur des Relations Internationales, National Cancer Institute, USA), Pr Mhamed Harif (Président, Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique, France), Mme Ruth Hoffman (Directrice, Childhood Cancer Foundation, USA), Pr Tezer Kutluk (Turkish Association for Cancer Research & Control, Turquie), Dr Ian Magrath (Président, International Network for Cancer Treatment and Research, Belgique), Dr Twalib Ngoma (Directeur, Ocean Road Cancer Institute, Tanzanie), Dr Eva Steliarova-Foucher (Direction de la recherche, Centre International de Recherche sur le Cancer, France).

mardi 16 octobre 2012

L'Unapei publie « CAP SUR L'ACTION ASSOCIATIVE »,


L'Unapei publie « CAP SUR L'ACTION ASSOCIATIVE »,
référentiel de diagnostic et de développement de l'action associative

 

Avec le référentiel « Cap sur l'action associative », l'Unapei a conçu un outil pratique et concret de diagnostic et d'évaluation de l'action associative pour permettre aux associations familiales du secteur handicap de valoriser leur pouvoir d'attraction auprès d'adhérents et de bénévoles potentiels.

 

« Grâce à nos actions conjointes depuis des décennies, la société a profondément évolué, les demandes des familles vis-à-vis de l'association, leur volonté d'implication aussi. Dans un contexte particulièrement contraignant et difficile, les défis à relever sont nombreux. La diversité des problématiques à prendre en compte nous impose de nous adapter, de saisir les opportunités et d'innover dans notre action associative en définissant de nouvelles stratégies » - extrait de l'avant-propos de Christel Prado, Présidente de l'Unapei et de Marie-Thé Carton, présidente de la commission Action associative.

 

Un contexte associatif qui implique des évolutions

Le paysage associatif connait depuis ces dernières années une érosion nette de ses adhérents ainsi qu'une difficulté accrue à recruter des bénévoles. Ce phénomène s'explique par la multiplicité des causes augmentant de fait la concurrence entre les associations face aux adhérents, à l'accès aux ressources publiques, aux ressources privées et aux missions bénévoles. Le bénévolat est une valeur en hausse dans notre société avec plus de 14 millions de bénévoles en France. Cependant les comportements évoluent, les bénévoles sont moins disponibles, plus sélectifs.

Les associations familiales du secteur handicap connaissent elles-aussi ces difficultés. Face à ce constat, l'Unapei a conçu un référentiel qui permet de s'auto évaluer et de définir un plan d'actions pour sensibiliser les familles au fait associatif, au sens de l'adhésion et à l'engagement bénévole.

 

Qu'est ce que l'action associative ?

L'action associative crée le lien indispensable et la proximité nécessaire entre l'association, les familles et les personnes en situation de handicap.

L'action associative regroupe trois domaines fondamentaux :

·        L'action familiale : la raison d'être

·        Les services associatifs : la valeur ajoutée apportée à l'adhésion

·        L'animation et l'événementiel : les rencontres et la convivialité

Elle est complétée par 3 domaines supports : les ressources, la communication et la représentation.

 

Cap sur l'action associative : le référentiel de l'Unapei

Ce référentiel permet de dresser un état des lieux, d'identifier les bonnes pratiques et de concevoir un plan d'actions pour placer l'action associative au cœur des missions de l'association.

Il donne à chaque association les moyens d'analyser son action associative et de poser un diagnostic qui lui permettra de définir, avec ses atouts et ses manques, sa propre stratégie de développement correspondant à la volonté de ses membres.

 

Le référentiel est organisé en 6 parties autour des domaines d'intervention de l'action associative :

Action familiale, services associatifs, animation & événementiel, ressources, communication et représentation.

Dans chacune de ces parties, le principe général est posé, l'Unapei apporte ses préconisations, expose des bonnes pratiques, propose des outils et des indicateurs. Ces points sont complétés par des questions essentielles posées dans chacun des domaines.

 

Informations pratiques :

Nombre de pages : 127

Tarif public : 45€

5€ de frais de port

Bon de commande à télécharger sur :              
http://partage.unapei.typhon.net/MU/BDCReferentielCapActionAsso.pdf

jeudi 11 octobre 2012

15 octobre 2012 : Journée mondiale de la douleur


OU EN EST LE PLAN IV "DOULEUR" depuis mars 2012 ?

 

L’Organisation Mondiale de la Santé – O.M.S. parraine chaque année cette journée mondiale et réclame la reconnaissance de la prise en charge de la douleur comme partie intégrante du droit à l’accès à la santé physique et mentale. L'Association internationale pour l'étude de la douleur (IASP) et la Fédération européenne des sections locales de l'IASP (EFIC) coordonnent les actions mises en place pour cette Journée mondiale.

 

Concernant la douleur chronique, selon l'IASP et l'EFIC, une personne sur cinq souffre de douleurs chroniques modérées à fortes, et la douleur rend une personne sur trois incapable ou difficilement capable de mener une vie indépendante. En outre, une personne sur quatre rapporte que la douleur perturbe ou détruit ses relations avec sa famille et ses amis.

 

Où en est le Plan IV douleur ?

 

(…) Le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) a recommandé l’élaboration d’un 4e plan douleur afin de donner un nouveau souffle aux actions entreprises et de s’assurer de la poursuite de l’engagement des pouvoirs publics dans ce champ. Le renforcement de l’exigence du public dans le domaine du soulagement de la douleur passe par une information large et régulière. Cette exigence est un déterminant majeur du changement des pratiques professionnelles. C’est un élément essentiel qui nécessite une volonté politique affichée au niveau ministériel (…).

Rapport mars 2011

 

Où en sont les réflexions du groupe chargé de mettre en œuvre le prochain programme d’actions pour la prise en charge de la douleur et dont les conclusions devaient paraître fin mars 2012 ?

 

Communiqué complet - pétition - voir le fichier joint.

 

 

Contact :

Carole Robert

Coordonnateur des actions en cours : Journée Mondiale, Pétition au Président de la République, Single "Tout reste à faire"

C.D.C. - Collectif des Douloureux Chroniques : http://www.collectif-cdc.org