Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 20 juillet 2023

Jean-Louis Bancel : Interview accordée à Jacky Lesueur

C'EST À LIRE:
L' interview  accordée par Jean-Louis Bancel à  Miroir Social.

Le maintien indéfectible du principe de bénévolat intégral pour tous nos élus...

Reproduite avec l'aimable autorisation de Jacky  Lesueur.


🟥 A lire prochainement  sur Mine d'Infos l'interview/portrait  de Jean-Louis Bancel.




lundi 5 juin 2023

DAVID OLLIVIER LANNUZEL NOUVEAU PRESIDENT D'UROPS

 David Ollivier-Lannuzel président de l’UROPS



À Lire prochainement sur "MINE D'INFOS" son
Interview/Portrait par Nora ANSELL-SALLES.

L' Assemblée générale d’Urops s’est tenue vendredi  2 juin 2023. 

Les délégués des 11 mutuelles de l’Union ont voté à l’unanimité les résolutions dont le rapport de gestion et les résultats de l’année 2022.

 

Un tiers-sortant du Conseil d’administration a été renouvelé et une nouvelle gouvernance a été installée. David OLLIVIER-LANNUZEL a été élu par le Conseil d’administration en qualité de Président général d’Urops. Il succède donc à Bruno CARON, Président sortant qui a occupé la fonction de Président général ces douze dernières années.

 

Vous voudrez bien trouver en pièce jointe le communiqué de presse qui fait suite à l’Assemblée générale et Conseil d’administration.

Contact :

Patricia Jaffré, responsable communication (pjaffre@urops-prevention.fr), reste à votre entière disposition pour toutes les précisions que vous jugerez complémentaires.

José de FREITAS

Directeur Adjoint

Téléphone : 09 70 17 31 86

jdefreitas@urops-prevention.fr

 

 

Retrouvez-les sur Suppliers | Massif Welcome   

 


vendredi 19 mai 2023

C'est à lire 📚 "Qui sème des graines de folie croque la vie" de Charlotte Léman aux éditions l'Archipel

#VendrediLecture 📖
Clip vidéo

Qui sème des graines de folie croque la vie, le nouveau roman de Charlotte Léman, autrice de Si la vie te donne des citrons, fais-en une tarte meringuée.

🫠En librairie le 1er juin 2023


Résumé

Marie court tout le temps, élève ses deux enfants seule, jongle  entre son travail et ses occupations quotidiennes telle une Wonder Woman des temps  modernes... Mais un jour elle perd son emploi du jour au lendemain et la belle mécanique s'enraye.

Marie décide de profiter de son infortune  pour  prendre un nouveau  départ, loin de la vie parisienne. 

Alors que Marie commence à  se demander  si elle n'a pas fait une erreur en quittant ses repères,  une voisine l'invite à  rejoindre un groupe de femmes  atypiques qui cultivent la joie de vivre. Le Cercle des Floralies va changer  son regard sur sa vie...
Et un évènement arrivant  rarement  seul, elle va découvrir dans sa boîte  aux  lettres  une mystérieuse missive...

Et s'il était  temps  pour Marie de lâcher  prise et de semer "des graines de folie" ?

Et vous que feriez-vous  vous dans les mêmes  circonstances ? 

Vous vous reconnaissez dans le portrait de  cette sympathique "Wonder Woman"? Alors achetez vite le livre vous y trouverez  de précieuses clées...

🔎Zoom  sur l'autrice qui croque notre époque avec légèreté et humour.

Charlotte Léman est, comme son nom ne l'indique pas, née en France à peu près à la même époque que ses héroïnes, Charlotte et Valentine. Eternelle romantique dotée d'une imagination débordante, elle cultive précieusement dans sa tête des tas d'histoires tout en vaquant à d'autres occupations.


mercredi 17 mai 2023

Tribune libre de Jacques Crombet

Le VRS de la #bronchiolite encore une fois cette année doit être combattu à la source.

Il faut protéger les #nourrissons et les #bébés pour leur éviter d'en venir éventuellement à une situation de #détresserespiratoire dramatique.
Un tour de garde des #kinésithérapeutes doit être entretenu de façon à assurer des soins d'urgence exclusivement à domicile. Une séance de Kinésithérapie avec accélération du flux expiratoire (AFE) avec usage de l'#oxymètre et du #stéthoscope aboutit dans la majorité des cas en 10 minutes à un retour respiratoire à la normale (#oxymetrie 100%).
Les enfants qui feront de la kinésithérapie systématiquement dès les premiers symptômes ne seront pas candidats à l'#asthme plus tard adultes
Cela  évitera bien sûr la saturation des #servicesdurgences.
En résumé : La bronchiolite est très spectaculaire chez le nourrisson et présente un #risquemortel. Il faut donc agir rapidement dès les premiers symptômes.
La kinésithérapie permet de revenir très rapidement à la normale dès les premières minutes de soins. Le tout complété pa 5 ou 6 séances de Kinésithérapie complémentaire pour consolider les résultats acquis.
J'ai pratiqué beaucoup ces séances pour mes petits patients la semaine et aussi le week-end
Il faut donc que mes confrères souscrivent à cet engagement vital pour nos petits patients et aussi pour nos patients adultes bien sûr. 
Jacques Crombet 
Masseur-Kinésithérapeute 
Diplôme d'état n°959
Compositeur de musique 
Sociétaire de la Sacem 


samedi 1 avril 2023

Chirurgie esthétique sauvage: attention danger ⚠️

Le regard du Dr Mitz. Chirurgien esthétique  parisien

Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage sont actuellement dénoncés par des émissions télévisées, des reportages, et des articles de plus en plus nombreux. Il s'agit d'un phénomène mondial, les injections de fillers et de botox étant pratiquées parfois par des individus plus avides de gagner de l'argent que de réellement améliorer l'état physique et psychologique de patients crédules, mais aussi de patients qui souhaitent payer le moins cher possible, des prestations qui paraissent sans danger.

 

Or il existe de réels dangers quand l'injection est mal faite :

 

1) le premier danger est de piquer dans un vaisseau sanguin ce qui crée un embol qui peut venir boucher le vaisseau et entraîner des nécroses, c'est-à-dire la mort des tissus irrigués par ce vaisseau ; ces nécroses sont irrémédiables.

2) le deuxième danger est de pratiquer dans des conditions septiques ou mal protégées contre les contaminations microbiennes. Le risque alors est le développement d'une infection virulente, avec abcès, suppuration, mauvais résultats et parfois même des séquelles dramatiques comme on l'a observé au cours d'injections multifocales au niveau des fesses.

3) le troisième danger est que ces injections se pratiquent d'une façon désordonnée et non professionnelle, ce qui entraîne non seulement une absence de résultats, mais parfois aussi des anomalies à type de gonflement permanent par l'utilisation d'acide et hyaluronique qui se répartit mal, ou bien de paralysies à la suite d'injection de botox à des mauvais endroits, ou en quantité exagérée.

 

De ce fait, et bien alerté des risques de ces injections sauvages, le Syndicat national des chirurgiens plasticiens esthétiques et réparateur mène une action juridique continue mais complexe auprès des pouvoirs publics, pour criminaliser cette pratique qui s'effectue au détriment des patients trop crédules.Une pétition récente a été lancée via les organismes de presse par notre syndicat, action avec laquelle je suis totalement en accord.

 

Mais cette action n'est pas facile, car les intérêts financiers sont énormes : Pour les très nombreux fabricants, soumis à une impitoyable concurrence, il convient d'augmenter le nombre de boîtes vendues plutôt que de protéger les patients d'une façon rigoureuse ; il n'est pas très compliqué de se procurer des flacons de botox ou des seringues d'acide hyaluronique via certaines pharmacies ou par Internet interposé.

Pour les patients, payer moins cher est un argument majeur envers la pratique d'injection souterraine, car elle permet d'espérer un bon résultat pour un coût moindre ; d'ailleurs certaines infirmières ou certains praticiens non formés ont un goût réel pour la médecine esthétique et se retranchent derrière leurs bons résultats, en omettant de mentionner à leur patient les risques encourus, et leurs propres complications qu'ils ne veulent pas reconnaître.

 

Comment prévenir ces dangers ?

 

1) la première précaution est de réguler les prescripteurs et utilisateurs des fillers, des botox et de leurs dérivés.

Ces traitements doivent être réservés aux médecins qui ont suivi la formation des certificats complémentaires en médecine esthétique, aux dermatologues intéressés par cette pratique, et aux chirurgiens qui ont le goût pour cette action complémentaire du bistouri ; la pratique de la médecine esthétique est hautement valorisante pour parfaire des résultats que le seul bistouri n'obtient pas.

La contravention constatée par des enquêtes policières doit être sanctionnée par des amendes conséquentes pour ceux qui outrepasseront à des lois -mais qui ne sont pas encore votées.

 

2) la seconde règle est de demander aux laboratoires qui fabriquent les produits d'injection de faire un maximum d'information, en transparence, après avoir fait un maximum de recueil des complications que le corps médical aura fait remonter vers eux, afin d'avoir une idée statistique de la nocivité éventuelle des substances employées, à court moyen et long terme.

 

3) la troisième règle est d'exiger des laboratoires qu'ils vérifient la destination de ceux qui commandent leurs produits pour s'assurer d'une façon indiscutable qu'il s'agit bien d'un médecin habilité qui réceptionne le produit et s'engage à faire lui-même les injections, sans revendre les seringues ni laisser un auxiliaire (même soi-disant formé) pratiquer des injections dans une insouciance généralisée, et avec un sens des responsabilités élastique.

 

Que faire en cas de problème local ?

 

1) les principales complications du Botox injecté dans des zones autorisées par les autorités sanitaires consiste en des asymétries de mouvement, ou des paralysies gênantes fonctionnellement et esthétiquement.

S'il y a par exemple une asymétrie au niveau de la position des sourcils après une injection de Botox dans le front, il est possible techniquement de moduler l'action localement par une petite retouche d'injection de symétrisation.

Si par contre on constate une paralysie, comme cela arrive parfois au niveau des lèvres inférieures après injection dans le muscle 'abaisseur de la lèvre inférieure (au cours d'un traitement destiné à lutter contre le rictus vers le bas de la lèvre inférieure), il ne reste qu'à attendre que l'injection se dilue progressivement et qu'il se produise une récupération spontanée des mouvements ; cela se produit en général en 30 à 45 jours après l'injection

2) les principales complications après injection de fillers consistent en des nécroses, pour lesquelles il est recommandé d'injecter le plus vite possible de la hyaluronidase, ou d'appliquer localement de la topilase qui ont le pouvoir de dissoudre le gel qui a été injecté, parfois en trop grande quantité (lèvres surgonflées dites lèvres à la russe!), ou de lutter contre un spasme ou un embol intravasculaire, ce qui permet dans certains cas de récupérer une vue compromise par injection mal faite au niveau de la paupière, ou une nécrose localisée du nez au cours d'une rhinoplastie médicale.

 

En conclusion, les dangers de la médecine esthétique sont réels; ils ne sont pas seulement l'apanage des pratiquants sauvages des injections, qui eux doivent être poursuivis et condamnés; mais il existe aussi des complications entre les mains des praticiens les plus chevronnés, ce qui permet de souligner encore la nécessité de lutter contre des injections pratiquées par des non médecins: Au moins les médecins habilités ont-ils souscrit une assurance professionnelle ; ils ont aussi la possibilité de traiter la complication en évitant la panique et de laisser un patient injecté partir avec complication, sans ressources autre que de se précipiter vers un autre médecin qui voudra bien les prendre en charge.

 

 Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage
 
Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage sont actuellement dénoncés par des émissions télévisées, des reportages, et des articles de plus en plus nombreux. Il s'agit d'un phénomène mondial, les injections de fillers et de botox étant pratiquées parfois par des individus plus avides de gagner de l'argent que de réellement améliorer l'état physique et psychologique de patients crédules, mais aussi de patients qui souhaitent payer le moins cher possible, des prestations qui paraissent sans danger.
 
Or il existe de réels dangers quand l'injection est mal faite :
 
1) le premier danger est de piquer dans un vaisseau sanguin ce qui crée un embol qui peut venir boucher le vaisseau et entraîner des nécroses, c'est-à-dire la mort des tissus irrigués par ce vaisseau ; ces nécroses sont irrémédiables.
2) le deuxième danger est de pratiquer dans des conditions septiques ou mal protégées contre les contaminations microbiennes. Le risque alors est le développement d'une infection virulente, avec abcès, suppuration, mauvais résultats et parfois même des séquelles dramatiques comme on l'a observé au cours d'injections multifocales au niveau des fesses.
3) le troisième danger est que ces injections se pratiquent d'une façon désordonnée et non professionnelle, ce qui entraîne non seulement une absence de résultats, mais parfois aussi des anomalies à type de gonflement permanent par l'utilisation d'acide et hyaluronique qui se répartit mal, ou bien de paralysies à la suite d'injection de botox à des mauvais endroits, ou en quantité exagérée.
 
De ce fait, et bien alerté des risques de ces injections sauvages, le Syndicat national des chirurgiens plasticiens esthétiques et réparateur mène une action juridique continue mais complexe auprès des pouvoirs publics, pour criminaliser cette pratique qui s'effectue au détriment des patients trop crédules.Une pétition récente a été lancée via les organismes de presse par notre syndicat, action avec laquelle je suis totalement en accord.
 
Mais cette action n'est pas facile, car les intérêts financiers sont énormes : Pour les très nombreux fabricants, soumis à une impitoyable concurrence, il convient d'augmenter le nombre de boîtes vendues plutôt que de protéger les patients d'une façon rigoureuse ; il n'est pas très compliqué de se procurer des flacons de botox ou des seringues d'acide hyaluronique via certaines pharmacies ou par Internet interposé.
Pour les patients, payer moins cher est un argument majeur envers la pratique d'injection souterraine, car elle permet d'espérer un bon résultat pour un coût moindre ; d'ailleurs certaines infirmières ou certains praticiens non formés ont un goût réel pour la médecine esthétique et se retranchent derrière leurs bons résultats, en omettant de mentionner à leur patient les risques encourus, et leurs propres complications qu'ils ne veulent pas reconnaître.
 
Comment prévenir ces dangers ?
 
1) la première précaution est de réguler les prescripteurs et utilisateurs des fillers, des botox et de leurs dérivés.
Ces traitements doivent être réservés aux médecins qui ont suivi la formation des certificats complémentaires en médecine esthétique, aux dermatologues intéressés par cette pratique, et aux chirurgiens qui ont le goût pour cette action complémentaire du bistouri ; la pratique de la médecine esthétique est hautement valorisante pour parfaire des résultats que le seul bistouri n'obtient pas.
La contravention constatée par des enquêtes policières doit être sanctionnée par des amendes conséquentes pour ceux qui outrepasseront à des lois -mais qui ne sont pas encore votées.
 
2) la seconde règle est de demander aux laboratoires qui fabriquent les produits d'injection de faire un maximum d'information, en transparence, après avoir fait un maximum de recueil des complications que le corps médical aura fait remonter vers eux, afin d'avoir une idée statistique de la nocivité éventuelle des substances employées, à court moyen et long terme.
 
3) la troisième règle est d'exiger des laboratoires qu'ils vérifient la destination de ceux qui commandent leurs produits pour s'assurer d'une façon indiscutable qu'il s'agit bien d'un médecin habilité qui réceptionne le produit et s'engage à faire lui-même les injections, sans revendre les seringues ni laisser un auxiliaire (même soi-disant formé) pratiquer des injections dans une insouciance généralisée, et avec un sens des responsabilités élastique.
 
Que faire en cas de problème local ?
 
1) les principales complications du Botox injecté dans des zones autorisées par les autorités sanitaires consiste en des asymétries de mouvement, ou des paralysies gênantes fonctionnellement et esthétiquement.
S'il y a par exemple une asymétrie au niveau de la position des sourcils après une injection de Botox dans le front, il est possible techniquement de moduler l'action localement par une petite retouche d'injection de symétrisation.
Si par contre on constate une paralysie, comme cela arrive parfois au niveau des lèvres inférieures après injection dans le muscle 'abaisseur de la lèvre inférieure (au cours d'un traitement destiné à lutter contre le rictus vers le bas de la lèvre inférieure), il ne reste qu'à attendre que l'injection se dilue progressivement et qu'il se produise une récupération spontanée des mouvements ; cela se produit en général en 30 à 45 jours après l'injection
2) les principales complications après injection de fillers consistent en des nécroses, pour lesquelles il est recommandé d'injecter le plus vite possible de la hyaluronidase, ou d'appliquer localement de la topilase qui ont le pouvoir de dissoudre le gel qui a été injecté, parfois en trop grande quantité (lèvres surgonflées dites lèvres à la russe!), ou de lutter contre un spasme ou un embol intravasculaire, ce qui permet dans certains cas de récupérer une vue compromise par injection mal faite au niveau de la paupière, ou une nécrose localisée du nez au cours d'une rhinoplastie médicale.
 
En conclusion, les dangers de la médecine esthétique sont réels; ils ne sont pas seulement l'apanage des pratiquants sauvages des injections, qui eux doivent être poursuivis et condamnés; mais il existe aussi des complications entre les mains des praticiens les plus chevronnés, ce qui permet de souligner encore la nécessité de lutter contre des injections pratiquées par des non médecins: Au moins les médecins habilités ont-ils souscrit une assurance professionnelle ; ils ont aussi la possibilité de traiter la complication en évitant la panique et de laisser un patient injecté partir avec complication, sans ressources autre que de se précipiter vers un autre médecin qui voudra bien les prendre en charge.

Propos recueillis  par  Nora  Ansell-Salles 
 

samedi 3 septembre 2022

COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Mine d'Infos


En cette rentrée de septembre,
"Mine d'Infos" ouvre ses colonnes aux Regards & Commentaires sur l'Actualité de ses lecteurs.

Si vous souhaitez "réagir à chaud" à l'actualité du moment ou publier un post sur votre propre actualité ...

Il vous suffit d'envoyer vos textes et visuels à :

Au plaisir de vous lire.

Bon début de semaine 

Nora ANSELL-SALLES
Rédacteur en chef
Veille & Blog Mine d'Infos
28 rue des Acacias 75017 Paris
http://pressentinelle2.blogspot.fr/