Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 14 février 2014

Enquête Fondation de l’Avenir / Banque Française Mutualiste sur l'opinion des Français sur le transfert de compétences en médecine

Enquête Fondation de l’Avenir/Banque Française Mutualiste : « Près de 3 français sur 4 pensent que le transfert de compétences[1] en médecine est une bonne idée » Dans le cadre de sa mission sociale de soutien de l’innovation dans les pratiques de soins et d'accompagnement, la Fondation de l'Avenir, en partenariat avec la Banque Française Mutualiste, a souhaité connaître l’opinion et le comportement des Français au sujet du transfert de compétences entre professionnels de santé.




Depuis 2004, les professionnels de santé sans être médecins sont légalement autorisés sous certaines conditions à prendre en charge des examens ou des soins qui ne relèvent pas de leur formation initiale. Par exemple : un(e) infirmier(ière) peut être habilité(e) à vacciner, le manipulateur d’électroradiologie peut réaliser un doppler, une échographie abdominale de surveillance, un orthoptiste peut réaliser un bilan optique… S’il s’agit à l’heure actuelle d’un débat entre spécialistes, aux intérêts parfois divergents, la Fondation de l’Avenir a voulu, à travers cette enquête en ligne réalisée par Médiaprism, connaître la position du grand public, et donc des bénéficiaires potentiels.


Principaux enseignements de l’enquête


85% des Français ont déjà entendu parler du transfert de compétences.



Les Français ont majoritairement (85%) déjà entendu parler du transfert de compétences mais leur connaissance du sujet est incertaine. En effet, 25% ont eu besoin d’une explication pour se le rappeler car cela ne leur disait rien spontanément, 37% disent savoir vaguement ce que c’est et seulement 23% savent assez bien de quoi il s’agit. Un tiers des Français qui ont entendu parler de transfert de compétences ignorait que ce système existait en France.


74% des français estiment qu’il s’agit d’une bonne idée.



Le principe de transfert de compétences est plutôt bien accueilli : les trois-quarts des répondants estiment en effet que c’est une bonne idée. Ils semblent pourtant manquer de conviction puisque 16% seulement pensent que c’est une très bonne idée et 58% pensent que c’est une assez bonne idée. Les hommes, les jeunes et les professions intermédiaires considèrent plus encore que les autres publics que le transfert de compétences est une bonne idée (respectivement 77%, 80% et 83%)


71% des français sont prêts à recourir à ce système pour eux-mêmes.



Surtout pour eux-mêmes, plus que pour leurs enfants (pour ceux qui en ont). Les jeunes sont davantage prêts que leurs aînés (77% des moins de 35 ans et 69% des plus de 35 ans se disent prêts). Principal levier pour les personnes réticentes : le fait que le professionnel de santé soit encadré par un médecin (surtout si le médecin conserve la responsabilité de la démarche).

Les personnes ouvertes au transfert de compétences font confiance aux professionnels de santé auxquels ils reconnaissent une solide expérience (67%) et une formation sérieuse (54%). Ils perçoivent par ailleurs les avantages « pratiques » de la situation : pour 61% d’entre eux, cela réduirait les délais d’attente, et pour 52%, ce serait une solution pour éviter la pénurie médicale.


Méthodologie d’enquête



L’enquête a été réalisée online auprès de la communauté Email&Vous de Mediaprism, composée d’internautes âgés de 18 ans ou plus. L’échantillon de 1015 individus a été redressé sur les critères de genre, âge, CSP individu, lieu de résidence, taille d’agglomération et revenu net du foyer de manière à être représentatif de la population française de 18 ans ou plus. L’étude terrain a été menée du 8 au 15 novembre 2013.
 
 


Les résultats complets de l’enquête sont disponibles en téléchargement sur les sites


www.fondationdelavenir.org et www.bfm.fr.
 
 
EN SAVOIR PLUS : calameo.com/read/003152624
 
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La Fondation de l’Avenir a été créée en 1987 par la Mutualité et reconnue d’utilité publique en 1988. Au sein de l’économie sociale et solidaire, elle a pour mission de soutenir la recherche médicale appliquée et l’innovation dans les pratiques de soins et l’accompagnement au service de l’intérêt général. La recherche médicale appliquée est l’étape qui permet aux découvertes de la recherche fondamentale de trouver une application clinique destinée à guérir des milliers de malades.




Les projets de recherche soutenus concernent toutes les spécialités médico-chirurgicales et s’intéressent à tous les domaines d’application de la recherche médicale. Entièrement financée par des dons et subventions privés, la Fondation de l’Avenir a contribué à des découvertes majeures parmi lesquelles : la désintégration des calculs rénaux sans chirurgie, la stimulation cérébrale profonde pour traiter les symptômes de la maladie de Parkinson, la première greffe de cellules pour réparer le cœur après un infarctus, l’isolation de l’organe malade pour éliminer les cancers pelviens….



La Fondation de l’Avenir soutient également l’innovation dans les pratiques de soins, et a par exemple, coordonné l’expérimentation du premier grand Programme d’Assurance Qualité, sur la prise en charge de la douleur. En 25 ans, elle a financé près de 900 programmes et projets de recherche et d’innovation. Depuis 1992, la Fondation de l’Avenir accueille en son sein des fondation abritées pour des organismes qui s’assignent des buts comparables aux siens, qu’elle gère de manière individualisée. Soucieuse de garantir à ses donateurs une totale transparence de l’emploi des fonds recueillis, La Fondation de l’Avenir a reçu l’agrément du Comité de la Charte du don en confiance.

La Banque Française Mutualiste (BFM), la banque des agents du secteur public.




Créée en 1986 à l’initiative des mutuelles de la Fonction publique, son sociétariat est aujourd’hui composé de 26 mutuelles des secteurs publics.

Elle propose à leurs adhérents, et plus largement à l’ensemble des agents, une offre de prêts et d’épargne assortie de conditions attractives. Sans guichets et pourtant proche de ses clients, elle distribue son offre via les agences de son partenaire historique, la Société Générale. En région, elle s’appuie sur son réseau de délégués avec le soutien de responsables mutualistes qui entretiennent des relations de proximité avec les différentes Fonctions publiques.

Guidée par des valeurs mutualistes de solidarité et de responsabilité citoyenne, elle place l’intérêt de la personne avant l’intérêt financier. Ainsi, elle s’engage depuis plusieurs années dans la prévention des risques financiers et la lutte contre le mal-endettement et le surendettement.




Aujourd’hui, plus d’1 million d’agents du secteur public sont clients de la banque.

Mediaprism
, filiale du Groupe Mediapost/Groupe La Poste, est le 1er groupe de communication intégré au service des entreprises, des institutions, des marques et des associations.
La force de Mediaprism s’articule autour de deux savoir-faire : la maîtrise de la connaissance des publics et le conseil stratégique et créatif. Etre « L’éclaireur des publics », c’est justement combiner ces deux dimensions de façon originale : la communication et la relation justes reposent sur une démarche rigoureuse de connaissance des publics. Cette offre globale de communication basée sur la connaissance des publics est nourrie par une base de plus de 36 millions d’individus dont 20 millions d’internautes. Elle est déclinable en marketing relationnel, opérationnel, interactif, publicité, relations médias, études, enquêtes d’opinion... dans des secteurs aussi différents que le caritatif, l’institutionnel, la consommation ou le corporate. Mediaprism (19 millions d’euros de CA en 2011) est présent en France, en Belgique, en Espagne et au Royaume-Uni.

[1] Le droit français ne mentionne pas le transfert de compétences en tant que tel, mais la coopération entre professionnels de santé. Le choix d’aborder l’enquête par le biais « transfert de compétences » se justifie par une volonté de compréhension évidente par les participants, reprenant les expressions génériques entrevues dans les médias.



 
 
 



 
 
 
 
 







 

jeudi 16 janvier 2014

BOUTEILLE A LA MER


AVIS DE RECHERCHE

 

Une mutuelle sociétaire de la Banque Française Mutualiste – BFM

 

Recherche un décompteur de prestations. Poste à plein temps basé en région parisienne.

 

CV est à faire parvenir à : mrosenberger@bfm

 

Merci

de faire suivre l’information dans votre réseau.

vendredi 29 novembre 2013

AGENDA: 5/12/2013 à 17H30 débat "Economie Sociale et Solidaire" organisé par la BFM Espace Centenaire - 189 rue de Bercy 75012 PARIS


Depuis 27 ans, la Banque Française Mutualiste, fidèle à son engament citoyen inscrit dans sa signature « Profession Banquier, Vocation Solidarité », soutient au quotidien de nombreux projets liés à l’Economie sociale et Solidaire.

 

Dans le cadre du « Mois de l’Economie Sociale et Solidaire », la BFM a soutenu cette année le Court   « Pour y voir plus clair ».réalisé par un groupe d’étudiants en master d’Economie Sociale de la faculté de Metz.

 

Le film qui illustre les difficultés rencontrées par les jeunes pour la prise en charge des frais d’optique, sera projeté en ouverture d’un grand débat « Economie sociale en Europe » suivi d’un buffet dinatoire. 

 

 

Le 5 décembre 2013

 à 17h30

Espace Centenaire – site RATP

189 rue de Bercy

75012 PARIS

   
Entrée libre

Inscription obligatoire Avant le 2/12/2013: ipausset@bfm.fr

 

lundi 25 novembre 2013

La Banque Fédérale Mutualiste fait sa mue


Partenaire historique de la Société Générale, l'établissement veut s'adresser directement à ses clients.

Une page se tourne pour la Banque Fédérale Mutualiste. Après avoir liquidé sa filiale, la Banque Française, qui plombait ses comptes, en juin 2013, l'institution financière change de nom pour devenir la Banque Française Mutualiste (BFM). Discrète, agissant dans l'ombre de son partenaire historique la Société Générale, elle veut prendre l'initiative et s'adresser directement à ses clients.



La BFM change de nom mais pas d’identité
 
En mai dernier, l’Assemblée générale de la BFM a voté le changement de dénomination sociale de Banque Fédérale Mutualiste en Banque Française Mutualiste.
 
Par cette évolution, la Banque Française Mutualiste confirme son ancrage sur le territoire national pour être au plus près des agents du secteur public, en métropole et en Outre-mer.
Seule banque en France dont le capital est intégralement détenu par des mutuelles, elle réaffirme également son identité mutualiste au service de ses mutuelles sociétaires.
L’application de cette nouvelle dénomination est effective depuis le 30 septembre 2013, date de publication au Kbis.

NDLR : MGEFI et BFM
 
 


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