MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
samedi 28 octobre 2023
INTERVIEWS/PORTRAITS D'AMBASSADEURS : Armand Guy Zounguere-Sokambi ancien ambassadeur de Centrafrique
mercredi 16 août 2023
Covid-19 : point sur le nombre de cas en France et dans le monde...
samedi 25 mars 2023
Tribune de Gilles Djeyaramane
Après un mois de mars censé célébrer la Francophonie en France et dans le monde, force est de constater que l’événement a été peu couvert par les médias français. Aussi, il est légitime de s’interroger sur la compréhension et l’appropriation du concept par les français. Cette quasi-absence de reprises médiatiques confirme qu’il « manque une pièce au puzzle institutionnel » de la Francophonie dans son berceau. Ne faut-il pas faire preuve d’ambition en créant une délégation interministérielle ou un Haut-Commissariat à la promotion de la Francophonie en France ?
Peu de ministre et de personnalités en capacité d’incarner et de donner corps à la Francophonie au niveau national
Attardons-nous quelques minutes sur les profils et les bilans des personnalités qui se sont succédés à la tête du portefeuille de la Francophonie depuis 1986.
Les derniers gouvernements français sous la Présidence d’Emmanuel Macron ne comportaient pas de ministère ou de secrétariat d’État dédié uniquement à la Francophonie. Certes, Jean-Yves Le Drian, Ministre des Affaires étrangères ou Jean-Baptiste Lemoyne Ministre délégué y étaient sensibles, ce dernier aurait même réussi à arracher au Président le privilège d’accoler le terme Francophonie à son titre ministériel.
Auparavant pourtant, une dizaine de personnalités ont occupé la fonction avec des bilans plus ou moins discutables. Des Ministres de la Francophonie qui cumulaient la fonction de ministre de la Coopération sans y accorder une réelle importance. Des intellectuels et des artistes, dont un des plus prestigieux fut Alain Decaux de 1988 à 1999. Mais, depuis Alain Decaux, et loin de toute volonté d’offenser ses successeurs, peu de « poids lourds » médiatiques ont rempli la mission avec autant de « panache ».
Un outil de « soft power » indispensable pour renouer les liens avec les opinions publiques africaines
Ces dernières années, la France a perdu son influence en Afrique francophone et son capital sympathie auprès des populations Africaines. Plusieurs coups d’état ont renversé des dirigeants plus ou moins francophiles : Mali, Burkina Faso ou Guinée. Le nouveau quinquennat représente une occasion de restaurer les liens coupés par une succession de maladresses aussi bien au plus haut niveau du pouvoir que dans la façon dont les citoyens français perçoivent les populations de ces pays. Il s’agirait de remettre à plat la relation entre la France et ses anciennes colonies en construisant un nouveau cadre relationnel entre leurs peuples. La Francophonie par la relation égalitaire et décomplexée qu’elle implique peut en constituer le tuteur. Sa promotion peut être l’occasion de rappeler la densité et la richesse des liens entre tous les Francophones et l’existence d’une communauté de destin. Les secteurs de coopération francophone sont multiples : promotion de la langue française, éducation, transferts de technologie, développement, santé …. Mais le travail d’appropriation culturelle doit commencer sur le territoire français métropolitain avant de trouver un relais international.
Un délégué interministériel indispensable
Dans cette optique, la création d’une délégation interministérielle ou la nomination d’un Haut-Commissaire constituerait une innovation structurelle importante en vue d’une plus grande promotion de la Francophonie. Cette délégation renforcerait l’action des ministres français en charge des Affaires étrangères, de l’économie, de la défense, de la santé en y apportant cohérence, volontarisme et pragmatisme.
Ce responsable exercerait des fonctions proches de celles d'un secrétaire d'État tout en étant rattaché directement au Premier ministre et donc sans dépendre d'un ministre de tutelle.
Le délégué assurerait la coordination et l’harmonisation des programmes d’actions en matière de Francophonie. Il mobiliserait l’ensemble des acteurs français étatiques ou privées potentiellement concernés : élus, services centraux et déconcentrés de l’Etat, établissements publics, associations œuvrant dans les domaines de la Francophonie. Les régions, les départements mais aussi les communes seraient invitées à développer la Francophonie dans leurs politiques publiques.
Par exemple, des échanges de lycéens, la création d'un Erasmus francophone, le développement d’une coopération décentralisée en matière économique au niveau des départements pourrait être soutenus, la création de correspondants municipaux à la Francophonie serait encouragée dans les communes (à l’image des correspondants municipaux à la défense, les CMD), etc…
Les grandes institutions dédiées à la recherche ou à la promotion de la santé par exemple (prévention ou recommandations en santé par exemple) verraient leurs actions et leurs travaux relayés dans l’espace francophone.
Enfin, le délégué participerait aux propositions et à la veille législative en matière de Francophonie. Bien évidemment, les missions de l’actuelle délégation interministérielle à la langue française pour la cohésion sociale trouveraient leur place dans cette entité aux missions élargies mais concrètes car en prise directe avec les réalités du terrain.
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles
mercredi 24 août 2022
Et si le Liban redevenait la « Grande fille » de la Francophonie !
mercredi 17 août 2022
En amont du 2ème congrès AIDF du 3 au 5 octobre 2022 à Sousse en Tunisie...
jeudi 14 juillet 2022
dimanche 5 juin 2022
Rebond de l'épidémie de Covid-19 en France
samedi 4 juin 2022
Bilan des actions de SEE - Santé en Entreprise France / Outremer et Afrique :
mercredi 18 mai 2022
mardi 11 janvier 2022
Tribune libre de Jacques Crombet
dimanche 10 octobre 2021
jeudi 26 août 2021
Évacuations Kaboul : Clap de fin
jeudi 15 décembre 2016
Les logements sont-ils trop chers en France ?
La France du #logement trop cher @Abbe_Pierre
Se loger correctement reste un objectif inatteignable pour une large part des ménages des couches populaires et moyennes.
La France n’est pas sortie du logement hors de prix. Malgré le tassement des prix depuis 2011, à l’achat comme à la location, se loger correctement reste un objectif inatteignable pour une large part des ménages des couches populaires et moyennes, notamment dans les grandes villes.
La Fondation Abbé Pierre a testé, dans douze agglomérations françaises de diverses tailles, ce que différents ménages-types pouvaient concrètement s’offrir, à la location ou à l’achat, dans le neuf ou dans l’ancien, dans le privé ou dans le parc social.
Résultat : en dehors du logement vraiment social (PLAI et PLUS), les prix proposés sont souvent trop élevés pour la plupart des ménages, et pas seulement en région parisienne.
Les ménages les plus modestes ne sont pas les seuls touchés. Par exemple, un couple gagnant 2 200 € par mois avec un enfant ne pourra pas, à Nice, Lyon, Ivry, Bordeaux ou Montpellier, acheter un T3 à la mesure de ses moyens, sauf à subir un taux d’effort excessif ou à choisir un logement dégradé.
> Lire la suite….
lundi 7 novembre 2016
Une personne sur deux atteintes de diabète n’est pas dépistée. Agissons maintenant pour changer la situation demain.
Ciblant en priorité les villes du Sud, cette édition vise à offrir un dépistage gratuit du diabète accompagné de conseil au plus grand nombre, notamment aux personnes à risque.
Plusieurs équipes d’infirmiers et de diététiciennes seront déployées sur site :
- Samedi 12 novembre, La Possession, Place du marché forain, 7h00 à 13h00
- Dimanche 13 novembre, Saint-Pierre, Course « Diab'Athletic », Parking Jumbo, 6h00 à 12h00
- Lundi 14 novembre :
Saint-Louis, Parvis de la mairie, 9h00 à 16h30
Entre deux, Place de la liberté, 9h00 à 16h30 - Mardi 15 novembre :
Saint-Joseph, Parvis de l’église, 9h00 à 16h30
Saint-Philippe, face à la mairie, 9h00 à 16h30 - Mercredi 16 novembre, Le Tampon, Parvis de la Mairie, 9h00 à 16h00
SEE est une association loi 1901 crée en janvier 2011 et hébergée par LafargeHolcim à Paris. Forte d’un réseau de 40 entreprises partenaires, l’association met en place des actions de prévention contre le VIH, les hépatites, le paludisme et le diabète destinées aux employés et au grand public. Elle intervient en France, en Afrique, dans la Caraïbe et l’Océan Indien.
Tel : +33 6 62 60 95 44
Facebook : https://www.facebook.com/santeenentreprise2016/
Twitter : @see_asso
jeudi 28 juillet 2016
Publication du rapport de la Commission sur les données et la connaissance de l’interruption volontaire de grossesse (IVG)
La Commission sur les données et la connaissance de
l’interruption volontaire de grossesse (IVG), mise en place en 2015 par Marisol
Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, dans le cadre du
programme national d’action pour améliorer l’accès à l’IVG en France, publie
aujourd’hui son rapport.
Ce rapport, intitulé « IVG : état des lieux et perspectives
d’évolution du système d’information », synthétise les travaux menés pendant un
an par la Commission. Il rappelle que le nombre d’IVG en France est stable
depuis une dizaine d’années, avec 218 100 IVG réalisées en 2015, et marqué par
d’importantes disparités régionales. Il montre que si les conditions d’accès à
l’IVG sont globalement satisfaisantes, des difficultés persistent, en
particulier chez les femmes les plus jeunes ou connaissant une situation
socio-économique précaire. Il souligne le besoin d’améliorer les connaissances
concernant d’une part l’adéquation de l’offre aux attentes des femmes
(accessibilité géographique, délais de prise en charge, méthodes proposées et
accompagnement), et d’autre part leur parcours compris au sens large, englobant
la contraception avant et après l’IVG.
Parmi les recommandations de la Commission, l’élaboration
d’un à la demande des Agences régionales de santé, est
déjà engagée, dans la perspective des plans d’actions régionaux d’accès à l’IVG.
Faisant l’objet de la mesure 8 du programme national
d’action présenté par Marisol Touraine le 16 janvier 2015 et chargée d’établir
un état des lieux partagé de la pratique de l’IVG en France et du parcours des
femmes, la commission sur les données et la connaissance de l’IVG a réuni les
producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des
chercheurs et des institutions et associations concernées par l’IVG. Elle a été
pilotée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des
statistiques (DREES).
|
TÉLÉCHARGER LE
RAPPORT
« IVG
: État des lieux et perspectives d'évolution du système d'information », rapport
de la commission sur les données et la connaissance de l’IVG»,
juillet 2016
|
Accédez à toutes nos
publications sur Internet : http://www.drees.social-sante.gouv.fr
Les destinataires de ce courrier
électronique sont informés de l'existence à la DREES d'un traitement de données
à caractère personnel les concernant. Sous la responsabilité du directeur des
publications, ce traitement a pour objet la diffusion des publications de la
DREES. Les données utilisées sont
l'identité, la profession, l'adresse postale et électronique personnelle ou
professionnelle. Conformément aux dispositions de
la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux
libertés, les destinataires disposent d'un droit d'accès et de rectification aux
données les concernant, ainsi qu'un droit d'opposition à figurer dans ce
traitement. Ils peuvent exercer ces
droits en en écrivant à : Ministère des Affaires sociales et de la Santé - DREES
- Bureau Publications et Communication - 14 avenue Duquesne - 75350 Paris 07 SP
ou en envoyant un courriel à : drees-infos@sante.gouv.fr.
|