Nora ANSELL-SALLES

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lundi 7 septembre 2015

mardi 10 septembre 2013

jeudi 23 mai 2013

CMUC : Ce qu'il faut savoir...

EN PRIMEUR SUR COULEURS MGEFI DE MAI 2013





Cmuc : Le saviez-vous ?

 

L’ACS : aide à la complémentaire santé

 

Une aide financière pour les assurés qui en ont vraiment besoin

 

L’aide à la complémentaire santé concerne les assurés dont les ressources sont supérieures au plafond fixé pour l’attribution de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMUC).

 

Délivrée sous la forme d’une attestation “chèque”, l’ACS ouvre droit à une réduction sur la cotisation auprès de l’organisme complémentaire.

 

 

Conditions pour en bénéficier

 

• Résider en France depuis plus de 3 mois

 

• Être en situation régulière

 

• A voir les revenus annuels qui ne dépassent pas les plafonds ci-dessous.

 

MÉTROPOLE   DOM

7 934 €            8 831 €

11 902 €         13 246 €

14 282 €         15 896 €

16 662 €         18 545 €

 

 

Montants de l’aide

Le montant de l’accord varie en fonction de l’âge du bénéficiaire.

 

ÂGE / MONTANT

De 16 ans/ 100 €

De 16 à 49 ans/ 200 €

De 50 à 59 ans /350 €

À partir de 60 ans/ 500 €

 

Comment l’obtenir ?

La demande doit être faite auprès de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de votre domicile (imprimé disponible sur www.ameli.fr) y compris pour les assurés affiliés à MFP Services.

 

NDLR : MGEFI et CMUC

 

La MGEFI peut être désignée comme organisme complémentaire pour la gestion de la couverture CMUC. Il suffi t de le préciser lors de votre demande auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

 

En savoir plus : www.mgefi.fr

vendredi 19 avril 2013

Stop Smocking, l'application Androïd qui aide à arrêter de fumer



Arrêter de fumer à l'aide de son smartphone Android

Stop Smoking est une application Android qui vous permet de vous assister tout au long de votre période de sevrage tabagique.

Simple d'utilisation pour configurer cette application, il n'y a qu'à renseigner sa date et son heure d'arrêt, le prix d'un paquet de cigarette et le nombre de cigarettes que vous fumiez. L'application fera ensuite le reste.

Découvrez de nombreuses statistiques

Depuis la date d'arrêt du tabac, voyez combien de cigarettes vous avez épargné, combien d'argent vous avez économisé, le temps de vie gagné...

Vous pouvez aussi voir des
objectifs de santé que vous pouvez atteindre au fil des jours ainsi que des médailles que vous pouvez débloquer.

Un widget pour votre bureau vous rappellera certaines données afin d'avoir toujours un œil sur votre état de santé.

Une application qui évolue constamment, et ce, grâce à la start-up qui la développe

https://play.google.com/store/apps/details?id=stopSmoking.team.geny

Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.communique-de-presse-gratuit.com/stop-smocking-lapplication-android-qui-aide-a-arreter-de-fumer_123204.html



mercredi 20 mars 2013

Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire


Présentation des résultats de l’étude Abena 2011-2012 et évolutions depuis 2004-2005

Les conditions de vie des personnes ayant recours à l’aide alimentaire peuvent avoir un impact sur leur santé, en particulier nutritionnelle. Ainsi, une première étude ABENA

réalisée en 2004-2005 avait montré la faible consommation par ces personnes de certains groupes alimentaires (en particulier les fruits et légumes et le poisson) et leur situation

défavorable au regard de nombreux marqueurs de leur état nutritionnel (obésité, hypertension, déficits vitaminiques et minéraux). Qu’en est-il aujourd’hui ? La deuxième édition de

l’étude ABENA donne un nouvel état des lieux de la situation nutritionnelle des bénéficiaires de l’aide alimentaire en France.

Françoise Weber Nathalie Sénécal Thanh Le Luong Sabine Fourcade

Directrice générale de l’InVS Directrice de l’ORS Île-de-France Directrice générale de l’Inpes Directrice générale de la cohésion sociale

Conférence de presse

Vendredi 22 mars 2013 à 09h15

Au CAPE Grand Palais,

Cours de la Reine, Perron Alexandre III, 75008 Paris

Métros : Champs-Elysées Clémenceau (L1 ou 13) ou Franklin D. Roosevelt (L1 ou 9)

Parking : Rond-Point des Champs Elysées (30 av des Champs-Elysées) ou Vinci (3 av. Matignon)

InVS – Katel Le Floc’h : 01 41 79 57 54 – k.lefloch@invs.sante.fr - Inpes – Vanessa Lemoine : 01 49 33 22 42 – vanessa.lemoine@inpes.sante.fr

ORS – Christine Canet : 01 77 49 77 46 – c.canet@ors-idf.org - DGCS – Chimène Mandrin : 01.40.56.82.03 – chimene.mandrin@social.gouv.fr

 

lundi 28 janvier 2013

Addiction aux jeux : Joueurs Info Service, une aide personnalisée et interactive




Quand le jeu n’est plus un jeu : vers qui se tourner si un de ses proches est accro aux jeux ? A quel moment,

peut-on se considérer comme un joueur à risque ? Pour le joueur occasionnel ou le joueur excessif1, pour

l’entourage ou pour soi-même, les jeux de hasard suscitent de nombreuses questions. Si en France, un peu plus

d’une personne sur cinq joue régulièrement dans l’année, plus de 48 % des Français entre 18 et 75 ans déclarent

avoir joué de l’argent selon le Baromètre santé Inpes 20102. Impact financier, isolement, tendances suicidaires…

les conséquences d’une pratique excessive du jeu peuvent être graves, et parfois accentuées par la présence

d’autres addictions. C’est un sujet de préoccupation des pouvoirs publics. Aussi, ADALIS (Addictions Drogues

Alcool Info Service) et l’Inpes lancent un nouveau portail interactif d’information et d’aide personnalisée sur les

jeux liés à l’argent.

Addiction aux jeux : les hommes plus concernés que les femmes

Jouer est en général un loisir, une passion, une source d’excitation ou de détente. Mais avec les jeux d’argent et de

hasard, quand le rythme s’accélère, quand on commence à perdre des sommes importantes, on peut se demander si le

jeu reste un loisir ou s’il devient un problème voire une dépendance. En France, selon les résultats du Baromètre santé

Inpes 2010, on peut estimer que 0,9 % des individus (400 000 personnes) présentent un risque modéré et que 0,4 % sont

des joueurs excessifs (200 000 personnes), soit 1,3 % de joueurs dits problématiques.

Le jeu excessif se retrouve plus souvent chez les moins de 34 ans et les personnes ayant de faibles revenus. En France,

76 % des joueurs excessifs sont des hommes, 84 % ont entre 25 et 54 ans, 58 % déclarent un revenu mensuel

inférieur à 1 100 euros et la grande majorité vit en ville. Les montants joués augmentent fortement avec le niveau de

risque du joueur. La part de joueurs misant plus de 1500 euros par an concerne 3 % des joueurs sans problème, 10% des

joueurs à risque faible3, 23 % des joueurs à risque modéré pour atteindre 48 % des joueurs excessifs.

Internet change la donne pour les joueurs

En France, la loi du 12 mai 2010 a ouvert et organisé le jeu d’argent et de hasard sur Internet. Neuf mois après, l’offre

légale de jeu sur Internet a généré 2,6 millions de comptes de joueurs actifs4 et 595 millions d’euros de mises (ARJEL

2011). Selon le Baromètre santé Inpes 2010, réalisé juste avant la légalisation des jeux sur Internet, un peu moins d’un

joueur actif sur dix (9,1 %) déclarait s’y être adonné. Ces joueurs actifs en ligne au moment de l’enquête étaient âgés de

moins de 35 ans (45,1 %) pour près de la moitié d’entre eux, et étaient huit fois sur 10 des hommes (81,6 %). L’étude

constate que les jeux sur Internet sont plus fréquemment pratiqués par les joueurs excessifs. Ainsi, ces derniers

déclarent y jouer en moyenne 179 fois par an contre 90 pour les joueurs à faibles risques ou 70 pour les joueurs à

risques modérés.

Le constat d’un réel besoin d’information et de conseils pour les joueurs et l’entourage

Jouer, s’isoler des autres, rejouer en pensant récupérer sa mise… Plus la dépendance aux jeux s’installe, plus elle a

d’impact sur la vie des joueurs et celle de leur entourage. Les conséquences sont diverses et les solutions pas toujours

évidentes. Vers qui se tourner ? La ligne d’écoute téléphonique « Joueurs Info Service » (09 74 75 13 13, appel non

surtaxé) a été créée dans le but d’apporter une aide à ces personnes. Depuis sa création en juin 2010, elle a déjà

traité plus de 32 000 appels.

En 2011, 69 % des joueurs et près de la moitié de l’entourage appelant étaient âgés entre 20 et 49 ans. La majorité

des appels des proches provient du conjoint(e) (38 %) et des parents (26 %).

Le motif des appels est varié : 43 % des joueurs abordent leur pratique de jeux, 36 % questionnent sur les modalités de

l’arrêt. Les aspects sociaux, essentiellement liés aux problèmes financiers viennent en 3ème position avec 20 % des

appels. Pour l’entourage le premier besoin est celui de parler de la pratique du jeu de leur proche, savoir quelle

attitude adopter, comment faire face au déni éventuel, agir avant le pire. Ces problématiques représentent 71 %

des appels. Les aspects relationnels sont aussi une thématique beaucoup plus exprimée par l’entourage que par les

joueurs avec 51 % des appels contre 14% pour les joueurs.

1 Joueur excessif : joueur répondant à des critères indiquant qu’il est en grande difficulté par rapport à sa conduite de jeu.

2 Source Baromètre santé Inpes 2010

3 Joueur à risque faible : joueur ayant peu de chance de se trouver en difficulté par rapport à sa conduite de jeu

4 Joueur actif : a joué au moins 52 fois et/ ou a misé au moins 500 euros au cours des 12 derniers mois.

Joueurs Info Service : une aide personnalisée et une entraide interactives pour les joueurs et l’entourage

L’Inpes et ADALIS lancent un nouveau site à destination des joueurs et de leur entourage, en complément de la ligne

d’écoute Joueurs Info Service. Car avec l’autorisation des jeux en ligne sur Internet, il est aussi important de pouvoir être

au plus proche des joueurs en ligne. « Aujourd’hui, un dispositif d’aide à distance ne peut en effet se concevoir sans son

volet internet. Il nous faut diffuser de l’information et proposer notre aide via ce média prédominant, et ainsi toucher un

public qui ne téléphone pas facilement et se sent plus à l’aise avec l’échange en ligne » explique Véronique Bony,

directrice générale d’ADALIS.

 

Le contenu du site a été rédigé dans le but de répondre aux

questions que se posent les joueurs et leur entourage.

Comment limiter ma pratique de jeu ? Comment gérer mes

problèmes d’argent ? Comment préserver mes finances ?

Que faire pour l’aider ? Le site délivre des conseils pratiques

et juridiques, et oriente les internautes vers des

professionnels à l’aide d’un annuaire de 3 000 structures

spécialisées en addictologie. « Les jeux de hasard peuvent

donner lieu à une vraie addiction et nécessitent à ce titre un

dispositif de soutien tout comme les autres drogues. Les

joueurs sont nombreux à se poser des questions, sur leur

pratique du jeu, certains sont dans des situations

économiques ou sociales critiques : ils ont vidé leur compte

en banque, hypothéqué leur maison… » commente le Dr

Thanh Le Luong, directrice générale de l’Inpes.

 

Un site dédié à tous

Le site s’adresse aux joueurs, à l’entourage et à toute personne ayant des questions sur l’addiction aux jeux. A travers ses

différentes rubriques, le site aide à comprendre l’univers du jeu, sa définition, ses mécanismes. Il apporte un éclairage sur

l’attraction qu’exerce les jeux d’argent et de hasard. Pour les joueurs et l’entourage, le site aborde les problématiques

qu’ils peuvent rencontrer et propose un moteur de recherche permettant de trouver la structure adaptée à leur besoin

dans leur département : suivi individuel, groupe de paroles, soutien de l’entourage sont ainsi proposés dans certains

Centres de Soins d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) formés à la prise en charge de la

dépendance au jeu.

Un site à vocation interactive centré sur l’aide

Au-delà de sa vocation informative, Joueurs Info Service propose une véritable aide personnalisée aux Internautes.

A travers la rubrique « vos questions, nos réponses », le module de chat individuel et le service de rappel via Internet,

chaque internaute peut obtenir une réponse personnalisée à ses questions et échanger en privé avec un écoutant de la

ligne Joueurs info service.

La mise à disposition d’espaces publics de discussion tels que les forums ou les chats collectifs et la possibilité de

déposer un témoignage ou de contribuer aux contenus du site en proposant un article, un thème de chat collectif, un fil de

discussion ou en réagissant aux contributions des autres internautes valorisent l’expérience, les connaissances et les

savoirs faire des internautes.

Si le site est avant tout centré sur l’aide, il permet aussi à l’internaute d’être acteur et de favoriser l’entraide.

Pour voir le site : www.joueurs-info-service.fr

vendredi 21 décembre 2012

On n’en a pas fini avec le sida :


 Mardi 18 décembre, à l’issue de son conseil d’administration, Sidaction a voté ses premiers engagements financiers pour 2013. Ces fonds seront versés en début d’année 2013, ce qui permettra aux structures et aux chercheurs soutenus, par Sidaction de se consacrer à leur mission principale et non à la recherche de financements.

Les engagements financiers sont proposés par des comités d’experts indépendants, afin de répondre au mieux aux besoins des personnes vivant avec le VIH/sida et à ceux de la recherche.
 

2,6 M€ pour la prévention et l’aide aux malades en France

Sidaction soutient financièrement des associations qui oeuvrent au plus près des besoins des personnes vivant avec le VIH en France. Nous soutenons chaque année environ 130 associations en France. En parallèle de notre appel d’offres généraliste, nous consacrerons 284 K€ pour la prévention envers les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, 251 K€ pour lutter en milieu carcéral contre le sida, 196 K€ pour les populations vivant dans les Départements français d’Amérique (Guyane, Guadeloupe, Martinique) et 192 K€ pour soutenir des programmes liés au maintien ou au retour dans l’emploi des personnes vivant avec le VIH.
 

2 € pour soutenir la recherche et la qualité des soins

Sidaction est la seule association de lutte contre le sida en France à soutenir la recherche. Pour assurer la relève, chaque année nous soutenons une centaine de jeunes chercheurs. Grâce aux engagements d’aujourd’hui, nous allons apporter aux chercheurs un soutien supplémentaire de 976 K€ et soutenir des programmes de qualité de vie et de qualité des soins à hauteur de 283 K€. Le Fonds de dotation Pierre Bergé financera trois nouveaux projets pour un montant de 686 K€.

 
1,7 M€ pour la lutte contre le sida dans les pays en développement

Sidaction soutient 80 structures dans 30 pays en développement.La prise en charge globale des personnes vivant avec le VIH/sida bénéficiera de notre soutien à hauteur de 696 K€. Nous financerons à hauteur de 560 K€ des programmes en direction des enfants et des orphelins du sida, dont le programme Paris sida sud soutenu par la Mairie de Paris et le programme Grandir soutenu par l’Agence Française de Développement.

 
De plus, Sidaction est engagée également auprès des populations les plus vulnérables vis-à-vis de l’épidémie et financera à hauteur de 270 K€ des programmes ciblant les travailleuses/eurs du sexe, usagers de drogues, détenus, ainsi que des actions auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à hauteur de 127 K€. Efnin 107 K€ seront consacrés à des programmes de sensibilisation, de plaidoyer et de défense des droits des personnes vivant avec le VIH/sida avec le soutien de la mairie de Paris.

 

On n’en a pas fini avec les sida : des chiffres qui parlent d’eux-mêmes

Il y a 34 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde. Il y a chaque année, 2,5 millions de nouvelles infections et 330 000 enfants infectés. Il y a 1,7 million de décès par an, soit 3 personnes par minute.

 
En France 150 000 personnes vivent avec le VIH et il y a chaque année entre 6 000 et 7 000 nouvelles découvertes de séropositivité. On estime que 30 000 personnes ignorent leur séropositivité ou qui ne sont pas suivies.

 
On n’en a pas fin avec le sida : rendez-vous les 5, 6 et 7 avril 2013.

Sidaction vous donne rendez-vous les 5, 6 et 7 avril 2013 pour la 10e édition du Sidaction. 20 médias partenaires relaieront les messages de prévention, de solidarité et d’appel à la générosité.