Nora ANSELL-SALLES

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lundi 2 décembre 2013

L'Ined publie son rapport d'activité 2012


Quel est l'impact des politiques familiales en Europe ? La prédominance de la pilule diminue-t-elle au profit d'autres méthodes contraceptives ? Quelles sont les conditions de la fin de vie en France ? Comment évoluent les migrations entre l'Afrique et l'Europe ? L'Ined fait le point sur ces questions en produisant des résultats et travaux de recherches en matière de démographie et publie aujourd'hui son rapport d'activité 2012.

 

En 2012, l'Ined a poursuivi son développement de partenariats tant en France qu'à l'étranger et s'est particulièrement investi dans la coopération internationale avec les centres de recherches étrangers au Nord comme au Sud. Il est, par ailleurs, porteur du laboratoire d'excellence « iPOPs » (Individus, Populations, Sociétés) qui a connu sa première année d'exercice permettant ainsi l'accueil de nombreux chercheurs et doctorants.

 

L'année aura été également marquée par le démarrage de grands projets de recherche et par la publication de nombreux résultats qui ont permis d'éclairer le débat social, à l'image de l'enquête « fin de vie » ou de travaux sur le vieillissement dans les DOM.

 

L'Ined est un établissement public à caractère scientifique et technologique, placé sous la tutelle du ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social et du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. Il a pour mission de mener des recherches sur les différentes problématiques démographiques : fécondité, famille, vieillissement, santé, mortalité, migrations, genre, histoire, économie...Pluridisciplinaire, il assure également la diffusion de l'information sur la démographie en France comme à l'étranger et contribue à la « formation à la recherche et par la recherche ».

 

Près de 700 publications scientifiques, 33 thèses en cours, 34 nationalités représentées, 61 projets de recherche.

mardi 19 novembre 2013

Activité physique


Imaps partenaire de l’étude Pharmaps sur le rôle du pharmacien d’officine dans la promotion de l’activité physique

 
 

Paris, le 19 novembre 2013 – Imaps met à disposition des pharmaciens son outil de géolocalisation des centres sport santé dans le cadre de l’étude Pharmaps. L’objectif de Pharmaps est d’évaluer le rôle du pharmacien d’officine dans la promotion de la pratique régulière d’une activité physique auprès des patients atteints de maladies chroniques. L’étude est initiée par la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport (SFMES) et financée par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé dans le cadre du PNNS.

 

Quel rôle pour les pharmaciens dans l’incitation à pratiquer une activité physique ?

Le pharmacien d’officine est l’un des rares professionnels de santé consulté sans rendez-vous. La convention nationale des pharmaciens signée en 2012 a marqué l’ambition de revaloriser le rôle du pharmacien dans le cadre d’actions de santé publique et notamment dans la promotion de l’activité physique ou sportive (APS). Le pharmacien pourrait ainsi devenir un interlocuteur de premier plan pour promouvoir une pratique régulière de l’activité physique et ainsi répondre à cette urgence de santé publique. A terme, les 22 000 officines de métropole et les 600 d’outre-mer pourraient sensibiliser, informer le public et promouvoir la pratique d’une activité physique régulière, sécurisée et adaptée.



L’étude Pharmaps s’attache à démontrer qu’une sensibilisation par le pharmacien des patients atteints de maladies chroniques contribue à augmenter d’au moins 20% la pratique de l’activité physique, réduire la sédentarité de 10% et améliorer la qualité de vie. Elle se poursuivra sur une année à partir d’un premier entretien d’évaluation et la remise au patient d’une boîte de type « médicament » comportant entre autres un carnet d’information sur les bienfaits de l’APS.

 

Convaincue de l’impact positif des pharmaciens dans la sensibilisation de leurs clients à l’APS, Imaps met à disposition de Pharmaps son outil de géolocalisation des centres sport santé en mesure notamment d’accueillir les publics atteints de maladies chroniques.

Les pharmaciens seront ainsi en mesure d’éditer la liste des offres sport santé disponibles autour des villes expérimentales et de la joindre à la « boîte médicament » du patient.

 

Cette géolocalisation est le fruit des partenariats développés par Imaps avec les entités suivantes : 

·         Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV)

·         Fédération EPMM Sports pour Tous

·         Fédération Française de la Randonnée Pédestre

·         Fédération Française d’Athlétisme (FFA)

·         Fédération Française de Natation

·         Fédération Française du Sport Adapté (FFSA)

·         Union Française des Œuvres Laïques d'Education Physique (UCPA)

·         Fédération Nationale CAMI Sport et Cancer

·         Association Nationale de Coordination des Réseaux Diabète (ANCRED

·         Fédération Française de Cardiologie (FFC)

·         Union nationale des Centre sportifs de Plein-Air (UCPA)

·         Fédération des Enseignants de Qi Gong, Art Energétique (FEQGAE)

NDLR : MGEFI et IMAPS


 
 




 

jeudi 23 mai 2013

MGEN - RSE/charte des achats responsables

Depuis 2009, le groupe MGEN est engagé dans une politique RSE globale pour améliorer la performance sociale et environnementale de l’ensemble de son activité.

 

Dans cette perspective, il vient de se doter d’une « charte des achats responsables » précisant 12 axes d’amélioration continue.

 

En 2014, cette charte sera complétée d’engagements à destination des fournisseurs.

 

lire le communiqué de presse

 en savoir plus sur la stratégie RSE du groupe MGEN
 






 
 

lundi 10 décembre 2012

CREDIT D’IMPOT COMPETITIVITE ET EMPLOI


 
La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

 

Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

 

Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

 

Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

 

Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.

 

 

 

 

La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

 

Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

 

Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

 

Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

 

Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.

 

 

vendredi 7 décembre 2012

Alerte MGEN



Le 5 décembre à Lyon, le groupe MGEN a organisé « La santé, version active », première journée de sensibilisation aux bienfaits de l’activité physique et sportive pour la santé. 320 adhérents et une centaine de salariés ont répondu présents. Cette affluence démontre l’adhésion du public aux opérations de promotion de la santé à l’instigation de leur mutuelle.

 

jeudi 6 décembre 2012

Inauguration d’un nouveau centre d’insertion par l’activité économique « Bric à Brac »


sur le marché Riquet (19è) par François Hollande, Président de la République et Bertrand Delanoë, Maire de Paris
 
François Hollande, Président de la République et Bertrand Delanoë, Maire de Paris, inaugureront ce soir, jeudi 6 décembre, le nouveau centre d’insertion par l’activité économique « Bric à Brac » installé dans le marché Riquet (19è)  géré par l’association Emmaüs Défi.
La Ville de Paris et Emmaüs Défi s’engagent depuis plus de 2 ans à permettre aux personnes sans abri ou qui résident dans des centres d’hébergement à retrouver une activité professionnelle, une dignité par le travail et une dynamique globale d’insertion grâce à l’emploi. En conciliant recyclage de produits récupérés, consommation solidaire et retour à l’emploi de personnes très désocialisées,                     le « Bric à Brac » illustre l’action et la volonté de la Ville de Paris de poursuivre ses efforts et ses investissements en matière de solidarités et de développement durable. Situé à Riquet (19è), et répondant à un besoin de cohésion territoriale et sociale, le « Bric à Brac » a pu voir le jour après la rénovation de l’ancien marché couvert réalisée par la Ville de Paris  grâce à un investissement de 1.6M€.
Le concept des « bric-à-brac » repose sur l’idée qu’aucune personne n’est inemployable, dès lors qu’un accompagnement social et professionnel adapté leur est proposé. Orientées par les travailleurs sociaux des centres d’hébergement d’urgence, les personnes sont embauchées sans sélection. Emmaüs Défi s’occupe de l’accompagnement socio-professionnel des personnes embauchées tandis que les travailleurs sociaux des centres d’hébergement assurent le suivi social global de la personne : accès au logement, accès aux soins, aide à la régularisation de la situation administrative. Le projet fonctionne à partir d’un partenariat entre Emmaüs Défi et les centres d’hébergement associatifs ou ceux gérés par le Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris, pour permettre aux résidents de sortir de la grande exclusion en accédant au statut de salarié et aux droits sociaux fondamentaux. Ce dispositif, appelé « Premières Heures » et mis en œuvre au « bric à brac » Riquet, a déjà permis à 23 personnes de retrouver un emploi.
 
Accréditations auprès du service de presse de l’Elysee: organisationpresse@elysee.fr