Nora ANSELL-SALLES

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mardi 29 septembre 2015

jeudi 10 avril 2014

Dominique Baudis est décédé

Lu dans "Les Echos" aujourd'hui
 
+VIDEO Ancien maire de Toulouse, Dominique Baudis était Défendeur des droits depuis juin 2011. Il est décédé jeudi matin à l’âge de 66 ans


Dominique Baudis - AFP/LIONEL BONAVENTURE
Dominique Baudis - AFP/LIONEL BONAVENTURE

Figure médiatique et politique, Dominique Baudis est décédé jeudi matin à l’âge de 66 ans d’un cancer généralisé à l’hôpital du Val-de-grâce à Paris, a indiqué l’institution qu’il dirigeait.

Diplômé de Sciences po Paris, Dominique Baudis commença sa carrière comme journaliste pour la télévision et la radio à Beyrouth. Il devint ensuite grand reporter pour TF1 pour le Proche-Orient et finit par présenter le journal de la Une, puis celui du Soir 3 de FR3, jusqu'en 1982.

Cette année là, avec son groupe de Centre des démocrates sociaux, composante de l'UDF, Dominique Baudis prit la suite de son père à la mairie de Toulouse et dirigea la ville rose durant dix-huit ans. Les succès politiques s'enchaînèrent et Dominique Baudis fut élu député de Haute-Garonne en 1986 et président du conseil régional la même année. Mais il refusa toujours d’entrer au gouvernement.

Il abandonna tous ses mandats en 2000 lorsque Jacques Chirac, alors président de la République, lui proposa le poste de président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA). Il resta six ans à la tête de l'institution, de 2001 à 2007, où il oeuvra notamment au lancement de la TNT.
 
 

La réaction de Matignon 

 
C’est avec une profonde tristesse que Manuel VALLS a appris le décès de Dominique BAUDIS.
Journaliste de terrain, grand reporter, Dominique BAUDIS a couvert au début de sa carrière l’actualité du Proche-Orient, avant d’être dans les années 80, en tant que présentateur du journal télévisé, notamment sur le service public, un visage et une voix appréciés des Français.

Sa connaissance fine du monde des médias l’a conduit à la tête du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Le lancement de la Télévision numérique terrestre a alors été son principal cheval de bataille.

Président de l'Institut du Monde Arabe en 2007, Dominique BAUDIS a toujours conservé pour cette région du monde un regard d’expert et de passionné. Homme de lettres, il y a consacré plusieurs de ses ouvrages.

Dominique BAUDIS s’est également impliqué très jeune dans la vie politique. Maire de Toulouse, ville si chère à son coeur, il s’est aussi investi dans les mandats locaux, en Haute-Garonne et Midi-Pyrénées. Elu et réélu député, européen convaincu, Dominique BAUDIS a également siégé à Bruxelles.

Le 22 juin 2011, Dominique BAUDIS avait démissionné de tous ses mandats pour occuper la fonction nouvellement créée de Défenseur des droits. Très attaché à la laïcité, à l’accès de tous à la justice, il a su faire de cette institution un outil au service de ceux qui souffrent.

Combattant de toutes les discriminations, intègre et courageux, Dominique BAUDIS était un homme de dialogue, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir des convictions.

La France perd une voix qui comptait, un défenseur engagé au service de la République. Manuel VALLS tient à adresser à sa femme, à ses enfants et à ses proches ses sincères condoléances.
 

La réaction d'Anne Hidalgo, maire de Paris



J’apprends avec beaucoup d’émotion le décès de Dominique Baudis, humaniste et démocrate totalement dévoué au service de notre pays.

Comme journaliste engagé au Proche-Orient, comme responsable élu profondément enraciné dans le Sud-Ouest, mais également comme défenseur des droits, il n’a jamais cessé de faire valoir les principes républicains qui réunissent les Français. En France comme à l’étranger, il s’est en particulier toujours engagé au service de la concorde et de la justice sociales.

En se faisant systématiquement ces dernières années le porte-parole des plus vulnérables, il s’est imposé comme une figure de sagesse et d’équilibre au sein de notre République.

J’adresse à sa famille et à ses proches toutes mes condoléances.



 
 


jeudi 9 janvier 2014

La Fondation de l’Académie de médecine reconnue d’utilité publique

NOUVEAU Par décret du 23 décembre 2013 paru au JO du 26 décembre, la Fondation de l’Académie de médecine a été reconnue d’utilité publique
et ses statuts approuvés par le Conseil d’État

 L’objet de cette Fondation est d’aider à la diffusion de la médecine Française à l’étranger. Juridiquement distincte de l’Académie, elle a sa propre gouvernance et son propre budget, même si ses liens avec l’Académie demeurent étroits par la présence de plusieurs académiciens dans son Conseil d’administration.

Elle organisera son premier événement à Rio de Janeiro, les 24 et 25 avril prochains, sous la forme d’une réunion commune avec l’Académie nationale de médecine et l’Académie de médecine du Brésil, sur trois thèmes d’actualité : les troubles psychiques à l’adolescence, la chirurgie»robotisée» et l’obésité.

mardi 25 juin 2013

PREMIER OBSERVATOIRE EUROPEEN SUR L’AUTOMEDICATION :


Une initiative inédite pour rendre compte de la situation francaise dans l’Europe de l’automédication

L’Afipa (Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable) vient de rendre public le premier observatoire européen sur l’automédication, réalisé par Celtipharm.[1] Cette étude totalement inédite s’intéresse à huit pays européens (EU8 : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède) et compare différents indicateurs pour rendre compte de la situation française de l’automédication au regard des autres pays européens étudiés.

Une démarche novatrice et originale

L’observatoire européen sur l’automédication est une initiative nouvelle et fondatrice en Europe. Elle répond à la volonté de l’Afipa de développer une approche comparative à même de traduire au fur et à mesure des années les évolutions du marché français au regard des autres pays européens considérés. Les données de cette étude sont issues des informations fournies par l’Association européenne des spécialités grand public (AESGP) et les associations représentatives des industries de l’automédication dans les huit pays européens analysés. Les définitions de l’automédication n’étant pas identiques d’un pays à un autre, le périmètre considéré dans le cadre de l’observatoire a été défini de manière rigoureuse et répond à la diversité des situations observées au niveau européen.[2]

Un développement de l’automédication en France inférieur à la moyenne européenne

L’observatoire montre ainsi que la part de marché en volume de l’automédication en France reste inférieure à la moyenne des 8 pays étudiés (15,9% en France vs. 23,3% en Europe). La dépense moyenne annuelle en produits d’automédication par habitant suit également la même logique puisque celle-ci s’élève à 34,5 euros pour la France pour une moyenne européenne[3] légèrement supérieure à 39 euros.

Une situation indépendante du niveau des prix des spécialités d’automédication en France

Ces résultats interviennent alors même que le niveau des prix est relativement faible au regard des autres pays européens. Le prix moyen d’une spécialité en automédication atteint ainsi 4,5 euros en France contre 5.2 euros aux Pays-Bas ou 6 euros en Espagne (pour une moyenne de 5,2 euros dans l’ensemble des 8 pays concernés par l’analyse). De même, l’observatoire démontre que pour des spécialités de même présentation et de même posologie dans chacun des 8 pays, le prix en unité de prise est en général le plus bas en France.

 

Un potentiel de délistage encore important en France

Si 95 molécules sont actuellement commercialisées en automédication en France, un chiffre proche de la moyenne calculée pour les 8 pays européens (94), il existe encore un potentiel de développement important de l’automédication en France au vu des principes actifs déjà délistés dans au moins un des pays EU8 hors-France. Sur cette base d’analyse, l’observatoire conclut en effet que 53 molécules actuellement commercialisées en France seraient potentiellement éligibles pour une utilisation en automédication.

Un rattrapage progressif de la France sur la moyenne européenne ?

D’après cet observatoire, une consultation chez le médecin généraliste en France donne lieu dans 74% des cas à une prescription, soit le taux le plus élevé après la Belgique (80%). Pour Pascal Brossard, Président de l’Afipa : « le retard français en matière d’automédication s’explique donc notamment par l’organisation du système de soins et le recours encore trop fréquent au médecin généraliste pour les pathologies mineures. Avec le problème de la démographie médicale, les perspectives pour l’automédication sont cependant encourageantes et le marché français devrait connaitre une évolution positive pour s’aligner progressivement sur la moyenne européenne. Pour atteindre cet objectif, il faudra par contre garantir une offre adaptée et suffisante de médicaments d’automédication avec notamment une politique de délistage plus volontariste, une meilleure information des patients et un renforcement de la formation des professionnels de santé. »

 

 

L’AFIPA, acteur de Santé Publique, est l’association professionnelle qui représente les industriels du médicament d’automédication dont les membres sont :
 
ABBOTT, ALMIRALL, BAYER SANTE FAMILIALE, BOEHRINGER INGELHEIM, BOIRON, BOUCHARA-RECORDATI, BRISTOL MYERS SQUIBB – UPSA CONSEIL, DERMOPHIL INDIEN, DIEPHARMEX, EXPANSCIENCE, GALDERMA, GENEVRIER, GIFRER BARBEZAT, GSK SGP, HEPATOUM, JOHNSON&JOHNSON SBF, LABCATAL, LEHNING, MAYOLI SPINDLER, MERCK MEDICATION FAMILIALE, NEGMA LERADS, NOVARTIS SANTE FAMILIALE, NUTRITION ET SANTE, OMEGA PHARMA, PFIZER SANTE FAMILIALE, PROCTER & GAMBLE PHARMACEUTICALS FR, RECKITT BENCKISER, ROTTAPHARM MADAUS, SANOFI-AVENTIS FRANCE, SEMES S.A, TONIPHARM, URGO, WELEDA, ZAMBON FRANCE.
 
 
L’automédication consiste pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés, accessibles sans ordonnance, sûrs et efficaces dans les conditions d’utilisation indiquées (définition OMS 2000), avec le conseil du pharmacien.

 


[1] Définition du marché source Afipa et Celtipharm : tous les médicaments  de prescription médicale facultative, remboursables ou non, vendus sans ordonnance avec le conseil du pharmacien.
[2] Les données et analyses ont par ailleurs été validées par un Comité scientifique composé d’économistes de la santé et de pharmaciens d’officines
[3] Moyenne des 8 pays européens étudiés

lundi 27 mai 2013

Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre réseau la recherche de Sandrine


Sandrine, jeune graphiste, à la recherche d'un poste de graphiste + option illustration, sur Paris et sa région

.

Un grand merci d'avance de faire suivre sa recherche
 
 
dans votre propre réseau, ou de la contacter pour lui donner un

coup de pouce ou un conseil pour l’aider dans sa recherche
Pour tous renseignements complémentaires contacter directement Sandrine aux  coordonnées ci-dessous :
06 24 68 38 20 / chestersg13@gmail.com

Merci d’avance pour elle

jeudi 18 octobre 2012

1ère édition du Forum « LES SENIORS, UNE CHANCE POUR LA FRANCE »


« LES SENIORS, UNE CHANCE POUR LA  FRANCE »
DU 19 AU 20 NOVEMBRE 2012
AU CONSEIL ECONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL

 

L'allongement de la durée de la vie, dans des pays développés, a 
entraîné une
nouvelle donne, sur les plans sociaux et économiques, et une profonde 
remise en
question du regard que nous devons porter sur le vieillissement, et 
sur nos
seniors.

Ce Forum de deux journées est patronné par Monsieur François Hollande,
Madame Michèle Delaunay clôturera les débats.

Pour toute information presse
Bruno RIVALS - bruno.rivals@silverlife-institute.com - 06 31 25 30 29

Pour vous inscrire au Forum - envoyer un e-mail à gcliquet@presentparis.com