Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 5 septembre 2014

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Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.

 

La MGEFI en faits et chiffres

■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 278 300 adhérents et 340 800 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

 ■ Un réseau de 800 militants.

 ■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya

 ■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR

certification reconduite pour un an en juillet 2014

■ www.mgefi.fr

 

 

TRES BON WEEK-END A TOUS
 

mardi 6 août 2013

jeudi 11 juillet 2013

Retour sur les temps forts de la 10ème assemblée générale de la MGEFI Reims 2013





TABLE RONDE : LA MGEFI, ACTRICE DU DÉBAT

L’AG a réaffirmé et démontré sa volonté de prendre une part active au débat public. La table ronde intitulée “La protection sociale en voie de réorganisation, quel avenir pour le mouvement mutualiste ?” a permis convergences mais aussi confrontations de points de vue entre un économiste de la santé, Claude Le Pen, Thierry Baudet, président de la MGEN et d’Istya, Joseph Deniaud, vice-président d’Harmonie Mutuelle et Serge Brichet, président de la MGEFI. Pascal Lelièvre, journaliste à la FNMF, qui animait les débats, fut sans concession pour qui tentait d’esquiver ses questions.

Parmi les interventions, quelques idées fortes méritent d’être évoquées. Claude Le Pen a rappelé la lente évolution de la Sécurité sociale depuis 1945, qui a conduit à l’assurance universelle (via la CSG et la CMU notamment).

Il a affirmé qu’une nouvelle page de son histoire était en cours. Joseph Deniaud a relevé “la vertu de la portabilité de la complémentaire de l’ANI” tandis que Thierry Baudet en appelait à la prudence sur la clause de désignation et sur son annulation par le Conseil constitutionnel car, dans les deux cas, “cela nous interroge sur la valeur du référencement”. Il a mis l’accent sur le risque que des opérateurs, voyant leur portefeuille de contrats individuels s’affaiblir, ne viennent concurrencer les mutuelles de la Fonction publique. Analyse qui a trouvé un écho chez Joseph Deniaud qui n’a pas nié “qu’il sera difficile de se censurer”.

Pour sa part, Thierry Baudet en a appelé à revenir aux fondamentaux, à prendre en compte les multiples risques sociaux, ce qui exige de réfléchir sur la perte d’autonomie, la retraite, et pas seulement comme assureur.

Préalablement il avait insisté sur le caractère dommageable qu’engendrerait une concurrence entre acteurs mutualistes “alors qu’il y a à conquérir tant de populations chez les assureurs”.

En conclusion, Claude Le Pen a considéré que la France restera “sur un régime universel”. Thierry Baudet a réaffirmé la définition d’une bonne mutuelle : “c’est celle qui s’organise pour tenir compte des revenus, qui rembourse les soins utiles, sans favoriser l’inflation, qui prend part à la régulation du parcours de santé”. Joseph Deniaud a indiqué que, même “si le jeu d’acteurs était incertain, il se prononcerait positivement sur l’issue, car c’est mieux que la léthargie”.

Serge Brichet a jugé crucial “d’essayer de débattre sur l’évolution des contrats solidaires et responsables et d’éviter que les grands groupes mutualistes ne s’opposent sur des stratégies”. Satisfait que Istya et  Harmonie aient pu échanger ensemble sur ces thèmes, il a incité à la poursuite des débats, à la MGEFI comme ailleurs.


ANTICIPER POUR MIEUX AGIR


L’après-midi du 2ème jour, les intervenants ont fait rebondir les débats. “Le mouvement mutualiste court un risque pour sa survie… mais la branche maladie de la Sécurité Sociale aussi” a affirmé Alain Arnaud, président de la MFP.

Dénonçant les attaques et les menaces qui pèsent sur le système solidaire, il a aussi souligné les paradoxes car : “Si la complémentaire santé mutualiste remplit un véritable rôle d’utilité sociale, comme c’est et sera de plus en plus le cas, il faut aller au bout du raisonnement et la sortir du marché concurrentiel”.

Il a souligné la pertinence du travail conjoint entre la MFP et les organisations syndicales sur le référencement et son évolution.

Bruno Caron, président de MFPS, après avoir rappelé les grands principes du fonctionnement de l’outil commun, s’est projeté dans l’avenir avec la future création d’UMFGAM “portée par l’ensemble des mutuelles de la Fonction publique”.

Puis Étienne Caniard, président de la FNMF également adhérent de la MGEFI, a salué la tenue de la table ronde de la veille, et a mis l’accent sur la capacité d’anticipation du mouvement mutualiste. Pour lui, “il s’agit de sortir de la tension « contrats individuels et collectifs », et « d’aboutir à une mise en cohérence des aides et des contraintes, la finalité restant d’améliorer la mutualisation”. Le débat sur le contrat responsable constituant un enjeu majeur, il requiert une force de conviction de la part de tous les militants mutualistes.

La ligne directrice du mouvement étant d’accentuer l’engagement en faveur de l’intérêt général, Étienne Caniard a ainsi rappelé l’ambition du projet stratégique à l’ordre du jour du congrès 2015 de la Mutualité et ses 5 grands chantiers.

Saluant le travail accompli par les militants et les incitant à continuer de “faire de la MGEFI la mutuelle de référence”, Serge Brichet s’est réjoui de la qualité des débats “sereins et matures” durant ces deux jours et a relevé la volonté des délégués d’être des acteurs toujours en anticipation pour poursuivre le développement de leur mutuelle et d’un avenir plus solidaire.


Renouvellement partiel du Conseil d’administration


15 administrateurs ont été élus : Pierre Alixant, Alain Arnaud, Nathalie Arnoux, Valérie Audry Adardour, Nestor Bajot, Patrick Bosc, Élisabeth Chambaretaud, Dominique Combe, Thierry Fardeau, Dominique Joseph, Pascal Maginot, Michel Medioni, Nadine Morineau, Jean-Luc  Nodenot, Pierre Tabuteau.



La MGEFI certifiée Iso 9001

La certification de la MGEFI est imminente. Ce résultat est le fruit de la mobilisation de tous les acteurs de la MGEFI. Le chantier de la Certification “Qualité relation adhérents”ISO 9001 a été lancé en janvier avec l’objectif d’aboutir avant fi n 2013. Du 3 au 12 juin, s’est déroulé l’audit de certification définitif conduit par l’AFNOR. Même si rien n’est encore officiel, tout laisse présager que la MGEFI sera la première mutuelle de la Fonction publique à être certifiée pour la qualité de sa relation à l’adhérent. La qualité fait désormais partie des “gènes” de la Mutuelle et contribuera à la pérennité de sa mission.



Résolution sur l’UMFGAM*

Les délégués ont approuvé à l’unanimité les travaux menés par les mutuelles des trois fonctions publiques en vue de réaliser le regroupement des entités gestionnaires du RO. L’assemblée générale s’est prononcée en faveur de l’engagement dans la création de l’UMFGAM et la participation active de la MGEFI à l’écriture des statuts et règlements. Elle a mandaté le CA pour travailler à son prépositionnement au sein de la filière intégrée.

* Union des mutuelles de fonctionnaires gestionnaires de l’assurance maladie



Résolution générale

La résolution générale a été adoptée à l’unanimité. Elle réaffirme l’engagement des délégués à agir avec conviction et détermination pour défendre, promouvoir et faire  vivre dans l’intérêt général le modèle mutualiste, porteur de valeurs de solidarité, de non lucrativité et de démocratie. Elle exige de voir mis en œuvre les engagements des pouvoirs publics pour améliorer l’accès aux soins et préserver notre modèle de protection solidaire.




A propos de la MGEFI

Créée le 13 septembre 2007.
 
En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.

260 collaborateurs au service des adhérents.

Un réseau de 800 militants.

En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *   
www.mgefi.fr  


Pour tout complément d’information, demande de visuel, ou interview,  contacter :

Nora Ansell-Salles
nansellsalles@mgefi.fr 
06 70 74 15 42 

vendredi 26 avril 2013

La MGEFI donne rendez-vous à ses 300 délégués les 18 et 19 juin 2013 à Reims pour sa 9ème Assemblée générale



18,19 juin 2013 - 9ème assemblée générale MGEFI
Centre des congrès de Reims
12 Boulevard du Général Leclerc, 51100 Reims


La Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie – MGEFI , mutuelle référencée au sein des ministères du budget et de l’économie, réunit une fois par an ses 300 délégués élus par ses adhérents, à l’occasion de son assemblée générale annuelle.
La MGEFI en quelques mots

La MGEFI organisme de référence en matière de santé comme de prévoyance pour l’ensemble des personnels des finances.

Cette légitimité est en partie liée au fait que la MGEFI est un acteur de poids avec 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées, la MGEFI est la 11ème mutuelle Française. Un atout de taille pour répondre aux exigences et aux contraintes imposées par les évolutions du contexte législatif et réglementaire, pérenniser l’esprit mutualiste, garantir la solidarité et offrir à chacun les prestations dont il a besoin, au meilleur coût et tout au long de sa vie.


1er janvier 2013 : la MGEFI intègre le Groupe Istya


La MGEFI a fait le choix d’intégrer le groupe Istya - avec lequel elle partage un socle de valeurs et une vision politique commune sur les enjeux de la protection sociale et du rôle des mutuelles de fonctionnaires en tant qu'acteur de la gestion des régimes obligatoire et complémentaire.

Tout en conservant son autonomie juridique et politique, elle évolue au sein du premier groupe mutualiste français, interlocuteur majeur des pouvoirs publics. Ce choix apporte à la MGEFI toutes les garanties de développement et lui permet de pérenniser et renforcer la protection de ses adhérents.


Contact presse:
Nora Ansell-Salles
nansellsalles@mgefi.fr

lundi 18 février 2013

Anévrismes de l'aorte abdominale en France :


Proposer un dépistage ciblé opportuniste unique chez les hommes présentant des facteurs de risque

 

La Haute Autorité de Santé (HAS) a évalué la pertinence de la mise en place d'un programme de dépistage des anévrismes de l'aorte abdominale sous-rénale (AAA). La prise en charge et les traitements des AAA réduisant la mortalité liée à l'anévrisme à moyen et long terme, la HAS préconise la mise en place d'un dépistage ciblé opportuniste unique* par écho-doppler chez les personnes à risque. Le médecin le proposerait ainsi une fois aux hommes entre 65 et 75 ans fumeurs ou ayant été fumeurs ainsi qu'aux hommes entre 50 et 75 ans présentant des antécédents familiaux.

 

L'anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale (AAA) est une dilatation permanente de l'aorte abdominale dans sa portion sous-rénale dont les conséquences, en cas de rupture anévrismale, peuvent être fatales. Ainsi, en 2009-2010, 34 % des patients opérés en France d'un AAA rompu sont décédés alors qu'ils ne sont que 3% des patients opérés en cas d'AAA non rompu. Sur cette même période, l'incidence des anévrismes diagnostiqués et opérés était comprise entre 6 000 et 7 000 AAA par an, avec une augmentation de 29 % du nombre d'opérations d'anévrisme de l'aorte abdominale entre 2006 et 2010. C'est dans ce contexte que la Haute Autorité de Santé (HAS) a évalué la pertinence de la mise en place d'un dépistage de cette pathologie dans la population française.

 

Une pathologie qui concerne surtout les hommes fumeurs après 65 ans

L'anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale touche majoritairement les hommes avec un ratio d'1 femme pour 13 hommes. Il survient le plus souvent après 65 ans. Les autres facteurs de risque sont principalement le tabagisme, les pathologies cardiovasculaires et les antécédents familiaux.

 

La HAS préconise un dépistage ciblé, opportuniste et unique

Le dépistage d'un anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale doit se faire par échographie-doppler, un examen rapide, non invasif et performant qui permet également de rechercher des anévrismes iliaques, fémoraux ou poplités pouvant être associés à l'AAA. Des examens diagnostiques complémentaires (scanner et IRM) permettent, si nécessaire, de préciser en préopératoire les caractéristiques anatomiques de l'AAA et son environnement.

 

La HAS recommande que le dépistage soit proposé aux :

- hommes de 65 à 75 ans et qui sont ou ont été des fumeurs chroniques ;

- hommes de 50 à 75 ans et qui ont des antécédents familiaux d'AAA.

 

Pour les personnes ayant un anévrisme de l'aorte abdominale, la HAS préconise un traitement curateur quand le seuil d'intervention est atteint (notamment lorsque le diamètre de l'AAA est supérieur à 50 mm ou sa vitesse de croissance supérieure à 10 mm/an).

La HAS souligne également l'importance d'une prise en charge globale dans l'objectif de réduire les facteurs de risque et les comorbidités. La prise en charge pourra se faire au moyen de différentes stratégies, et notamment des stratégies non médicamenteuses : arrêt du tabac, réduction de l'hypercholestérolémie, reprise d'une activité physique, diminution du surpoids, contrôle du diabète.

 

Pourquoi un dépistage ciblé opportuniste unique ?

Plusieurs raisons ont amené la HAS à cette préconisation :

- la prévalence de l'AAA augmente avec l'âge et est plus élevée chez les hommes fumeurs ou anciens fumeurs et chez ceux ayant des antécédents familiaux ;

- la mortalité liée aux anévrismes de l'aorte abdominale rompus est élevée (80 % des patients décèdent avant hospitalisation ou en péri-opératoire), alors que la mortalité des interventions programmées (AAA non-rompus) est inférieure à 5 % ;

- dépister permet une réduction significative de la mortalité liée à l'AAA à moyen et long terme ;

- les modélisations économiques internationales concluent à l'efficience de la mise en place d'un programme de dépistage unique chez les hommes âgés de 65 ans.

 

Enfin, des études suggèrent la possible diminution de la prévalence des AAA quand les facteurs de risque cardiovasculaire sont pris en charge, notamment l'arrêt du tabac.

 


 

 

* Un dépistage ciblé, opportuniste et unique :

- ciblé, il s'adresse à une sous-population sélectionnée c'est-à-dire que la prévalence de l'AAA est beaucoup plus élevée dans cette sous-population que dans la population générale.

- opportuniste (ou individuel), c'est un dépistage proposé par le professionnel de santé lors d'un recours aux soins, à l'occasion d'une hospitalisation ou d'une consultation médicale par exemple.

- unique, il n'est réalisé qu'une seule fois et n'a pas vocation à être réitéré.

 


Retrouvez nos informations sur www.has-sante.fr
 
NDLR : MGEFI et HAS
Etienne Caniard, actuel président de la Mutualité Française à été le second président, après Jean-Pierre Davant (président fondateur) de la MAI Mutuelle des Agents des Impôts l'une des mutuelles fondatrice de la MGEFI.
 


vendredi 15 février 2013

En primeur sur Couleurs MGEFI


Questions fréquentes

L’optique comme le dentaire représentent des budgets importants pour les familles et suscitent de nombreuses interrogations sur leur prise en charge par les mutuelles.

 

En 2013, puis-je bénéficier de remboursements pour deux équipements différents car je porte des lunettes mais aussi des lentilles ?

 

Avec la garantie Vita Santé ou la garantie Multi Santé, les deux forfaits sont cumulables pour une même année civile. Vous bénéficiez donc de remboursements à la fois pour les lunettes mais également pour les lentilles.

 

Si mon enfant change de correction visuelle en cours d’année, puis-je bénéficier d’un second remboursement ?

 

Quelle que soit la garantie, le forfait annuel n’est pas applicable aux enfants de moins de 18 ans. Vous pouvez donc  bénéficier pour votre enfant d’un second remboursement sur une même année.

 

 

Pour la pose d’un bridge, mon dentiste me posera des couronnes provisoires. Puis-je bénéficier d’un remboursement couvrant à la fois les dents provisoires et les trois couronnes fixes ?

 

Si vous consultez un dentiste conventionné CNSD (Confédération Nationale des Syndicats Dentaires), le remboursement des couronnes provisoires est inclus dans la prestation versée pour les dents visibles : incisives, canines et prémolaires.

 

Avec la garantie Vita Santé ou la garantie Multi Santé, le montant total du remboursement s’élève à 473,20 € par dent, soit pour un bridge (3 éléments) à 1 419,60 €.

 

Si le praticien n’est pas conventionné, une prise en charge par la MGEFI est également prévue pour les couronnes provisoires sur dents visibles.

 

Dans ce cas, le montant s’élève à 30,49 € par couronne provisoire et à 244,50 € par couronne fixe.

 

 

Depuis la mise en place du

Réseau Optistya, le 1er janvier 2013, la MGEFI vous offre la possibilité de calculer votre remboursement Sécurité sociale  et Mutuelle sur son site internet depuis l’espace adhérent : http://www.mgefi .fr

 

 

E-mail

 

Afin n de faciliter vos démarches, nous vous invitons à nous communiquer une adresse électronique sur laquelle vous souhaiteriez recevoir vos informations mutualistes. Vous pouvez nous la préciser sur : email@mgefi .fr