Nora ANSELL-SALLES

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mardi 19 novembre 2013

Journée européenne de sensibilisation au bon usage des antibiotiques

Marisol Touraine et Stéphane Le Foll mobilisés contre la résistance aux antibiotiques

 

A l’occasion de la journée européenne de sensibilisation au bon usage des antibiotiques, Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, et Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, se sont rendus au laboratoire du Pr. François-Xavier Weill de l’Institut Pasteur ce matin.

 

Les antibiotiques sont indispensables pour soigner des maladies graves. Mal utilisés, ils favorisent le développement de résistances bactériennes. Concrètement, le risque est de ne plus pouvoir traiter des situations graves, les antibiotiques n’étant alors plus efficaces.



Lors d’une conférence de presse commune, les ministres ont annoncé des mesures pour favoriser le bon usage, préserver certains antibiotiques et informer, notamment :

1) Favoriser le bon usage des antibiotiques :
- Développement de l’utilisation des tests rapides d’orientation diagnostique (TROD) par les professionnels de santé, pour parvenir à une réduction importante des prescriptions inappropriées d’antibiotiques.

- Limitation de la durée de prescription et de délivrance de certains antibiotiques les plus générateurs de résistance, en réponse à des prescriptions parfois trop longues et donc inappropriées.

- Création d’un référent hospitalier sur les antibiotiques dans tous les établissements et de référents vétérinaires pour la prescription des antibiotiques critiques en médecine vétérinaire.


2) Préserver certains antibiotiques dits « critiques » (à garder pour des situations graves où ils sont le dernier recours) :
- Expérimentation de la délivrance à l’unité dans les pharmacies : Marisol Touraine a rappelé cette mesure prévue par le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2014.

- Proposition au niveau européen d’instaurer un statut particulier pour les antibiotiques en s’inspirant du statut des médicaments orphelins, pour maintenir sur notre marché les vieux antibiotiques et inciter au développement de nouveaux.

- Stéphane Le Foll a également rappelé son ambition de réduire fortement l’exposition antibiotique chez l’animal. Un objectif chiffré de réduction de l'utilisation des antibiotiques critiques pour l'homme sera fixé dans le cadre du projet de loi d'avenir de l'agriculture de l'alimentation et de la forêt discuté au Parlement en janvier. Des guides de bonnes pratiques de prescription seront élaborés et validés par les agences sanitaires. Par ailleurs un décret viendra renforcer les conditions préalables à la prescription de ces antibiotiques.


3) Informer les citoyens et mobiliser tous les professionnels :
- Création d’un nouvel indicateur hospitalier de suivi de l’exposition aux antibiotiques (ICATB 2) accessible au public en toute transparence,

- Lancement d'une campagne à destination du grand public et des professionnels par l’assurance maladie sur internet dès aujourd’hui.


Le gouvernement est pleinement engagé dans la lutte contre la résistance des bactéries aux antibiotiques, enjeu majeur de santé publique tant en santé humaine qu'animale. L'action du Gouvernement en la matière s'inscrit pleinement dans l'objectif fixé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) : Une seule santé.


NDLR : MGEFI et ANTIBIOTIQUES
Internet                                
  • Dr MOPS                      
  •  


    vendredi 4 octobre 2013

    Lancement de la campagne de sensibilisation « Chaque vaccination est une petite victoire dans le combat de certaines maladies graves»


    Paris, septembre 2013 – Pfizer lance une campagne nationale de sensibilisation sur la vaccination intitulée « Chaque vaccination est une petite victoire dans le combat de certaines maladies graves*». Cette campagne vise à sensibiliser le grand public à l’importance de cet acte de vaccination qui peut paraître banal mais qui permet à chacun de se protéger de certaines maladies graves. Par le biais de messages forts et d’outils digitaux innovants, Pfizer signe son engagement de longue date dans la vaccination.

     

    La vaccination, ça nous concerne tous !

    Les maladies infectieuses étaient, il y a peu de temps encore, la principale cause de décès à travers le monde, même dans les pays les plus développés.

    Aujourd’hui, la vaccination peut prévenir près de trente maladies infectieuses différentes et constitue la meilleure prévention contre ces maladies contagieuses, graves ou mortelles. En France cependant, les couvertures vaccinales sont généralement inférieures aux objectifs fixés par les autorités de santé pour contrôler - voire éliminer - ces maladies. Et ce notamment, en raison de taux de rappel et de couverture vaccinale insuffisant.  « Informer le public que la vaccination est un acte réfléchi et essentiel me semble pertinent en cette rentrée », précise le Pr Joël Gaudelus, Chef de Service de Pédiatrie à l’Hôpital Jean Verdier de Bondy. « Nous devons lutter contre la baisse de la vigilance des Français qui provoquerait une recrudescence de maladies susceptibles d’être éliminées. »

    lundi 16 septembre 2013

    Harmonie Mutuelle et la Fondation de l’Avenir lancent, le 18 septembre, la campagne de sensibilisation « Sans mémoire, le silence »

    A l’approche de la Journée Mondiale contre la Maladie D’Alzheimer (le 21 septembre .prochain), Harmonie Mutuelle et la Fondation de l’Avenir lancent, à partir du 18 septembre, la campagne de sensibilisation « Sans mémoire, le silence » pour mobiliser le grand public.

    Sous l’œil, et la caméra, d’Eric Guirado, Bernard Pivot, Liliane Rovère et Rémy Julienne nous racontent un peu de leur histoire et nous rappellent que ces mêmes souvenirs, leurs souvenirs, pourraient demain s’effacer sous l’emprise de la maladie d’Alzheimer.
    A la fin de chacun de ces films, le spectateur est invité à rejoindre le site stop-alzheimer.org, lequel présente un double intérêt : réaliser un don en faveur de la recherche contre la maladie et découvrir de nouvelles images.


    Ci-dessous le lien vers les trois spots vidéo :
     
    Lien vers le communiqué et le dossier de presse relatifs à cette campagne ainsi que des visuels et un discours de Philippe Cotta, directeur général délégué d'Harmonie Mutuelle : http://we.tl/rJih6YYXuX
     
     
    NDLR : MGEFI ET FONDATION DE L’AVENIR
     
     
     
    Prévention 2013          

     

    mardi 9 juillet 2013

    Retour sur la journée MGEFI "sensibilisation RPS" du 28 juin 2013


    «Partager un vocabulaire commun, pour mieux comprendre, et agir ensemble »

     

    Quels sont les risques psychosociaux ? Quelles actions au sein de la MGEFI ? Quels acteurs ? Quel droit d’expression ? Les RPS sont bien présents et nous devons agir ensemble pour les détecter et mettre en place des actions correctives….

     


    Dans le cadre de sa politique de prévention des risques psychosociaux, la MGEFI a organisé le 28 juin dernier, pour ses collaborateurs, en association avec le CHSCT et la médecine du Travail une journée de sensibilisation. A l’occasion de cette journée, la Direction des Ressources Humaines qui, dans le cadre de son plan d’action, s’est engagée dans la promotion d’outils de prévention, a présenté et remis à l’ensemble du personnel les supports réalisés en collaboration avec le service communication : "Le stress au travail Savoir l'identifier et réagir"; "Harcèlement et violence au travail"; "Manuel du mieux-être au travail".

     

    Au programme de la journée : Une table ronde : «Partager un vocabulaire commun, pour mieux comprendre, et agir ensemble » dont l’objectif principal était de répondre aux interrogations des collaborateurs. Et des « ateliers de sophrologie » Animés par : Stéphanie Renaudin et Homeyra Kaniuk Sophrologues spécialisées en Bien-être au travail.

     

     

    COMPTE-RENDU DE LA JOURNÉE

     

    Intervenants MGEFI:
    - Serge Brichet, Président
    - Antoine Catinchi, Directeur général
    - Basma Déon, Directrice des Ressources Humaines
    - Noémie Top, Psychologue du travail chargée de prévention
    - Marie-Line Prosper, Secrétaire du CHSCT
     
    Intervenants extérieurs:
    - Fabien Gille, Animateur du Pôle Risques Psychosociaux CRAMIF
    - Dr Véronique Poulet, Médecin du Travail
    - Stéphanie Renaudin , Sophrologue spécialisée en Bien-être au travail
    - Homeyra Kaniuk , Sophrologue spécialisée en Bien-être au travail

     

     

    I. Introduction

    Antoine Catinchi, directeur général a introduit la journée en mettant en avant un des rôles de l’employeur, qui est de protéger la santé physique et mentale des travailleurs : « La Direction Générale de la MGEFI a fait de la prévention des RPS un axe fort en intégrant le lien entre bien-être au travail et efficacité professionnelle ».

     

    Serge Brichet, président a rappelé l’implication de la présidence également dans cette prévention, et ce, depuis la création de la MGEFI : « A chaque étape du développement de la Mutuelle, la dimension bien-être au travail a été prise en compte, et continuera de l’être ».

     

    Basma Déon, directrice des ressources humaines a présenté les objectifs de cette journée, qui étaient de sensibiliser aux thématiques de RPS, pour comprendre ce que recouvre cette notion et partager un langage commun : « Il est important d’être en capacité de mettre des mots derrière ce que l’on ressent ou encore d’être en mesure d’identifier des signaux d’alerte chez autrui ».

     

    Noémie Top, Psychologue du travail chargée de prévention a pour sa part insisté sur l’importance de l’intérêt porté aux RPS : « Si l’on s’intéresse aux RPS aujourd’hui, c’est parce que les problèmes de santé au travail se sont généralisés. De plus, on note une forte médiatisation de cette problématique, mais aussi une évolution du contexte réglementaire rendant la prévention des risques pour la santé mentale et physique obligatoire pour l’employeur. Ces éléments sont appuyés par des discours d’experts mettant en avant des effets avérés des RPS sur la santé des travailleurs mais également sur l’efficacité professionnelle. Finalement, un lien est reconnu entre bien-être au travail et performance, d’où une préoccupation grandissante pour cette problématique. Soulignons que le travail est devenu plus exigeant au regard de plusieurs critères : en termes de gestion du changement, de charge mentale accrue, concernant les perspectives d’avenir ou encore par rapport à l’absence de soutien social et à l’individualisation du travail ».

     

     

    II. Prévention des RPS et acteurs impliqués

    Noémie Top a explicité le but des démarches de prévention, qui permettent d’identifier les facteurs pouvant augmenter la probabilité d’apparition de situations à risques pour la santé physique et mentale des travailleurs, afin d’agir en conséquence : « La finalité est de réduire les tensions, de les réguler en cherchant les causes dans l’organisation du travail. Trois niveaux de prévention existent : La prévention tertiaire, dans une logique de réparation, de prise en charge à court terme des individus montrant des signes d’alerte. La prévention secondaire, pour doter les salariés d’outils afin qu’ils puissent reconnaître les agents stressants, notamment à leur présence, en formant à la reconnaissance des signaux et en proposant des techniques pour y faire face. La prévention primaire, qui consiste à éliminer ou à défaut réduire au maximum les sources de stress et trouver des moyens à long terme pour remédier aux tensions ».

     

    Au sein de la MGEFI, plusieurs actions et dispositifs ont d’ailleurs été déployés, comme l’a rappelé Basma Déon :

     

    - L’identification des risques par emploi-repère en 2008

    - La passation de deux questionnaires en 2010 et 2012 pour identifier les points emblématiques

    - La mise en place de deux plans de prévention

    - La formation des managers

    - L’intervention de deux psychologues du travail

    - La constitution d’une charte des bonnes relations humaines au travail

    - Une campagne de sensibilisation et d’information

    - Une réflexion sur l’organisation du travail et les impacts possibles suite aux réorganisations en termes de QVT

    - Des actions de veille pour observer l’évolution de la santé mentale des salariés.

     

    Un réseau d’acteurs est impliqué dans la prévention des RPS : la Direction, les managers, les acteurs RH, le CHSCT (avec une intervention de la secrétaire, Marie-Line Prosper), le médecin du travail (le Dr Véronique Poulet), les autres IRP, la CRAMIF. Afin de repréciser leurs rôles, ces acteurs se sont présentés et ont explicité les actions qu’ils pouvaient mener dans le cadre de la démarche de prévention des RPS et de prise en charge des salariés.

     

     

    III. Intervention de la CRAMIF

    Fabien Gille, Animateur du Pôle Risques Psychosociaux CRAMIF a brossé une présentation théorique des RPS

    Il a défini les RPS et certains troubles psychosociaux (stress, harcèlement moral et pratiques organisationnelles pathogènes), a explicité les mécanismes liés au stress : phase d’alarme, de résistance et épuisement ; différenciation stress aigu/stress chronique, et a rappelé les facteurs susceptibles d’entraîner l’apparition de troubles psychosociaux (facteurs de RPS : intensité du travail, exigences émotionnelles, autonomie, rapports sociaux au travail, conflits de valeur, insécurité de la situation de travail).

    Il a par ailleurs cités quelques précautions à prendre lorsque l’on doit gérer un individu en souffrance: « pas d’intervention publique, ne pas rechercher de responsable, aider à faire exprimer la situation, recentrer la discussion sur le travail réel et les difficultés, rassurer et aider à sortir de l’isolement, donner du temps et de l’écoute ».

    Fabien Gille a insisté sur l’importance de la prise en charge urgente des individus montrant des signes alarmant. Dans cette optique, un processus d’alerte a été proposé, notamment en envisageant de former des « sauveteurs secouristes du travail » ; en appuyant l’importance du médecin du travail, capable

    de réorienter vers un centre spécialisé ; en mettant en évidence la nécessité de se tourner vers les représentants du personnel et plus particulièrement le CHSCT ; en insistant sur les procédures d’alerte mises en place et à appliquer ; en soulignant le rôle de chacun, en tant que collègue ou supérieur, concernant l’écoute et le repérage de personnes susceptibles d’être en souffrance.

    Une partie de la matinée a été consacrée au rôle de l’encadrant dans la prévention des RPS et dans l’amélioration de la QVT, notamment en favorisant la remontée des informations ou encore en prenant en compte l’impact social et humain des changements.

     

     

    IV. Le droit d’expression

    Antoine Catinchi est intervenu afin de conforter la place du droit d’expression au sein de la MGEFI. L’objectif ici était de redéfinir les modalités du droit d’expression en mettant en avant son importance dans le cadre de la prévention des RPS. C’est un dispositif d’expression collective à mettre en oeuvre une fois par semestre (par service ou fraction de service), sans la hiérarchie et dont le contenu est précis. En effet, les sujets relevant du droit d’expression sont les conditions d’exercice et l’organisation du travail. Une dimension qualité de vie au travail a été ajoutée, afin de permettre la remontée d’informations et d’envisager des actions à visée de préservation du bien-être des salariés. Ceux-ci peuvent ainsi s’exprimer librement sans sanction, et la Direction s’engage à répondre aux demandes ou propositions faites dans un délai d’un mois. Il a acté que la prévention des RPS serait de manière systématique un thème à aborder lors des groupes d’expression : « La priorité aujourd’hui est de redynamiser ce dispositif puisque des difficultés d’animation et de centrage autour des sujets relevant bien du droit d’expression ont été observées, la solution la plus appropriée est de former des animateurs » Un appel à candidature a été lancé. Ainsi, ceux-ci seront à même de recentrer le débat autour de sujets pertinents, de solliciter l’expression de chacun afin d’aboutir à une réflexion éclairée et à des pistes de solutions pertinentes.

     

     

    V. Débat

    La table ronde s’est conclue par un débat ouvert à l’ensemble des participants qui ont pu s’exprimer librement, en dehors de la présence des représentants de la Direction, exception faite de la DRH : dont la présence illustrait le fruit d’un travail avec le CHSCT, en effet les acteurs RH sont les relais de l’expression des salariés auprès de la direction, sur cette thématique notamment.

     

    Les collaborateurs ont librement exprimés à « bâtons rompus » leurs attentes, revendications, et ont fait un certains nombres de suggestions et demandes.

    Les principales interventions:

     

    Fabien Gille a souligné qu’ « un éclatement des collectifs de travail et une diminution des relations interpersonnelles sont observés avec l’usage des NTIC : le droit  d’expression, en permettant une expression collective, est important pour réactiver cette dimension de collectif de travail ».

     

    Le Dr Véronique Poulet a explicité certains indicateurs objectifs de mal-être (nombre de visites spontanées chez le médecin du travail en augmentation). Elle a rappelé qu’elle est soumise au secret médical.

     

    Fabien Gille a enfin rappelé que les RPS, s’ils dépendent d’une perception, d’un ressenti, ne doivent pourtant pas se situer dans une sphère individuelle mais être mis en relation avec le travail même et avec certaines situations objectives : « Avant de chercher des solutions, il est important de poser concrètement le problème : une analyse du travail et une mise en discussion de celui-ci est primordiale. De plus, il ne sert à rien de chercher un responsable. Par ailleurs, le code du travail pousse à travailler autour de la question de l’organisation et des conditions du travail ».

     

     

    Ateliers de sophrologie

    Animés par deux sophrologues, ces ateliers de 30 minutes (6 groupes de 15 personnes), particulièrement appréciés des participants, ont conclu la journée. Leur objectif était de présenter aux collaborateurs de la mutuelle, intéressés des « clés » pour lutter de façon simple et efficace contre les signes de stress : en gérant sa respiration, son relâchement musculaire…

     

     

    La MGEFI en faits et chiffres
     
    ■ Créée le 13 septembre 2007.
    ■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
    ■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
    ■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
    ■ Un réseau de 800 militants.
    ■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *

     

    Pour tout complément d'information, demande d'interview ou de visuel contacter :

     

    Nora ANSELL-SALLES

    nansellsalles@mgefi.fr /06 70 74 15 42

    mardi 21 mai 2013

    27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibilisation à l’Hémochromatose

    Un patient dépisté à temps = une économie de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour
    la Sécurité Sociale et les mutuelles



    Sans connaître l’Hémochromatose et sans dépistage, le malade consulte bon nombre de spécialistes sans savoir de quoi il souffre et ce souvent pendant de nombreuses années. Ces recherches entraînent des consultations multiples auprès de spécialistes, des examens biologiques onéreux : des dépenses considérables pour la sécurité sociale, pour les mutuelles.


    Comme le diagnostic de l’Hémochromatose est fait trop tard à 50-65 ans, le fer accumulé a altéré les organes. La maladie provoque alors différents maux invalidants, pénibles comme une fatigue extrême, une destruction articulaire ou un diabète insulinorequérant, des maladies graves comme une cardiomyopathie et d’autres mortelles comme une cirrhose ou un cancer. Elle nécessite alors des traitements multiples à vie : la mise en place de prothèses de hanches, de genoux, d’épaules, de chevilles ainsi que d’autres traitements lourds pour soigner les maladies handicapantes engendrées.


    A ce moment là, les saignées, faîtes trop tard, sont peu efficaces ce qui entraîne pour les malades arrêts de travail temporaires ou définitifs, des invalidités et pas moins de 2000 décès par an.


    « L’hémochromatose génétique dépistée tardivement engendre donc des dépenses médicales considérables pendant 30 à 50 ans qui peuvent être évaluées à plusieurs dizaines de milliers d’euros.
    Ne faudrait-il pas, pour économiser les deniers de l’Etat et ceux des mutuelles, faire de la prévention, c’est-à-dire du dépistage ? »



    1ère maladie génétique en France – ignorée et touchant 1 personne sur 300
    www.hemochromatose.fr

    Pour connaître toutes les informations dans votre ville, spécialistes, conseils aux familles :
    un seul numéro : ASSOCIATION HEMOCHROMATOSE FRANCE – 04 66 64 52 22

    www.hemochromatose.fr




    Itw sur demande malade, spécialiste et toute personne pouvant vous parler de la maladie


     
    Dossier de presse et tous visuels sur demande




    Contact Presse : Sophie Mordelet  :
    hemochromatose@sg-communication.fr

    vendredi 1 mars 2013

    Semaine nationale du Rein


    Du 23 au 30 mars 2013

    8ème Semaine Nationale du Rein

     

    Pour sa huitième édition, la Semaine Nationale du Rein se déroulera au mois de mars (et non plus en octobre). Elle coïncide désormais avec la Journée Mondiale du Rein, promue et animée par la Fondation du Rein. Cette journée, et tous les événements qui l’entourent, sont placés sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République. Ce changement de date inaugure un partenariat plus étroit entre la FNAIR (Fédération Nationale d’Aide aux Insuffisants Rénaux) et la Fondation du Rein, dont le Conseil scientifique décide de l’allocation de subventions de recherche. Ainsi, le 20 mars 2013, la FNAIR remettra une bourse de 40 000 euros à l’occasion du gala de la Fondation, à la Sorbonne. Notre objectif : rendre encore plus visible cette semaine d’information et de prévention du grand public autour des maladies rénales

    L’insuffisance rénale, un fléau


    Près de 500 millions d'individus dans le monde, dont 3 millions en France, sont atteints d'une maladie rénale. La maladie rénale est une affection sans symptôme, qui progresse à bas bruit. Chaque année en France, près de 10 000 personnes apprennent qu’ils souffrent d’une insuffisance rénale chronique (IRC)… C’est souvent trop tard. Pour plus d’un tiers d’entre elles, le diagnostic est posé au dernier moment ; ils doivent alors être dialysés en urgence. Un dépistage précoce aurait pourtant permis de retarder et de préparer cette mise en dialyse, voire de l’éviter, notamment par un traitement de la maladie rénale, ou en cas d’IRC au stade ultime, en proposant une greffe préemptive).


    L’insuffisance rénale chronique en chiffres*

    En France, 39 183
    personnes sont dialysées

    31 139
    personnes sont porteurs d’un greffon rénal

    9 030
    patients sont en attente d’une greffe de rein.



    * Chiffres du registre REIN au 31 décembre 2011 sur 25 régions françaises



    La Semaine Nationale du Rein


    • Des lieux de dépistage dans toute la France

    Les opérations de sensibilisation et de dépistage
    anonyme et gratuit se dérouleront comme depuis 8 ans au sein d’établissements de santé (hôpitaux, cliniques et centres de dialyse qui proposeront un test de dépistage de protéinurie et d’hématurie par bandelette urinaire). Près de 300 établissements et 1500 laboratoires d’analyse étaient partenaires de la FNAIR lors de la dernière édition de la Semaine Nationale du
    Rein.

    • Deux grands thèmes à l’honneur


    A l’occasion de la Semaine du Rein, la FNAIR a décidé d’apporter un éclairage sur deux thématiques qui conditionnent très largement la qualité de soins et de vie des personnes en insuffisance rénale chronique : l’autonomie en dialyse et le suivi de l’insuffisance rénale aiguë. Ces deux thèmes feront l’objet de colloques à travers toute la France, grâce aux 24 associations régionales que fédère la FNAIR.


    Plus d’informations sur : www.semainedurein.fr

    Relations Presse : Romain Bonfillon : romain.bonfillon@fnair.asso.fr

     

    vendredi 7 décembre 2012

    Alerte MGEN



    Le 5 décembre à Lyon, le groupe MGEN a organisé « La santé, version active », première journée de sensibilisation aux bienfaits de l’activité physique et sportive pour la santé. 320 adhérents et une centaine de salariés ont répondu présents. Cette affluence démontre l’adhésion du public aux opérations de promotion de la santé à l’instigation de leur mutuelle.