Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 12 octobre 2016

Prévenir le diabète et les risques cardiovasculaires en entreprise : participez à des actions concrètes




L'association SANTE EN ENTREPRISE (SEE) propose aux entreprises et aux mutuelles des actions concrètes dans la domaine de la prévention du diabète et des risques cardiovasculaires .

1) Depuis juin 2016, le programme "Chroniques en entreprise"
Package proposé :
  • Un kit de communication interne (visuel, texte d'annonce, affiche en format pdf, fichier EXCEL de pré-inscription)
  • l'organisation de séances de sensibilisation par petit groupe de 15 participants max. (20 à 25 minutes par groupe)
  • le dépistage individuel combiné du diabète et des risques cardiovasculaires : hémoglobine glyquée (HbA1c) , panel lipides (Cholestérol, HDL, LDL, Triglycéride, Non-HDL, ratio Chol/HDL) et tension artérielle (8 à 10 minutes par participant)
  • le conseil préventif et la documentation
  • les remis aux participants (fiche de résultat, dépliants, carte postale..)
  • le rapport anonymisé et les résultats de l'enquête de satisfaction pour votre entreprise.
Cette action est proposée tout au long de l'année sous forme de prestation à la demande,en France métropolitaine. Organisée sur site en salle sous la forme d'un parcours comprenant 3 étapes : 1/sensibilisation, 2/dépistage 3/conseil préventif.
Des entreprises et mutuelles nous font déjà confiance : Apicil, Capgemini, Humanis, Manpower, LafargeHolcim, Groupe Pasquier, Proservia, Sogeti..
2) Depuis novembre 2011, le Bus Diabète et risques cardiovasculaires qui est une opération itinérante de sensibilisation et de dépistage mise en place en France métropolitaine et à l'île de La Réunion à l'occasion de la journée mondiale du diabète (14 novembre).
Dates de la prochaine campagne :
  • 12 au 16 novembre 2016 : Ile de La Réunion
  • 14 au 18 novembre 2016 Paris et région parisienne

Pour voir le spot sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=NQaUqWqWz7c
Principes de l'opération :
Le bus intervient sur site : des activités (sensibilisation, conseil nutrition, dépistage du diabète) sont proposées aux participants à bord par des professionnels formés (diététiciennes, infirmiers)
Cibles : employés (entreprises) ou grand public (collectivités, grandes surfaces)
Prestation proposée :
  • Kit de communication (web banner, Quiz, affiche...)
  • Atelier de sensibilisation par petit groupe de 15 participants (max)
  • Conseil nutrition
  • Dépistage individuel (diabète)
  • Orientation des personnes à risque vers les structures de prise en charge
  • Evaluation : bilan et enquête de satisfaction
Plus de 25 entreprises ou mutuelles ont déjà soutenu ou participé à cette opération depuis 2011 : Abbott, Accor, AG2R La Mondiale, Astrazeneca, Bolloré, Carrefour, Capgemini, Caisses Réunionnaises Complémentaires (CRC), Groupe Casino, Club Med, Danone, Engie, EDF, Edenred (Ticket restaurant), Havas, LafargeHolcim, Lilly, Manpower, MSD, Novo Nordisk, Groupe Pasquier, Orange, Pierre & Vacances, Sodexo, Technitoit ...

Pour participer, contactez-nous dès à présent pour un devis (journée ou demi-journée) : contact@santeenentreprise.com
Visitez notre page Facebook : https://www.facebook.com/Travailler-ensemble-avec-les-maladies-chroniques-114258551954308/

vendredi 15 novembre 2013

Face aux nouveaux défis des actions de secours, MSF replace le droit humanitaire au service des victimes




« Dictionnaire Pratique du droit humanitaire » de Françoise Bouchet-Saulnier - Editions La Découverte

 
 
L’accès aux victimes peut il être interdit ? La sécurité nationale peut elle justifier la torture ? Comment qualifier un civil qui participe aux hostilités ? Qui décide qu’il s’agit d’un conflit armé, d’un trouble à l’ordre public ou d’une menace terroriste ? La publication d’une nouvelle édition actualisée du Dictionnaire pratique du droit humanitaire présente sous une forme simple comment le droit international humanitaire a évolué face aux nouvelles formes de conflits. Pensé du point du vue des victimes et de ceux qui leur viennent en aide il défend une interprétation civile de ce droit et détaille le sens de plus de deux cent mots banalisés dont les significations juridiques et politiques restent largement méconnues.

Ce droit, toujours en mouvement, est surexploité dans la gestion internationale des crises et des conflits et, simultanément, mis à mal par la rhétorique et les pratiques de la  guerre contre le terrorisme. C'est avec des arguments humanitaires ou au nom de la « Responsabilité de protéger » que des interventions militaires ont été décidées en Irak, Afghanistan, Lybie, RDC, Mali ou Somalie, au risque de faire croire que l’action humanitaire devrait être militarisée. C’est ce même déclencheur « humanitaire » et de lutte contre l’impunité qui a conduit à la création de la Cour Pénale Internationale (CPI) et à la mise en accusation de chefs d'Etat. Paradoxalement les concepts de base du droit humanitaire (torture, détention, garanties fondamentales en période de conflit et définition des conflits) ont failli disparaître dans les trous noirs juridiques intentionnellement fabriqués par la « guerre mondiale contre le terrorisme ». C’est cependant avec les débris de ce droit et de ces principes humanitaires que les acteurs de secours s’accrochent aux terrains pour agir en Syrie, au Yémen, en RCA au Pakistan et ailleurs quand les interventions internationales échouent ou se retirent.

Face à toutes ces remises en question, le droit humanitaire s’est malgré tout renforcé mais au prix de sa complexification.

D’une part les règles humanitaires fondamentales ont acquis le statut de règles coutumières devenant ainsi  utilisables sans accord préalable des Etats dans les conflits internes- qui sont la plus grande partie des confits armés contemporains. D’autre part les tribunaux internationaux se sont tardivement mais concrètement opposés aux interprétations abusives des Etats en rétablissant l’esprit et le contenu des garanties humanitaires fondamentales.

Cette complexification du droit humanitaire exige un effort nouveau de compréhension pour  les acteurs civils ou de secours.

Le Dictionnaire décrit les dangers potentiels, énonce la loi applicable et indique les moyens par lesquels faciliter l’application du droit et appréhender ses violations. Les entrées alphabétiques sont complétées par une analyse de décisions des tribunaux, des références bibliographiques précises, les adresses et contacts des organisations citées, un index thématique et une liste à jour des états de ratification de plus de trente conventions internationales et traités relatifs au droit humanitaire, aux droits de l’homme, au droit des réfugiés et au droit international pénal.

Une somme sans équivalent, destinée en particulier aux décideurs, journalistes, acteurs de secours, chercheurs et  citoyens engagés. Les précédentes éditions de ce dictionnaire ont été traduites en sept langues.

mercredi 26 juin 2013

Plan d’actions sur les contraceptifs oraux combinés : point de situation à juin 2013


Dans le cadre de son plan d’actions sur les contraceptifs oraux combinés (COC), l’ANSM publie une nouvelle mise à jour des données sur l’évolution de l’utilisation de ces contraceptifs en France. La tendance observée se poursuit fin mai, avec une baisse de 43 % des prescriptions des COC de 3ème et de 4ème génération et une hausse de 34 % des COC de 2ème génération. La part des prescriptions de COC de 1ère et de 2ème génération par rapport à celles des COC de 3ème et de 4ème génération est actuellement de 73 % et de- 27 %.

Par ailleurs, les résultats de l’étude réalisée par la Caisse nationale de l’assurance maladie (Cnamts) en lien avec l’ANSM sur les risques des différentes générations de COC et portant sur plus de 4 millions de femmes, sont rendus publics. Ils confirment l’existence d’un doublement du risque d’embolie pulmonaire avec des COC de 3ème génération par rapport à celui des 2ème génération et apportent des données supplémentaires sur l’effet du dosage d’estrogène.

 

Le cinquième état des lieux de l’ANSM sur l’évolution des prescriptions des COC en France, qui porte désormais sur 6 mois (de décembre 2012 à mai 2013), confirme la poursuite des tendances observées. En mai 2013, la baisse des ventes des COC de 3ème et de 4ème génération par rapport à mai 2012 est de 43 % et, dans le même temps, les ventes de COC de 1ère et de 2ème génération augmentent de 34 %. La proportion des COC de 1ère et de 2ème génération est actuellement de 73 % (contre 52 % un an plus tôt). La vente de COC de 2ème  génération avec une teneur en estrogènes de 20 μg d'éthinylestradiol a augmenté de plus de 90 % sur la période décembre 2012-mai 2013 par rapport à la même période de l’année précédente.

 

Les ventes des  autres contraceptifs estroprogestatifs non oraux (les anneaux vaginaux notamment) affichent une baisse de l’ordre de 11 %. Inversement, les ventes des autres dispositifs (implants, stérilets) augmentent de 25 %. L’augmentation la plus marquée concerne les dispositifs intra-utérins (DIU) au cuivre dont les ventes progressent de 43 %. La diminution des ventes globales de contraceptifs (hors préservatifs) sur la période est de 3,7 %.

 

Le suivi des IVG réalisé par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) jusqu’à février 2013 ne montre pas d’évolution particulière.

 

La tendance observée de la diminution du recours aux COC de 3ème et de 4ème génération et le transfert des prescriptions vers les COC de 2ème génération les plus faiblement dosés en estrogènes prend un relief particulier au regard des conclusions de l’étude conduite par la Cnamts, avec la collaboration de l’ANSM. Cette étude a évalué le risque d’événements graves liés à la prise de COC en France, à partir d’une cohorte de 4,3 millions de femmes âgées de 15 à 49 ans ayant eu au moins un COC remboursé par l’Assurance Maladie entre le 1er juillet 2010 et le 31 décembre 2011 (base Système national d’information interrégimes de l’assurance maladie – Sniiram). Ces données ont été chaînées[1] avec celles du PMSI[2] qui portent sur les hospitalisations.

Les résultats confirment ceux des récentes études internationales, à savoir un doublement du risque d’embolie pulmonaire des COC 3ème génération par rapport aux COC 2ème génération. Ce travail montre aussi que les COC de 2ème génération les plus faiblement dosés en estrogènes sont associés à des risques moindres d’embolie pulmonaire et d’infarctus du myocarde.   

 

Une précédente étude publiée en mars par l’ANSM montre un nombre annuel de décès par accident thromboembolique veineux attribuables aux COC de 3ème et de 4ème génération plus important que celui attribuable aux COC de 1ère et 2ème génération.

 

Des pratiques de prescription qui vont dans le bon sens

 

Il convient de souligner la pertinence des pratiques des prescripteurs depuis le mois de décembre dernier. En effet la prescription de COC de 3ème  et de 4ème génération a diminué de façon très marquée et l’augmentation importante de l’utilisation des COC de 2ème génération est presque exclusivement le fait de prescriptions de pilules faiblement dosées en estrogènes (20 μg). Les pratiques de prescripteurs vont donc largement dans le sens d’une minimisation des risques liés aux COC.

 

L’ensemble de ces données, obtenues dans le cadre du plan d’actions sur les COC mis en œuvre depuis le début de l’année, est intégré au dossier présenté aux instances européennes par l’ANSM. Les conclusions de l’arbitrage européen, dont la procédure a été déclenchée dès janvier 2013 par la France en vue de restreindre l’utilisation des COC de 3ème et 4ème génération en deuxième intention, sont attendues à l’automne, après une première évaluation par le comité européen pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) au cours du mois de juillet 2013.

mardi 19 février 2013

Horizon Prévention : coup de projecteur sur l’une des actions prévues en 2013


Le programme Horizon Prévention mis en place avec les mutuelles de MFP Services a été lancé à l’automne 2011. Ce projet a l’ambition d’aider les assurés mutualistes à devenir acteur de leur santé en leur proposant des services adaptés.  La première étape s’est concrétisée par la parution du 1er Baromètre Santé des Fonctionnaires, qui découlait d’une enquête réalisée auprès de plus de 15 000 agents de la Fonction publique sur la perception de leur état de santé.

 

Les choix des actions à venir repose sur les résultats de ce baromètre. En effet, des besoins ont été exprimés. MFP Services et les mutuelles réaliseront des actions de prévention et promotion de la santé en 2013 pour y répondre.

La 1ère action portera sur les maladies chroniques en partenariat avec la MGEFI

- Les maladies chroniques, avec le lancement d’une démarche permettant de trouver des solutions d’accompagnement pour aider à réinsérer les personnes atteintes d’une maladie telle que le diabète ou l’asthme. Cette démarche est réalisée sous forme d’ateliers où seront invitées des agents concernés ainsi que des spécialistes, afin de favoriser un échange dans le but de les aider à reprendre le travail dans les meilleures conditions. Cette action sera mise en place en mai prochain et ouvrira des actions concrètes à expérimenter.

L’expérimentation

 

Les mutuelles membres de MFP Services ont lancé un ambitieux programme de prévention à destination de leurs adhérents, intitulé Horizon Prévention. La première étape de cette démarche s’est traduite par la réalisation d’une enquête santé. Cette dernière a relevé que 37% des répondants déclaraient souffrir d’une maladie chronique, un handicap ou un problème de santé préoccupant.

 

Fort de ce constat, le programme Horizon Prévention propose d’agir afin d’aider les personnes atteintes d’une maladie chronique et en arrêt de travail, dans leur démarche de retour à l’emploi. L’objectif est d’améliorer la qualité de vie de ces personnes.

 

Afin d’identifier les problèmes rencontrés et proposer des solutions adaptées, une expérimentation sera ainsi menée à Carcans en Gironde du 27 au 31 mai 2013, autour d’ateliers thématiques animés par des professionnels de santé. Elle réunira un groupe volontaire de 15 personnes. L’opération sera menée en partenariat avec la MGEFI.

 

En savoir plus sur Horizon Prévention

Contact MFP Services

Anthony Landreau


 

NDRLR : MGEFI et Baromètre santé des fonctionnaires

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