Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 28 septembre 2016

Nouvelles données sur les douleurs




ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE
SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ENVIRONNEMENTALE


Séance dédiée
Mercredi 28 septembre 2016 à 14 h 00
Salle des Actes - Faculté de Pharmacie de Paris - 4 avenue de l’Observatoire, Paris 6


LES DOULEURS
 nouvelles données physiologiques, pharmacologiques et cliniques


Introduction : « Douleurs, nouvelles données physiologiques, pharmacologiques et cliniques »  par Jean FÉGER, membre de l’Académie nationale de Pharmacie
Les diverses formes de douleur représentent un véritable enjeu de santé publique. Parmi celles-ci, les douleurs chroniques d’origine inflammatoire, viscérales, induites par des chimiothérapies ou encore neuropathiques, concerneraient 15 à 25 % de la population, entrainant un coût socio-économique élevé de par son impact sur la qualité de vie et les recours au système de soins qu’elle induit. Cette séance est un hommage à Jean-Marie BESSON, membre associé de l'Académie de Pharmacie. Lui et son équipe ont apporté des contributions majeures dans le domaine des douleurs chroniques en allant de la réalisation de modèles animaux jusqu’à l’emploi raisonné de la morphine pour leur soulagement.

« Jean-Marie BESSON, une vie de recherche et d’action contre la douleur » par Bernard ROQUES, membre associé de l’Académie nationale de Pharmacie

« Intérêt d’une recherche translationnelle inverse en pharmacologie de la douleur » par
Alain ESCHALIER, Professeur de Pharmacologie à la Faculté de Médecine, CHU de Clermont-Ferrand, Ex- Directeur de l’UMR INSERM 1107 Neuro-Dol, Président de l’Institut Analgesia.
La recherche fondamentale sur la douleur a permis, depuis les dernières décennies, de proposer de nouveaux concepts à la fois physiologiques et physiopathologiques, associés à des données neurobiochimiques permettant d’éclairer les mécanismes de régulation de la nociception ou de dysfonctionnement pathologique. Mais, le gap entre ces acquis et l’innovation pharmacologique n’a fait que s’amplifier. En effet, les antalgiques de référence utilisés aujourd’hui sont des médicaments anciens, issus, pour l’essentiel, de l’empirisme clinique sans que les nouveaux concepts ne permettent de concevoir des médicaments antalgiques originaux d’utilisation courante. Ce constat ne doit pas faire négliger l’apport de la recherche fondamentale à laquelle le Dr. Besson et son équipe ont beaucoup participé apportant de nouveaux concepts dont la première découverte d’un effet spinal de la morphine qui a ouvert la porte à l’analgésie péridurale. Pour autant, le manque de retombées de la recherche fondamentale en termes d’innovation médicamenteuse doit interroger sur la stratégie à appliquer. Nous proposons de développer, à côté de la recherche fondamentale toujours nécessaire à la compréhension des mécanismes du vivant, la recherche translationnelle inverse dont la caractéristique est de s’inspirer de la clinique pour alimenter la recherche fondamentale. Ce lien fort est susceptible d’améliorer la dimension applicative des recherches et, en l’occurrence, l’innovation pharmacologique. Plusieurs stratégies peuvent être mises en œuvre : analyser le mécanismes des effets bénéfiques ou indésirables des antalgiques actifs en clinique pour identifier des cibles cliniquement pertinentes pour la conception de nouveaux composés ; concevoir des modèles d’études fondés sur une analogie étiologique et séméiologique avec la clinique afin de réaliser des travaux physiopathologiques dont la « relevance » clinique sera meilleure tout en utilisant des méthodes comparables à celles utilisables chez l’homme ; avoir recours à l’animal patient et pas seulement à l’animal modèle. 

Nous présenterons les travaux que nous avons effectués 1) pour comprendre le mécanisme d’action du paracétamol, mécanisme complexe qui ouvre la porte à des concepts pharmacologiques nouveaux ; 2) pour analyser les mécanismes mis en jeu dans les effets bénéfique et indésirables de la morphine, travaux qui aboutissent à la proposition d’une molécule originale assurant un effet antalgique comparable à celui de la morphine sans ses effets indésirables; 3) pour montrer que le recours à des modèles animaux étiologiquement proches de la clinique humaine peut permettre d’émettre des hypothèses physiopathologiques source de repositionnement de médicaments commercialisés pour d’autres indications. Ces exemples illustrent l’intérêt que nous portons à la stratégie de recherche translationnelle inverse dont la pertinence dépendra des démonstrations cliniques que nous menons ou programmons.

« Mécanismes de régulation centrale de la douleur : sur la voie tracée par Jean-Marie BESSON » par Luis VILLANUEVA, Directeur de Recherches au CNRS, Centre de psychiatrie et neurosciences, U894 INSERM, Université Paris-Descartes
Jean-Marie BESSON a participé directement à des révolutions conceptuelles qui ont modifié en profondeur notre compréhension des mécanismes de la douleur. Les travaux de son laboratoire sur les systèmes de régulation centrale de la douleur ont rendu obsolète le vieux débat entre les écoles dites « spécifistes » et          « non-spécifistes ». Les premiers défendaient l’existence de nocicepteurs périphériques et de circuits ascendants labellisés, activés seulement par des stimuli nociceptifs, lesquels provoqueraient de manière inéluctable la sensation douloureuse. Pour les seconds, la perception de la douleur dépendait non seulement de la stimulation nociceptive mais également de la mise en jeu de puissants mécanismes de régulation centrale. L’étude de l’architecture fonctionnelle des réseaux impliqués dans la régulation centrale montre comment certains états de douleur chronique peuvent ne pas mettre en jeu des nocicepteurs. L’activité des systèmes de régulation centrale de la douleur est sous l’influence de nombreux facteurs environnementaux et leurs dysfonctionnements déterminent la grande variabilité des douleurs chroniques ressenties par des patients présentant des lésions équivalentes. Dans des situations de comorbidité douleur/stress, les systèmes de régulation centrale provoquent des douleurs dites "dysfonctionnelles", qui se produisent en absence de lésion organique apparente comme celles associées à la fibromyalgie, au syndrome de l'intestin irritable ou encore aux céphalées chroniques quotidiennes. L’étude de ces mécanismes de régulation centrale devrait permettre de mieux cibler les outils thérapeutiques visant à prévenir l’émergence des dysfonctionnements cérébraux à l’origine de douleurs chroniques.

« Canaux ioniques et douleur » par Michel LAZDUNSKI, Professeur à l’Université de Nice Sophia-Antipolis, membre de l’Académie des Sciences
Les canaux ioniques jouent un rôle central dans les processus douloureux. Ils sont par ailleurs les cibles directes ou indirectes de très nombreux médicaments existants. Ils sont au centre d’une variété de pathologies génétiques. Cet exposé portera principalement sur les mécanismes de perception de la douleur par les nocicepteurs et sur la description des propriétés de la pharmacologie de ces canaux ioniques qui convertissent les stimulations mécaniques, les stimulations chaudes et froides, les stimulations « acides » en signal électrique douloureux. Il montrera comment ces canaux sont régulés dans les situations d’inflammation et dans les situations de douleurs neuropathiques. Il examinera la possibilité éventuelle de créer des médicaments à partir de ces connaissances scientifiques encore relativement nouvelles.


Discussion générale

mardi 26 avril 2016

Satisfaction des patients hospitalisés : donnez votre avis en quelques clics !

Vous avez été hospitalisé... votre avis intéresse la Haute autorité
 
Depuis septembre 2015, chaque patient hospitalisé peut donner son avis sur son séjour dans un hôpital ou clinique en France grâce à un questionnaire de satisfaction sécurisé en ligne. À ce jour, 50 000 patients ont déjà participé. Avec le soutien du ministère de la Santé, la Haute Autorité de Santé (HAS) et le Collectif Interassociatif sur la santé (CISS) s'unissent pour faire connaître ce droit, mobiliser plus largement les Français et recueillir l'avis de toutes les personnes hospitalisées.
 
Les résultats de satisfaction seront publiés en fin d'année, établissement par établissement, et consultables sur le site www.scopesante.fr
 
Recueillir la satisfaction des patients est aujourd'hui incontournable pour mesurer et améliorer la qualité des soins dans les établissements de santé. C'est pourquoi – après plusieurs années d'expérimentation menées par le ministère – la HAS a débuté le recueil de l'indicateur « e-Satis » en septembre dernier afin de mesurer en continu, de manière fiable et contrôlée, l'expérience et la satisfaction des patients hospitalisés.
Un questionnaire de satisfaction envoyé par courrier électronique à tous les patients : exprimez-vous !
Depuis le 7 septembre dernier, les patients hospitalisés dans l'un des 1 511 établissements ayant une activité de médecine, chirurgie ou d'obstétrique (MCO) sont appelés à donner leur avis.
 
En pratique, chaque patient est désormais sollicité pour communiquer son adresse électronique lors de son admission (condition indispensable pour accéder au questionnaire). Puis, pour toute hospitalisation d'au moins 48h, le patient reçoit par courriel deux semaines après sa sortie, un lien vers un questionnaire de satisfaction sécurisé. En moins de 10 minutes, il peut donner son avis sur :
 
- son accueil dans l'établissement,
- sa prise en charge (information, délais d'attente, respect de l'intimité/confidentialité, gestion de la douleur,…),
- sa chambre et ses repas,
- l'organisation de sa sortie.

Un score de satisfaction pour chaque établissement bientôt publié
A partir des réponses des patients, un score de satisfaction sera calculé pour chaque établissement de santé concerné. Ce score sera publié sur le site www.scopesante.fr[1] en fin d'année et permettra :
 
- à chaque Français de connaitre le niveau de satisfaction obtenu par chaque établissement et de comparer les établissements de santé entre eux ;
- aux hôpitaux et cliniques de connaître l'avis de leurs patients et de s'améliorer.
 
Retrouvez les documents en cliquant ici

jeudi 20 décembre 2012

C'est à lire : La douleur chronique post-chirurgicale » Ouvrage collectif coordonné par Gérard MICK et Virginie GUASTELLA – Editions Springer


Primum non nocere… Qu’un acte chirurgical puisse laisser une trace douloureuse jette une ombre sur cet adage censé fonder la pratique médicale et ancrer son éthique première…

 

Il est d’autant plus surprenant que la médecine ne s’intéresse à cette situation douloureuse chronique paradoxale que depuis quelques années seulement. Mettre en lumière les connaissances acquises dans ce domaine devenait d’autant plus urgent auprès de tout soignant confronté aujourd’hui à une requête légitime des patients : pourquoi et comment un acte chirurgical, attendu comme salvateur, peut-il laisser une cicatrice inacceptable ?  C’est dans cet esprit que les contributeurs francophones à ce nouvel axe d’intérêt clinique majeur vous invitent à cheminer au travers de cet ouvrage.

 

Ce livre collectif fait ainsi le point pour la première fois sur les facteurs de risque, l'évaluation, les données cliniques, les stratégies de prévention des douleurs post-chirurgicales sans oublier les douleurs neuropathiques ou chroniques comme celles ressenties après certaines mastectomies.

lundi 15 octobre 2012

Semaine Bleue: les conseils de Sébastien Forget pour bien veillir et lutter contre la douleur




L’ostéopathie est un vrai remède contre les douleurs chroniques dont souffrent 3 seniors sur 4 …

 

selon Sébastien Forget, enseignant en ostéopathie gériatrique
à l’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO) Paris-Marne la Vallée

« Votre dos est complètement usé, on ne peut plus rien faire ! », « vous êtes rempli d’arthrose, il n’y a pas de solution ! », « vous êtes âgé, c’est normal d’avoir mal ! »… 

 

Qui n’a pas déjà entendu ces phrases décourageantes dans un cabinet médical ?

 

L’ostéopathie peut vous aider, assure Sébastien Forget, enseignant et responsable de la formation continue en ostéopathie gériatrique à l’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO) Paris – Marne la Vallée. L’ostéopathie ne fait pas de miracle, explique-t-il, le praticien ne reconstruit pas le cartilage usé… Cependant, les résultats de ma thèse menée sur plus de 600 patients ont démontré que l’ostéopathie faisait baisser les douleurs chroniques de 50% en moyenne et diminuait de 37% la consommation d’antalgiques. C’est ainsi que l’ostéopathie a fait son entrée à l’hôpital public de Château du loir (72) et dans plusieurs Etablissements d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) de la Sarthe.

 

Sébastien Forget livre quelques conseils utiles pour bien vieillir, accompagnés par un ostéopathe :

 

Les douleurs liées à l’âge : une réalité !

Le corps subit à tout âge des modifications. L’organisme doit alors s’adapter en permanence à ces changements. Les années passent et, inexorablement, les ligaments perdent de leur élasticité, les cartilages s’usent et s’amincissent. Cette évolution physiologique naturelle peut entrainer des douleurs articulaires, des difficultés motrices… La réalisation des gestes simples de la vie quotidienne devient donc  difficile.

Selon toutes les études, 3 seniors sur 4 souffriraient de douleurs chroniques et celles-ci touchent à plus de 80% l’appareil locomoteur (articulations, muscles…). Alors qu’en 2050, la population de 65 à 85 ans sera multipliée par 3 et le nombre de personnes de plus de 85 ans sera multiplié par 7  (source OMS), ces douleurs deviennent un enjeu de santé public !

Cette lutte contre les douleurs liées à l’âge est donc une réalité bien connue des patients et malheureusement peu de solutions leur sont offertes… En effet  pour les médecins traitants, les douleurs de l’âge sont normales, on ne peut rien y faire et sont généralement traitées par du paracétamol. Comment se fait-il alors qu’elles continuent à évoluer et augmenter ?

 

Quand consulter un ostéopathe ?

Cette médecine complémentaire, qui fut structurée au XIXe siècle aux États-Unis par le Dr Andrew Taylor Still, consiste à prévenir, tester et traiter les dysfonctionnements mécaniques du corps par des techniques de mobilisations et de manipulations de vos articulations, muscles, viscères... L’ostéopathe DO,  véritable mécanicien de l’organisme, pose un diagnostic et va permettre à votre corps de s’user moins en fonctionnant mieux. Quand le consulter ?

·         A titre préventif :

N’oubliez pas que l’ostéopathe DO est le « mécano » de votre corps, en ce qui concerne votre voiture, attendez vous que le moteur fume noir ? NON, donc pourquoi traiter mieux sa voiture que son corps ? Celui-ci ne pourra pas être changé, vous devrez vieillir avec lui…

La prévention consiste donc à diagnostiquer et stabiliser les zones de faiblesse de votre corps, d’optimiser vos facultés de mobilité, de coordination gestuelle et de minimiser les risques de chutes. Ceci vous permettra  de retrouver un confort fonctionnel  au quotidien (marche, sport, activités culturelles et familiales). Le traitement s’accompagnera de conseils et d’étirements.

2 à 3 consultations/an sont recommandées.

·         A titre curatif :

Lors de douleurs installées, anciennes ou récentes :

-          Douleurs vertébrales : lombaires, dorsales, cervicales ;

-          Douleurs articulaires diverses : Hanche, genou, épaule…

-          Névralgies : Sciatique, cruralgie, canal lombaire étroit…

-          Traumatismes : chute, accident de voiture…

-          Diminution de la mobilité

-          Troubles du sommeil, stress, anxiété…

-          Troubles du transit

 

Comment choisir son ostéopathe ?

En France, face à une profession qui échappe à la réglementation et un diplôme du même niveau pour des formations très hétérogènes, difficile de faire la différence entre un vrai ostéopathe et celui qui n'est pas assez bien formé pour pratiquer l'ostéopathie avec compétence et en toute sécurité pour le patient.

Il y a néanmoins quelques indices, conditions indispensables à remplir :

·         Une formation post-bac aux normes de l'OMS sur 5 à 6 ans minimum incluant une formation clinique ostéopathique encadrée de 1000 heures minimum.

·         Dans un établissement conforme aux normes de l'OMS, agréé par le Ministère de la Santé, et uniquement dédié à la formation initiale post-bac (voir liste proposée sur le site du Syndicat National de l'Enseignement Supérieur en Ostéopathie – www.sneso.fr ).

·         Un diplôme professionnel certifié de Niveau I et enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles.

·         S’il est spécialisé en ostéopathie pédiatrique, en ostéopathie gériatrique ou en ostéopathie du sport, il doit pouvoir justifier d’un diplôme ou d’un certificat de spécialisation obtenu dans un établissement agréé par les instances professionnelles syndicales ou académiques.

 

A propos de l’auteur :

 

Sébastien FORGET

Enseignant en ostéopathie gériatrique à l’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO) de Paris-Marne la Vallée, créateur et responsable du Certificat d’Etudes Spécialisées en ostéopathie gériatrique (formation continue) de l’ESO.

Sébastien Forget fut le premier ostéopathe DO hospitalier de France et le premier à parler d’ostéopathie gériatrique. Il partage son activité entre les cabinets libéraux (72, 41), les institutions publiques dédiées aux personnes âgées dépendantes et l’enseignement et la recherche.

 

 

 

 

jeudi 11 octobre 2012

15 octobre 2012 : Journée mondiale de la douleur


OU EN EST LE PLAN IV "DOULEUR" depuis mars 2012 ?

 

L’Organisation Mondiale de la Santé – O.M.S. parraine chaque année cette journée mondiale et réclame la reconnaissance de la prise en charge de la douleur comme partie intégrante du droit à l’accès à la santé physique et mentale. L'Association internationale pour l'étude de la douleur (IASP) et la Fédération européenne des sections locales de l'IASP (EFIC) coordonnent les actions mises en place pour cette Journée mondiale.

 

Concernant la douleur chronique, selon l'IASP et l'EFIC, une personne sur cinq souffre de douleurs chroniques modérées à fortes, et la douleur rend une personne sur trois incapable ou difficilement capable de mener une vie indépendante. En outre, une personne sur quatre rapporte que la douleur perturbe ou détruit ses relations avec sa famille et ses amis.

 

Où en est le Plan IV douleur ?

 

(…) Le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) a recommandé l’élaboration d’un 4e plan douleur afin de donner un nouveau souffle aux actions entreprises et de s’assurer de la poursuite de l’engagement des pouvoirs publics dans ce champ. Le renforcement de l’exigence du public dans le domaine du soulagement de la douleur passe par une information large et régulière. Cette exigence est un déterminant majeur du changement des pratiques professionnelles. C’est un élément essentiel qui nécessite une volonté politique affichée au niveau ministériel (…).

Rapport mars 2011

 

Où en sont les réflexions du groupe chargé de mettre en œuvre le prochain programme d’actions pour la prise en charge de la douleur et dont les conclusions devaient paraître fin mars 2012 ?

 

Communiqué complet - pétition - voir le fichier joint.

 

 

Contact :

Carole Robert

Coordonnateur des actions en cours : Journée Mondiale, Pétition au Président de la République, Single "Tout reste à faire"

C.D.C. - Collectif des Douloureux Chroniques : http://www.collectif-cdc.org