Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 7 décembre 2022

Alerte info: RUPTURE D’APPROVISIONNEMENT D’AMOXICILLINE EN PÉDIATRIE


RUPTURE D’APPROVISIONNEMENT D’AMOXICILLINE EN PÉDIATRIE 

Un nouvel exemple des lacunes dans l’organisation française 


En savoir plus :
Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie
06 09 48 50 38

samedi 29 octobre 2022

ACADEMIE DE PHARMACIE : halte aux pénuries et ruptures de stocks !

 
DISPONIBILITÉ DE TOUS LES MÉDICAMENTS
L’Académie nationale de Pharmacie appelle à réagir vite et fort 
Dans l’intérêt des patients

L’Académie nationale de Pharmacie constate une augmentation constante des ruptures de stocks de médicaments et dispositifs médicaux. Dans ce contexte, elle met en garde contre les conséquences désastreuses que pourrait avoir la LFSS 2023 sur l’augmentation des pénuries et de ruptures de stocks des médicaments anciens et indispensables.
Par ailleurs, elle exhorte les pouvoirs publics à exempter à très court terme les sites de production de médicaments, tout spécialement ceux produisant des produits injectables, des éventuels délestages électriques à venir. De tels arrêts de production (ponctuels ou prolongés) auraient des répercussions immédiates et à long terme sur la disponibilité de l’ensemble des produits de santé et sur la qualité des soins.
L’Académie insiste une nouvelle fois  sur le fait qu’à côté des nouveaux médicaments, certains médicaments anciens restent indispensables pour la prise en charge des patients. Ces médicaments anciens sont même souvent les seuls utilisables, tout spécialement en première ligne, quand ils ne doivent pas être associés à de nouveaux médicaments dans un même parcours de soin. Or, l’enveloppe budgétaire des médicaments remboursables ne progresse pas en dépit du vieillissement de la population et de la mise sur le marché de nouveaux médicaments plus onéreux au détriment des médicaments plus anciens. En cas de rupture, nous savons d’expérience que la substitution d'une spécialité par une autre dans une même classe thérapeutique, notamment pour les génériques, n’est pas une solution durable (ex. prednisolone, prednisone, antiémétiques majeurs). En termes médico-économiques, enfin, la disparition de ces médicaments anciens entrainerait, dans la meilleure hypothèse, leur remplacement par de nouveaux médicaments nettement plus coûteux et de plus en plus difficilement finançables par les comptes sociaux.

L’Académie regrette de constater que, dans le PLFSS 2023, la part du médicament dans les dépenses de santé serait 7 % inférieure aux dépenses constatées en 20222 (24,6 milliards d’euros contre 26,4 milliards de dépenses estimées en 2022) et que  le niveau de baisses de prix annoncé reste très élevé (800 M€ au minimum), ce qui va continuer à peser sur les médicaments anciens, sans compter les remises à verser par les entreprises, y compris sur ces médicaments, ainsi que la « clause de sauvegarde ». Or, du fait de l’inflation, l’industrie du médicament et des dispositifs médicaux subit une augmentation considérable des coûts de l’énergie2 en plus d’être plus spécifiquement confrontée à des difficultés d’approvisionnement en matières premières et composants. Le phénomène concerne la quasi-totalité des approvisionnements du secteur avec des coûts de production qui ont augmenté de 20% à 30%, voire plus dans certains cas. 

L’Académie s’inquiète de l’incohérence de ces projets de taxation supplémentaire, alors qu’en préambule de la PLFSS 2023, il est mis en exergue que la crise sanitaire a révélé l’importance de préserver la capacité d’approvisionnement du marché français, notamment pour des médicaments anciens.

L’Académie rappelle que tous les médicaments, quelle que soit leur ancienneté, sont soumis aux mêmes normes internationales de qualité et de conformité, dont les niveaux d’exigence en constante augmentation (en particulier pour les produits injectables) nécessitent une adaptation permanente de l’outil industriel et des investissements, impossibles à envisager pour des opérateurs dont les marges s’érodent, sans compter les coûts induits par les nouvelles réglementations adoptées dans l’intérêt du patient (coût des stocks exigés par l’État, de la sérialisation, des études complémentaires demandées régulièrement : ICHQ3D, nitrosamines, etc.). Contraintes depuis plusieurs années à réduire leurs marges du fait des baisses de prix régulières sur le médicament et de l’augmentation des coûts, 71% des petites et moyennes entreprises (PME) pharmaceutiques implantées en France ne commercialisent plus certains de leurs médicaments et finissent par demander le retrait de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) de plusieurs de leurs produits au détriment de la sécurité sanitaire nationale ! 3

L’Académie anticipe une augmentation inédite en 2023 des pénuries, tensions et ruptures de stocks, et des arrêts de commercialisation ou des abrogations d’AMM, sachant que le nombre de signalements est déjà passé de 871 en 2018 à 3278 au 30 septembre 2022, augmentation qui ne s’explique pas uniquement par l’obligation renforcée de déclaration des ruptures à l’ANSM. 

Dans ce contexte alarmant, elle recommande de :  
• Organiser des États généraux sur la politique du médicament, en les associant aux réflexions en cours sur le même sujet au niveau européen, pour repenser le système actuel de fixation des prix des médicaments anciens indispensables qui conduit progressivement à une diminution de l’offre. 
• Arrêter d’urgence de baisser les prix par classes thérapeutiques, cette méthode ne prenant en compte ni les difficultés techniques en fonction de la galénique (médicaments injectables vs comprimés ou solutions buvables), ni la nécessité de disposer de formes/dosages souvent produits en petites quantités, à la limite de la rentabilité, mais essentiels au traitement de populations particulières de patients.
• Revaloriser les prix des médicaments anciens indispensables, notamment injectables, peu onéreux mais coûteux en termes de production du fait d’une technicité sans cesse en évolution. 
• Déterminer dans l’urgence une liste des médicaments indispensables afin de pouvoir donner des instructions claires au Comité économique des produits de santé (CEPS). 
• De même, dispenser ces médicaments de la clause de sauvegarde et les faire plutôt bénéficier d’un régime de prix spécifique.  
L’Académie est également très préoccupée de constater l’absence de l’Industrie pharmaceutique dans les priorités du plan gouvernemental de sobriété énergétique.4 Elle exhorte les pouvoirs publics à exempter à très court terme des éventuels délestages à venir les sites de production de médicaments, spécialement ceux produisant des médicaments injectables. Arrêter l’approvisionnement de ces usines en électricité ne manquera pas d’entrainer l’arrêt des centrales de traitement d’air, l’arrêt de la boucle d’eau… et l’obligation de jeter des lots alors que ces produits sont de première nécessité pour les besoins de santé publique.

  https://www.acadpharm.org/dos_public/MEDICAMENTS_ANCIENS_INDISPENSABLES_2020.10.05_VF.PDF
2 Les dépenses de santé augmentent chaque année de 2, 5 % (si on exclut la crise sanitaire) alors que, dans le même temps, la part des médicaments est passée de 14 % en 2010 à 11, 1 % en 2020.
3 Panorama conduit par D&C Consultants à la demande de l’AMLIS (Association des Moyens Laboratoires et Industries de Santé. Association représentant les TPE et PME pharmaceutiques)
4 Les PME implantées en France emploient 23 900 personnes sur leurs sites de production, ce qui représente 50 % des emplois de production du secteur pharmaceutique national. Le maintien de ce tissu est essentiel en termes de souveraineté sanitaire pour notre pays, concernant ces médicaments peu onéreux et surtout ciblés sur des traitements du quotidien, ceux des maladies chroniques les plus courantes notamment.


lundi 26 septembre 2022

ACADEMIE DE PHARMACIE : Menace sur la formation des futurs pharmaciens


L’Académie nationale de Pharmacie s’inquiète fortement et demande aux ministères concernés de réagir vite et fort aujourd’hui, pour ne pas avoir simplement à constater dans 6 ans le marasme du monde pharmaceutique (officinal, industriel, hospitalier et de la biologie médicale) qu’auront provoqué les réformes successives, infructueuses, d’accès en santé. 

https://www.acadpharm.org/dos_public/ETUDES_EN_PHARMACIE_2022.09.26_VF1.PDF.

Restant à votre disposition
Bien à vous

Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie
06 09 48 50 38

mardi 10 mai 2022

ACADEMIE DE PHARMACIE : « SARS-CoV-2 et stratégies antivirales »


Cette séance est retransmise via Youtube 

Code sur simple demande 

Restant à votre disposition

Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie
06 09 48 50 38

 

« SARS-CoV-2 et stratégies antivirales » 

Mercredi 11 mai 2022 de 14 h 00 à 17 h 00 

Salle des Actes
Faculté de Pharmacie de Paris,  4 avenue de l’Observatoire 75006 Paris 

Depuis plus de deux ans, les recherches dans le domaine de la COVID-19 ont été foisonnantes. Faisant preuve d’une réactivité exceptionnelle, l’industrie pharmaceutique et les centres de recherches académiques du monde entier se sont mobilisés pour s’opposer à la pandémie. Les résultats sont impressionnants : à la fin du mois d’août 2020, 1 150 candidats médicaments étaient en cours d’évaluation dans le monde et 3 020 essais cliniques programmés. 30 % des candidats étudiés concernaient des « petites molécules ». C’est précisément l’odyssée des « petites molécules » et des biomolécules qui constituera le cœur de la séance thématique proposée, avec le repositionnement de principes actifs déjà connus ou, au contraire, avec les recherches de nouveaux agents au fur et à mesure de l’avancement des connaissances sur le cycle viral du SARS-CoV-2 et de la maladie COVID-19. 

Introduction par Jean-Daniel BRION et Christiane GARBAY

EXPOSÉS 

"Cibles biologiques et approches thérapeutiques", par Patrick COUVREUR

"COVID et petites molécules : présent et futur", par Benoît DÉPREZ

"Chimie théorique et innovation thérapeutique : exemple de la protéase du SARS-CoV-2 Mpro", par Jean-Philip PIQUEMAL

"Point d'actualité sur la COVID-19 et les thérapies antivirales", par Bruno MÉGARBANE

"La leçon de la COVID-19 : vaccins et antiviraux chimiques", par Bernard MEUNIER


mercredi 30 mars 2022

ACADEMIE DE PHARMACIE / Innovations thérapeutiques en oncologie

« Innovations thérapeutiques en cancérologie »

Mercredi 30 mars 2022 de 14 h 00 à 17 h 00

Salle des Actes
Faculté de Pharmacie de Paris, 75006 Paris


Lien visioconférence sur simple demande


CONTACT :
Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie
06 09 48 50 38

lundi 11 octobre 2021

Maladie coeliaque : se faire diagnostiquer EN PHARMACIE



En France, 500 000 patients non diagnostiqués

Avant de commencer un régime restrictif, contraignant et coûteux, mieux vaut donc établir avec certitude un diagnostic précis de MC.

Mais, attention surtout à ne pas s’auto-diagnostiquer « intotérant au gluten » à tort, sur la foi de symptômes divers et/ou de troubles digestifs prolongés, voire par simple effet de « mode », et à se mettre 

au régime sans gluten sans la moindre justification ! Or, il est possible de détecter les anticorps spécifiques de la maladie, les IgA anti-transglutaminase …  A la condition expresse, justement, de ne 

pas se faire tester après avoir supprimé le gluten de son alimentation, ce qui rend, en effet, les résultats faussement négatifs, au risque de passer à côté d’une MC. 

DES TESTS EN PHARMACIE simples et fiables

il existe aujourd’hui en pharmacie des autotests multiplex, fondés sur  deux marqueurs ((IgA anti-transglutaminase et IgA totales pour éliminer un éventuel déficit immunitaire (de classe IgA),, dont le 

résultats’il est positif, permet de détecter en quelques minutes s’il s’agit bien d’une maladie coeliaque.




Contact presse:
Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie
06 09 48 50 38


INTOLERANCE AU GLUTEN

Vrai / faux ?

En collaboration avec l’Association Française des Intolérants au Gluten (AFDIAG)


Pathologies de l’adulte et de l’enfant Dépistage et diagnostic
Le conseil pharmaceutique /
les attentes des patients 


2ème Grand débat avec le public de l’Académie nationale de Pharmacie

Mercredi 13 octobre 2021 / 14 h  à 17 h  

Salle Quinine, Faculté de Pharmacie de Paris, Université Paris Descartes 4 avenue de l’Observatoire Paris 75006  

Entrée libre sur simple réservation http://pharmacie.clebis.odns.fr/ Pass sanitaire obligatoire

https://www.acadpharm.org/dos_public/GRAND_DEBAT_2021_V4.PDF


vendredi 11 juin 2021

ACADEMIE DE PHARMACIE / vaccination Covid-19 : pour une obligation "ciblée"


100 % des personnels de santé

doivent être vaccinés contre le SARS-Cov2

dans l’intérêt de tous les patients
 
Conformément à sa recommandation émise le 25 mars 20191, l’Académie estime que la vaccination contre la Covid-19  devrait être ajoutée à la liste des vaccinations obligatoires pour les personnels de santé et plaide pour une obligation « ciblée ». 
1 l'hépatite B, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite; 2° Dans un laboratoire d'analyses  et de biologie médicale sans être immunisé contre la fièvre typhoïde.

jeudi 18 février 2016

Découvrez l'actualité de l' Academie de pharmacie

 

Actualités

Ordre du jour de la séance académique du 2 mars 2016

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12.02.2016  |  Publications > Lettre de veille scientifique - Veille scientifique

Veille scientifique : Lettre n° 35 éditée sous l’égide de la Commission Prospective scientifique et Programmation

Ont participé à la rédaction de cette Lettre no35 : Alain Berdeaux, Claude Monneret, Alain Gouyette, Jean-Michel Guillon, Jean Féger, Jean Pierre Goullé, François Trivin, Liliane Grangeot-Kéros.

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12.02.2016  |  Publications > AcadPharm INFO - AcadPharm INFO

AcadPharm INFO

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09.02.2016  |  Publications > Publications  - Rapports d'études

L'observance des traitements médicamenteux en France

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09.02.2016  |  Secrétariat Général > Actualités - Actualités

Communiqué sur la valorisation des revues médicales en langue française"

Communiqué de l'Académie nationale de médecine, avec la participation du Dr Claude Monneret, Président de l'Académie nationale de Pharmacie et du Pr Alain Astier, Rédacteur en chef des Annales Pharmaceutiques Françaises.

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04.02.2016  |  Séances > Séances bi / multi-académiques - Agendas

Séance du 04 février 2016 - Produits de glycation avancée, produits de Maillard, alimentation et santé

Co-parrainage Académie d'Agriculture de France et AnP

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04.02.2016  |  Séances > Séances académiques - Comptes-rendus

Compte rendu de la séance académique du 3 février 2016

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29.01.2016  |  Publications > AcadPharm INFO - AcadPharm INFO

AcadPharm INFO

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21.01.2016  |  Séances > Séances bi / multi-académiques - Comptes-rendus

Diapositives présentées lors de la séance bi-académique du 20 janvier 2016

"La chimie au service de la santé"

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21.01.2016  |  Publications > Publications  - Autres publications

Livret "Vaccination"

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20.01.2016  |  Séances > Séances thématiques - Comptes rendus

"La chimie au service de la santé"

Séance bi-académique avec l'Académie des Sciences. Mercredi 20 janvier 2016

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lundi 17 mars 2014

Il faut faire un point sérieux sur l'arylamine

JEUDI 20 MARS, 11h

Musée Tillequin

4, Avenue de l'Observatoire, Paris 6


Les spécialistes du sujet, les Prs Jean-Luc Wautier et Eric Boulanger

Le président de l'Académie de Pharmacie, le Pr Jean-Pierre Foucher
 
 
ACRYLAMIDE Une information alarmiste peut cacher une information salutaire

 



Il est important d'informer sur les dangers potentiels de l’acrylamide, mais la tendance actuelle à ne répercuter que certains éléments diffusés par des agences chargées de la santé et de l’alimentation, aboutit à un contresens en termes de santé publique.



Connaitre la concentration en acrylamide est important mais insuffisant

Le comité mixte OMS-FAO (JEFCA) a identifié huit aliments responsables de 80% des apports en acrylamide (frites tranchées grossièrement, frites au four, croustilles de pommes de terre, céréales, pain grillé, biscuits, pain blanc et café). Mais, les expositions à l’acrylamide alimentaire varient de 0,3 µg/Kg/jour à 5 µg/Kg/jour, et, si les modifications biologiques sont corrélées à la quantité d’acrylamide ingérée, elles dépendent aussi en grande partie de variables individuelles.


C’est pourquoi il est plus pertinent de mesurer des témoins de l’exposition, à savoir les biomarqueurs dans les urines ou le sang : - dans les urines : en mesurant N-acetylcysteine-S-propionamide ou NACP, métabolite prédominant de l’acrylamide



- dans le sang : en mesurant les adduits que forment l’acrylamide et le glycidamide avec l’hémoglobine, N-(2 carbamoylethyl) valine ou AAVal et le N-(2 carbamoyl-2-hydroxyethyl) valine ou GAVal. La concentration mesurée de ces adduits représente les 4 derniers mois d’exposition à l’acrylamide.


Définir les valeurs normales de ces biomarqueurs, comme c’est le cas pour la glycémie ou le cholestérol, est donc plus significatif en termes de santé que d’indiquer sur chaque paquet de produits agro-alimentaires son contenu en acrylamide ou précurseurs d’acrylamide. En effet, le consommateur aura des difficultés pour interpréter les valeurs indiquées sur ce qu’il achète et savoir effectivement quelle quantité il ne doit pas dépasser. En dehors d’éviter la surchauffe, il aura du mal à choisir le meilleur mode de préparation.





C'est pourquoi l'Académie nationale de Pharmacie recommande :




C'est aux industriels de définir les procédés de fabrication limitant la formation d’acrylamide ou de ses précurseurs.
Des études épidémiologiques fondées sur des interrogatoires téléphoniques ou sur la mortalité relevée dans les registres de mairie sont peu informatives sur le risque de décès par cancer ou maladie neurodégénérative lié à l’acrylamide. C'est aux organismes ayant vocation à faire de la recherche biomédicale de définir des programmes spécifiques ayant pour objectif de bien définir les conditions dans lesquelles l’acrylamide ou ses précurseurs sont un risque pour la santé.
La prévention par rapport aux risques de l’acrylamide ne se résume pas à supprimer les frites mais passe par une réelle définition des valeurs des biomarqueurs urinaires ou sanguins correspondant à un risque neurologique ou cancérigène afin de déterminer les personnes à risque.






Une frite ça va, combien de frites pour avoir des dégâts ?





Rie Rien ne sert de tenir un discours alarmiste, encore moins de mettre toute une population à un régime ne comportant aucun des 8 aliments majoritairement source d’acrylamide. Un seul conseil pour tous : la modération.





L'a L'alimentation doit être personnalisée en fonction des facteurs de risque : diabète, hyperlipidémie, cancer, maladies cardiovasculaire et neurodégénérative.