Nora ANSELL-SALLES

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mardi 3 juin 2014

Le coup de griffe hebdomadaire de Jacques Draussin

EDITO







Et les plus grands spécialistes de nous expliquer à quel point le packaging influe sur les motivations à la consommation des esprits les plus faibles de notre société, à savoir les femmes, les jeunes et les chômeurs…

Et les mêmes grands chefs à plumes de la prévention de nous asséner que la e-cigarette représente à la fois une porte d'entrée vers le tabagisme – « qui a vapoté fumera » – et un avenir sombre pour nos enfants – « qui a vu vapoter fumera ».

Que le seul pays qui a déjà imposé l'obligation de la neutralité du packaging tabagique [l'Australie] n'ait observé aucune baisse de la consommation ne semble impressionner personne du côté de l'avenue de Ségur. Pas plus d'ailleurs que ne fait douter le front uni des médecins pneumologues plaidant pour que la cigarette électronique soit désormais reconnue comme un outil efficace de réduction des risques dans la prévention des cancers.

La future loi de santé publique de Marisol Touraine est censée donner aux médecins généralistes un vrai rôle de pivot dans le champ de la prévention, adapter en conséquence leur rémunération, généraliser le tiers-payant, relancer le dossier médical personnel, sortir la faculté de l'hôpital, renforcer la démocratie sanitaire…

Attendons patiemment les annonces du 17 juin pour savoir si la future politique de santé publique dépassera celle du no logo.

Jacques DRAUSSIN


 
NDLR : MGEFI et Jacques DRAUSSIN
Jacques Draussin a cette année encore animé la table ronde "Activité physique et Santé" organisée par la MGEFI Région parisienne en clôture de son AGL.

Retrouvez les temps forts de cette table ronde  en vidéo :

http://pressentinelle2.blogspot.com/2014/05/activite-physique-et-sante-1ers-echos.html

vendredi 16 mai 2014

L’extension du champ de la co-assurance : une avancée majeure...

... pour la Mutualité Française
 
La Mutualité Française se félicite de l’adoption ce jour par l’Assemblée nationale des 4 premiers titres du projet de loi sur l’économie sociale et solidaire et salue l’engagement des ministres successifs en charge de l'ESS pour ce texte ainsi que la qualité du travail effectué par les parlementaires et les administrations.

En renforçant le cadre juridique et en le dotant de moyens adaptés, cette loi contribue à la visibilité et au développement d'un secteur économique dynamique qui permet d’entreprendre autrement et qui représente d'ores et déjà plus de 10% des emplois et de la richesse nationale.

La Mutualité Française, acteur majeur de l'ESS avec plus de 80 000 emplois en France, se félicite en outre du vote du Titre IV de la loi qui donne aux mutuelles les outils pour développer leurs activités et pour répondre de manière adaptée aux enjeux prudentiels.

Avec l’extension du champ de la coassurance aux contrats collectifs (à adhésion obligatoire pour les salariés et à adhésion facultative pour les travailleurs indépendants, les chômeurs et les retraités), la loi ESS ouvre de nouvelles possibilités aux mutuelles de présenter des offres en partageant le risque, notamment pour répondre aux demandes générées par la généralisation de la complémentaire santé à tous les salariés.

Pour Etienne Caniard, président de la Mutualité Française " elle permettra également aux mutuelles de mieux répondre en étendant cette possibilité de pratiquer la coassurance pour apporter des réponses innovantes aux populations exclues de facto de l'accord national interprofessionnel, je pense notamment aux chômeurs, aux retraités, sans oublier les travailleurs indépendants."

La Mutualité Française salue, par ailleurs, la création de certificats mutualistes et paritaires permettant aux mutuelles de renforcer leurs fonds propres dans un contexte prudentiel rendu plus exigeant par la directive européenne Solvabilité 2, tout en respectant leurs principes de gouvernance mutualiste.

Enfin, elle se réjouit de la création d’une nouvelle forme d’union spécifiquement dédiée aux mutuelles du Livre III du code de la mutualité pour renforcer la capacité de développement des Services de soins et d’accompagnement mutualistes et permettre une véritable structuration des activités sanitaires, sociales et culturelles
 
 
 
 
 
 

vendredi 20 septembre 2013

Le blog "Mine d'Infos" à deux doigts d'atteindre l'objectif des 100 000...


 
 
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En dehors des infos santé/ protection sociale/ RH/ Mutuelle etc... vous retrouverez au fil de l'eau les actualités de la  Mgefi également  sur le blog Mine d'Infos : http://pressentinelle2.blogspot.fr/


 



Très bon week-end

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mardi 5 mars 2013

Position du groupe Istya sur l’ANI et le pré-projet de loi concernant la généralisation de la couverture complémentaire santé


« Le problème de l’ANI, tel qu’il est posé dans le texte existant et dans le pré-projet de loi, est qu’il peut faire obstacle à une réflexion globale sur la généralisation de la couverture complémentaire. La première problématique à traiter est l’équité dans l’accès aux soins pour nos concitoyens.

 

Cet accord est certes bon pour les salariés du secteur privé qui ne bénéficient pas d’une couverture santé aidée par leurs employeurs, mais il ne règle pas le problème du financement des complémentaires pour les étudiants, les chômeurs, les retraités et agents de la fonction publique.

 

De plus, il fait peser le surcoût des financements aux très petites entreprises qui, pour beaucoup, n’étaient pas dotées de contrats collectifs obligatoires. Enfin, cet accord représentera un coût de perte fiscale supplémentaire pour l’Etat de plus de 2 milliards d’euros. Il aurait été souhaitable que des modifications du texte de l’accord du 11 janvier dans la loi permettent de rouvrir la réflexion d’intérêt général sur la généralisation de la couverture santé.

 

La première mesure aurait pu être de conditionner les aides fiscales au respect de critères renforcés pour les couvertures responsables et solidaires.

 

Il est urgent de remettre en avant la modification de la loi sur ces contrats comme le Président de la République s’y est engagé. D’autres critères plus contraignants devraient y prendre place tels que :

- la solidarité intergénérationnelle telle qu’appliquée à la fonction publique,

- un taux de redistribution minimum par exemple de 75%,

- une fourchette de couverture plancher et plafond.

 

Une deuxième mesure aurait pu être de donner la liberté aux entreprises de choisir de participer à des contrats « responsables » collectifs obligatoires ou individuels choisis par les salariés.

 

C’est ce qui a été fait pour les employeurs publics que sont les collectivités territoriales qui, à plus de 90 %, ont opté pour la solution du financement des contrats dits labellisés, donc individuels. Ceci permettrait aussi de faciliter, le temps venu, le traitement de la question qui ne manquera pas de se poser pour les fonctionnaires qui n’ont pas accès aux contrats collectifs obligatoires. Ceci passe aussi nécessairement par le respect de l’ANI sur la suppression de la « clause de désignation » dans les accords de branche.

 

La troisième mesure aurait pu être d’imposer le maintien de la couverture pour les retraités dans les couvertures individuelles et collectives.

 

Ceci est la conséquence du principe de solidarité intergénérationnelle qui serait inscrit dans la loi sur les contrats responsables et solidaires.

 

Enfin, la quatrième mesure aurait été d’étudier un fonds de mutualisation entre les opérateurs, pour les retraités.

 

Le principe pourrait être une péréquation entre les opérateurs qui financent le fonds par un certain montant par actif et qui peuvent recevoir en fonction du taux de retraités (en nombre et/ou en cotisations) et de l’écart par rapport à une moyenne. Si la moyenne est de 30 %, ceux qui sont en dessous reçoivent contrairement à ceux qui sont au-dessus.

 

En résumé, les avantages des propositions du groupe Istya sont :

- de ne pas remettre en cause le cœur de l’ANI sur les contrats collectifs et de maintenir les avantages fiscaux dans un esprit d’équité pour tous les citoyens comme le Président de la République s’y est engagé au Congrès de la FNMF à Nice,

- de mettre en avant ce qui est essentiel, c’est-à-dire la réforme des contrats responsables et solidaires qui devraient, demain, chapeauter tous les processus aidés de couverture complémentaire santé, y compris pour tous ceux qui ne sont pas inclus dans l’ANI,

- de faire respecter l’autre engagement du Président de la République à Nice d’exonérer ou de réduire la TSCA pour les contrats responsables et solidaires renforcés de critères de solidarité plus forts,

- de ne pas donner l’exclusivité aux contrats collectifs dont nous connaissons toutes les limites en termes de solidarité véritable, d’inflation des garanties, de rétrécissement du fonctionnement démocratique et de portabilité,

- d’imposer la couverture tout au long de la vie pour tous les contrats et, donc, de ne pas laisser sur le bord du chemin les retraités.

 

Ceci serait une meilleure base pour aborder, ensemble, le sujet de la généralisation de la couverture solidaire santé dans un partenariat responsable et d’intérêt économique général entre la Sécurité sociale et les mutuelles. »


NDLR : MGEFI et ISTYA
La mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie - MGEFI intégré le groupe Istya le 1er janvier 2013
wwww.mgefi.fr

vendredi 25 janvier 2013

30% de demandeurs d'emploi sans le BAC


Un niveau BAC+2 satisfait 87,2% des recruteurs

 

Le niveau d'études des chômeurs en chute libre depuis 1 an

" De février 2012 à fin janvier 2013, les niveaux d'études requis par les recruteurs et ceux acquis par les demandeurs d'emploi ont profondément changé, creusant encore davantage l'écart et la disparité entre les offres et les demandes".

Stéphanie Delestre, fondatrice de Qapa.fr

 

 

Paris, 25 janvier 2013. Chaque mois, Qapa, le premier outil de mise en relation dédié à l'emploi, analyse et communique les données de plus de 500 000 demandeurs d'emploi et de plus de 75 000 offres d'emplois.

 

La conclusion de l'analyse des données des demandeurs d'emploi et des offres de la base Qapa sur un an est claire : il faut encore plus de candidats ayant un niveau d'études BAC+2 pour pouvoir satisfaire les demandes des recruteurs. La réalité est toute autre et il est alarmant de constater que le niveau d'étude des chômeurs ne cesse de baisser depuis 12 mois.

 

Plus de chômeurs sans le BAC

En un an, nous sommes passés de 5% à 8,15% de candidats sans aucun diplôme, et de 14% à 20% de chômeurs n'ayant que le niveau CAP, BEP ou équivalent.

Les demandeurs d'emploi qui possèdent le BAC et plus, sont de moins en moins nombreux. La chute la plus spectaculaire, tout au long de l'année 2012, correspond aux BAC+4 qui sont passés de 22% en février 2012 à seulement 14% fin janvier 2013.

 

20% des recruteurs en pénurie de BAC+2

De leur côté les recruteurs recherchent de plus en plus de candidats ayant un niveau d'étude équivalent au Bac+2, DUT, BTS et les demandes du niveau BAC restent bien inférieures au nombre de candidats potentiels ayant ces bagages. Au détriment des niveaux BAC et des BAC+4, Maîtrise, IEP ou IUP qui sont de moins en moins demandés par les recruteurs.

 

Adéquation entre l'offre et la demande pour les CAP et BEP

Seuls les profils CAP, BEP ou équivalents, sont parfaitement en phase en ce qui concerne les demandes des recruteurs et les compétences des candidats. Mais ils ne concernent qu'une petite partie des demandes et des offres.

A propos de Qapa

Qapa est le premier outil de matching dédié à l'emploi qui met en relation les souhaits et compétences des candidats avec les besoins des recruteurs. Grâce à Qapa, les candidats trouvent rapidement un emploi adapté à leur profil et les recruteurs entrent en relation avec les candidats les plus pertinents. Basée à Paris, Qapa a été cofondée par Stéphanie Delestre, Olivier Zier, Corentin Larose et Florian Auriau. Un an après le lancement de Qapa, la société a lancé le site www.qapable.fr en juillet 2012 qui met en relation des personnes qui ont besoin de réaliser une tâche ponctuelle ou régulière avec des personnes qui effectuent ce genre de prestation pour compléter ou avoir des revenus.

La Société a clos un premier tour de financement auprès de Partech International, 360 Capital Partners et de business-angels, dont Raphaël Zier.

Qapa en bref :

1,6 million de visiteurs uniques par mois

500.000 candidats inscrits

75.000 offres d'emploi

Pour en savoir plus : www.qapa.fr

lundi 7 janvier 2013

Qapa lance deux guides emploi pour les chômeurs et les recruteurs

 
Qapa.fr, le premier outil de mise en relation dédié à l'emploi, lance une nouvelle section Qapa news avec toute l'actualité de l'emploi et offre deux guides :

 

- dans la section grand-public pour les demandeurs d'emplois chaque mois deux chapitres du GUIDE DE SURVIE EMPLOI 2013.

 

- dans la section B2B destinée aux recruteurs, DRH, Dirigeants LE GUIDE DES SALAIRES 2013.

Pour lire ou télécharger les guides: www.qapa.fr/news

 

 

 

« Guide de survie emploi 2013 »

 

Rédigé comme un véritable outil pour survivre, ce guide interactif proposera chaque mois deux chapitres afin de couvrir toutes les phases et les bonnes pratiques pour se sortir du chômage et décrocher un emploi en 2013.

 

Interactif car chaque mois, Qapa proposera sur les réseaux sociaux de recueillir des témoignages qui illustrent les conseils donnés qui seront inclus dans l'édition finale fin juin 2013.

Depuis le licenciement jusqu'à la reprise d'un poste, LE GUIDE DE SURVIE EMPLOI 2013 présentera, étape par étape, comment faire face et se donner tous les moyens possibles pour s'en sortir.

 

« LE GUIDE DE SURVIE EMPLOI 2013 » recense toutes les astuces pour permettre de se poser les bonnes questions, au bon moment jusqu'à la réussite.

 

Pour découvrir le premier chapitre : www.qapa.fr/news

 

« Guide des salaires 2013 »

 

Le salaire est le « socle » de la relation de travail entre les salariés et l'employeur puisqu'il se définit comme étant la contrepartie de la prestation de travail. En ce sens, il constitue donc un élément nécessaire du contrat, quelle que soit sa forme (qu'il soit versé en argent ou en nature, qu'il soit calculé au temps, aux pièces ou à la commission, etc.) qui ne peut être modifié sans l'accord du salarié.

 

LE GUIDE DES SALAIRES 2013 a pour objectif d'apporter les informations juridiques nécessaires pour le salarié et pour l'employeur. Dans chaque chapitre, les informations importantes à retenir sont mises en avant afin de faciliter une lecture rapide du guide.

 

Pour établir le guide des salaires, Qapa a travaillé en collaboration avec le cabinet d'avocats ALMATIS à Paris.

 

Le guide des salaires QAPA 2013 comprend également un tableau récapitulatif des salaires des 100 métiers les plus recrutés en France. Qapa s'est basé sur l'analyse statistique de 500.000 offres d'emploi de toutes fonctions déposées par les employeurs (commerçants, artisans, TPE, PME, grosses entreprises) dans tous les secteurs d'activité partout en France en 2012 sur le site www.qapa.fr.