Nora ANSELL-SALLES

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lundi 4 août 2014

jus de fruits : entre plaisir et bien-Être


une consommation « À la française »

 

Ph. ASSET
 
L’enquête menée par l’étude CSA pour UNIJUS montre que les Français aiment les jus de fruits. En effet, ils réussissent le tour de force d’être pour les consommateurs à la fois source de plaisir et un allié santé inestimable.

Les Français sont ainsi plus de 8 sur 10 à estimer que les jus de fruits sont des produits gourmands (88%) et également bons pour la santé (81%). Le goût est même le premier critère d’achat des Français (jusqu’à 79% parmi les consommateurs de nectars).

Cette enquête montre aussi que les Français apprécient de pouvoir consommer une portion de fruit pratique et économique : ils sont en effet 40% à plébisciter cette portion de fruit pratique à consommer et 8% à la trouver bon marché.

 

Les jus de fruits, des alliés de l’équilibre alimentaire

Les Français ont raison car ils savent qu’ils pourront trouver toute une gamme de plaisir : orange pour 76% d’entre eux, mais aussi cocktails de fruit (32%), jus de pomme (28%) ou jus d’ananas (16%), tout est permis.

En effet, les jus de fruits qui ne contiennent pas de sucres ajoutés, sont naturellement pourvus des nutriments essentiels des fruits. Ils contiennent 85% d’eau, les vitamines (vitamine C, vitamine B9), les minéraux (potassium), les polyphénols et les caroténoïdes des fruits, assurant ainsi une excellente densité nutritionnelle. C’est pour cela que les jus de fruits sont les premiers contributeurs en vitamine C des enfants, ce qui représente 30% des apports journaliers, et les seconds contributeurs des adultes derrière les fruits, soit 17%.

Du reste, les consommateurs de jus de fruits ne présentent pas de déficiences en vitamine C contrairement au reste de la population française. L’étude CCAF 2013 du CREDOC montre que les 2/3 des consommateurs de jus de fruits atteignent leurs besoins nutritionnels moyens alors qu’ils sont seulement 26% à les atteindre dans le reste de la population.

 

Une portion de fruits qui contribue à l’atteinte des repères du PNNS

Les jus de fruits contribuent à répondre aux recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS). En effet, celui-ci préconise la consommation de 5 parts de fruits et légumes par jour alors que, d’après l’enquête CSA/UNIJUS, les Français en consomment en moyenne moins de 3 chaque jour. Il est donc logique que ces produits, considérés comme riches en vitamines par 85% des Français, ainsi que sains et bons pour la santé par 81% d’entre eux, participent à l’atteinte des repères du PNNS pour un Français sur 2. Ce n’est donc pas par hasard si les jus de fruits sont un incontournable du petit déjeuner, repas indispensable pour bien démarrer la journée.

 

Les consommateurs de jus de fruits sont de fins connaisseurs

Amateurs avertis, les Français sont près de 7 sur 10 (68%) à déclarer privilégier les « pur jus », ce qui fait de nos compatriotes les premiers consommateurs de purs jus d’Europe. Avec les jus à base de concentré, également 100% fruits et sans sucres ajoutés, ils représentent plus de 80% du marché Français, le reste étant constitué par les nectars de fruits.

Les Français profitent d’autant mieux des jus de fruits que leur consommation est structurée et maîtrisée. Si les Français sont plus de 9 sur 10 (92%) à consommer des jus de fruits, ils choisissent leurs lieux, et leurs moments : la consommation des jus de fruits se fait à domicile 9 fois sur 10, le plus souvent lors du petit-déjeuner (65%), ou du goûter (40%).

D’après les chiffres du CREDOC de 2013, la consommation de jus de fruits représente seulement en moyenne par jour ¼ de verre chez les adultes, soit 55ml, et 1/3 de verre pour les  enfants, soit 86 ml.

 

 

À propos d’UNIJUS

Créé en 1936, UNIJUS, Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits, est l’organisme fédérateur de toute la filière des jus de fruits et nectars. Aujourd’hui, il est le syndicat professionnel représentatif de son secteur. Il regroupe 32 adhérents, qu’ils soient producteurs, courtiers ou conditionneurs, et représente plus de 85% des volumes de jus de fruits et nectars consommés en France. Dans le cadre de ses missions, UNIJUS conseille les entreprises pour mieux maîtriser leur environnement économique, juridique et social et met en place des programmes d’information collective en faveur des jus de fruits. Site internet : www.unijus.org

 

À découvrir dans le Dossier de Presse remis en pièce jointe

 

Plus de 9 Français sur 10 consomment du jus de fruits

 

Premiers consommateurs : les adultes

 

Un produit du quotidien pour 43% des Français

 

A domicile plus de 9 fois sur 10

 

Une consommation étroitement liée au petit-déjeuner

 

Le pur jus : n°1 des jus de fruits prêts-à-boire

 

EN SAVOIR PLUS : 3 DÉNOMINATIONS POUR BIEN SE REPÉRER

 

Le goût : aux premiers rangs des motivations

 

Parfum et type de jus : premiers critères de choix à l’achat

 

Un positionnement unique des jus de fruits : à la fois gourmand et bon pour la santé

 

EN SAVOIR PLUS : RÈGLEMENTATION

 

EN SAVOIR PLUS : LES JUS DE FRUITS, DU TONUS EN STOCK

 

Le jus de fruits : une porte d’entrée vers les fruits et légumes… Mais pas pour s’hydrater

 

                                                                                

Dossier de Presse complet : http://fr.calameo.com/read/003152624cc716d025515

lundi 14 avril 2014

Enquête sur les Français et les jus de fruits....


Les jus de fruits : du pur plaisir
au cœur de l’équilibre alimentaire des Français

 

Les jus de fruits sont au goût des Français. D’après une récente enquête exclusive conduite par CSA pour l’Union Interprofessionnelle des Jus de Fruits (UNIJUS)[1], ils sont plus de 9 sur 10 (92%) à en consommer, dont 43% tous les jours. Ils en ont consommé 1,64 milliard de litres en 2013 tous circuits confondus (magasins, drive et hors domicile). Une consommation relativement stable par rapport à l’an passé : -1,49 %

 
Ce produit du quotidien est considéré comme gourmand par 88% des Français et dégusté pour le plaisir par 65% d’entre eux. Ils sont également 77% à estimer qu’il participe à leur bon équilibre nutritionnel. En effet, les jus de fruits contiennent naturellement les nutriments essentiels de fruits dont ils sont issus par simple pression.

Principalement consommés dans le cadre du petit-déjeuner par 65% des consommateurs, ils participent ainsi à l’équilibre alimentaire de la journée. Les jus de fruits sont, en particulier, les premiers contributeurs aux apports en vitamine C des enfants, qui en consomment en moyenne ½ verre (110 ml) par jour, et les 2èmes pour les adultes, dont la consommation moyenne se situe à ¼ de verre par jour (55ml)[2].

Cette consommation raisonnable et structurée s’appuie sur des produits de  qualité, à 90%  « Made in France », proposés par une filière française responsable. Depuis 20 ans, les professionnels s’appuient, en effet, sur un organisme d’autocontrôle unique en son genre « QUALIJUS », pour proposer les meilleurs produits aux consommateurs. De plus, depuis 2010, ils se sont engagés dans une démarche d’amélioration continue en termes de préservation de l’environnement, en signant la  Charte de Développement Durable.

 

 

Les jus de fruits alliés de l’équilibre nutritionnel

Considéré comme étant plus pratiques à consommer qu’un fruit par 40% des Français, les jus de fruits contribuent à répondre aux recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS). En effet, celui-ci préconise la consommation de 5 parts de fruits et légumes par jour alors que, d’après l’enquête CSA/UNIJUS, les Français en consomment en moyenne moins de 3 chaque jour. Il est donc logique que ces produits, considérés comme riches en vitamines par 85% des Français, ainsi que sains et bons pour la santé par 81% d’entre eux, soient également jugés bénéfiques pour l’équilibre alimentaire des enfants à 64%.

 

 

Pur jus et jus d’orange : les préférés des consommateurs

Les consommateurs sont résolument tournés vers les purs jus. Cette catégorie de jus gagne chaque année du terrain. Ainsi, 68% des acheteurs de jus de fruits disent qu’ils consomment le plus souvent des purs jus. Une préférence affichée que l’on retrouve dans les chiffres du marché : en 2013, les Français en ont acheté 800,6 millions litres, soit +1,83% vs 2012, représentant près de la moitié des volumes de jus de fruits vendus, tous circuits confondus (48,9%).

 

L’attrait du jus d’orange, que les consommateurs sont 76% à déclarer consommer plus souvent dans l’enquête, se retrouve également dans les chiffres du marché. Près d’1 jus vendu sur deux est un jus d’orange (48,4% de Parts de Marché vol. en grande distribution et CHD).

(Source : UNIJUS-Nielsen)

 

Le petit-déjeuner : moment de consommation privilégié

Les jus de fruits entrent dans le cadre d’une consommation structurée. Ils accompagnent ainsi majoritairement le petit-déjeuner, moment de consommation des jus de fruits pour 65% des consommateurs. Le petit-déjeuner devance ainsi largement tous les autres moments de consommation, y compris le goûter, qui arrive en deuxième position, mentionné par 39% des consommateurs. Le petit-déjeuner  constitue un moment clé pour un bon démarrage de la journée et son équilibre est donc essentiel. C’est pourquoi, dès la rentrée prochaine, en septembre 2014, les professionnels du jus de fruits et les partenaires du secteur se mobiliseront pour promouvoir l’importance du petit-déjeuner à la française, en particulier auprès des enfants.

 

Les professionnels des jus de fruits unis pour une filière responsable

Précurseurs, les professionnels des jus de fruits sont à l’initiative de nombreuses actions en faveur de la qualité des produits et de la préservation de l’environnement. Ainsi, leur organisme d’autocontrôle « QUALIJUS », qui fête cette année ses 20 ans, fait toujours figure d’exception dans le secteur alimentaire. Grace à des contrôles en usine et dans les magasins, il garantit la qualité des produits sur tout le territoire et assure une concurrence saine et loyale entre opérateurs. UNIJUS est également la première profession à avoir signé, dès 2009, une Charte Nutritionnelle dans le cadre du Plan National Nutrition Santé (PNNS). Des engagements qui lui ont notamment permis de réduire la teneur en sucres ajoutés des nectars de -7% en 7 ans. Par ailleurs, la profession est également engagée en matière d’environnement. Trois ans après sa signature, la Charte de Développement Durable a, en particulier, permis de réduire la consommation d’énergie des sites de production, de l’ordre de 12% pour le gaz, ou d’augmenter l’intégration des matières recyclées dans la composition des emballages : +55% par exemple pour le PET recyclé.

 

Sommaire du Dossier de Presse

 

CHIFFRES 2013 : LES JUS DE FRUITS TOUJOURS AU GOÛT DES FRANÇAIS

·       Enquête : les jus de fruits consommés par plus de 9 Français sur 10

·       Dans un marché relativement stable : les purs jus toujours à la hausse

·       Matières premières : les jus de fruits sous haute tension

 

FILIÈRE : LES PROFESSIONNELS ENGAGÉS POUR LA QUALITÉ ET L’ENVIRONNEMENT

·       « Made in France » : 9 jus de fruits sur 10 produits par la filière française

·       la charte nutritionnelle PNNS d’Unijus : nutrition et information : des engagements respectés

·       Charte de développement durable : un processus d’amélioration continue bien engagé

·       QUALIJUS : 20 ans d’autocontrôle au service de la qualité des jus de fruits

En savoir plus :

Service de Presse d’UNIJUS

Tél : 01.48.05.19.00 - Courriel : adocom@adocom.fr

lundi 20 janvier 2014

Libres propos : La Haute autorité de « l’entre soi » au masculin…


Ce dimanche, le Journal officiel a publié la liste des nouveaux membres du collège de la Haute autorité de santé. Le président de la République a donc renoncé à « réexaminer » les propositions des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Ainsi, quatre hommes, tous issus du monde  hospitalier ( !), viennent compléter un collège qui, sur huit membres, ne comporte désormais plus de femme et toujours aucun représentant des usagers.

 

Un camouflet pour la démocratie comme pour la parité

 

Dans la courte histoire des autorités indépendantes en France, c’est du jamais vu. En dehors d’un médecin libéral, la totalité des membres du collège vient du monde hospitalier. Ça ne gêne aucun de nos décideurs publics. Pourtant, c’est comme si tous les membres du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) étaient journalistes issus de France Télévision, ou tous les membres de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) professeurs de droit ! Ce n’est évidemment pas le cas. Et vu sous l’angle de la diversité, il se trouve même que le président du CSA dispose d’un collège au deux tiers composé de femmes…

 

Un affront à la politique publique

 

Alors, que les héritiers de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades sont maintenant à la présidence de la République, de l’Assemblée nationale, du Sénat et chef du Gouvernement, comment comprendre que l’on en arrive là ? Comment construire la confiance dans une politique publique qui a inscrit la démocratie sanitaire comme troisième pilier de la stratégie nationale de santé et qui joue l’exclusion de la société civile ?

 

Une humiliation pour la société civile

 

Tout l’enjeu de la Haute autorité de santé tourne autour de la régulation du système de santé par la qualité. Qui ne l’a pas compris ? Et qui peut penser que cela peut se faire sans que les usagers du système de santé en soient, au plus haut niveau de l’instance, partie prenante ? Comment a-t-on pu imaginer que seuls des médecins et des directeurs d’hôpitaux pouvaient incarner à eux seuls l’expression des préférences collectives ?

 

Une inévitable réforme

 

Puisque décidément, les vieux mâles blancs doivent être contraints par la loi que l’on met en chantier à ce que des femmes soient désignées à parité avec les hommes dans les conseils chargés de donner des avis aux pouvoirs publics, il faut aussi qu’ils soient contraints à désigner un représentant des usagers au collège de la HAS.

 

 

La prochaine loi de santé doit impérativement comporter un article élargissant le collège de la Haute autorité de santé à un membre représentant les usagers du système de santé, qui pourrait être désigné par le président du Conseil économique, social et environnemental.

 


 

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