Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 21 mai 2014

Remise des diplômes universitaires "responsable mutualiste"

Dix années de partenariat entre la Mutualité Française
 et le monde universitaire

Le 22 mai 2014, la Mutualité Française et les enseignants du centre de Formation Continue Panthéon-Sorbonne de l’Université Paris 1 remettront un diplôme à chacun des 11 étudiants de la 10ème promotion du Diplôme Universitaire Responsable Mutualiste.
 
Depuis 10 ans, la Mutualité Française et le centre Formation Continue Panthéon-Sorbonne proposent une formation polyvalente et de haut niveau pour des responsables de Mutuelles, élus et salariés.

Ce partenariat traduit la volonté commune des deux institutions de concevoir, construire et mettre en oeuvre des actions de formations diplômantes afin de permettre aux responsables mutualistes d’acquérir les connaissances les aidant à jouer pleinement leurs rôles et à exercer totalement leurs responsabilités. « L’univers des Mutuelles est en pleine mutation ce qui nécessite des savoir-faire accrus de la part de leurs responsables et de leurs dirigeants, notamment au moment où la directive Solvabilité 2 fait de la formation un enjeu : c’est dans cette perspective que nous avons crée et soutenu ce partenariat avec la Formation continue de l’Université Paris 1 » a déclaré Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française.

Le partenariat repose sur deux cursus complémentaires : un Diplôme Universitaire
« Responsable mutualiste », créé en 2002, de niveau Bac + 3 dirigé par Irène Politis et un Master « Protection sociale complémentaire », lancé en 2004, de niveau bac +5,
actuellement dirigé par Agnès Gramain, professeure des universités. A ce jour, plus de 250 personnes ont suivi l’une ou l’autre de ces formations, leur permettant ainsi de poursuivre leur évolution professionnelle vers des fonctions de responsables ou de dirigeants de mutuelle.

À propos de la Mutualité Française
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions
d'adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes: elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité; elles ne pratiquent pas la
sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d'un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d'innovation sociale à travers près de 2.500 services de soins et d'accompagnement mutualistes: établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d'optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.

Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d'information, d'aide à l'orientation et de soutien sur des questions de santé. La Mutualité Française
contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d'unions régionales et ses services de soins et d'accompagnement.

Contact presse : Christelle Cros  - christelle.cros@mutualite.fr


À propos de L’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Héritière de 800 ans d’histoire, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne partage son prestige pluriséculaire avec les plus anciennes universités au monde : Oxford et Bologne.

L’établissement répond aujourd’hui aux attentes qu’il fait naître en offrant des formations de haut niveau à un vaste public. Près de 42000 étudiants (dont 3500 doctorants) sont ainsi formés dans le domaine des Humanités. 22000 d’entre eux sont diplômés chaque année.

Structurée autour de 3 grands domaines disciplinaires que sont : les Sciences économiques et de gestion, mathématiques et informatiques appliquées, les Sciences juridiques et politiques, les Sciences humaines et sociales et Arts, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne compte 14 Unités de Formation et de Recherche, 37 laboratoires de recherche, 4 instituts, 1 centre d’enseignement à distance (CAVEJ) et le centre Formation Continue Panthéon-Sorbonne (FCPS) dirigé par Farouk Hemici.

Le FCPS est un département de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne qui offre un enseignement de niveau universitaire à un public d’actifs souhaitant compléter leur expérience. Cet accompagnement est effectué dans le cadre de formations diversifiées répondant aux exigences d’acquisition et de développement des compétences. Ces formations s’inscrivent la plupart du temps dans le cadre de projets professionnels précis, elles peuvent être sanctionnées par un diplôme ou par un certificat et leur durée varie selon
un cahier des charges répondant précisément aux besoins des différents demandeurs.

Depuis quarante ans la Formation Continue Panthéon-Sorbonne forme des milliers de personnes augmentant ainsi le niveau du vivier d’actifs grâce à une ingénierie de formation efficace et à une qualité d’enseignement relevant d’une université qui compte parmi les plus
prestigieuses.

Directeur : Farouk Hemici
Secrétaire générale : Catherine Robin
Contact presse : com-formation-continue@univ-paris1.fr
 


NDLR : MGEFI et Etienne Caniard
 
Le président de la Mutualité Française est l’un des adhérents de la MGEFI.. Fonctionnaire de la direction générale des Impôts il a par ailleurs succédé à Jean-Pierre Davant à la présidence de la MAI-Mutuelle des Agents des Impôts. La MAI est l’une des mutuelles fondatrice de la MGEFI.
 





 

 
 


 

 
 


jeudi 10 avril 2014

LIBRES PROPOS signés Julien MILLION

La santé des jeunes, grande oubliée du nouveau gouvernement





Annoncées comme priorités dans l’allocution du Président de la République au lendemain des élections municipales, la santé et la jeunesse ne semblent pas être au cœur des préoccupations du nouveau premier ministre. Mardi, dans son discours de politique générale, Manuel Valls a éludé la question de la jeunesse et a cru bon d’annoncer de nombreuses baisses de recettes pour la sécurité sociale, risquant de compromettre notre modèle de protection sociale solidaire. La LMDE s’inquiète des premières mesures annoncées par Manuel Valls, ainsi que de la direction et de la forme que prennent son nouveau gouvernement.



La santé n’est pas une charge, c’est un bien collectif

Au cours de son discours de politique générale, le premier ministre n’a cru bon d’évoquer ni la santé ni la jeunesse. La protection sociale n’a été abordée que comme une charge devenue trop lourde pour les entreprises et les salariés. La LMDE tient à dénoncer ces orientations qui remettent en cause le principe même de notre système de protection sociale solidaire.


Ce n’est pas en asphyxiant financièrement notre système de protection sociale et en renvoyant chacun à la prise en charge individuelle des risques sociaux que Manuel Valls et François Hollande tiendront leur promesse, celle de voir les français vivre mieux en 2017.



La santé et la jeunesse ne méritent-elles même pas un secrétaire d’Etat ?

Aujourd’hui ont été annoncés le nom et le portefeuille des douze nouveaux secrétaires d’Etat. Parmi eux, aucun n’est en charge de la santé ou de la jeunesse. Comment Manuel Valls compte-t-il traduire les priorités santé et jeunesse fixées par François Hollande sans même leur dédier un secrétariat d’Etat ?


Le gouvernement ne semble pas avoir pris la mesure du message adressé par les jeunes lors des élections municipales. Seules des mesures fortes et immédiates pourront leur redonner confiance.

La LMDE réitère sa demande d’être reçue dans les meilleurs délais par Marisol Touraine afin de lancer les chantiers tant attendus par les étudiants, à commencer par l’accès à une complémentaire santé et un renforcement de leur régime de sécurité sociale.

 


Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la sécurité sociale et la mutuelle complémentaire de 1,2 millions d’étudiants, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.



mardi 25 mars 2014

Une nouvelle application gratuite : QuelleOrientation.fr

« QuelleOrientation.fr »,
Une application gratuite pour apprendre à se connaître et à s'orienter vers les métiers de l'entreprise.


Les  lycéens et futurs étudiants espèrent franchir le pas du secondaire avec les bonnes clés d'entrée dans l'enseignement supérieur. Anticiper son parcours professionnel avant de passer le bac s'avère déterminant dans le choix de son orientation. Le Groupe IGS lance « QuelleOrientation.fr », une application gratuite qui fonctionne comme une boîte à outils. Elle permet de donner aux étudiants des pistes concrètes parmi les différents métiers de l'entreprise.

Pourquoi utiliser une application d'orientation ?
Nomade, « QuelleOrientation.fr » est conforme aux usages actuels des jeunes. Accessible depuis son ordinateur (www.quelleorientation.fr), l'application est aussi disponible sur tablettes et smartphone depuis Itunes et GooglePlay. Le test se compose de 9 classements de 6 activités que chacun doit systématiquement classer par ordre de préférence. Cette méthode est très opérationnelle et permet d'affiner son orientation.
 
L'application « Quelleorientation.fr » analyse le profil de personnalité (intérêts personnels et professionnel) de chacun selon 6 types. Qu'est-ce que cet outil apporte dans un choix d'orientation ?
 L'application définit plusieurs niveaux d'information pour le futur étudiant :
 -        son profil de personnalité
 -        les filières d'études et les métiers qui en découlent et qui lui correspondent d'après une base de plus de 110 métiers régulièrement mise à jour.
 
 Pourquoi le Groupe IGS lance-t-il cette application d'orientation ?
 Le Groupe IGS, depuis deux ans, travaille sur une gamme de sites web pour accompagn er les jeunes vers leur avenir. Après « QuelMaster.fr », « QuelleOrientation.fr » s'ajoute aux services en ligne d'accompagnement gratuits proposés par le Groupe IGS, aux étudiants.
 
 Pour en savoir plus : www.quelleorientation.fr
 Contact presse : Axelle Guilmault, Tél. +33 (0)1 80 97 55 24 / + 33 (0)6 61 94 26 50 aguilmault@groupe-igs.fr
A propos du Groupe IGS : Le Groupe IGS regroupe 9 filières de compétence et d'expertise métiers portées par des écoles et des centres de formation spécialisés ou généralistes, des  centres d'insertion et d'orientation réunis autour du concept de l'Université Professionnelle Internationale. Acteur majeur de la formation, de l'emploi et du développement des compétences depuis 39 ans, présent dans tous les secteurs de l'éducation, le Groupe IGS bénéficie d'une triple implantation en France - Paris, Lyon et Toulouse et à l'international - Londres, Dublin, Shanghai. Il forme chaque année plus de 14 000 apprenants qui rejoignent ainsi un réseau de 50.000 anciens. www.groupe-igs.fr.

 

jeudi 6 mars 2014

8 mars : la LMDE se mobilise et appelle les étudiants à manifester pour l’égalité femmes-hommes


Samedi 8 mars se tiendra la Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes. A cette occasion, la LMDE se mobilise partout en France et appelle les étudiants et les jeunes à manifester pour l’égalité entre les femmes et les hommes.

 

L’égalité femmes-hommes : un inlassable combat !

 

Ces derniers mois, de nombreuses voix se sont élevées pour un retour en arrière concernant l’égalité femmes-hommes partout en Europe. De la remise en cause du droit à l’IVG en Espagne, aux polémiques autour de l’éducation à l’égalité à l’école en France, les discours réactionnaires ont fait ressurgir une vision essentialiste de la société selon laquelle femmes et hommes auraient des rôles « naturels », différents, et qui vise à interdire à la femme tout rôle social et toute liberté.

 

Depuis l’alternance politique de mai 2012, le gouvernement a fait progresser les droits des femmes sur de nombreux fronts grâce à l’action, très majoritairement soutenue par les jeunes, d’un ministère dédié : remboursement à 100% de l’IVG, suppression de la notion de détresse dans la loi sur l’IVG, contraception gratuite pour les mineures, loi sur l’égalité femmes-hommes, etc. Néanmoins, les inégalités entre femmes et hommes perdurent : les écarts de salaries entre femmes et hommes sont toujours de 20% et les femmes assument encore 2 fois plus de tâches ménagères que les hommes. Loin d’être atteinte, l’égalité est un combat de tous les instants ; loin d’être des acquis, les droits des femmes doivent perpétuellement être réaffirmés et défendus !

 

Le droit à disposer de son corps doit être garanti à chaque femme

 

Récemment, le droit à l’avortement a été remis en cause en Espagne et le rapport Estrela, visant à faire de l’IVG un droit européen, a été rejeté par le parlement européen. Pourtant, près de 50000 femmes meurent chaque année dans le monde des suites d’un avortement non médicalisé. Le droit et l’accès effectifs des femmes à l’avortement sont donc un enjeu de santé public majeur.

 

En France, le récent rapport du Haut Conseil à l’Egalité démontre que les difficultés restent nombreuses pour les femmes qui souhaitent avorter. Le gouvernement doit aujourd’hui agir pour garantir effectivement ce droit à chaque femme. C’est pourquoi la LMDE demande que la promesse du candidat Hollande d’un centre IVG dans chaque hôpital soit tenue.

 

De même, de nombreuses femmes rencontrent des difficultés à trouver un moyen de contraception adapté à leurs besoins. Le modèle de prescription reste dominé par la pilule, parfois non remboursée et souvent non adaptée aux femmes. Chez les jeunes, ce modèle archaïque du « tout pilule » a de lourdes conséquences : le recours à la pilule chez les 20-25 ans à reculé de 10,4% en 10 ans[1] et 1 étudiante sur 10 dit avoir des difficultés à accéder à la contraception[2]. Il est nécessaire de permettre à chaque femme, et en particulier aux jeunes, de pouvoir choisir la contraception qui lui convienne. Tous les moyens de contraception doivent être remboursés à 100% par la Sécu. 

 

 

L’éducation comme levier de l’égalité

 

L’éducation est le meilleur rempart contre la reproduction des inégalités. De l’école primaire à l’enseignement supérieur, l’éducation est un levier fondamental pour former les jeunes à l’égalité entre tous. C’est pourquoi la LMDE demande un plan de lutte contre les stéréotypes et pour l’éducation à l’égalité dans le système éducatif. Ce plan doit passer par la mise en œuvre de moyens pour appliquer la loi de 2001 sur l’éducation aux sexualités et à l’égalité, un service public d’orientation qui lutte contre les biais liés au genre, ainsi que la lutte contre les violences sexistes dans l’éducation nationale et l’enseignement supérieur.

 

 

La LMDE appelle tous les étudiants et les jeunes à se mobiliser pour les droits des femmes et l’égalité, toute la semaine sur les campus à l’occasion des actions militantes qu’elle organise avec l’UNEF, et à participer à la manifestation nationale :

 

Samedi 8 mars

14H30, Place de la Bastille, à Paris

 

 

 

 

 

 

 

________________________

[1] Enquête FECOND

2 3ème Enquête Nationale sur la Santé des Etudiants

 

 

Qu’est ce que la LMDE ?

Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 6 72 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.

 

 

 

 

 

 

 
 
Julien MILLION
 
Administrateur délégué en charge des Relations Presse
Bureau National

 

 

 

 

 

 




[1] Enquête FECOND

[2]  3ème Enquête Nationale sur la Santé des EtudiantsLa Mutuelle des Etudiants-LMDE
Mutuelle soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité
SIREN : 431 791 672
Siège social : 37 rue Marceau 94200 Ivry-sur-Seine– www.lmde.com - Tél. : 09.69.369.601 (Coût d’un appel non surtaxé à partir d’un poste fixe depuis la France métropolitaine)


vendredi 31 janvier 2014

Une réforme de la sécu étudiante...






Ivry-sur-Seine, le 31 janvier 2014
 
 
La LMDE demande une réforme de la sécu étudiante au service des étudiants
 
 




Alors que la FAGE et l'UFC Que Choisir demandent la suppression du régime étudiant de sécurité sociale, la LMDE réaffirme son attachement à cet outil au service de la santé des jeunes. Si un débat sur le fonctionnement de ce régime est rendu nécessaire par le manque de moyens alloués par l'Etat pour permettre aux mutuelles étudiantes de remplir leurs missions de service public dans de bonnes conditions, la LMDE dénonce des constats erronés et des solutions de facilité qui ne sauraient être à même d'améliorer l'accès aux soins des jeunes. Alors que plus d'un tiers des étudiants renoncent à se soigner, le gouvernement doit prendre ses responsabilités pour renforcer le régime étudiant de sécurité sociale, socle de la santé des jeunes.


Un régime peu coûteux mais sous-financé

Les mutuelles étudiantes sont des actrices globales de la santé des jeunes qui assurent des milliers d'actions de prévention ciblées chaque année, accompagnent les jeunes dans leur prise d'autonomie et, à la différence des CPAM, sont implantées au cœur des lieux de vie et d'études des étudiants. Les mutuelles étudiantes assurent donc des missions pour partie différentes de celles de l'Assurance maladie.


Pour assurer ces missions auprès d'une population en perpétuel renouvellement, les mutuelles étudiantes perçoivent de la CNAM 52€ par an et par étudiant. C'est bien moins que le coût moyen de gestion des CPAM (65,8€) ce qui fait du régime étudiant un système peu coûteux au regard de l'ensemble de l'Assurance maladie. Néanmoins, cette rémunération reste insuffisante à couvrir le coût de gestion réel d'un assuré, assumé par les mutuelles étudiantes. Ce sous-financement chronique des mutuelles étudiantes est source de difficultés que la LMDE soulève depuis de nombreuses années. L'Etat doit aujourd'hui prendre ses responsabilités pour cesser de sacrifier la santé des jeunes sur l'autel d'une vision comptable de la Sécurité sociale. Nous refusons d'être des variables d'ajustement des comptes publics.



Santé des jeunes : tous les acteurs doivent prendre leurs responsabilités

La délivrance des cartes Vitales est au cœur de tous les débats. Or, contrairement à une idée répandue à tort, se ne sont pas les mutuelles étudiantes qui les délivrent mais un GIE commun à l'ensemble des centres de sécurité sociale. Ce GIE est géré par la CNAMTS. Pour raccourcir les délais de fabrication des cartes Vitale, tous les acteurs doivent donc être associés à la réflexion.



Pas de réforme du régime étudiant sans les étudiants

Pour la LMDE, si des réformes du régime étudiant de sécurité sociale sont indispensable, elles ne peuvent pas se faire sans les jeunes ni au mépris de leur accès à la santé.

 
La LMDE participera en ce sens aux Etats Généraux de la santé des jeunes[1] organisés par l’UNEF, première organisation étudiante représentative, afin d'être partie prenante de la réflexion engagée par les étudiants pour réformer leur système de sécurité sociale. La LMDE demande notamment le retour à un opérateur unique pour la gestion du régime étudiant de sécurité sociale, garant d'économies budgétaires et de meilleure lisibilité pour ses usagers.

Qu’est ce que la LMDE ?
 
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.


[1] Les Etats Généraux de la santé des jeunes seront organisés le 31 Janvier 2014 à l’institut national des langues et civilisations orientales

 
 
 




 
 
 

 

 
 


 
 
 
 
 
 






 
 
 
 
 




 
 

jeudi 5 décembre 2013

Débat sur la sécurité sociale des étudiants : la Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche s'engage pour la santé des jeunes


Ivry-sur-Seine, le 4 décembre 2013

 
Débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat : la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche s’engage pour la santé des jeunes

  
A l’occasion d’un débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat, la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso, a annoncé un plan d’action en faveur de la santé étudiante pour 2014. La LMDE salue cette annonce et demande que les mutuelles et organisations représentatives étudiantes soient associées à la construction de ce plan afin qu’il réponde aux attentes des étudiants.

 

Plan santé pour les étudiants : les mesures doivent être ambitieuses !

 

A l’occasion d’un débat parlementaire sur la sécurité sociale des étudiants, la Ministre a annoncé que le plan vie étudiante, prévu pour 2014, comprendra un plan santé à destination de tous les étudiants. La LMDE salue cette annonce et indique que ce plan se doit d’être ambitieux afin de lutter contre les reculs de l’accès aux soins des étudiants induits par la dégradation de leur situation sociale. La dernière enquête de la LMDE montre ainsi que 34% des étudiants renoncent à des soins, et que 19% d’entre eux n’ont pas de complémentaire santé. La Ministre a indiqué que ce dernier chiffre s’élève même à 40% chez les étudiants dont les parents gagnent moins de 1 500€ par mois. Il y a urgence !

 

La LMDE se félicite par ailleurs de la mise en place de l’accès automatique à la CMU complémentaire pour les étudiants boursiers en situation de rupture familiale, ainsi que de l’annonce d’un travail en commun avec le ministère des affaires sociales et de la santé afin de favoriser l’accès à l’ACS des boursiers du CROUS. Alors que le gouvernement souhaite mettre en œuvre une généralisation de la complémentaire santé, la LMDE demande que le statut d’étudiant boursier ouvre automatiquement droit à l’ACS. Par ailleurs, la transformation des services de médecine préventive universitaire en « Campus Santé » doit s’accompagner de moyens afin d’en faire de vrais centres de santé universitaires, regroupant de nombreuses spécialités médicales en secteur 1 et pratiquant le tiers payant afin d’endiguer le renoncement aux soins. Enfin, la lutte contre le bizutage et l’ensemble des abus et pratiques dégradantes pratiquées sur les campus doit être une priorité. La LMDE soutient la volonté de la Ministre de s’y attaquer.

 

 

Le régime étudiant de sécurité sociale, un outil nécessaire qu’il faut renforcer

 

Geneviève Fioraso a également souligné l’importance du régime étudiant de sécurité sociale dans l’acquisition de l’autonomie des étudiants et pour apporter des réponses adaptées aux enjeux de santé des étudiants, notamment en matière de prévention. A l’heure où différentes études scientifiques montrent les limites des campagnes de prévention institutionnelles à destination des jeunes, la LMDE se félicite de cette reconnaissance par le gouvernement et demande à ce que les acteurs de prévention à destination des jeunes bénéficient de moyens supplémentaires pour assurer leurs missions.

 

La LMDE demande enfin de longue date à ce que le régime étudiant de sécurité sociale soit rendu plus lisible pour les étudiants. Elle se félicite donc d’avoir été entendue par la Ministre sur de nombreux points. Ainsi, la date d’affiliation des étudiants sera avancée du 1er octobre au 1er septembre, afin d’accompagner la date de la rentrée universitaire, dès la rentrée 2014. Afin que cela soit rendu possible, la LMDE demande à ce que toutes les barrières techniques soient levées.

 

D’autres mesures allant dans le sens d’un renforcement et d’une meilleure lisibilité du régime étudiant de sécurité sociale doivent être mises en œuvre. La LMDE demande donc au gouvernement :

·         Une affiliation pluri annuelle, pour éviter aux étudiants de réitérer leurs démarches chaque année

·         Le retour à un opérateur unique pour la gestion du régime étudiant

·         L’extension du régime étudiant à l’ensemble des étudiants, y compris l’ensemble des étudiants salariés, des doctorants ou des apprentis.

 

La LMDE rappelle enfin que toute évolution du régime étudiant de sécurité sociale doit être pensée pour les étudiants et avec les étudiants.

 



 
Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.
La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.


vendredi 11 octobre 2013

Le PLFSS 2014 n’est pas à la hauteur des enjeux en matière de santé


La Ministre des Affaires Sociales et de la Santé, Marisol Touraine, présentait mercredi 9 octobre le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour 2014 en conseil des ministres. Si ce texte contient certaines avancées notables en matière de prévention, la LMDE regrette qu’il ne soit pas plus ambitieux en matière de santé des jeunes et de régulation du système de soins.

 

La réduction des déficits ne peut pas être le seul objectif d’un PLFSS

 

Dans la continuité du cap politique fixé par le gouvernement, le PLFSS 2014 prévoit des économies pour l’ensemble des branches de la Sécurité sociale. Si cet objectif doit être atteint, il ne peut constituer l’alpha et l’oméga des politiques de santé.

En matière de santé, le PLFSS prévoit notamment une maitrise des dépenses de gestion des caisses de sécurité sociale de 500 millions d’euro. Alors que ces dernières souffrent déjà de difficultés chroniques liées aux manques de financement, il est impensable de présumer qu’elles pourront rendre une meilleure qualité de service aux assurés avec moins de moyens. La LMDE tient ainsi à alerter sur les risques que cette vision purement comptable fait peser sur les assurés sociaux.

 

Les étudiants encore et toujours oubliés de la généralisation de la complémentaire santé

 

La LMDE déplore que les annonces positives du gouvernement sur la généralisation de la complémentaire santé excluent certaines catégories de la population : chômeurs, retraités et jeunes étudiants ou en insertion.

En effet, alors que la loi de sécurisation de l’emploi ne concerne que les salariés du privé, le relèvement des plafonds d’accès à l’ACS et la CMU-C ne bénéficiera pas lui non plus aux jeunes. Bien que la majorité des étudiants entrent dans les critères de ressources pour bénéficier de ces aides, 3 critères cumulatifs leur en empêchent l’accès  (indépendance fiscale, logement indépendant, et absence de pension alimentaire). En l’absence de mise en place d’un chèque santé national, les étudiants devront encore attendre !

 

Contrats solidaires et responsables : le gouvernement doit respecter ses engagements !

 

Afin de mieux réguler le système de soins et de faire bénéficier aux assurés de complémentaires santé de qualité, la ministre a annoncé une refonte du contenu des contrats responsables répondant à une revendication de longue date de la Mutualité Française. Cependant, le gouvernement s’était engagé à moduler la taxe (TSCA) sur ces contrats vertueux afin de les différencier des contrats non responsables. La LMDE demande à ce que le gouvernement et le Président de la République tiennent leurs engagements en abaissant la fiscalité sur les contrats solidaires et responsables afin de faire baisser le prix des complémentaires santé, notamment pour les publics les plus fragiles.

 

Des mesures de prévention positives… mais au périmètre trop limité

 

Le PLFSS contient des mesures positives en termes de prévention à destination des jeunes, dans la droite ligne de la priorité à la prévention annoncée dans la Stratégie Nationale de Santé. Cependant, il s’agit de deux mesures extrêmement ciblées : le triplement du forfait sevrage tabagique pour les 20-25 ans et le tiers payant lors de la consultation pour les mineures de 15 à 18 ans voulant se faire prescrire un contraceptif. Ces deux mesures, bien que positives, ont une cible trop restreinte et méritent d’être élargies à l’ensemble des jeunes de 18 à 28 ans.

 

Pour la santé des jeunes, un choc de solidarité

 

Pour faire de la santé des jeunes la vraie priorité de ce PLFSS, la LMDE revendique ainsi :

-          la mise en place d’un chèque santé national pour permettre aux étudiants d’adhérer à une complémentaire santé

-          l’accès automatique à l’ACS pour les étudiants boursiers

-          l’exonération de la TSCA pour les étudiants

-          l’accès de droit pour tous les jeunes au tiers-payant dès 2014, au même titre que les autres publics précaires.

 

 
Qu’est ce que la LMDE ?

 

Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

 

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.

lundi 16 septembre 2013

Communiqué de presse de Marisol TOURAINE et Geneviève FIORASO

Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires sociales et de la Santé et , Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, se félicitent de l’augmentation effective du nombre d’internes formés à l’issue des épreuves classantes nationales en 2012.

La formation de nouveaux médecins est un déterminant crucial de la lutte contre les déserts médicaux et de l’accès aux soins pour tous.

En 2012, 7313 étudiants ont été affectés à un poste d’interne, soit deux fois plus qu’en 2004, et 372 de plus qu’en 2011.

La ministre des Affaires sociales et de la Santé et la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche saluent les efforts de l’ensemble des acteurs, étudiants, enseignants, doyens, agences régionales de santé, et le conseil national de gestion, ayant permis que 94% des postes d’internes ouverts soient effectivement pourvus par les internes.

La ministre des Affaires sociales et de la Santé et la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche se félicitent de l’amélioration sensible de l’attractivité de la médecine générale. En effet, 95% des postes ouverts ont été pourvus, et 11% des 2000 premiers classés ont choisi la médecine générale.

Ces futurs médecins généralistes seront au cœur de l’offre de soins primaires que porte la stratégie nationale de santé. Aussi, la mesure du pacte-territoire-santé de généralisation à tous les étudiants du stage chez le médecin généraliste, et la revalorisation de l’indemnité de sujétions pour les internes de médecine général effectuant un stage de mise en responsabilité – SASPAS - constituent de nouveaux leviers pour renforcer l’attractivité de l’exercice de la médecine générale.

Soixante deux postes d’internes ont été pourvus dans le cadre du contrat d’engagement de service public, principalement en médecine générale mais aussi dans d’autres spécialités de soins primaires, ophtalmologie, pédiatrie, et psychiatrie. Le contrat d’engagement de service public est une mesure incitative efficace de la lutte contre les déserts médicaux. Elle séduit un nombre croissant d’étudiants, leur permettant d’accéder à des spécialités médicales de soins de premier recours, qu’ils ne pourraient pas choisir autrement. La ministre des Affaires sociales et de la Santé prévoit la signature de 1500 contrats d’ici à 2017.

mercredi 17 juillet 2013

Accès aux soins des étudiants : la LMDE dénonce la hausse de la cotisation Sécu des étudiants pour l'année universitaire 2013-2014


 
Lors d’une réunion au Ministère des Affaires Sociales et de la Santé le 28 juin dernier, les organisations étudiantes représentatives ont été informées de l’augmentation de la cotisation étudiante à la sécurité sociale à 211 € pour l’année universitaire 2013-2014, contre 207 € aujourd’hui. Alors que les étudiants sont dans une situation sociale de plus en plus précaire, cette nouvelle augmentation entre en totale contradiction avec la volonté affichée du gouvernement d’agir pour les jeunes.

 

 

Une augmentation qui va accroitre la précarité sociale des étudiants

 

La LMDE s’inquiète des conséquences de cette augmentation sur la situation sanitaire et sociale des étudiants. Depuis plusieurs années, le pouvoir d’achat des étudiants a sévèrement diminué, les dépenses obligatoires augmentant plus vite que les aides sociales, et la crise les rendant de plus en plus précaires. La hausse de la cotisation à la sécurité sociale étudiante vient, à chaque rentrée universitaire, peser un peu plus sur leur budget.

En septembre dernier, la principale organisation étudiante, l’UNEF, chiffrait à 3,7% l’augmentation du coût de la vie pour les étudiants à la rentrée. Face à cette situation et afin que les étudiants effectuent leur rentrée universitaire dans de bonnes conditions, l’annonce récente de la hausse du nombre et du montant des bourses sur critères sociaux ne saurait être annihilée par une hausse des dépenses obligatoires des étudiants.

 

 

Une cotisation sécu qui n’a plus rien de symbolique

 

Le Régime étudiant de Sécurité sociale a été créé en 1948 pour répondre aux comportements et besoins spécifiques des étudiants en matière de santé. Le financement de ce régime, fixé par la loi du 23 septembre 1948, repose sur la solidarité du régime général des salariés, avec une contribution des étudiants par le biais d’une cotisation « symbolique ».

Alors que plus de la moitié des étudiants vit avec moins de 400€ par mois selon la 3ème enquête nationale sur la santé des étudiants de la LMDE, porter cette cotisation à 211€ n’a plus rien de symbolique !

A quelques jours du début des inscriptions dans l’enseignement supérieur, la LMDE demande au gouvernement d’envoyer un signal fort aux étudiants en gelant durablement le montant de la cotisation au Régime étudiant de Sécurité sociale.

 

 

L’accès à une protection sociale de qualité en danger !

 

Depuis plus de 10 ans, la cotisation Sécu des étudiants n’a cessé d’augmenter tandis que la prise en charge des assurés sociaux n’a cessé de diminuer. Alors que la sécurité sociale ne rembourse plus qu’1 euro sur 2 des dépenses de santé courantes, comment le gouvernement peut-il demander aux étudiants de cotiser davantage ? La LMDE réaffirme son attachement à un haut niveau de protection sociale solidaire qui doit passer par une hausse de la prise en charge des remboursements de la Sécu. C’est une condition indispensable pour enrayer le renoncement aux soins des étudiants (34%).

 

Face au désengagement de l’Etat, une complémentaire santé est plus que jamais indispensable pour se soigner, mais les étudiants ont toujours moins de moyens à y consacrer ! 19% d’entre eux en sont privés. Malgré une généralisation de la complémentaire santé promise par François Hollande, seuls les salariés seront pris en charge par les dispositifs prévus dans l’ANI.

La LMDE appelle donc le gouvernement à prendre enfin des mesures ambitieuses pour assurer le droit à la santé des étudiants, comme la mise en place d’un Chèque santé national pour aider les étudiants à souscrire une complémentaire santé.

 

 

 

Qu’est ce que la LMDE ?

 

Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

 

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.





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