Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est accident. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est accident. Afficher tous les articles

vendredi 15 janvier 2016

Accident grave à Rennes

COMMUNIQUE DE PRESSE

Le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes a été informé hier soir de la survenue d'un accident grave dans le cadre d'un essai clinique de Phase 1, mené sur un médicament pris par voie orale, en cours de développement par un laboratoire européen.

Cet essai a été réalisé dans un établissement privé autorisé, spécialisé dans la réalisation d’essais cliniques, dans le but d'évaluer la sécurité d'emploi, la tolérance, les profils pharmacologiques de cette molécule, chez des volontaires sains. 

Cet accident a causé l'hospitalisation de 6 de ces volontaires au CHU de Rennes. L’un d’entre eux, en réanimation, est en état de mort cérébrale.

Le laboratoire a informé l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) de l’interruption de l’essai et procède actuellement au rappel de tous les volontaires y ayant participé.

L’ANSM a décidé de procéder à une inspection technique sur le site de réalisation de ces essais cliniques. Dès qu’elle a été informée, Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, a saisi l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) afin de mener une inspection sur l’organisation, les moyens, et les conditions d’intervention de cet établissement dans la réalisation de l’essai clinique. 

Marisol Touraine souhaite faire part aux familles des patients de toute sa solidarité et de sa profonde détermination à faire toute la lumière et à établir toutes les responsabilités sur cet accident dramatique. Elle se rendra à Rennes ce jour ; elle y tiendra un point presse.

mercredi 23 octobre 2013

#AVC pas une minute à perdre... Mais qui appeler ? Et comment gérer l'Après ?


AVC Vite le 15, et après ?…

La vie continue

Deux Français sur trois déclarent connaître une personne ayant déjà fait un AVC¹

 


Paralysie, perte de la parole, troubles de la mémoire,… En moyenne, après un AVC, 41% des personnes touchées n’ont plus de séquelles, 25% présentent un handicap léger ou modéré et 34% ne peuvent marcher sans assistance².

 

A l’occasion de la 11ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, la Fédération Nationale France AVC et la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV), soutenues par Bayer HealthCare, lancent une nouvelle campagne d’information « AVC Vite le 15, et après ?… La vie continue » sur la prise en charge après un accident vasculaire cérébral.

 

Cette nouvelle campagne a pour vocation de sensibiliser les malades et leur famille aux bons gestes à adopter pour éviter les risques de récidive d’AVC : bonne observance du traitement, hygiène de vie, suivi médical,… Elle rappelle également l’importance d’appeler rapidement le 15 dès l’apparition d’un des trois symptômes majeurs de l’AVC³ afin de réduire au maximum les séquelles voire le risque de décès. D’après une étude Ifop/Bayer HeathCare¹, 76% des Français savent qu’il faut contacter les urgences (+7% par rapport à 2012) en cas de paralysie, perte de la parole ou troubles de la mémoire.

 

Chaque année, en France, environ 130 000 nouvelles personnes sont victimes d’un AVC4 ; 33 000 en meurent5 durant le 1er mois. L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte6 et la 2ème cause de démence après la maladie d’Alzheimer7.

 

 

AVC : agir vite pour réduire les risques de mortalité et de séquelles

 

Visage paralysé, inertie d’un membre, troubles de la parole… Dès l’apparition de l’un de ces symptômes, il est urgent d’appeler le 15. Plus de 3 Français sur 4 le savent, soit 7 points de progression par rapport à 2012, selon le baromètre Ifop Bayer, réalisé en septembre 20131. Face à un AVC, 4H30 pour agir8. Chaque minute compte dès le premier symptôme et, le pronostic d’une personne souffrant d’AVC dépend de la rapidité de sa prise en charge. « Plus nous allons vite dans la prise en charge d’une personne faisant un AVC, moins le cerveau est abîmé. Les séquelles sont par conséquent moins graves et le risque de mortalité sensiblement diminué » affirme le Dr François Rouanet, neurologue, Hôpital Pellegrin, CHU Bordeaux Unité Neuro-Vascul

 

 

 64% des Français connaissent dans leur entourage au moins une personne ayant déjà eu un accident vasculaire cérébral¹.

 

 L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte6. Après un AVC, 25% des patients présentent un handicap léger ou modéré et 34% ne peuvent marcher sans assistance². « Les séquelles les plus fréquentes sont des difficultés pour marcher, pour parler mais aussi des problèmes de mémoire et d’attention, voire de dépression » explique le Dr François Rouanet.

 

Eviter le risque de récidive à tout prix

 

Après un premier AVC, le risque de rechute est important. Il est estimé entre 30% et 43% à 5 ans9. D’après l’étude Ifop/Bayer HealthCare¹, 98% des personnes interrogées considèrent qu’une rechute est probable pour une personne ayant déjà été victime d’un accident vasculaire cérébral.

Pour éviter au maximum tout risque de récidive, les patients présentant un facteur de risque élevé de faire un AVC tels que l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie, le trouble du rythme cardiaque ou fibrillation atriale, ou encore le diabète..., doivent suivre un traitement adapté à leur pathologie. « Les personnes souffrant, par exemple, de fibrillation atriale prennent au long cours un anticoagulant pour fluidifier le sang et éviter ainsi la formation de caillots sanguins responsables de l’AVC » explique le Pr Jean-Marc Davy, cardiologue, CHU Montpellier.

 

2/3 des Français pensent qu’il faut arrêter de fumer pour éviter de refaire un AVC¹ ; 57% disent qu’il faut manger sainement¹.

 

En plus du traitement médicamenteux, les patients doivent adopter une bonne hygiène de vie au quotidien : « il faut manger de manière variée et équilibrée, avoir une activité physique régulière, réduire sa consommation d’alcool et arrêter le tabac pour les fumeurs » énonce le Dr François Rouanet.

 

Education thérapeutique : apprendre à vivre mieux avec sa maladie
 
Qu’est-ce qu’un AVC ? Pourquoi prendre un traitement à vie ? Comment éviter un AVC ou une rechute ? Comment récupérer après un AVC ? Pour répondre à toutes les questions que se posent les patients présentant un facteur de risque élevé de faire un AVC et/ou ayant déjà fait un AVC, certains hôpitaux proposent des séances d’éducation thérapeutique à l’instar du CHU de Montpellier. « Ces séances se déroulent soit individuellement avec un professionnel de santé, soit collectivement avec d’autres patients présentant les mêmes problématiques de santé comme la fibrillation atriale (FA) et deux soignants éducateurs qui animent l’atelier pédagogique » explique Angélique Lienhardt, infirmière-coordinatrice et membre de ChronEduc LR, réseau dédié à l’éducation thérapeutique du patient en Languedoc-Roussillon. « On y aborde le traitement anticoagulant pour les personnes souffrant de FA, l’importance de le prendre, le but de ce traitement et les effets secondaires afin que le patient vive mieux avec sa maladie et ne présente pas de complications. »
« Bien impliquer les patients dans leur traitement est un facteur majeur de cohérence de traitement, d’acceptation des médicaments et d’une meilleure observance » affirme le Pr Jean-Marc Davy, cardiologue, CHU Montpellier.

Vivre au quotidien après un AVC

« Les séquelles de l’AVC ont des répercussions sur la vie sociale et familiale des patients et de leur entourage. Toute la famille subit les conséquences d’un AVC » affirme le neurologue François Rouanet. Pour aider les patients à mieux vivre au quotidien après un AVC, différents professionnels de santé – médecin généraliste, cardiologue, neurologue, orthophoniste, kinésithérapeute, psychiatre, infirmier… – assurent leur prise en charge.

Des associations de patients telles que France AVC apportent également un soutien aux personnes ayant fait un AVC ainsi qu’à leur entourage en première ligne pour assurer le quotidien. « Chaque antenne de France AVC dans l’Hexagone développe des permanences téléphoniques afin d’apporter du soutien et des informations aux patients ainsi qu’à leur famille. Nous mettons en place des groupes de parole mais aussi différentes activités telles que du théâtre, des séances de gymnastique, des sorties culturelles pour rompre la solitude des malades et de leur famille » explique Françoise Benon, secrétaire nationale de France AVC. « La Société Française Neuro-Vasculaire joue un rôle important dans les campagnes d’informations aux côtés de France AVC et c’est cette parfaite synergie avec les antennes de France AVC, qui permet d’amplifier les messages » ajoute le Pr Thierry Moulin, Professeur de neurologie au CHU de Besançon et Président de la Société Française Neuro-Vasculaire.

 

Dans le cadre de la 11ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, Bayer HealthCare lance une nouvelle campagne d’information « AVC Vite le 15, et après ? » sur plus de 500 radios et chaînes de télévision locales et web TV, du 21 octobre au 10 novembre, à travers un programme de 10 chroniques son/vidéo d’1 minute dans l’émission « Place à la Santé ».
Cette série donne la parole à deux médecins, cardiologue et neurologue, ainsi qu’à France AVC pour définir en termes simples :
• ce qu’est un AVC,
• les facteurs de risque,
• les répercussions d’un AVC sur le quotidien des patients,
• les moyens pour éviter la récidive,
• et le type de soutien apporté au patient et à son entourage…

10 spots radio sur la thématique AVC seront également diffusés sur France Bleu pendant la journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral du 29 octobre.

Plus d’informations sur www.avcvitele15.com

 

À propos de France AVC

France-AVC (Association loi 1901 d'aide aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC) a été créée en 1998 avec pour objectifs la prévention, l’information du public, des pouvoirs publics et des médias sur les accidents vasculaires cérébraux ; d’apporter une aide et un soutien aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC ; de développer l'éducation thérapeutique du patient et d’aider à la recherche sur les AVC.


 

À propos de la SFNV

Association loi 1901 créée en 1996, la Société Française NeuroVasculaire (SFNV) a pour objectif principal l'amélioration de la prise en charge des AVC. Elle est la société savante qui regroupe l'ensemble des professionnels concernés par les pathologies vasculaires cérébrales dont les accidents vasculaires cérébraux (AVC), leur diagnostic, traitement et prévention. Elle développe des actions selon plusieurs axes majeurs : les filières de soins, en lien avec les organismes institutionnels, dans le but de permettre à toute personne souffrant d'un AVC d'être prise en charge dans les meilleures conditions ; la formation des professionnels de santé ; la recherche, dans le but d'accroître les connaissances sur les AVC et de permettre ainsi d'améliorer le diagnostic et le soin.


 

À propos de Bayer HealthCare

Le groupe Bayer AG, basée à Leverkusen, (Allemagne) est une entreprise mondiale avec des compétences majeures dans le domaine de la santé, de la nutrition et des matériaux de haute performance. Filiale de Bayer AG, Bayer HealthCare compte 55 300 collaborateurs et a réalisé un chiffre d’affaires de 18,6 milliards d'euros pour l'année 2012. Présente dans plus de 100 pays c’est l'une des toutes premières entreprises innovantes au monde dans le secteur de la santé humaine et animale et des produits médicaux.

En France, Bayer HealthCare compte 1 254 collaborateurs, et est présente au travers de ses 5 divisions : Pharmacie, Diabète, Santé familiale, Santé animale, Radiology & Interventional. En permettant le diagnostic et le traitement des maladies, ses produits sont le gage d’un plus grand bien-être et d’une meilleure qualité de vie.

mardi 22 octobre 2013

STOPORISK : une application à installer d'urgence sur tous les iPhones et iPads


Les Français sont mauvais élèves en matière de secourisme, mais cela pourrait changer... L'application STOPORISK permet un apprentissage rapide, simple et ludique des gestes qui sauvent.

Dans sa note d'analyse de février 2013, le Centre d'analyse stratégique s'alerte : « Alors que 95 % des Norvégiens et 80 % des Autrichiens ont été initiés aux gestes qui sauvent, les Français, dans leur grande majorité, ne les maîtrisent pas et sont démunis en cas d'accident ».

Et il y a effectivement de quoi s'inquiéter... En France, moins d'une personne sur cinq, témoin d'un arrêt cardiaque, pratique les gestes de premiers secours (source : projet européen EuReCa). L'étude réalisée en septembre 2013 par l'institut Opinion Way conclut que la plupart des Français ne sauraient pas quoi faire s'ils étaient victimes ou témoins d'un accident de la route.... et que dire des accidents de la vie courante (chutes, brûlures, asphyxie...), responsables de 11 millions de blessés et 19 000 morts par an en France, soit presque cinq fois plus que les morts sur la route ?


Et vous, seriez-vous capable de porter secours à une personne en cas d'accident ou de malaise ?
[youtube width="690" height="388" video_id="AXUOTsiqjpw"]

Parce que l'initiation aux gestes qui sauvent n'est ni inscrite aux programmes scolaires, ni obligatoire pour l'obtention du permis de conduire, tout est question de volonté et d'initiative. C'est pourquoi la société Stoporisk, organisme de conseil en prévention des risques professionnels  a conçu l'application STOPORISK.
Parallèlement à une indispensable politique de prévention, nous sommes convaincus que l'enseignement à la pratique des gestes de premiers secours pourrait largement contribuer à faire baisser ces dramatiques statistiques.  

Julien Guillon, dirigeant de Spotorisk
L'application offre un apprentissage rapide, simple et ludique du secourisme. Les utilisateurs découvrent  au fil des quizz, les connaissances essentielles à savoir en fonction de l'incident et de sa victime.

Avec STOPORISK, tout le monde peut apprendre comment pratiquer les bons gestes de premiers secours sans faire d'erreur.?
Infos pratiques

Taille : 12.0 Mo
Langues : Français, Anglais
Compatibilité : Nécessite iOS 5.0 ou une version ultérieure. Compatible avec l'iPhone, l'iPad et l'iPod touch. Cette app est optimisée pour l'iPhone 5.
Tarif : 0,89 €

Pour télécharger l'application : https://itunes.apple.com/fr/app/stoporisk/id578884 528?mt=8 


A propos de STOPORISK


Ancien pompier, Julien Guillon a toujours perçu la formation comme un enjeu majeur dans la prévention des risques. Il décide donc de créer en janvier 2012.  STOPORISK, un organisme de conseil en prévention des risques professionnels qui propose de l'Audit, de la formation, toujours basée sur une pédagogie ludique, et de l'équipement en matière de sécurité pour les entreprises, centres de formation et collectivités.

Afin de permettre à un plus large public de s'initier aux gestes qui sauvent, la société a conçue l'application STOPORISK.


Facebook : http://www.facebook.com/pages/Stoporisk/1007990833 88618 

Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.relations-publiques.pro/9602/stoporisk- une-application-a-installer-durgence-sur-tous-les-iphones-et-ipads. html?camp=886225_0

 




 

 

 

 

lundi 3 décembre 2012

Prévention de l’accident vasculaire cérébral : La consommation de chocolat serait bénéfique chez les hommes


 

 

Le bénéfice d’une consommation de chocolat pour la prévention cardiovasculaire est établi par de nombreuses études épidémiologiques. Il est attribué à sa haute teneur en flavanoïdes, microconstituants ayant un potentiel anti-oxydant, antiagrégant plaquettaire et anti-inflammatoire et entraînant une diminution de la pression artérielle et de la cholestérolémie. En revanche, le bénéfice concernant la prévention des maladies cérébrovasculaires fait encore débat puisque, des quatre études disponibles, deux seulement ont montré un effet préventif significatif. Voici un travail suédois pour le moins intéressant.

 



mardi 23 octobre 2012

Face aux signes d’alerte de l’accident vasculaire cérébral, VITE* le 15


 

 Face aux signes d’alerte de l’accident vasculaire cérébral, VITE* le 15

 

 Seule 1 personne sur 10 déclare connaître précisément les symptômes de l’AVC1

 

 Visage paralysé, Inertie d’un membre, Trouble de la parole, En urgence, appelle le 15. VITE est la nouvelle campagne d’information sur l’AVC lancée aujourd’hui, à l’occasion de la 10ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, par l’association d’aide aux patients France AVC et la Société Française Neuro Vasculaire (SFNV), soutenues par Bayer HealthCare.

 

Cette nouvelle campagne a vocation à sensibiliser la population aux symptômes de l’AVC et à l’urgence d’appeler le 15 dès l’apparition de l’un d’entre eux, à travers un clip musical téléchargeable sur le site www.avcvitele15.com. D’après une étude IFOP/Bayer HealthCare1, 60% des personnes interrogées pensent connaître les symptômes de l’AVC mais seulement 11% en ont connaissance précisément.

 

Chaque année, en France, environ 130 000 nouvelles personnes2 sont victimes d’AVC ; 33 000 en meurent3. VITE fait écho au plan AVC 2010-20144 qui vise à réduire la fréquence et la gravité des séquelles de l’AVC.

 

 

 AVC : l’urgence d’intervenir rapidement

 

L’accident vasculaire cérébral correspond soit à un arrêt brutal de la circulation sanguine au niveau du cerveau entraînant un infarctus cérébral (les cellules sont privées d’oxygène et meurent), soit à une rupture d’un vaisseau à l’origine d’hémorragie dans le cerveau. Il conduit à une perte rapide d’une ou plusieurs fonction(s) cérébrale(s)5. Il s’ensuit la mort de cellules cérébrales provoquant des lésions pouvant devenir irréversibles, ou pire, le décès du patient.

 

 L’AVC en chiffres

 

Plus de 771 0002 personnes concernées en France par l’AVC

 

 

33 0004 décès chaque année en France

 

3ème cause de mortalité5 (première cause chez les femmes), après les cancers et infarctus du myocarde

 

1ère cause de handicap6 acquis de l’adulte

 

2ème cause de démence7 après la maladie d’Alzheimer

 

L’AVC concerne toutes les tranches d’âge

 

Diminution de la mortalité avec un diagnostic précoce et une prise en charge rapide8,9

 

Face à une personne sujette à un AVC, il est urgent d’agir. 96% des personnes interrogées en ont conscience et considèrent que l’AVC est une urgence thérapeutique comparable à un infarctus1. Confrontées à un individu faisant un accident vasculaire cérébral, 69% des personnes déclarent avoir comme premier réflexe d’appeler le 151.

 

Trois symptômes à connaître par coeur :

Comment savoir qu’une personne est en train de faire un AVC ? Trois symptômes majeurs sont à mémoriser :

 

Trouble de la parole

Inertie d’un membre

Paralysie du visage

 

Les symptômes d’un accident vasculaire cérébral apparaissent brutalement. Un seul signe, même régressif suffit pour appeler VITE le 15.

Si 60% des personnes interrogées déclarent les connaître, seulement 11% en ont connaissance précisément1. Les personnes âgées de 65 ans et plus sont celles qui semblent davantage savantes sur les signes d’alerte de l’AVC : 68% les connaissent dont 17% avec précision1.

Les troubles du langage ou les difficultés à parler est le symptôme le plus connu de la population (79%), suit l’engourdissement ou la paralysie d’un membre (64%), puis la paralysie faciale (60%)1.

 

Dès l’apparition de l’un de ces symptômes, il est primordial de prévenir les services d’urgence en composant le 15…

 

Une campagne pour agir VITE :

 

Face à un AVC, 4h30 pour agir(10). Chaque minute compte, dès le premier symptôme, et le pronostic d’une personne souffrant d’AVC dépend de la rapidité de sa prise en charge. Il est donc essentiel que l’ensemble de la population puissent reconnaitre ces symptômes afin d’avoir le bon réflexe.

C’est pour cette raison que l’association d’aide aux patients France AVC et la Société Française Neuro Vasculaire (SFNV), soutenues par Bayer HealthCare lancent, aujourd’hui, une campagne d’information pour sensibiliser la population à la nécessité de connaître les symptômes de l’AVC et à l’urgence de contacter le 15. Un clip musical animé, téléchargeable gratuitement sur le site www.avcvitele15.com, met en scène les différents signes avant-coureurs d’un AVC.

Un livret d’information destiné au grand public, sur l’AVC, ses principaux facteurs de risque, ses symptômes et l’urgence de l’appel au 15 sera distribué en 40 000 exemplaires. Des cartes de visites rappelant les symptômes en 300 000 exemplaires ainsi qu’une affiche seront disponibles dès le 29 octobre chez les professionnels de santé, médecins généralistes, pharmaciens, hôpitaux… L’ensemble des documents seront également disponibles sur le site www.avcvitele15.com

 

Chacun peut agir !

Partager cette vidéo avec ses amis, sa famille, son entourage est une des premières façons d’agir pour diminuer les séquelles liées à l’accident vasculaire cérébral. L’ensemble de la population est invitée à être acteur de cette campagne de sensibilisation.

 

À propos de France AVC

 

France-AVC (Association loi 1901 d'aide aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC) a été créée en 1998 avec pour objectifs la prévention, l’information du public, des pouvoirs publics et des médias sur les accidents vasculaires cérébraux ; d’apporter une aide et un soutien aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC ; de développer l'éducation thérapeutique du patient et d’aider à la recherche sur les AVC.


 

À propos de la SFNV

Association loi 1901 créée en 1996, la Société Française NeuroVasculaire (SFNV) a pour objectif principal l'amélioration de la prise en charge des AVC. Elle est la société savante qui regroupe l'ensemble des professionnels concernés par les pathologies vasculaires cérébrales dont les accidents vasculaires cérébraux (AVC), leur diagnostic, traitement et prévention.

 

Elle développe des actions selon plusieurs axes majeurs : les filières de soins, en lien avec les organismes institutionnels, dans le but de permettre à toute personne souffrant d'un AVC d'être prise en charge dans les meilleures conditions ; la formation des professionnels de santé ; la recherche, dans le but d'accroître les connaissances sur les AVC et de permettre ainsi d'améliorer le diagnostic et le soin.

 


  

À propos de Bayer HealthCare

Le groupe Bayer AG, basée à Leverkusen, (Allemagne) est une entreprise mondiale avec des compétences majeures dans le domaine de la santé, de la nutrition et des matériaux de haute performance. Filiale de Bayer AG, Bayer HealthCare compte 55 700 collaborateurs et a réalisé un chiffre d’affaires de 17,2 milliards d'euros pour l'année 2011.Présente dans plus de 100 pays c’est l'une des toutes premières entreprises innovantes au monde dans le secteur de la santé humaine et animale et des produits médicaux. En France, Bayer HealthCare compte 1272 collaborateurs, et est présente au travers de ses 5 divisions : Pharmacie, Diabète, Santé familiale, Santé animale, Equipements médicaux radiologiques et interventionnels et Imagerie médicale. En permettant le diagnostic et le traitement des maladies, ses produits sont le gage d’un plus grand bien-être et d’une meilleure qualité de vie.