Nora ANSELL-SALLES

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lundi 29 septembre 2014

#29septembre : #Journée mondiale du cœur

ALERTE

Aujourd'hui : Journée mondiale du cœur

Dépister un trouble du sommeil peut permettre de prévenir des maladies cardio-vasculaires

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. En France, près de 150 000 personnes meurent chaque année en France d'une maladie cardiovasculaire (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral ...). C’est la deuxième cause de mortalité après le cancer ! [1]

Face à ces chiffres préoccupants, que fait-on en termes de prévention ?

Les praticiens et les autorités de santé reconnaissent l’importance d’une hygiène de vie dans la prévention des risques : alimentation équilibrée, pratique sportive, diminution ou arrêt de la consommation d’alcool et/ou de tabac…

Mais combien parlent du sommeil ? Pourtant, un sommeil perturbé peut et constitue souvent le signe avant-coureur d’autres pathologies, notamment des maladies cardiovasculaires.

Outre le ronflement, de nombreuses « défaillances » du sommeil peuvent avoir d’importantes répercussions sur la santé. Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS), plus connu sous le terme « Apnée du sommeil » est un des troubles respiratoires du sommeil les plus communs. Il se caractérise par une répétition d’obstructions complètes ou partielles des voies respiratoires pendant le sommeil provoquant ainsi un arrêt de la respiration.

Les micro-réveils et la baisse d’oxygène dans le sang liée à l’arrêt de la respiration lors d’une apnée du sommeil peuvent avoir des conséquences lourdes. En effet, les risques d’hypertension sont multipliés par 5, les cancers par 4,8, les insuffisances coronariennes par 5 … Par ailleurs, un patient souffrant d’apnée du sommeil augmente le risque de faire un AVC de 60% et a 4 fois plus de chance de développer un diabète de type 2.

 Quand on sait que l’apnée du sommeil toucherait 5 à 10% de la population française et que 90% des cas ne sont pas diagnostiqués[2], il serait peut-être temps de lancer une campagne de dépistage …

A propos d'Oniris

Spécialiste des problématiques liées au ronflement et à l’apnée du sommeil, le Docteur Vincent a partagé ses travaux avec ses enfants Vincent et Thibault, jeunes entrepreneurs dans l’âme. Après une étude de marché approfondie, le constat est sans appel. Les solutions existantes sont inefficaces, inconfortables ou très onéreuses. La société Oniris est donc lancée en 2011. La jeune start-up met au point, fabrique et commercialise la première Orthèse d’Avancée Mandibulaire (OAM) bimatière et thermoformée afin d’apporter une solution simple, économique et efficace aux personnes souffrant de ronflement ou d’apnée du sommeil ! Validée par une étude clinique et plusieurs brevets, l’orthèse Oniris reprend les caractéristiques de l’orthèse de laboratoire, avec une efficacité équivalente, mais à un prix beaucoup plus accessible. Discrète et bien supportée par 96% des patients, elle est disponible en pharmacie et sur internet (www.oniris-ronflement.fr) au prix de 69 euros.

Oniris est accompagnée et soutenue par la BPI pour ses travaux en R&D et pour ses innovations.

Gérard Vincent est membre de la société américaine du sommeil.

www.oniris-ronflement.fr

Chiffres clés :

  • Un chiffre d’affaires de près d’1 million d’euros en 2013
  • Depuis son lancement 25 000 patients ont adoptés l’orthèse Oniris.
  • Objectif 40 000 patients appareillés en 2014
  • Déjà disponible sur commande dans 20 000 pharmacies


Séverine OGER

Cabinet ESCAL Consulting

Tél : +33 (0)1 44 94 95 71

Fax : +33 (0)1 44 94 95 61

lundi 21 janvier 2013

DIABETE ET PRECARITE

Dépister dès le stade du pré-diabète

Agir concrètement et au plus près des intéressés
 
Une enquête inédite, des résultats inattendus


A l'initiative de l'association PRESPODIA,* avec le concours de l'Académie nationale de médecine et de Languedoc Mutualité (Mutualité Française), une vaste enquête en Languedoc-Roussillon démontre la responsabilité de la précarité dans la progression du diabète et dans les insuffisances de sa prise en charge.


PRÉCARITÉ n'est pas seulement synonyme de « marginalité » ; il s'agit de plus en plus souvent d'une « vulnérabilité bio-psycho-sociale ». Le phénomène, accentué par la crise , touche des populations nouvelles, plus jeunes, souvent diplômées mais fragilisées sur le plan du travail, de la famille, du logement, sans accès facile aux soins, d'où des co-morbidités psychiatriques et des addictions.

LE DIABETE est un modèle de pathologie chronique en milieu précaire ; La précarisation apparaît comme un facteur aggravant qui exige une autre prise en charge de ces patients, notamment à travers les réseaux de soins.

* L'association PRESPODIA, créée en 1973, contribue dans l'Hérault à aider les malades diabétiques ou prédiabétiques à assumer leur prise en charge thérapeutique, en donnant notamment à l'éducation et l'exercice physique la place essentielle qui leur revient

 
Une nouvelle approche

Deux institutions, L'Académie nationale de médecine et la Mutualité Française,  vont à la rencontre des jeunes précaires et de leur entourage sur INTERNET pour éviter l'écueil des voeux pieux ou de l'injonction, inutiles en milieu précaire, dans tous les domaines où le risque de diabète est lié à la précarité (alimentation, hygiène, observance...). Les deux sites (www.academie-medecine.fr et www.mutualite.fr font un lien avec un site dédié «  précarite-diabete » à destination des personnes précaires, des professionnels de santé concernés et de leur entourage au sens le plus large.

 Mercredi 30 janvier 2013

11h00

Académie nationale de médecine - 16, rue Bonaparte Paris 6e

 avec la participation de :

Etienne Caniard - Président de la Fédération nationale de la Mutualité française

Catherine Dardé - Directeur Général du groupe Languedoc Mutualité

Henri Hugues - Préfet honoraire, Président de l'Association PRESPODIA

Claude Jaffiol - Membre de l'Académie nationale de médecine, responsable de l'enquête

Jean-François Mattei - Président de la Croix Rouge, membre de l'Académie nationale de médecine

Serge Passeron – Responsable de l'Association PRESPODIA, coordonateur de l'enquête

Denyse Vannnereau - médecin diabétologue, coordinatrice de l'enquête
 
Confirmation présence  avant le 28 janvier prochain (nicole.priollaud@wanadoo.fr)