Nora ANSELL-SALLES

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lundi 2 décembre 2013

Prêt BFM NOEL


 
 

Campagne NOËL 2013

 

A l'approche des fêtes de fin d’année, des achats de Noël, des besoins de trésorerie se font parfois sentir...La Banque Française Mutualiste lance une nouvelle campagne du 26 novembre au 31 décembre 2013 axée sur le thème de « Noël » et proposant une offre de prêt attractive. Un prêt « spécial Noël » :

 

- sur de petits montants et courtes durées : de 1 000 € à 5 000 € sur 6 à 36 mois,


- avec un taux unique (sans distinction d’âge moins ou plus de 35 ans), ultra compétitif à 2,75 % TAEG hors assurance,

 


- et une assurance de prêt facultative dans tous les cas compte tenu des durées/montants proposés.


NDLR : MGEFI et BFM
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    jeudi 24 octobre 2013

    Donner du sens à ses achats... c'est possible coup de projecteur sur Maisons du Monde

     
    Partager une vision commune avec une ONG de terrain

     "Des actions concrètes : 400 fermiers engagés dans 40 villages en Inde et 7700 agriculteurs en Indonésie "

     
    TFT et Maisons du Monde sont partenaires de 2 projets communautaires d’agro-foresterie dans les régions du Penjab et de l’Haryana en Inde et de coopératives villageoises en Indonésie. Les forestiers du TFT aident les communautés locales dans la gestion durable de leurs ressources en bois en vue d’obtenir la certification FSC® à terme. Les produits Maisons du Monde garantissent que le bois provient d’une forêt gérée de manière responsable, qui progresse vers la certification et a en plus fait l’objet d’un audit de traçabilité par les équipes du TFT chez le fournisseur. Notre client a aujourd’hui la possibilité de connaître l’histoire et la provenance de son produit en flashant un QR-Code.


     
     
    Crédit photo Projet TFT
     


     Coup de projecteur sur 2 actions

    Inde

    Créer les premières plantations de Sheesham certifié au monde

    Désormais, le Sheesham est cultivé spécifiquement par les agriculteurs et leur fournit une nouvelle source de revenus. Ainsi, 35 000 pieds de Sheesham ont déjà été plantés et plus de 400 fermiers parmi 40 villages sont impliqués dans ce projet. Certains ne possèdent pas encore de Sheesham mais désirent en planter dans leurs champs. Régulièrement, des plants leur sont distribués et des formations leur sont dispensées pour leur apprendre à cultiver le Sheesham de manière durable. La gamme Lubéron a été la 1ère gamme fabriquée à partir de cette essence à obtenir un label. Depuis, la gamme Stockholm bénéficie également de ce label.
     
    Crédit photo Inde Sheesham



     
                                                                                        Crédit photo TFT inde Penjab collection coton                                                                                                        




    Crédit photo Inauguration pojet sheeh XM cerémonie (Na) Tasha Stojkovic
     
    Indonésie

    Développer les forêts communautaires de teck

    Ce partenariat se traduit par la distribution de milliers de semis de grande qualité, par la mise en place de programmes informatiques, de formation à l’audit interne ou de cartographie des essences.

    Derrière chaque produit, une histoire…
    Maisons du Monde s’engage dans la traçabilité d’une des essences de bois les plus utilisées dans la fabrication de ses meubles : le manguier, le sheesham, le teck et le mahogany. Grâce à un système d’étiquetage avec QRcode, les clients peuvent connaître la provenance de la parcelle et de l’arbre des meubles.

     " Toutes les 2 secondes, l'équivalent d'un terrain de football de forêt disparaît "

    " 250 références certifiées chez Maisons du Monde"


    Le Forest Stewardship Council®, organisation internationale non gouvernementale créée en 1993 a pour mission la gestion responsable des forêts du monde entier. Soutenu par les plus grandes associations écologistes (Greenpeace, WWF…), le FSC® est aujourd’hui considéré comme le système de certification forestière le plus crédible. Leurs exigences : respect des lois du pays, des populations autochtones et des travailleurs, préservation de la biodiversité et des ressources.Grâce à des audits annuels réalisés par des experts indépendants, les produits Maisons du Monde labellisés FSC® garantissent aux consommateurs la certification des bois issus des forêts FSC®.

     

    Intégrer le Club des Entrepreneurs engagés pour la protection de la planète

     

    1200 entreprises engagées dans 48 pays " " Maisons du Monde 3ème donateur des entreprises Françaises"


     
    En 2013, Xavier Marie Président Fondateur de Maisons du Monde s’est engagé à verser à des associations environnementales 1% du chiffre d’affaires annuel généré par les meubles de la gamme « Envie d’Eco » soit plus de 1000 références dont le bois est issu de forêts gérées durablement. Le montant reversé chaque année porte ainsi Maisons du Monde au 3ème rang des plus gros donateurs parmi les 130 entreprises Françaises membres du « 1% for the Planet » en France et au top 10 du réseau au niveau mondial.

    Maisons du Monde utilise le mécénat, en plus de ses nombreuses actions d’approvisionnement responsable, comme un moyen de pérenniser son activité et d’agir en faveur du développement durable.
     
     Impliquer les collaborateurs

    Congés solidaires

    Partager des émotions avec les populations du monde

     " 70 collaborateurs à la découverte des projets financés par Maisons du Monde "

     
    Depuis 2011, Maisons du Monde donne la possibilité à ses collaborateurs de s’immerger dans un univers en rupture avec leur quotidien. Sur leurs congés payés, ces derniers partent à la charge de l’entreprise découvrir les activités des ONG financées par Maisons du Monde. Déjà 70 personnes, tirées au sort après acte de candidature, sont ainsi parties à la découverte de Madagascar, du Pérou, de l’Inde et du Népal accueillis par les populations locales. Cette formidable expérience humaine est aussi l’occasion de s’interroger sur notre rapport à la consommation, notre rôle dans le développement durable, celui de notre entreprise… Une aventure impossible à vivre seul ou via un tour opérateur car toutes les visites et les activités sont organisées par Maisons du Monde et liées aux projets financés.

     


    Nous étions tous conscients de la chance que nous avions de vivre cette aventure. Nous avons apprécié de superbes paysages et découvert le mode de vie de populations éloignées, tout cela dans un cadre respectueux de l’environnement et dans une démarche d'aide au développement. Loin, tellement loin du tourisme de masse impersonnel ! Pierre du Service Informatique - À son retour du Pérou

     Avec Man & Nature
     
    Conjuguer ensemble nature et développement

    En 2012, Man & Nature était consacrée « Meilleure Initiative 2012 » par la Clinton Global Intiative fondée par l’ancien Président des Etats Unis d’Amérique.

    Pour que frères et sœurs partagent la même enfance
     
    L'association SOS Villages d'Enfants compte aujourd'hui plus de 545 villages parmi 133 pays et vient en aide à plus d'un million de bénéficiaires.

     
    Depuis 2007, Maisons du Monde soutient SOS Villages d’Enfants à travers le village de Raïpur en Inde. Composée de 14 maisons, cette structure accueille 141 enfants orphelins ou abandonnés. Un jardin d’enfants permet également l’accueil de 40 jeunes élèves et l’embauche de 5 enseignants. Un programme de "Renforcement de la Famille" permet aussi de soutenir 300 enfants supplémentaires issus de 142 familles très vulnérables. Grâce à son action, Maisons du Monde se place parmi les 10 plus gros donateurs de SOS Villages d'Enfants France.


     

     

    mardi 27 novembre 2012

    Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS


    Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l'opticien agréé

     

    Convaincue que l'organisation en réseaux d'opticiens agréés est une réponse à la diminution du reste à charge en optique pour les ménages, la Mutualité Française a fait réaliser une enquête par IPSOS pour cerner les attentes et les opinions des Français qui ont récemment acheté des lunettes correctrices chez un opticien appartenant à un réseau agréé : niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d'achats en optique.

     

    Une satisfaction globalement élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l’opticien agréé

     

    Constat :: Un accès aux soins difficile, notamment dans le secteur de l’optique

     

    La difficulté d’accès aux soins, notamment pour les catégories sociales les plus modestes, est un constat partagé par tous. Actuellement en France, plus de 15% des Français déclarent renoncer à se soigner, et 25% d’entre eux pour des raisons financières, ou retardent des soins1.

     

    Les contraintes financières se concentrent sur deux postes de dépenses en particulier : les soins dentaires et les soins optiques, devant les consultations de médecins généralistes et spécialistes2.

     

    Concernant les soins optiques, plus de 2 millions de Français y renoncent ou les reportent chaque année pour des raisons financières.

     

    En effet, l’optique coûte cher. Il s’agit d’un secteur très faiblement remboursé par la Sécurité sociale, de l’ordre de 4% de la dépense facturée. Les complémentaires santé prennent en charge 66% de la dépense et les ménages 29% en moyenne3. Le prix moyen d’un équipement d’optique est quant à lui de 277 euros pour des verres unifocaux, et de 591 euros pour des verres progressifs.

     

     

    2 Français sur 3 portent des lunettes correctrices.

    Plus de 4 porteurs de lunettes sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois. Enquête IPSOS « Les Français et l’optique », septembre 2012.

     

    Le renoncement aux soins optiques est principalement lié à un reste à charge important pour les assurés du fait du désengagement de la Sécurité sociale du secteur de l’optique.

     

     

     

    Enquête auprès d’’utiilliisateurs de réseaux d’’optiiciiens agréés par lles mutuelllles :: Les principaux résultats de l’enquête IPSOS4

     

    Cette enquête porte sur les attentes et les opinions des Français ayant récemment acheté une paire de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle.

     

    Elle montre une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, notamment liée au rapport qualité/prix des verres (93%). Et la satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau pour une partie d’entre eux. Elle révèle aussi des comportements exigeants et des achats éclairés avec des critères de choix de l’opticien agréé très centrés sur le reste à charge.

     

    Des comportements exigeants et des achats éclairés

     

    Comme pour les porteurs de lunettes en population générale, les acheteurs de lunettes correctrices auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé s’intéressent au coût de l’équipement avant d’acheter, 65% :

     

    46% ont fait établir un ou plusieurs devis par des opticiens,

     

    44% ont calculé et comparé le montant des dépenses qui resterait à leur

    charge,

     

    26% ont comparé les prix et les prestations chez plusieurs opticiens,

     

    35% se sont également renseignés auprès de leur complémentaire.

     

    Les critères de choix de l’opticien agréé sont très centrés sur le reste à charge :

     

    74% des acheteurs de lunettes ont choisi leur opticien agréé pour le tiers payant et/ou le montant du remboursement,

     

    71% ont pris en compte le rapport qualité-prix des verres et/ou des montures proposés.

     

    Ces acheteurs ont également des exigences élevées quant à la qualité de l’ensemble des prestations proposées : ainsi, la proximité du point de vente pour 70%, la disponibilité pour 68% et la qualité d‘écoute pour 68% ont été des critères de choix importants.

     

     

    Une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles

     

    81% des acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé se sont déclarés satisfaits de leur dernier achat, vs 71% de l’ensemble des porteurs de lunettes.

     

    Les différences portent principalement sur la satisfaction quant :

     

    · au rapport qualité /prix des verres, 93% vs 88%,

     

     

    · au tiers-payant proposé, 91% de satisfaits vs 79% pour les porteurs de lunettes correctrices en population générale,

     

    · aux services/offres proposés, 87% vs 79%,

     

    · au montant du remboursement, 83% vs 72%.

     

     

    La satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau : 22% des acheteurs chez un opticien agréé sont plus satisfaits que lors de leur achat précédent, 70% sont autant satisfaits.

     

     

    Un réseau d’’optiiciiens agréés,, c’’est quoii ? Quels sont les avantages en matière de coût et de qualité ?

     

    Depuis le désengagement de la Sécurité sociale et pour faciliter l’accès aux soins des patients, les mutuelles ont pris le relais dans le secteur de l’optique.

     

    Pour cela, elles ont créé des réseaux d’opticiens agréés. Ces réseaux ont pour double objectif de réguler le prix des lunettes et d’améliorer la qualité générale des prestations proposées en optique, pour au final maîtriser le montant des cotisations des mutuelles et les restes à charge de leurs adhérents.

     

    Le principe du réseau

     

    Régulièrement les mutuelles mettent en concurrence tous les opticiens qui le souhaitent sur des critères transparents de prix, de qualité, de service et de conseil, en tenant compte des conditions de mise en place des appels d’offres des réseaux de professionnels de santé agréés définis par l’autorité de la concurrence dans un avis de septembre 2009. Elles sélectionnent ensuite les offres, qui répondent à ces critères, des opticiens qui souhaitent faire partie d’un réseau. Et tout en laissant le libre choix de leur opticien à leurs adhérents, elles les orientent, sans aucune obligation, vers des opticiens agréés, pour qu’ils bénéficient de meilleurs prix et d’engagements de qualité et de services contractés, comme la dispense d’avance de frais ou la garantie d’une prise en charge par des opticiens professionnels et qualifiés.

     

    En créant des réseaux, les mutuelles jouent un rôle de négociateur entre l’offre et la demande pour le compte de leurs adhérents, qu’elles représentent. Elles régulent ainsi le secteur de l’optique, qui sans leur intervention serait inflationniste, et elles évitent la mise en place d’une économie de rente pour certains professionnels qui pourraient être tentés d’ajuster leurs tarifs sur le niveau de remboursement de la mutuelle et non sur la réalité du  besoin en équipement.

     

    Aujourd’hui, 7 700 opticiens sont membres des réseaux d’optique créés par les mutuelles sur environ 12 000 opticiens en France.

     

    Lutter contre un système inflationniste

     

    A titre d’exemple, le panier moyen, observé par les mutuelles gestionnaires de réseaux, d’un adhérent d’une mutuelle pour un équipement optique acheté au sein d’un réseau est en moyenne inférieur de 17,5% au prix moyen constaté hors réseaux.

     

    Par ailleurs, pour un équipement acheté en dehors d’un réseau, le reste à charge pour le patient est en moyenne 40% supérieur.

     

    Investir dans la qualité

     

    En mettant en place des réseaux d’opticiens agréés, les mutuelles ne cherchent pas seulement à réguler un secteur inflationniste.

     

    Sélectionnés sur des critères transparents de qualité et de prestations telles que la garantie anticasse, l’échange, l’adaptation…, les 7 700 opticiens membres des réseaux d’optique mutualistes induisent, par leurs pratiques, une hausse qualitative générale des prestations proposées dans le secteur de l’optique.

     

    Leur engagement à offrir les prestations au meilleur rapport qualité – prix à leurs adhérents permet aux mutuelles d’investir de façon continue dans l’offre de santé, de manière bénéfique pour les patients comme pour le secteur de l’optique.

     

    Ainsi, de 2008 à 2010, les organismes d’assurance maladie complémentaire ont constaté une augmentation des prestations versées au titre des remboursements en optique de 14%. D’autre part, les mutuelles qui s’appuient sur un réseau d’opticiens agréés constatent que le nombre d’adhérents équipés augmente. De même, elles améliorent le niveau de leurs prises en charge, sans inflation globale pour autant sur le poste des prestations d’optique. Le reste à charge est réduit à zéro pour nombre d’adhérents et leur satisfaction est accrue.

     

     

    Les réseaux d’opticiens agréés :: pour lutter contre les idées reçues

     

     

    Avec les réseaux, les adhérents n’ont plus la liberté de choisir leur opticien.

     

    FAUX - La mutuelle n’impose d’aucune façon à l’adhérent le choix de son

    opticien.

     

    Quel que soit l’opticien choisi, au sein d’un réseau ou non, l’adhérent conserve le bénéfice du remboursement de sa mutuelle.

     

    En revanche, si l’adhérent fait le choix d’un opticien agréé, sa garantie mutualiste lui permet de renforcer son accès aux soins au plus juste coût. Il va alors bénéficier de plusieurs avantages comme la dispense d’avance de frais grâce au tiers payant et la qualité des produits définis conventionnellement avec les opticiens agréés.

     

    L’adhérent bénéficie d’une prise en charge de ses frais, qu’il se rende ou pas dans le réseau d’opticiens agréés.

     

     

    Les réseaux permettent aux mutuelles d’augmenter leurs marges et de réduire leurs prestations.

     

    FAUX - Les réseaux permettent un meilleur contrôle des prix au bénéfice des

    adhérents.

     

    La part de l’optique dans le total des prestations des mutuelles (Organisme Complémentaire d’Assurance Maladie) a augmenté de 14% entre 2008 et 2010. Les mutuelles continuent donc à rembourser massivement leurs adhérents dans un secteur délaissé par la Sécurité sociale.

     

    Les réseaux d’optique permettent aux mutuelles de jouer un rôle de régulateur des prix dans un secteur très inflationniste. Depuis le désengagement de la Sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les seules à pouvoir jouer ce rôle et éviter une économie de rente pour certains professionnels de santé.

     

    Il est donc faux de dire que les mutuelles cherchent à réduire leurs prestations par la mise en place d’opticiens agréés. Les réseaux permettent au contraire aux mutuelles d’investir dans la qualité et d’améliorer les prestations rendues à l’adhérent.

     

    Les mutuelles investissent massivement dans le secteur de l’optique tout en jouant un rôle de régulateur des prix nécessaire dans un secteur inflationniste.

     

    3. Les réseaux baissent la qualité et réduisent l’accès aux différents types d’équipement optique.

     

    FAUX - Les réseaux proposent toutes les gammes d’équipement optique.

     

    La qualité ainsi que la sécurité des actes et prestations au sein des réseaux relèvent des pouvoirs publics. Les autorités sanitaires continuent à fixer les règles de fabrication, de délivrance et autres caractéristiques des produits de santé.

     

    Les mutuelles définissent des critères qualité qui s’ajoutent à ceux qui relèvent des pouvoirs publics pour le bénéfice de l’adhérent (ex : conditions de service après-vente).

     

     

    Les réseaux permettent d’accéder à des produits « entrée de gamme », « milieu de gamme » ainsi

    qu’à des produits dits « haut de gamme ».

     

    Les réseaux permettent au contraire une hausse qualitative des prestations proposées par les opticiens et définies contractuellement entre les mutuelles et leurs réseaux.

     

    4. Les réseaux agréés ne sont pas accessibles partout sur le territoire.

     

    FAUX - Les réseaux sont conçus en fonction de la couverture du territoire.

     

    La couverture du territoire est l’un des principaux critères de sélection des opticiens agréés par les mutuelles.

     

    Ainsi, les mutuelles ont pour objectif de s’assurer que tous les adhérents aient un opticien agréé à proximité de leur domicile.

     

    Les mutuelles ont aussi pour objectif de s’assurer que leur réseau d’opticiens maille l’ensemble du territoire, en fonction de la présence de leurs adhérents, et sur des critères précis et mesurables.

     

     

    Seules les grandes enseignes peuvent être agréées par les mutuelles.

     

    FAUX - Les réseaux sont ouverts à tous sur des appels d’offres libres et transparents.

     

    Les réseaux mis en place par les mutuelles accueillent indifféremment tous les offreurs de santé demandeurs qui remplissent les conditions définies conventionnellement : tarifs, qualité, gamme de produits, etc.

     

    Les réseaux d’opticiens agréés accueillent donc indifféremment des opticiens indépendants ou sous enseignes qui remplissent des critères de prix et de qualité définis conventionnellement.

     

     

    6. Les réseaux de soins détruisent l’industrie optique française.

     

    FAUX - Il existe autant de ‘’Made in France’’ dans les réseaux qu’ailleurs.

     

    Les opticiens agréés, tout comme les opticiens non agréés, se regroupent en centrales d’achat. La quasi-totalité des fabricants de verres correcteurs présents sur le territoire national est référencée au sein des réseaux.

     

    Par ailleurs, la part de verres ‘’made in France’’ chez les opticiens agréés est identique à celle des opticiens non agréés.

     

    1 IRDES, Questions d’économie de la Santé – enquête sur le renoncement aux soins, 2011.

    2 E tude de l’Institut de Recherche et de Documentation en Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011.

    3 DRESS, Comptes nationaux de la santé - Le 1% manquant correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les

    bénéficiaires gérés par les organismes de base.

    4 Cette enquête a été réalisée du 24 au 29 octobre 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est effectuée par téléphone auprès d’un échantillon de 503 acheteurs de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle. L’échantillon est représentatif des acheteurs de lunettes correctrices au cours des mois de mai et juin 2012, selon la structure des fichiers d’acheteurs fournis par la Mutualité Française, sur les critères de sexe, âges, mutuelle, réseau agréé par les mutuelles, région et catégorie d’agglomération.

     

    Recevoir les éléments : nansellsalles@mgefi.fr / www.mutualite.fr