Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 11 avril 2025

ALERTE INFO 🇨🇮 COMMUNIQUE DE PRESSE DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO : LE PPA-CI SUSPEND SA PARTICIPATION A LA CEI)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE :

Le PPA-CI suspend sa participation à la Commission Électorale Indépendante pour éviter un autre 11 avril à la Côte d'Ivoire

 Abidjan – 11 avril 2025 – Depuis plusieurs mois, j'observe avec gravité le fonctionnement de la Commission Électorale Indépendante (CEI). J'observe, je réfléchis, j'analyse. Mais aujourd'hui, je me dois de décider.

La CEI n'est plus ce qu'elle prétend être. Elle n'est plus une institution indépendante. Elle est devenue l'instrument docile d'un pouvoir qui refuse l'alternance, qui refuse la transparence, qui refuse l'inclusion. Un pouvoir qui a peur du verdict du peuple et qui tente, par tous les moyens, de le contourner.

Face à cette situation, j'ai pris la décision de suspendre la participation du Parti des Peuples Africains – Côte d'Ivoire (PPA-CI) à la Commission Électorale Indépendante .

Je le dis avec la plus grande responsabilité : je refuse de me rendre complice de ce qui est en train d'advenir à notre pays. Je refuse de prudence un processus électoral qui porte déjà les stigmates de l'exclusion, de la fraude et de la manipulation.

La CEI, aujourd'hui, viole ses propres textes pour satisfaire les intérêts du pouvoir. Elle tente d'écarter les dirigeants de l'opposition de la course présidentielle. Elle refuse d'auditer une liste électorale gangrenée par des irrégularités massives. Elle ne tient aucun compte des réclamations légitimes de l'opposition. Et elle tente d'imposer de nouvelles règles contraires au code électoral pour verrouiller davantage le contentieux.

En 2011, la Côte d'Ivoire est devenue le pire. Et cela à cause d'une CEI partielle, soumise, instrumentalisée par l'opposition d'alors, aujourd'hui au pouvoir.

En tant qu'ancien Président de la République, j'ai un devoir. Le devoir de dire non à la forfaiture. Le devoir de tirer la sonnette d'alarme. Le devoir de protéger la Côte d'Ivoire de l'abîme.

Je demande donc, solennellement, à notre représentant au sein de la CEI de suspendre immédiatement toute activité dans cette institution, jusqu'à nouvel ordre .

Cela est nécessaire, car nous ne voulons plus d'un autre 11 avril.

Tout le monde voit la crise monter. Tout le monde a envoyé la tension. Tout le monde, sauf ceux qui dirigent aujourd'hui, aveuglés par leur volonté de conserver le pouvoir, même au prix de la destruction du pays.

Nous n'en serons jamais complices.

Il est encore temps de sauver la Côte d’Ivoire.

Nous exigeons donc l'ouverture d'un dialogue politique sincère entre les principaux partis de l'opposition, la société civile et le pouvoir, pour remettre la Côte d'Ivoire sur le chemin d'élections crédibles, inclusives et apaisées .

Cette CEI ne rassure plus. Elle est discréditée. Elle est disqualifiée. Et il faut le dire. Avec fermé. Avec responsabilité. Avec foi en l'avenir.

La Côte d'Ivoire mérite mieux.

La démocratie mérite mieux.

Et le peuple ivoirien, lui, mérite de pouvoir choisir librement ses dirigeants.


Laurent GBAGBO

Ancien Président de la République de Côte d'Ivoire

Président du Parti des Peuples Africains – Côte d'Ivoire

dimanche 6 avril 2025

🇨🇮 "Rendre à César, ce qui est à César" n'en déplaise à Alpha Blondy

Rendre à  César  ce qui  est à  César,  et à Laurent ce qui est  à Gbagbo et non à  Alassane  Ouattara  n'en déplaise à  Alpha  Blondy...

COMMUNIQUE DE PRESSE :

REACTION AUX PROPOS DE M. ALPHA BLONDY RELATIFS AU PRESIDENT LAURENT GBAGBO

Abidjan – 5 avril 2025 – Nous avons pris connaissance des propos tenus par l’artiste Alpha Blondy, sur la radio RFI dans l’émission 
« Couleurs Tropicales », dans lesquels il affirme
notamment que le Chef de l’État ivoirien,  Alassane Ouattara aurait œuvré pour le retour du
Président Lauren Gbagbo en Côte d’Ivoire.
Si nous respectons la liberté d’expression de chacun, il nous semble néanmoins nécessaire de rétablir la vérité face à une tentative manifeste de réécriture de l’histoire.
Non, le Chef de l’État, Alassane Ouattara n’a jamais favorisé le retour du Président Laurent
Gbagbo en Côte d’Ivoire. Bien au contraire, tout a été fait pour l’empêcher. Qu’on se souvienne :
👉 Lorsque le Président Gbagbo a perdu sa mère, les autorités ivoiriennes lui ont refusé l’entrée sur le territoire pour assister aux obsèques.
👉 Pendant toutes les années de procédure devant la Cour Pénale Internationale (CPI),
l’État ivoirien a activement participé à son maintien en détention en envoyant ses avocats, Jean-Paul Benoit, Jean-Pierre Mignard et Pierre-Emmanuel Blard, pour
s’opposer à toute forme de libération. Malgré cela, le Président Laurent Gbagbo a été acquitté de façon définitive.
👉 C’est encore l’État ivoirien, anticipant son acquittement, qui a violé toutes les règles élémentaires de procédure pour le faire condamner à 20 ans d’emprisonnement dans
l’affaire dite du 
« casse de la BCEAO » — une accusation farfelue, manifestement
politique, et dont l’objectif unique était d’empêcher sa participation à la vie politique nationale.
👉 Aujourd’hui encore, cette condamnation irrégulière est utilisée par les autorités pour faire obstacle à sa candidature à l’élection présidentielle de 2025, en violation flagrante de la décision rendue le 20 septembre 2020 par la Cour Africaine des Droits
de l’Homme, qui ordonne explicitement à l’État ivoirien d’inscrire le Président Laurent
Gbagbo sur la liste électorale et de garantir sa pleine participation à la vie politique.
👉 Le 28 juillet 2020, c’est le Président Laurent Gbagbo lui-même qui a dû se rendre l’ambassade de Côte d’Ivoire à Bruxelles pour solliciter un simple passeport ordinaire,
en sa qualité de citoyen ivoirien.

La vérité est claire, les faits sont têtus : le Président Laurent Gbagbo est revenu dans son pays par sa propre volonté et grâce à son combat, à celui de ses avocats, de ses sympathisants,
militants, de ses soutiens et de tous ceux qui croient encore en la justice et en la démocratie.
Il est candidat à l’élection présidentielle de 2025. Il serait sage que les autorités ivoiriennes
respectent les lois et cessent de multiplier des obstacles artificiels et juridiquement infondés
à sa candidature.
La Côte d’Ivoire ne peut avancer en paix et en dignité que dans la vérité. Toute réécriture de l’histoire est vaine.

Me Habiba TOURÉ
Porte-Parole du Président Laurent GBAGBO

mardi 17 décembre 2024

Actualité internationale : détention sans charges...

_*Votre média, La Dépêche.Info, s'est entretenu avec l'un des avocats du général Philippe Houndégnon : Me Habiba Touré, avocate franco-ivoirienne inscrite au barreau de Seine-Saint-Denis en France. Habituée des grands dossiers, elle a notamment plaidé aux côtés de Laurent Gbagbo devant les juridictions internationales de La Haye. En exclusivité, Me Touré revient sur le déroulement de l’audience du 16 décembre 2024 à la CRIET, partage les attentes de la défense et du prévenu, et livre ses analyses sur les perspectives d’évolution de la procédure.*_

jeudi 15 août 2024

Côte d'Ivoire🇨🇮: Habiba Touré lance une campagne de communication multimédia pour rafraîchir la mémoire des anciens & ouvrir les yeux des plus jeunes...

🔺️CETTE PAGE SERA  ACTUALISÉE RÉGULIÈREMENT POUR INTÉGRER LES NOUVELLES VIDÉOS  🎥


Me Habiba Touré -porte parole du PPA-CI- lance une grande campagne  de communication multimédia dans le but de "rafraîchir les mémoires" des plus anciens et "ouvrir les yeux" des plus jeunes sur le RDR devenu RHDP...


Cette 1ère vidéo d'une série de "RDV avec les ivoiriens" qui donne le ton: à la fois direct,  pédagogique et argumenté des prochaines devrait faire mouche....

Rencontreront-elles leur public ? Participeront-elles à changer le cours de l'Histoire de la Côte  d’Ivoire  au moment  de la présidentielle ?


L'avenir le dira...


👉 Découvrez le clip de Habiba Touré porte-parole du PPA-CI