Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 29 septembre 2023

#ÇaBouge_Paris17 😥

LesLarmesdeTikTok 😥

Quel gâchis ! Il aura fallu 7 ans, 5 ministres de la Culture et des millions d’euros dépensés en études, concours d’architecture, frais de fonctionnement d’un Groupe d’Intérêt Public, pour que ce projet d’Etat soit finalement abandonné.

Au-delà des dépenses engagées, une nouvelle fois, la crédibilité de la parole publique est entamée, et ce au détriment du rayonnement du théâtre français. Passé cet arbitrage politique défavorable du gouvernement, la réflexion sur l’avenir des Ateliers Berthier reste plus que jamais d’actualité.

Communiqué du maire 



Des suggestions, des retours à faire remonter?

Rien de plus simple :

 📧 Ciquez sur ce lien

samedi 12 août 2023

Escroquerie, Piratage, Fraude... Ce qu'il faut savoir.


 

ESCROQUERIE, PIRATAGE, FRAUDE... personne  n'est à l'abri...  car cela n'arrive  pas qu'aux autres... Soyez  vigilants. Conservez précieusement  cet article au cas où...


Escroquerie sur internet: quels sont les recours?

Le gouvernement mentionne sur le site ci-dessous les démarches à effectuer en cas d’arnaques ou d’escroqueries https://www.economie.gouv.fr/cedef/recours-arnaque-internet

Cybersécurité

Face à la recrudescence des fraudes et cyber attaques, adoptez les bonnes pratiques pour protéger votre vie numérique.

La FBF a rassemblé des informations sur le sujet dans la partie « Cybersécurité » sur https://www.lesclesdelabanque.com/particulier/

Sécurité bancaire & Fraude

Pour mieux vous protéger et avoir les bons réflexes, suivez les conseils de votre banquier.

A titre d'exemple  la page de la Société Générale qui centralise sur une page particulièrement bien faite « Sécurité et Fraude » les bonnes pratiques, les dernières menaces, etc.


mardi 6 septembre 2016

Seniors : La MFP opposée à la labellisation des contrats santé dédiés aux plus de 65 ans

6 septembre 2016
Communiqué de presse



Complémentaire santé des seniors

La MFP toujours fermement opposée à la labellisation des contrats santé dédiés aux personnes de plus de 65 ans

Opposée à ce projet dès sa genèse lors des débats parlementaires de l’automne dernier, la MFP porte un regard toujours aussi critique sur ce dispositif, en totale contradiction avec la volonté initiale du Gouvernement de renforcer le lien social entre les générations.


Aussi, la MFP acte très favorablement la prise de position du Bureau de la Mutualité française de ne pas s’inscrire dans ce projet en l’état actuel de sa rédaction.


Côté Fonction publique, la MFP tient à rappeler que le dispositif de label senior s’oppose à la Loi de Modernisation de la Fonction publique de février 2007 (article 39) qui, pour mémoire, conditionne la participation des employeurs publics aux seuls contrats complémentaires assurant des transferts solidaires effectifs des actifs vers les retraités.


Plus spécifiquement, dans la Fonction publique de l’Etat, alors même que les ministères1 sont en cours de renouvellement de la désignation de leurs opérateurs référencés pour couvrir l’ensemble de leurs personnels actifs et retraités sur la base d’une offre globale santé-prévoyance solidaire, «avantageuse» pour les retraités2, isoler ces derniers de l’offre globale conduirait mécaniquement à réduire, à due proportion, le montant de la participation publique déjà plus que «minimaliste»3…


Enfin, la MFP demande que seuls les contrats complémentaires qui assurent une solidarité effective entre les personnes, quels que soient leur âge, leur catégorie professionnelle, leur statut ou leur état de santé, doivent être encouragés et aidés. Les contrats spécifiques Fonction publique (Etat ou territoriale), établis sur la base d’exigences réglementaires de solidarité (objectif social) sont les seuls contrats à même de financer les besoins des malades et des personnes âgées grâce à la mutualisation de la population couverte.


C’est ce modèle de protection sociale, global et solidaire, qu’il faut soutenir et reproduire !


A propos de …
La Mutualité Fonction Publique - présidée par Serge BRICHET - regroupe aujourd’hui 21 mutuelles ou unions de mutuelles professionnelles relevant des Livres II et III du Code de la Mutualité, issues des trois fonctions publiques. En 2016, les mutuelles de la Fonction publique, réunies au sein de la MFP, représentent :
· au titre du régime obligatoire : 5 millions d’assurés et ayants-droit, et 6 milliards d’euros par an de prestations versées.
· au titre du régime complémentaire : 4 millions d’adhérents actifs et retraités, et 6,5 millions de personnes protégées ; 3,6 milliards de cotisations encaissées (vie et non vie) ; plus de 3 milliards de prestations servies (vie et non vie).


1 Les appels publics à référencement des Ministères des Affaires Etrangères et Développement international (MAEDI) et de l’Agriculture, l’Agroalimentaire et de la Forêt (MAAF) ont d’ores et déjà été publiés au courant de l’été.

2 Source DREES – La complémentaire santé – édition 2016 – fiche 9 : « après 60 ans, les tarifs des contrats individuels des sociétés d’assurance augmentent plus que ceux des mutuelles ». 3 15 euros par an et par agent de l’Etat en moyenne d’un ministère à l’autre


La Mutualité Fonction Publique est opposée à la labellisation des contrats santé dédiés aux + 65 ans.  Partagez-vous cet avis ?  OUI ou NON  Cliquez ici pour poster votre réponse à  @pressentinelle2

mercredi 5 août 2015

3117 C'est le N° d'urgence transilien SNCF


Le 3117 est un relais d'appel d'urgence vers les services de secours publics compétents


ALERTE INFO :

www.europe1.fr/.../le-plan-du-gouvernement-contre-le-harcelement-dan...
9 juil. 2015 - Le gouvernement veut lutter contre le harcèlement dans les ... Voilà des situations dans le train ou le métro qui parlent à beaucoup de femmes.

Comment ça marche



www.transilien.com/static/tarifs/3117

Retrouvez toutes les procédures concernant le numéro 3117.



malignea.transilien.com/2011/07/29/3117-le-numero-dappel-durgence/

29 juil. 2011 - En appelant le 3117, vous pouvez gagner du temps. Mais pourquoi ? Lorsqu'ils sont appelés depuis un téléphone mobile pour une demande ...



https://www.ter.sncf.com/basse-normandie/gares/nos-services/3117

Le numéro 3117 est un relais d'appel d'urgence vers les services de secours publics compétents qui ne se substitue pas aux numéros de secours habituels :.



www.leparisien.fr/.../la-sncf-generalise-le-3117-un-numero-d-urgence-p...

9 févr. 2011 - Le test est concluant, la mesure généralisée. La SCNF annonce ce mercredi la généralisation à l'ensemble du réseau Transilien du 3117, un...





www.20minutes.fr › Paris

12 sept. 2014 - A partir d'aujourd'hui, il suffira de composer le 3117, le numéro d'urgence de la SNCF, pour qu'on vole à votre secours. Ce dispositif, testé ...



transilien.epticahosting.com/.../template.do;jsessionid...3117%3F...

Le 3117 permet à toute personne voyageant à bord d'un train de passer un appel d'urgence, depuis son téléphone portable, afin de signaler tout incident ...



www.courbis.fr › ... › Les solutions

6 févr. 2015 - Grille No 3117 Moyen Dictionnaire Mot(s) de 11 lettres : INTERIMAIRE TRANSITOIRE Mot(s) de 9 lettres :



france3-regions.francetvinfo.fr/.../le-3117-le-numero-d-urgence-pour-le...

4 juin 2013 - Depuis le 3 juin, TER Picardie a mis en place un numéro de téléphone d'urgence, le 3117 (appel non surtaxé). Les voyageurs, qu'ils soient ...



www.support.xerox.com/support/...3117/.../enza.html



Product downloads for Phaser 3117. ... South Africa Select your country · Support & Drivers. Phaser 3117 Support & Drivers. Support · Drivers & Downloads.

jeudi 18 septembre 2014

Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les ....

Claude Leicher : « Le sentiment de malaise est de plus en plus fort »

Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les
revendications des médecins. Il précise leurs attentes face à la loi de santé en préparation et aux
négociations en cours avec l’assurance-maladie sur les accords interprofessionnels.


Vous avez récemment exprimé votre mécontentement, voire votre colère, devant les atermoiements du
gouvernement face aux mesures attendues par MG France dans le champ des soins primaires ? Est-ce que le


torchon brûle entre MG France et le gouvernement ?


MG France n’est pas du style à faire brûler les torchons, MG France est plutôt du style à se fâcher et à agir. Cela
fait deux ans que Marisol Touraine est en fonction dans le gouvernement de François Hollande. Elle a appris le
métier et développé son programme politique qui s’appelle Stratégie nationale de santé. Nous avons perçu une
volonté, exprimée dans les discours, d’engager un virage ambulatoire et un développement des soins
primaires.
A la lecture des premières mesures – qui d’ailleurs tardent à venir – nous percevons surtout un éclatement du
métier du médecin généraliste, avec des tâches qui sont confiées à d’autres professionnels, alors qu’elles sont
traditionnellement confiées au médecin traitant.
Il y a non seulement de la déception et de l’inquiétude, mais aussi de la colère qui commence à monter. Nous
constatons que la stratégie gouvernementale est à l’inverse de ce qu’il faut faire. On inquiète de plus en plus le
médecin généraliste, on renforce l’idée qu’on est déjà en train de préparer sa substitution. S’il n’y a plus de
médecin généraliste demain, par quelle profession va-t-on le remplacer ? Le sentiment de malaise est de plus
en plus fort. Tellement fort que les anciens s’en vont de plus en plus tôt et que les plus jeunes ne s’installent
pas, sauf si on leur organise un système dans lequel ils n’ont pas à investir de l’argent. Ces jeunes veulent bien
s’installer, mais sont tellement préoccupés par l'exercice libéral sinistré qu’il faut les accueillir dans des lieux où
ils n’auront pas d’inquiétude sur les charges qui pèseront sur eux. La catastrophe démographique annoncée est
arrivée. Les chiffres sont spectaculaires, comme en Ile-de-France où il n’y aura bientôt plus de généralistes.

Qu’attendez-vous désormais de la loi de santé ?


Il n'est pas trop tard pour rectifier le tir. Un exemple : le service territorial de santé au public. C’est le type
même de la chose « faite à l’envers ». Tout le monde est d’accord pour développer ce niveau du système de
santé. Mais, nous l’avons dit au gouvernement, c’est aux professionnels de santé de s’organiser : par exemple,
il leur revient de créer ou non une maison de santé. Le gouvernement reprend la proposition d’administration
ambulatoire des territoires de proximité par les Agences régionales de santé (ARS). Créer des commissions pour
gérer la territorialité n’est pas ce qu’il faut faire. Il faut à l’inverse donner des espaces de créativité et de liberté
aux professionnels pour qu'ils puissent organiser eux-mêmes leurs conditions de travail dans un cahier des
charges qui réponde aux besoins de santé de la population.
Si le gouvernement ne corrige pas sa copie, MG France luttera contre ce projet de d’administration du secteur
ambulatoire, à l'image de ce qui s’est fait de façon catastrophique dans le secteur hospitalier.

Où en êtes-vous du dossier de la coordination des soins et du travail en équipe dans vos négociations avec
l’assurance maladie ?


La première étape des accords touche un niveau de coordination autour d'un patient, organisé par les
professionnels entre eux - à deux, trois ou quatre -, dans un système qui doit être simple et accessible à tous

les professionnels de santé. La 2ème étape concerne la rémunération d’une équipe. La troisième s'adresse à


ceux qui veulent organiser la coordination sur un territoire, par exemple entre l’hôpital et la ville.
Mon inquiétude, c’est que l’assurance maladie joue un jeu chaloupé dans lequel elle a pour objectif de
diminuer les durées de séjour hospitalier, avec des accords qui privilégient les sorties d’hôpital. Or sur ce point,
nous voulons surtout des aides pour nous organiser en ambulatoire, autour de la fonction du médecin traitant,
en considérant que le médecin traitant est obligatoirement partie prenante de cette coordination, qui ne peut
être qu’à l’initiative des acteurs de terrain.
Nous avons l’impression que l’assurance maladie nous entraîne plutôt vers une direction presque unique : la
sortie de l’hôpital. Mais la coordination ne se limite pas du tout à l'organisation ville-hôpital. Il s'agit d’organiser
les équipes de soins primaires. Nous sommes en tension avec l’assurance maladie, et avec d’autres
organisations professionnelles qui ne veulent pas organiser les soins primaires et qui préfèrent mettre de
l’argent sur la technique, l’imagerie, l’hospitalisation. Il existe un vrai enjeu, qui est l’organisation du futur
virage ambulatoire. Mais nous avons besoin que l’assurance maladie comprenne et appuie mieux cet enjeu.

Les médecins attendent aussi des signes concrets, notamment une revalorisation des actes. Où en êtes-vous
sur ce dossier des rémunérations « complexes et peu lisibles » selon le dernier rapport de la Cour des
Comptes sur la Sécurité sociale ?


C’est un autre dossier. Nous ne le mélangeons pas avec la coordination des soins. MG France considère qu’il y
a une véritable discrimination conventionnelle. Je citerai deux exemples très précis : en 1990, on a interdit aux
médecins généralistes de choisir le secteur 2. En 2007, la discrimination s’est accentuée avec une consultation
à 25 euros pour tout le monde, sauf pour les généralistes. C’est inacceptable ! Les consultations sont de plus en
plus lourdes, mais restent bloquées à 23 euros. Certes, nous avons contribué à développer d’autres modes de
rémunération, mais ils restent insuffisants : 88 % de la rémunération d’un médecin généraliste sont basés sur la
rémunération à l’acte, et 23 euros ne peuvent pas rémunérer une consultation qui peut être amenée à traiter
5, 6 ou 7 problèmes différents, et qui inclut de surcroit des démarches de dépistage et de prévention. Cette
densité du contenu de nos consultations est le résultat du choix du patient qui veut « rentabiliser » sa
consultation. MG France veut toujours développer des rémunérations forfaitaires complémentaires, mais la
valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui pour la visite, que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cette densité est
le désir du patient qui veut « rentabiliser » sa consultation. MG France veut développer la rémunération
forfaitaire, mais la valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cela doit devenir
le tarif normal de toutes les visites à domicile. Ensuite, nous exigeons sans tarder une consultation de base à 25
euros, et à 28 euros lorsqu’il y a des actes de coordination (contact avec un autre médecin, lettre de liaison
avec un hôpital). Ce sont les premières étapes indispensables d’une revalorisation correcte de l’exercice de
médecin généraliste.

La Cour des comptes a rendu sa copie sur la gestion de la Sécu et de l’assurance-maladie. Partagez-vous son
analyse ?


Dès que les médecins généralistes interviennent dans le parcours de soins d’un patient, les économies se
produisent. Le bon usage du parcours de soins vers des correspondants ou vers l'hôpital et le bon usage des
produits comme les génériques, génèrent une économie d’un milliard et demi par an. C'est surtout aux
généralistes qu'on doit ces économies. La Cour des comptes dit qu’on peut faire encore mieux. C’est possible,
mais nous voulons que les bénéfices de ces économies reviennent en partie dans la poche des généralistes, qui
font des efforts depuis des dizaines d’années.
Les efforts de la maîtrise médicalisée des dépenses sont à imputer en totalité aux généralistes. La prescription
des indemnités journalières à bon escient, la prescription des génériques, le bon usage de dispositifs coûteux
sont à mettre au bénéfice des généralistes.
On ne fera pas plus que ce que nous faisons aujourd’hui si nous n’avons pas un retour sur investissement. La
revalorisation des actes demandée par MG France est auto-finançable par ces économies, et assez facilement.
Nous sommes prêts à relever le défi, mais en échange nous demandons au gouvernement une revalorisation
de nos actes de base. Si rien n’est fait nous irons vers des mouvements de contestation tarifaire. Et cela partira
de la base. Nous ne jouerons plus le jeu avec des politiques qui ne tiennent pas leur parole et ne donne à la
France aucun moyen de réussir le fameux « virage ambulatoire ».





 
COUP DE PROJECTEUR
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