MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mercredi 18 octobre 2023
PAROLES DE BÉNÉVOLES : Evelyne Toutirais de l'association " Main Dans la Main et Solidaires"
lundi 20 février 2023
📣APPEL A LA PRESSE : Avenir Santé Sud Haute-Marne...
lundi 10 janvier 2022
vendredi 26 novembre 2021
Élysée 2020 - Un autre regard sur l'hôpital
L’hôpital est en crise. Manque de moyens, de soignants, de sens. Et si,
aussi, le management était en cause ? Propos provocateurs ? Irresponsables ?
Think Tank Economie Santé - Ph Leduc
🔎Zoom sur le Dr Philippe Leduc
dimanche 21 novembre 2021
Changer d'apparence sexuelle par le bistouri : est-ce possible, est-ce redoutable ?
Les ambiguïtés sexuelles des nouveaux nés
Lorsque j'étais interne dans le service de chirurgie infantile du professeur Pellerin, à l'hôpital Necker-enfants-malades, il arrivait régulièrement que ce brillant chirurgien doivent intervenir dans des cas d'ambiguïté sexuelle, c'est-à-dire des cas où la constatation des organes sexuels à la naissance pouvait laisser place à un doute légitime, au grand dam des parents consternés: S'agissait-il d'une petite fille avec un grand clitoris, ou d'un garçon dans le sexe était tout petit et les testicules inapparents car cachés dans le pelvis?
Malgré tous les examens complémentaires les radiographies et les dosages hormonaux, il fallait avec l'accord de la famille faire un choix plutôt que de laisser cet enfant grandir dans l'incertitude et des troubles psychologiques probables à venir; c'était du moins la conception éthique de cette époque des années 1970: Après des conciliabules familiaux, le professeur Pellerin puis ses successeurs pratiquaient une opération de réassignation sexuelle; celui qui fut mon maître avait mis au point des techniques très sophistiquées pour toujours conserver une sensibilité érogène suffisante.
Actuellement ce problème est dépassé, quoique toujours prégnant: La majorité de des demandes concerne des adultes, dont tous ne passent pas par des opérations mutilantes pour vivre leur transsexualité; un certain nombre d'entre eux vont jusqu'au bout : Hommes demandant à être féminisé, avec création d'un neovagin à partir du fourreau de la verge; où ce qui est beaucoup plus difficile, femme demandant à être masculinisée, avec création d'une verge active aussi bien sur le plan sexuel que sur le plan urinaire, ce qui est d'ailleurs le problème le plus complexe à résoudre.
Il existe de par le monde quelques centres très spécialisés dans cette chirurgie minutieuse : La réputation de chirurgiens thaïlandais, marocains, suisses, anglais est ainsi reconnue du fait du grand nombre de patients qui sont opérés, à des prix beaucoup plus bas qu'en France ; dans notre pays le centre d'excellence fut l'hôpital Saint-Louis à Paris, où le professeur Banzet puis le professeur Revol on fait preuve à la fois d'une grande humanité et d'une exceptionnelle technicité.
J'ai été interne et chef de clinique dans ce service ; c'est pourquoi j'ai pu prendre une position tranchée si l'on peut dire : Constatant le nombre très important de suicides dans cette population qui vit mal son genre, leur mode de vie dans le spectacle ou dans la prostitution, ma décision a été de me tenir à distance de ces opérations.
À l'inverse toutefois, j'ai connu des transsexuels très heureux dans une vie de couple stable, il n'y a donc pas de destin tragique obligatoire pour ces êtres humains qui de plus doivent batailler au moins pendant 2 ans pour pouvoir changer légalement de sexe administratif.
L'épisode qui m'a fait prendre ma décision irrévocable est lié à l'histoire d'un homme ultra protégé par sa mère; il décida de se féminiser complètement, et pendant quelques temps vécut très heureux dans l'acceptation de son état transformée; sa mère tomba gravement malade, et à la fin de sa vie lui reprocha son changement de sexe; ce fut un coup terrible pour lui, et lorsque sa mère disparut, il vint me voir pour de nouveau se remasculiniser; malgré l'assistance d'un psychiatre, et d'une psychologue chevronnée, son état psychologique continua de se détériorer une fois que mon opération fut réalisée avec succès; il finit par se suicider, ce qui m'a complètement découragé de poursuivre dans cette direction chirurgicale une autre bistouri peut-être parfois magique, et bien souvent redoutable....
Comment devenir homme quand on est une femme ?
En dehors des traitements hormonaux nécessaires prescrits par des endocrinologues compétents, les opérations chirurgicales se font à plusieurs étages :
1) masculinisation du visage notamment au niveau du nez et des pommettes, avec parfois augmentation du menton
2) ablation des glandes mammaires au prix de cicatrices que l'on essaie de réduire au maximum
3) liposuction de masculinisation du tronc, et de la silhouette, globalement
4) le plus difficile : Création d'un organe sexuel masculin par un transfert microchirurgical de la peau de l'avant-bras, ou par d'autres méthodes assez complexes de lambeau local
5) rigidification de la verge par un implant pénien spécial en silicone
6) parallèlement à cette dernière opération, création d'un tube urétral mais les fuites urinaires sont très fréquentes et problématiques
Toutes ces opérations peuvent prendre jusqu'à 2 ans avant que l'on considère que le résultat est stabilisé ; de nombreuses retouches intermédiaires peuvent s'imposer, les complications intercurrentes ne sont pas rares.
Comment devenir une femme quand on est un homme ?
1) la féminisation du visage peut imposer une rhinoplastie, une augmentation des lèvres de la bouche, des modifications du contour des tempes ou de l'implantation des cheveux.
2) la création d'une poitrine féminine repose le plus souvent sur l'implantation de prothèse mammaire en silicone
3) des séances d'épilation par laser sont recommandées pour obtenir une peau plus glabre
4) le temps chirurgical le plus difficile est la création d'un neovagin, par retournement de la peau de la verge dont le fourreau est inséré devant le rectum ; un fragment de gland relié à ses vaisseaux et à ses nerfs sensitifs est inséré dans la position d'un clitoris afin de permettre une sensibilité sexuellement satisfaisante ; la dilatation de ce neovagin doit être continuée longtemps pour éviter l'atrophie tissulaire.
5) le raccourcissement de l'urètre est plus simple dans ce cas de figure et permettra à la patiente d'uriner assise.
Il existe beaucoup d'autres gestes chirurgicaux éventuellement nécessaires en fonction de chaque cas particulier...
Comment résoudre le problème éthique de ces changements de sexe par la chirurgie ?
Si le changement de sexe administratif est relativement bien organisé par les pouvoirs publics, ainsi que la prise en charge par la sécurité sociale après des démarches de validation justifiées, tout cela prenant beaucoup de temps et beaucoup d'énergie aux candidats toujours pressés et impatients, il en est pas du tout de même de la marche à suivre éthique pour le corps médical confronté à ce problème de société qui existe depuis toujours....
La complexité des gestes techniques à effectuer est telle qu'il faut une véritable vocation pour le chirurgien, qui doit impérativement travailler en équipe et être entouré par des infirmières et des soignants compétents, à côté d'une structure de soins psychologiques et d'assistance neuropsychiatrique dont les avis sont aussi importants que ceux du réalisateur chirurgical.
En conclusion j'ai connu des transsexuels opérés heureux, et bien insérés à long terme ; le devenir psychologique de ces patients reste contrasté : Beaucoup de statistiques à très long terme font état d'un risque suicidaire qui peut atteindre 50 % ; mais ces chiffres sont contestés par les associations des patients concernés.
Le problème des enfants présentant une ambiguïté sexuelle extérieure de leurs organes génitaux à la naissance, demeure entier. Faut-il les opérer très tôt, comme le faisait mon maître Pellerin ? Où faut-il attendre une plus grande maturation de ces enfants afin de les faire librement participer à un choix de genre si tel est leur désir ?
C'est probablement une affaire de cas particulier, car il y a une infinité d'apparences différentes, qui peuvent conduire à des choix plus nuancés, surtout avec l'accord de la famille et dans un consensus de suivi qui peut prendre quelques années...
samedi 14 août 2021
Un phare dans la nuit...
mardi 1 juin 2021
ENTRETIEN AVEC : Jean-François Tripodi
En fait j'étais positif au Covid-19 depuis 8 jours avec juste une légère fatigue. Je pensais que c'était terminé.
Puis le 12 mai je me suis littéralement effondré, mon médecin traitant m'avait prescrit un oxymètre de doigts je suis tombé en dessous de 90 (taux normal entre 94 et 98%)
Appel au 15, arrivée du SAMU et direct aux urgences de l'hôpital de Martigues. Des urgences j’ai fait un très court passage en pneumo et direct en réanimation. Le tout en quelques heures.
Comme j'étais bien conscient je comprenais bien que ma situation était tendue.
En arrivant en réanimation l'équipe m'a bien expliqué que si je restais sur le ventre cela serait beaucoup mieux, il fallait comprendre « éviter l'intubation » !
J'ai donc fait ce qu'on me demandait et ça a marché.
Il faut savoir que c'est couché sur le ventre que les poumons sont le moins comprimés.
12 jours de réanimation puis retour pour quelques jours – par hasard- dans la même chambre que lors de mon arrivée à l'hôpital et me voilà maintenant en centre de réadaptation.
Comment avez-vous vécu ces moments ?
Tout en d'abord en prenant d'office comme principe que lorsqu'un professionnel de santé s'occupe de vous il faut l'écouter et faire ce qu'il dit.
Ensuite, mais au même niveau d'importance, de la volonté. Il ne faut rien lâcher. Pas à pas mais avec constance.
Facile à dire, pas toujours à faire, j'en suis conscient.
Lorsqu'on est en réanimation on est dans un autre monde.
Bien entendu, branché de partout, mais surtout suivi sans arrêt.
Mais je me suis senti en sécurité.
Je sais que ma famille et mes amis, surtout mon épouse, ont été plus qu'inquiets pour moi. A mon avis plus que moi-même.
Je pensais beaucoup à mes deux petits-fils, il fallait que leur Pépé soit là pour eux.
Hôpital
Pour être honnête je suis très faible et sous oxygène.
Mais de jours en jours mon degré d’autonomie s’améliore
Entendons-nous bien, il s’agit là d’aller du lit jusqu’à la salle de bains, seul, avec un déambulateur, c’est la victoire du jour...donc à renouveler systématiquement.
Comme me l’ont dit, l'équipe de réanimation, puis maintenant l'équipe du centre, j'avance plutôt bien.
Ne rien lâcher ! C'est mon principe.
On parle de Jean-François Tripodi sur tiktok
https://vm.tiktok.com/ZMeTy6uoA/
Quand avez pris la décision de rendre hommage à l'équipe médicale qui a pris soin de vous ?
Effectivement vous l'avez bien compris mon post LinkedIn a aussi comme objectif de valoriser l'équipe médicale.
Les retours directs que j'ai reçus ou les commentaires sur le post, montrent que cela a été compris.
Pourquoi ? Tout simplement pour transmette la prise de conscience réelle que le médical doit être associé à un accompagnement humain pour favoriser la guérison.
Je suis conscient que j'ai eu la chance d'être atteint dans une période pas trop compliquée pour l'hôpital.
Couché dans un lit médicalisé avec des tuyaux de partout, avoir une infirmière ou une aide-soignante qui vient passer du temps avec vous, pour parler de la famille, des enfants, de la vie...
C’est également l’occasion pour elles de passer des messages positifs, mine de rien !
Cela fait plus que du bien.
En fait je ne me suis pas senti "un malade" mais une "personne particulière".
C’est peut-être bête, mais juste les petites attentions personnalisées, par exemple ma préférence pour le jus d’orange, et bien c'est énorme lorsqu'on est dans cette situation.
Ils ont même autorisé mon épouse, que je tiens à remercier ici pour tout l'amour qu'elle me donne, à venir me voir.
Un bien fou pour moi et pour elle.
Comme c'était dimanche elle avait apporté un super goûter pour toute l'équipe.
En résumé pour répondre, c'était tout simplement une évidence, un petit geste pour les mettre en valeur.
Comment est né l'idée du visuel et de sa conception à la fois originale, et forte ?
Ce visuel est l’œuvre de l’équipe communication Carte Blanche Partenaires, très touchée également par ma situation. L’idée était de montrer, de manière très visuelle, la victoire contre ce virus.
Les masques en arrière-plan rappellent qu’il est extrêmement important de continuer à se protéger et protéger les autres.
Personne n’est épargnée et la victoire est belle.
Cette récente expérience personnelle va-t-elle changer le regard du DG de Carte Blanche Partenaires que vous êtes, si oui de quelle façon ?
Elle a confirmé ce que je pense depuis toujours et que nous appliquons dans les services mis à disposition par Carte Blanche Partenaires.
L'accompagnement personnalisé est une clef importante dans le parcours de santé et de soins.
En revanche j'ai découvert les problèmes quotidiens des soignants, comme l'ordinateur qui ne marche pas...
Il se trouve que j'étais en réanimation lors de la journée de grève des services de réanimation (pour eux ça veut dire écrire "en grève" sur leur blouse et travailler).
Je n'oublierai pas tout ce que j'ai entendu et vu pendant ces 12 jours.
🔎ZOOM SUR: Carte blanche
Pouvez-vous retracer en quelques mots votre parcours professionnel ?
De formation informatique je suis "rentré en Mutualité" pour informatiser une mutuelle sur Marseille.
J'y ai rapidement quitté le service informatique pour prendre en charge toute la gestion.
Après avoir changé de mutuelle pour un groupe paritaire où j'avais la responsabilité de la santé et de la prévoyance individuelle et avoir créé des agences dans tout le Sud de la France; j'ai finalement quitté Marseille pour monter sur Paris.
Un passage dans le régime des mines avec un excellent souvenir de la chaleur humaine avec les adhérents.
Et j'ai créé la Direction de la Santé à la MFP (l'ancienne !)
Pour rapidement aller créer Ligne claire pour la MNH, la MNT et la MG, la première plateforme d'analyse de devis et de conseil santé. Une belle réussite qui continue sa vie.
Mais l'objectif était d'apprendre par les devis pour aller vers des réseaux de soins. Les trois mutuelles ayant pris des chemins différents cela n'a pas été possible.
Je me suis lancé dans le conseil en créant une activité basée sur l'évaluation. Autant de la santé des Marocains que des besoins en contrats de prévoyance des agents d'assurance.
Mais cela manquait de concret, j'ai donc arrêté cette activité.
Pour devenir le Conseiller du Président du Groupe UGIM, retour en Mutualité Fonction Publique. Une belle expérience, L'UGIM aurait pu devenir le groupe mutualiste de référence de la fonction publique.
Quand et comment votre route professionnelle a-t-elle croisé Carte Blanche Partenaires ?
Tout simplement SwissLife et Henner, les deux actionnaires de l'époque, m'ont proposé un vrai challenge en 2010.
Carte Blanche Partenaires est historiquement le plus ancien réseau de soins, on parle d’ avant et après la 2eme guerre mondiale !
Le Groupe Henner en est à l'origine, en 2001 SwissLife a rejoint Carte Blanche en devenant majoritaire.
L'idée était simple, rester sur les socles stratégiques de réseau ouvert et de partenariat pour développer l'activité autant par le tour de table d'actionnaires que par des clients. Portée par l'amélioration des services existants et le développement de nouveaux services.
Je passerai tous les détails de l'histoire mais depuis Carte Blanche est régulièrement à l'origine d'innovations marquantes pour notre secteur. C'est devenu l'ADN socle.
Quelles incidences la crise sanitaire a-t-elle eu sur Carte Blanche Partenaires ?
Les dernières grandes grèves des transports avant la pandémie nous avez fait réfléchir sur les postes de travail et le travail à distance.
Tous les collaborateurs sont équipés de micro-ordinateurs portables avec une connexion Web sécurisée. C'est comme si nous étions au bureau.
Même le plateau téléphonique d'accompagnement des Professionnels de Santé est virtualisé
Et toute l'activité est en mode projet avec tous les outils de partage nécessaires.
Fermer les locaux n'a donc pas été un réel souci.
Nous avons fait livrer à tous les collaborateurs un grand écran supplémentaire car dans nos activités travailler sur double écrans est très pratique et permet de répondre aux problèmes de postures et de santé visuelle.
Le temps passant les collaborateurs ont demandé à revenir au bureau et nous avons organisé des jours de présence par roulement avec la mise en place d’une jauge.
Je suis bien conscient que selon la situation il n'est pas facile de rester chez soi pour travailler.
Nous avons aussi déclenché une formation sur le travail à distance (pour tous les collaborateurs) ainsi que sur la gestion d’une équipe hybride (pour les managers). Ces deux formations ont rencontré un grand succès .
Comment va Carte Blanche Partenaires aujourd'hui ?
Plus que bien.
En 2010 nous avions donc 2 clients-actionnaires et 2,3 M de Personnes Protégées couvertes.
Aujourd'hui nous avons 9 Groupes actionnaires avec l'entrée récente du Groupe Aéma via Aésio Mutuelle et Apivia Macif Mutuelle et, 36 clients, nous sommes connectés avec les grands gestionnaires et opérateurs de tiers-payant.
Au 1er janvier 2022 nous dépasseront les 12,5 Millions de personnes protégées.
En pleine pandémie avec les effets que l’on connait sur l’activité des opticiens nous avons renouvelé notre réseau optique avec un réel succès, près de 7.500 professionnels de santé constitue notre réseau.
Nous restons toujours et de loin de 1er réseau en optique.
Idem pour de le dentaire et l'audioprothèse.
Notre service Mon Devis Décrypté (optique, dentaire et audio) connait un beau succès.
L'objectif donné en 2010 est dépassé.
Quels sont ses objectifs à l'horizon 2025 ?
Déjà à court terme absorber la forte croissance en gardant la grande qualité de services qui est une autre de nos différences.
En fait nous revenons sur les hôpitaux...
Le projet ROC permet de développer les flux informatiques entre les établissements et les Assureurs santé.
Nous avons modélisé des services basés sur ces flux pour accompagner nos bénéficiaires avant, pendant, et après une hospitalisation.
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles auprès de Jean-François Tripodi
A propos de Carte Blanche Partenaires
Expert en services santé innovants pour ses clients organismes complémentaires santé, Carte Blanche Partenaires est un pivot de la relation entre complémentaires santé, assurés et professionnels de santé avec pour objectif de faciliter l’accès à la prévention et aux soins pour les bénéficiaires tout en gérant la maîtrise des dépenses de santé.
Carte Blanche Partenaires intervient dans le domaine des réseaux de professionnels de santé et de l’accompagnement santé avec un réseau de plus de 280 000 partenaires ; dont plus de 7 500 opticiens, 8 900 chirurgiens-dentistes, 3 500 centres d’audioprothèse. Les services de Carte Blanche Partenaires sont accessibles aujourd’hui à 8 millions de personnes et 12,5 millions en 2022. www.carteblanchepartenaires.fr
Principaux dirigeants:
Directeur Général, Jean-François TRIPODI, entouré de son Comité de Direction composé de : Caroline DEMOUCELLE, Directrice Santé – Carole DELANNOY, Directrice Communication et Marketing - Murielle ENJOLRAS, Directrice Relation Client et Vincent THOMAS-ANDRAU Directeur Administratif et Financier.
Le Conseil d’Administration est présidé par Pierre FRANCOIS, Directeur Général Santé et Prévoyance Swisslife
Carte blanche Partenaires en Chiffres ...
45 clients complémentaire santé
8 millions de personnes protégées en 2021 et plus de 12 millions en 2022.
12,3 millions de chiffre d’affaires en 2020
48 collaborateurs sur un seul site à Paris
280 000 professionnels de santé partenaires
+ 7.400 opticiens / + 8.900 chirurgiens-dentistes / + 3.500 audioprothésistes
+ de 3.000.000 de prises en charges traitées par an.
26 rue Laffitte - 75009 PARIS
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jeudi 22 avril 2021
REGARDS DE SOIGNANTS : celui du Pr François Bricaire
- C'est quoi une pandémie, avec Jean-Philippe Derenne et Christophe Donner, Michelange 80p. (ISBN 2918578029)
- Maladies infectieuses, avec Léopoldine Bricaire-Dubreuil, Elsevier Masson 136 p., 2010 (ISBN 2294709969)
- Les Nouvelles Epidémies, avec Frédéric Saldmann, Flammarion, 180 p., 2009 (ISBN 2081229919)
- Pandémie : la grande menace, avec Jean-Philippe Derenne, Fayard, 330 p., 2005, (ISBN 2213626928)
- SRAS, pneumonie atypique, Éditions de l'Archipel, 2003, (ISBN 2841875326)
- Bioterrorisme, avec Philippe Bossi, Elsevier Masson, 115 p., 2003 (ISBN 284299387X)
samedi 27 mars 2021
IMM : paroles de patients
Roger Motte, bonjour, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis Grand Reporter. Un pur autodidacte, formé sur le terrain. Je travaille depuis 1984 pour la télévision françaiseJe suis un ancien Téléglobetrotter de "La Course Autour du Monde", c'est cette émission qui me met le pied à l'étrier en 1981/1982. Aujourd'hui, je travaille toujours pour les Journaux Télévisés et les Magazines de France 2.Comment avez-vous connu l'IMM ?C'est mon médecin pneumologue, la docteure Balavoine de l'hôpital Saint-Louis, qui m'a prévenu que je serai opéré à l'IMM. Je n'avais jamais eu affaire à l'IMM avant.
Dans quel contexte y avez-vous été hospitalisé ?Pour une opération thoracique suite à la découverte par hasard d'un nodule inquiétant dans un de mes poumons.Comment vous est venue l'idée de publier sur vos comptes (Instagram & Twitter) un journal de bord ?Je suis journaliste depuis 40 ans, cela à toujours été mon rôle de rendre compte des évènements, de témoigner sur tous les terrains du monde, je ne pouvais que continuer (modestement et brièvement) à le faire sur ce terrain de la maladie et de l'hôpital par ce biais des RS ; cela me semblait naturel. Je voulais aussi montrer que l'on peut - qu'il faut - aborder ces situations de fragilité avec sérénité et confiance. J'espérais avec cette modeste contribution donner l'exemple du patient en confiance et préparé à accepter le diagnostic. Je pense qu'il est primordial quand la maladie vous touche de garder sa liberté et cette liberté ne s'acquiert que dans une acceptation totale et entière de ses soucis. La vérité doit toujours se regarder en face, encore un réflexe de reporter (sourire) ! C'est plus facile à dire qu'à faire, j'en conviens !Comment ces publications ont-elles été perçues ?J'ai eu peu de retours car je suis très peu actif sur les RS. C'était essentiellement des messages retour de sympathie et d'amitié. Et de soulagement suite aux résultats médicaux (après l'opération et la première biopsie) très positifs pour moi et même inespérés par rapport aux prévisions de départ. La famille et les amis sont toujours soulagés dans ce cas, ces publications ont aussi permis cela.Vos commentaires étaient plutôt élogieux pour l'établissement et ses équipes... Si vous aviez eu des critiques à formuler les auriez-vous publiées de la même façon ?Oui, absolument ! J'ai, par mon expérience personnelle, un respect immense et indéfectible pour tout le personnel soignant français, ce personnel m'a déjà sauvé la vie deux fois. Je connais aussi par mon métier les difficultés du corps médical français depuis de nombreuses années mais également sa qualité et son immense professionnalisme. Si j'avais eu des griefs ou critiques envers le personnel de l'IMM, je l'aurais dit en tentant de comprendre la situation. Par nature et par ma profession, je ne suis méfiant de personne, pour ne pas dire curieux de tout le monde, j'essaie autant que possible de rester objectif et rigoureux dans mes analyses.Avec le recul quel est le meilleur souvenir de votre séjour ?L'accueil des équipes, aussi bien au service thoracique du 7ème qu'au bloc opératoire. La qualité de l'anesthésie et de la prise en compte des douleurs. Le suivi pendant 48 heures derrière l'opération. J'avais une chambre avec une vue panoramique magnifique sur Paris, ça aide. (sourire) C'est important de se sentir bien "chez soi" avant une opération aussi délicate.Un bémol... un point à améliorer ?Le WIFI dans les chambres ! Heureusement que j'ai peu publié finalement... (sourire) L'attente pour la visite pré-opératoire... Je verrais au rdv de contrôle s'il en est de même pour la visite post-opératoire. ;-)Recommanderiez- vous l' IMM ?Oui, absolument ! L'organisation y est très efficace, la propreté des services impeccable, l'attente aux guichets d'accueil très raisonnable, le personnel très professionnel et d'une grande compétence.J'ai même aimé les sandwiches du bar (sourire). J'ai aussi apprécié d'avoir un coffre-fort et un frigidaire dans ma chambre. Les chambres individuelles ne sont pas à des tarifs modestes, il faut avoir une bonne mutuelle, j'ai été aussi privilégié de ce côté-là. Le dossier médical de sortie est très complet et explicite, mes médecins référents ont tous été avertis en temps et en heure. C'est un gage de sécurité.Comment allez-vous aujourd'hui ?Je vais très bien, merci ! Ma capacité pulmonaire est très bonne. Seules des douleurs récurrentes dans la poitrine me fatiguent encore un peu mais elles s'estompent lentement, on est dans les temps. Reste à connaître le bilan complet de la biopsie. Je suis optimiste.ZOOMSUR LE JOURNAL DE BORD de Roger MOTTE :
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https://twitter.com/rogermotte/status/ 1363915239549526016?s=19
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https://twitter.com/rogermotte/status/ 1364817937933225985?s=19
https://twitter.com/rogermotte/status/ 1371427426698473472?s=19
https://twitter.com/rogermotte/status/ 1372610026326663180?s=19
MICRO TROTTOIR🎙
👉 témoignage d'un chauffeur de taxi G7 qui charge régulièrement devant l' Institut mutualiste Montsouris.
Vous stationnez souvent devant l'Institut mutualiste Montsouris ?
Oui très régulièrement.
Les clients que vous prenez devant l’IMM parlent-ils de l'hôpital au cours du trajet ?
J'ai pour habitude de demander aux personnes que je prends en charge devant un hôpital s'ils sont venus en consultation ou pour visiter un proche, histoire de rompre la glace... Vous savez c'est pas toujours facile de traverser les épreuves de la vie surtout en ce moment avec le coronavirus...
Que vous disent-ils sur l'IMM ?
Je n'entends que des éloges sur cet établissement. Les clients louent particulièrement le fait que l'établissement ne prend pas de dépassements d'honoraires, qu'il est calme, que les équipes sont à l'écoute et que les locaux ne sentent pas l'hôpital. C’est important de se sentir bien.
Recommanderiez-vous cet établissement ?
Sans problème, et j'y consulterais moi- même en cas de besoin, " je touche du bois" jusqu’ici tout va bien (sourire). Cet hôpital et les retours que j’en ai par mes clients m’ inspire confiance. Savoir que l'on y a accès à de bons médecins sans payer des dépassements d'honoraires faramineux c'est réconfortant.
Des hôpitaux comme çà, me font dire qu'en France on est pas soigné en fonction de ses moyens.
EN SAVOIR PLUS SUR 👉 l' IMMIMM | Institut Mutualiste Montsouris Hôpital ouvert à tous"IMM | Institut Mutualiste Montsouris Hôpital ouvert à tous" https://imm.frA lire prochainement sur "Mine d'infos" : la réaction à chaud de l'IMM sur ce très beau témoignage de Roger MOTTE qui a fait chaud au coeur des équipes.