Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 5 décembre 2013

C'est à lire : Comment garantir la qualité du médicament quand son circuit se mondialise ?


 

Comment garantir la qualité du médicament quand son circuit se mondialise ?

« Cahiers de l’Ordre national des pharmaciens » - Ordre des pharmaciens

 

A l’heure de la mondialisation, les « process » de fabrication, de contrôle, de distribution et de dispensation des médicaments évoluent. Qu’en est-il ? Comment se réorganisent les circuits de production et d’approvisionnement à travers le monde ? D’où viennent les matières premières, quel est leur acheminement ? Comment éviter les ruptures d’approvisionnement ? Comment se prémunir de la contrefaçon ? Une collaboration entre les autorités compétentes sur les plans national, européen et international est-elle possible ? …

 

On ne le sait pas toujours mais les pharmaciens sont impliqués à tous les niveaux de la chaîne du médicament pour garantir la qualité et la sécurité des produits de santé dispensés (médicaments d’origine ou leurs génériques).

 

Le dernier numéro des « cahiers de l’Ordre national des pharmaciens » remis à près de 75 000 pharmaciens et mis en ligne sur http://www.ordre.pharmacien.fr, est consacré à la qualité de la chaîne du médicament à l’heure de la mondialisation.

Il a pour objet d’actualiser les connaissances et de répondre aux nombreuses interrogations des pharmaciens et du public.


 

L’Ordre national des pharmaciens regroupe les pharmaciens exerçant leur art en France, c’est-à-dire les diplômés qui exercent effectivement la pharmacie en métropole ou dans les départements et collectivités d’outre-mer. Il a été créé par une ordonnance du 5 mai 1945.

 

Ses principales missions, fixées par l’article L. 4231-1 du code de la santé publique, sont :

 

> d’assurer le respect des devoirs professionnels ;

 

> d’assurer la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession ;

 

> de veiller à la compétence des pharmaciens ;

 

> de contribuer à promouvoir la santé publique et la qualité des soins, notamment la sécurité des actes professionnels.

 

NDLR : Un livret passionnant et édifiant

jeudi 17 octobre 2013

LIBRES PROPOS signés Luis Godinho Président Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF

 L’IGAS souligne le rôle des audioprothésistes dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes et des personnes handicapées

 

L’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) a fait paraître le 2 octobre un rapport1 intitulé « Evaluation de la prise en charge des aides techniques pour les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées ». Il y est constaté « la triple distinction (…) entre maladie, handicap et vieillesse avec, pour principales conséquences, une complexité considérable dans la mise en oeuvre, des délais de prise en charge particulièrement longs et des inégalités de traitement marquées entre des utilisateurs ». Le Collège National des Audioprothésistes (CNA) et le Syndicat National des Audioprothésistes (UNSAF) s’associent à ce constat.

 
 

Un risque majeur de dé-médicalisation du handicap auditif
 
Le CNA et l’UNSAF souhaitent alerter l’ensemble des acteurs de la santé et du champ médico-social sur le risque majeur de dé-médicalisation du handicap auditif. Ce risque avait déjà été souligné en février dernier alors que l’Académie de Médecine avait fait le même constat2.

 

A l’heure où certains communiquent sur des offres « low cost » avec un suivi « allégé » par un audioprothésiste, où les vendeurs d’« assistants d’écoute » veulent faire croire à la possibilité de délivrer des appareils sans services associés, ce rapport rappelle le rôle primordial des audioprothésistes auprès des personnes fragiles, handicapées et âgées dépendantes.

 

L’impératif d’une négociation avec les Pouvoirs Publics
 
 Le CNA et l’UNSAF demandent aujourd’hui le soutien des pouvoirs publics afin de faire cesser ces dérives et d’adopter les solutions qui permettront d’améliorer la prise en charge de tous les malentendants de notre pays sur des bases équitables, solidaires et universelles.

 

Nous proposons une offre de qualité à prix fixe, qui pourrait co-exister avec des prix libres. Un consensus devra s’établir entre les prix des solutions d’entrée de gamme (850€) et le prix moyen du marché (1535€).
 
L’UNSAF promeut aussi un tarif social pour les bénéficiaires de la CMU-C, avec une revalorisation à 850€ par appareil, et un délai de 4 ans entre deux prises en charge. Par ailleurs, le syndicat a aussi proposé une opposabilité de ce tarif pour les bénéficiaires de l’Aide à l'acquisition d'une couverture maladie complémentaire (ACS). 2
 
 
 
Les recommandations du rapport de l’IGAS sont en ligne avec nos propositions :
« Renforcer le rôle de la sécurité sociale et de l’assurance maladie dans le pilotage et le financement »

Transférer à l’assurance maladie les dépenses actuellement consacrées au financement des prothèses auditives par les autres acteurs que l’assurance maladie en direction des personnes handicapées et âgées (recommandation n° 12)
Clarifier le système de prise en charge par ce transfert et supprimer les coûts de gestion liés aux financements complémentaires des aides techniques (la Prestation Compensation Handicap (PCH) et le Fonds Départemental de Compensation (FDC) notamment)3
 
Mettre en place de nouvelles modalités de prise en charge par l’Assurance Maladie
 
 Elaborer un référencement des prothèses qui lie les capacités attendues aux compensations nécessaires et suffisantes pour labelliser un type d’appareil et un tarif de remboursement en conséquence (recommandation n° 45)
 
Réviser le panier de soins CMU-c pour l’audioprothèse
 
 Fixer un tarif de responsabilité pour la prise en charge à 100% des audioprothèses des titulaires de la CMU équivalent au prix d’entrée de gamme de deux prothèses après négociation avec la profession, et augmenter la périodicité de renouvellement à 5-6 ans sauf dégradation exceptionnelle de l’audition (recommandation n° 49)
 
« L’aide technique n’est pas un bien de consommation » mais « un instrument de prévention de la dépendance »
 « Le recours aux aides techniques est donc utile non seulement face à une situation de dépendance pour en limiter les effets mais aussi en amont de la dépendance pour la prévenir et retarder sa survenue. »4.
 
« La mission estime que le délai d’obtention de l’aide technique nécessaire doit être le plus court possible, s’agissant de la compensation du handicap ou de la perte d’autonomie. (…)
 
Ainsi les personnes malentendantes appareillées trop tardivement ou avec un appareil inadapté voient décroître leurs capacités cérébrales de traduction des sons amplifiés. » 5
 
Le Collège National d’Audioprothèse veille à la qualité technique, scientifique et pédagogique de l'enseignement de la profession d'audioprothésiste et assure la représentation et la défense des intérêts déontologiques et moraux des audioprothésistes. Dans ses formations, le CNA organise un enseignement post-universitaire auquel participent plus de 900 professionnels.
  L’UNSAF représente la profession auprès des instances nationales en charge de la santé et siège notamment au sein de l’Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et du Haut conseil des professions paramédicales (HCPP). Il est présidé depuis Juin 2012 par Luis Godinho. .
Luis Godinho
Président
Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF

 
 1 IGAS, rapport « Evaluation de la prise en charge des aides techniques pour les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées » établi par Philippe Blanchard, Hélène Strohl - Maffesoli, Bruno Vincent- Avril 2013 2 Communiqué de presse "L’UNSAF rejoint le constat de l’Académie Nationale de Médecine", 19 Février 2013
3Recommandation 8 - p 34 4 Annexe 3 : Financement des aides techniques aux personnes âgées dépendantes – les aides techniques, un instrument de prévention à la dépendance (2.1.1) 5 Annexe 3 : Financement des aides techniques aux personnes âgées dépendantes - l’efficacité de l’aide technique est liée à la rapidité de sa mise à disposition (4.1)
 
 

 
 
Contacts :
Eric Bizaguet, Président du CNA / College.Nat.Audio@orange.fr
Luis Godinho, Président de l’UNSAF / l.godinho@unsaf.org
 

NDLR : MGEFI et audioprothèse

 


www.myopticien.com/audistya-et-optistya-deux-reseaux-de-istya-pour...

... le groupe Istya proposera aux adhérents de bénéficier de deux réseaux d’opticiens et d’audioprothésistes ... Les adhérents de la MGEFI et de la MCF1 ...


www.groupe-istya.com/system/presses/pdfs/10/20130110_DP_Audist… · Fichier PDF

- « Mon audioprothésiste et moi » en 3 questions page 5 ... respectives, les adhérents de la MGEFI et de la MCF2 devraient en bénéficier courant 2013.


www.audiology-infos.eu/...reseau-d-audioprothesistes-article-3216.html

Le groupe de mutuelle Istya a lancé le 23 octobre un appel à candidatures pour l’adhésion à son nouveau réseau audioprothèse, ... et européennes). La MGEFI ...


www.mgen.fr/fileadmin/user_upload/Accueil/Communiques_de_press… · Fichier PDF

deux réseaux d’opticiens et d’audioprothésistes partenaires, ... adhérents de la MGEFI et de la MCF. 1. bénéficieront également du réseau Optistya et, ...


pressentinelle2.blogspot.com/2012/11/istya-et-mgefi-revue-de...

20/11/2012 · Ce premier appel à candidatures court jusqu'au 26 novembre, via audioprothesistes.mgen.fr. C'est sur le site que les candidats découvriront dans le ...


www.groupe-istya.com/espace-presse/Audistya-Optistya.html

« Mon audioprothésiste et moi » en 3 questions; Des services adaptés : zoom sur… les « primo-appareillés ...


www.acuite.fr/articles.asp?REF=8050

Portail de l'optique présentant toutes les informations pour les opticiens professionnels et ... de la MGEFI et de ... et des audioprothésistes, ...


www.miroirsocial.com/actualite/7830/audistya-et-optistya-deux...

Le groupe Istya souhaite être particulièrement exigeant concernant l’accompagnement et le service. Les audioprothésistes ... Les adhérents de la MGEFI et ...


www.limousin.mutualite.fr/Actualites/La-Mgefi-rejoint-le-groupe-Istya

Les délégués de la Mutuelle générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie (Mgefi) ont voté, le 27 juin, en faveur de l’intégration, en janvier ...


www.mgen.fr/fileadmin/user_upload/documents/newsletter/1210/index.html

... le groupe Istya proposera aux adhérents de ses mutuelles de bénéficier de deux réseaux d’opticiens et d’audioprothésistes ... MGEFI et de la MCF ...

 

mardi 30 juillet 2013

Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégué des enseignes Les Opticiens Mutualistes et Audition Mutualiste


 
 


Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégué de VISAUDIO, la tête de réseau gestionnaire des enseignes Les Opticiens Mutualistes et Audition Mutualiste. Il conserve sa fonction de Délégué général du syndicat national des centres d’optique mutualistes (SYNOM) et du syndicat des centres d’audition mutualiste (SYNAM).

 

Agé de 49 ans, Kulmie Samantar est titulaire d’un DEA de droit des contrats.

 

Il débute sa carrière à l’international en 1990 chez Telecom Italia, avant de devenir en 1995 consultant pour l’UNESCO sur le thème de la sécurité internationale. Il rejoint la Mutualité Française en 1997 en qualité de Conseiller auprès du président, puis comme Responsable du département international. En 2009, il devient Directeur adjoint de VISAUDIO, en charge notamment des relations conventionnelles avec les mutuelles.

 

Christian PY, Président-Directeur Général de VISAUDIO, a été reconduit en tant que membre du Bureau de la Mutualité Française et élu Secrétaire général adjoint de la Mutualité Française, lors de sa dernière Assemblée Générale.

 

 

A propos du groupe Visaudio

 

Présidée par Christian Py et créée en 2008, la société Visaudio regroupe les réseaux Les Opticiens Mutualistes et Audition Mutualiste.

 

Visaudio a pour mission de développer les stratégies de marketing, de communication, d’achats et de développement de ses deux enseignes. Cette synergie existe déjà sur le terrain puisque près de 75% des centres d’audioprothèse partagent un même espace ou sont mitoyens avec un centre optique.

 

L’enseigne Les Opticiens Mutualistes est la 4ème enseigne optique de France. Elle regroupe 730 points de vente. L’enseigne Audition Mutualiste compte plus de 350 centres et plus de 400 professionnels de l’audioprothèse.

 

L’éthique de Visaudio s’appuie sur le respect du client en lui garantissant la solution la mieux adaptée d’un point de vue technique, esthétique et économique, tout en veillant à son bien être.

jeudi 28 février 2013

Groupe Istya - ANI

Le groupe Istya considère que la priorité des politiques publiques en matière de complémentaire santé doit être de permettre un accès équitable de tous aux soins. A ce titre, il souhaite que des modifications du texte de l’Accord national interprofessionnel concernant la généralisation des couvertures complémentaires soient inscrites dans le projet de loi qui le mettra en application et fait quatre propositions concrètes.
 


 NDLR : MGEFI et Groupe Istya
La Mutuelle générale de l’Economie,  des Finances e t de l’Industrie –MGEFI a intégrée le groupe Istya au 1er janvier 2013

 www.mgefi.fr

mardi 26 février 2013

FEDERATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CERVEAU



 




« Touchant  directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être « cause d’intérêt national ». Il relève plus que jamais de la vocation de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ».


Arnaud Brunel, Président de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemble 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau**.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau a pour vocation de :

Permettre au public de mieux comprendre le rôle du cerveau, son fonctionnement et ses maladies et informer des dernières avancées de la recherche en neurosciences.

Aider les chercheurs à mieux connaître le cerveau, son fonctionnement et ses maladies en contribuant financièrement à leurs travaux.

Militer pour la mise en place d’une vraie politique de santé centrée sur les maladies du cerveau.

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteur intellectuel et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…

parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau alerte l’opinion à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 sur le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ! ».

« Pour que les chercheurs travaillent et trouvent, il leur faut des moyens. C’est pour cela que la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau collecte tout au long de l’année et pendant la Semaine du cerveau sous le label « Neurodon ». Elle finance, en complément des associations membres, la recherche sur le cerveau. Celle-ci devrait être aujourd’hui la priorité pour préserver la santé de tous les citoyens ».

Professeur André Nieoullon, Président du conseil scientifique de

la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

*La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union Nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC (accidents vasculaires cérébraux) / Huntington France / La Fondation Motrice (paralysie cérébrale)).

**La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau se bat pour vaincre les maladies du cerveau. Toutes sans exception, de la plus répandue à la plus rare.

Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, l’épilepsie, la Sclérose en plaques, l’AVC, l’Atrophie multisystématisée, la dystonie, la Chorée de Huntington, les tumeurs cérébrales, la paralysie cérébrale, la Sclérose Latérale Amyotrophique) et les maladies psychiques et psychiatriques (anxiété, dépression, addictions, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs… et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives). Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.



Alerte de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La décennie à venir doit être celle du cerveau !

1/ Les maladies du cerveau sont en augmentation constante…

Plus d’1 Français sur 10

souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler

entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050*.

2/ Les maladies du cerveau sont des maladies violentes et dramatiques…

Le cerveau est l’organe clé de notre corps. Il nous permet de penser, de bouger, d’avoir des émotions…

Tout le reste de notre corps dépend de lui.

3/ Les maladies du cerveau sont un fléau social …

Bombes à retardement, les maladies du cerveau, sont pour la plupart des maladies chroniques, les patients doivent être soignés pendant 20 à 30 ans… leur coût est considérable pour la société.

Les
enjeux économiques sont à la mesure de la fréquence de ces maladies, du handicap associé et des dépenses hospitalières engendrées.


4/ La recherche sur les maladies du cerveau ne bénéficie pas

des fonds publics qu’elle mérite…

Les fonds publics alloués à la recherche sur le cancer sont deux fois plus importants que ceux attribués à la recherche sur les maladies du cerveau, alors que ces dernières coûtent à la société environ deux fois plus !**

5/ Comprendre les maladies du cerveau est un défi majeur.

Perte progressive et insidieuse de la conscience, perte de motricité, état de dépendance physique et morale, autonomie ébranlée…es maladies du cerveau sont des maladies pour lesquelles seule la recherche peut prévenir, freiner et enfin stopper l’évolution.

La recherche sur les maladies du cerveau est un enjeu à l’échelle mondiale pour le XXI
ème siècle. Les traitements qui, jusqu’à présent, n’étaient que symptomatiques et palliatifs devront être plus efficaces, préventifs et curatifs. Pour cela, il faut percer à jour le cerveau et son « code neural » !


Parce que la recherche sur le cerveau est la clé de notre futur, parce qu’il est impératif de s’organiser pour assurer un mieux-être aux patients et familles concernés.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau fait front commun et revendique la mise en place d’une vraie politique de santé sur les maladies du cerveau

Maladies du cerveau : donnez avant qu’elles ne vous rattrapent !

www.frc.asso.fr

Pour donner cliquer neurodon

lundi 14 janvier 2013

AUTO-ENTREPRENEURS : RESULTATS DU GRAND SONDAGE NATIONAL


Ludovic Badeau, PDG d’Evo Portail, site leader en matière d’accompagnement des auto-entrepreneurs a réalisé une grande enquête auprès des bénéficiaires du régime. 90 % des personnes interrogées affirment leur attachement à ce modèle économique qui a changé leur vie tout en leur permettant d’être autonome financièrement. Mais aussi de viser un développement entrepreneurial à long terme. Explications. 
 
Mieux cerner la population auto-entrepreneuriale, ses exigences, ses envies, ses réussites et son avenir. Tel est l'objectif que vient d’atteindre Ludovic Badeau, PDG d’Evo’Portail qui, grâce à une enquête réalisée auprès d’un échantillon de 700 auto-entrepreneurs vient de rendre public les résultats.

Une « photographie » globalement positive et encourageante qui montre que 9 auto-entrepreneurs sur 10 n’auraient pas créé leur structure sans ce régime. La plupart des sondés affirment également que l’auto-entreprise permet de répondre à leur besoin d’autonomie financière ; tout ceci en ayant une visée entrepreneuriale à long terme.

Ne pas toucher aux acquis.

 40 % d’entre eux désirent dans un avenir prochain, opter pour le régime de droit commun après avoir validé leur expérience auto-entrepreneuriale.

A l’heure où le gouvernement s’apprête à réformer ce régime, une très grande majorité s’élève contre toute évolution. 50 % des sondés expliquent qu’ils abandonneront leur activité si la souplesse et la simplicité fiscale et sociale changent profondément.

Au-delà, l’enquête pointe quelques données sociologiques et financières importantes. 24 % des auto-entrepreneurs ont réalisé au cours de l’année 2012, un chiffre d’affaires s’échelonnant entre 1000 et 5000 €. 31 % d’entre eux ont généré + de 10000 euros. Ce qui permet de bien attester de la complémentarité financière apporté par le régime mais aussi sa capacité à générer des revenus stables et fréquents.

 

Les personnes interrogées recouvrent une pyramide des âges assez hétérogène, montrant notamment que le régime est largement plébiscité par les jeunes. 40 % ont entre 18 et 39 ans. Mais aussi par les quadras et quinquas expérimentés qui représentent 47 %. Les retraités et + de 60 % ferment la marche avec 13 % ; leur régime leur permettant de générer un revenu jusqu’à l’âge légal de départ en retraite ou vient compléter leur pension.

Diversité des activités.

« Plus généralement, le régime de l’auto-entreprise montre à quel point il permet de travailler ou s’épanouir dans des secteurs variés » explique Ludovic Badeau.  33 % des participants exercent une activité de services aux entreprises. 25 % s’orientent vers les services  à la personne. 22 % optent pour l’artisanat. Enfin, 19 % préfèrent une activité de commerce.

Ce sondage national a été effectué par EVO’PORTAIL à l’occasion des Assises de l’Auto-Entrepreneur et réalisé entre le 25/12/2012 et le 10/01/2013 sur internet auprès de 700 auto-entrepreneurs, en activité durant l’année 2012, âgés entre 20 ans et 70 ans, à travers toute la France, métropole et DOM-TOM.

 

 

A propos d’Evo’Portail :

Créé par Ludovic Badeau en avril 2010, Evo’Portail est une plateforme venant en aide aux auto-entrepreneurs. Leader en matière d’assistance, la société basée à Paris compte une moyenne de 15 salariés rompus aux règles fiscales et sociales qui encadrent l’auto-entrepreneuriat. Elle accompagne les bénéficiaires du régime dans leurs différentes démarches notamment administratives. Ceci par téléphone avec un conseiller personnel  qui assiste  chaque individu dans ses démarches de création, de lancement d’activité et de maîtrise du régime. Evo’Portail aide aussi à acquérir les bonnes méthodes et faire les bons choix à travers les différents dispositifs du régime (création de factures et devis, relance d’impayés). Enfin, Evo’Portail conseille les auto-entrepreneurs dans leur dialogue et correspondances avec les différents organismes d’Etat.