Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 17 juillet 2013

66 millions d'utilisateurs de mobile en France concernés par les ondes électromagnétiques



Fazup : technologie française / brevet mondial / fabrication française

 
La téléphonie mobile concerne aujourd'hui 6 milliards d'utilisateurs dans le monde. Elle fait l'objet d'interrogations quant aux risques sanitaires qu'elle entraine, dans les foyers comme chez les experts. En juillet 2012, le Ministère de la Santé éditait des recommandations sanitaires dans un dépliant destiné au grand public "à titre de précaution" : des gestes simples destinés à réduire l'exposition des utilisateurs aux ondes électromagnétiques émises par les téléphones mobiles.

 
 

Du principe de précaution à la prévention

Des études scientifiques internationales, menées dans de nombreux pays depuis les années 2000, démontrent que les ondes électromagnétiques et les technologies sans fil représentent un risque particulier pour les utilisateurs de téléphone portable, surtout pour les enfants et les femmes enceintes et plus généralement les gros utilisateurs ou les personnes téléphonant en zones de mauvaise réception. De plus, de nombreux "appels" de médecins du monde entier ont été émis pour alerter sur les effets des pollutions électromagnétiques (pétition de 2500 médecins de l'ASEF, 1000 médecins signataires lors de "l'appel de Fribourg"...).

Le phénomène est mondial. De nombreux pays préconisent de réduire l'exposition aux rayonnements électromagnétiques. Depuis l'arrêté du 8 octobre 2003, les fabricants de mobiles ont l'obligation d'indiquer le niveau du Débit d'Absorption Spécifique (DAS) des appareils sur la notice d'information. Le DAS des téléphones mobiles est la norme internationale qui quantifie le niveau maximal d’exposition de l’usager aux ondes électromagnétiques. Cet indice désigne donc la plus grande quantité d’énergie que le corps et la tête absorbent lors d’un appel téléphonique. En Europe, la limite du DAS est de 2Watts par kilogramme (W/Kg). Depuis le 14 avril 2011, le DAS des téléphones mobile doit obligatoirement être affiché sur les lieux de ventes ainsi que dans toute publicité. Il est donc possible aujourd'hui d'intégrer le DAS comme un critère de choix lors de l'achat d'un téléphone mobile.

Après plus de 10 ans de recherche et de tests validés par EMITECH, laboratoire français accrédité COFRAC (COmité FRançais d'ACcrédiation – www.cofrac.fr) pour les mesures de DAS, l'équipe Fazup met à disposition des utilisateurs de mobile une innovation technologique qui réduit fortement leur exposition aux ondes : jusqu'à -99% du DAS. Le concept Fazup révolutionne le secteur des patchs anti-ondes : c’est le seul produit dont l’efficacité est validée par un laboratoire accrédité COFRAC, sur les 13 modèles de mobiles compatibles proposés et sur les principales bandes de fréquence utilisées dans le monde lors d'une communication téléphonique (GSM900/1800 et GSM850/1900).

C’est aussi le seul produit à proposer un système de pose exclusif permettant de garantir le taux de réduction optimal du DAS, le patch devant être positionné précisément au dos du mobile. Fazup fournit dans son coffret un moulage de positionnement adapté à chaque modèle de téléphone compatible.
 
 

Fazup : patch souple et extra fin

Le  patch Fazup se présente sous la forme d'un circuit imprimé souple, argenté ou doré, qui peut également être personnalisé, disponible sur www.fazup.com à partir de 24,75€. Fazup est  préconisé par un réseau de médecins (enquête réalisée auprès de 300 médecins généralistes lors de congrès médicaux en France) et de pharmaciens (implantation des produits en cours). Le patch Fazup est recommandé à tous les utilisateurs de mobile et particulièrement aux populations à risque telles que les femmes enceintes, les enfants, les utilisateurs intensifs (plus de 30 minutes par jour).

Les avantages :

Technologie et fabrication françaises

Efficacité scientifiquement prouvée sur les principales bandes de fréquences utilisées dans le monde en laboratoire accrédité COFRAC

Diminution de l'exposition aux ondes jusqu'à 99% du DAS

Le seul patch de prévention recommandé par les professionnels de santé

Compatible avec les principaux Smartphones du marché

La durée de vie du patch est illimitée sous une coque de protection

Un prix très accessible : à partir de 24,75€

 
«En mai 2011, le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a classé les champs électromagnétiques de radiofréquences comme potentiellement cancérogènes pour l’homme. Cette déclaration doit conduire les utilisateurs de technologies sans fil à appliquer le principe de précaution. La norme du DAS est une information précieuse qui n'est pas suffisamment connue du grand public. De plus, il n'existe pas encore de règlementation relative à la compatibilité des accessoires pour mobiles. Les utilisateurs n'ont donc pas conscience que certaines coques de protection peuvent entrainer une augmentation du DAS de leur mobile. Réduire autant que possible son exposition aux ondes est un acte de bon sens, d'autant plus si cela ne gêne en rien nos usages. »
explique Antoine Samakh, co-fondateur de Fazup.

  

A propos de Fazup

Antoine et Mathieu Samakh participent à la mise en lumière d'inventions brevetées et inconnues du grand public.

Après 10 ans de recherche, ils lancent Fazup en 2013. Copropriétaires des brevets, ils souhaitent proposer aux utilisateurs de mobile, une solution d'utilité publique basée sur le principe de précaution.  Le patch Fazup est une solution préventive révolutionnaire dont l'efficacité est mesurée par le laboratoire EMITECH. La société Fazup est basée en Suisse dans le Canton du Jura, la production est réalisée en France.

Parmi leurs partenaires, l'association Calysto, experte et spécialisée dans les problématiques liés aux usages numériques, qui à travers son programme de prévention Génération Numérique, mène des missions pédagogiques de prévention auprès de 500 000 enfants et adolescents partout en France.
Le site www.prevention-sante-mobile.fr, assure la représentation et la distribution de Fazup auprès des professionnels de santé.

www.fazup.com

 
 

  
"Les gestes de prévention" par Fazup

Choisir un portable avec un niveau de DAS le plus faible possible
Eviter de téléphoner dans les zones où la réception n'est pas optimale (déplacements à grande vitesse, limite de couverture…)
 
1mm de conversation dans une zone de mauvaise réception équivaut à 3 heures de conversation dans de bonnes conditions

Utiliser un kit mains libres et éloigner le mobile de soi le plus souvent possible
Préférer les SMS aux appels
 
Ne pas téléphoner trop longtemps ni trop souvent
 
Pour les utilisateurs qui portent des lunettes, préférer des montures en plastique
 
Ne pas exposer les enfants
 

lundi 29 avril 2013

Si l'info sécu vous intéresse...


Le compte Ameli désormais disponible en application mobile


Comme annoncé dans ma lettre précédente, vous pouvez découvrir depuis le 22 avril 2013 l'application ameli pour téléphones iPhone et Android. "Une application simple et ludique pour mettre votre compte en poche et profiter de vos services où que vous soyez et à tout moment", se félicite la CNAMTS. Après le site mobile (ameli.moncompte.mobi), l'Assurance maladie renforce donc son offre de service en lançant son application mobile « Mon compte assuré » gratuitement sur l'Apple Store et sur le Google Play Store.

Cette application permet de retrouver rapidement les principaux services du compte de chaque assuré : accéder facilement à ses derniers paiements, obtenir le détail de ceux-ci, rechercher un paiement sur les six derniers mois, parvenir à son profil et modifier ses informations personnelles (coordonnées de contact, question secrète…). L'assuré peut également géolocaliser la borne automatique de l'Assurance maladie la plus proche. L'application Ameli est accessible aux assurés du régime général et des régimes suivants : Camieg, Cavimac, CNMSS, CRPCEN, ENIM, MGP et MNH. Les premiers retours postés par les utilisateurs sur l'AppStore et sur le Google Play Store sont excellents.
Le communiqué de la CNAMTS

 

Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 550 du 21 avril 2013

 


 


 


 

Réforme des retraites - Les pistes sur la table et les mesures écartées - Les Echos 16 avril 2013

 


 

Le nouveau billet d'humeur "de Claude Frémont intitulé "Fraudes à la Sécu. Petite piqûre de rappel"

 

Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

mercredi 9 janvier 2013

A propos de la proposition de loi relative à la régulation de l’installation des antennes relais de téléphonie mobile


L’Académie nationale de médecine a pris connaissance de la proposition de loi N° 531 relative à la régulation de l’installation des antennes relais de téléphonie mobile déposée à l'Assemblée nationale, le 1er octobre dernier, par Jean-David Ciot, député d'Aix-en-Provence.1

Tout en adhérant à la demande de nos concitoyens en faveur de davantage de débat public et de transparence dans la décision en santé publique élargie aux questions environnementales, l'Académie regrette une initiative fondée sur un flou scientifique et réglementaire qui, ne pouvant se prévaloir en dernier recours que du principe de précaution, est de nature à renforcer artificiellement chez nos concitoyens un sentiment de peur et de défiance injustifié, mais préjudiciable en termes de santé publique.

Dans la perspective d'un débat parlementaire sur le sujet, l'Académie souhaite que les arguments scientifiques ne soient pas encore une fois occultés ou déformés. C'est pourquoi elle tient à rappeler ses précédentes mises au point 2 et à rectifier, références à l'appui, les erreurs et imprécisions contenues dans cette proposition de loi.


1. Le classement en « possiblement cancérigène » (2B) par le Centre International de Recherche sur le

Cancer (CIRC) ne concerne pas les antennes relais mais les portables, dont les niveaux d’émission sont

très différents. En effet, les antennes de téléphonie mobile entraînent une exposition aux champs

électromagnétiques 100 à 100.000 fois plus faible que les téléphones portables : être exposé pendant 24

heures à une antenne à 1 volt par mètre donne la même exposition de la tête que de téléphoner avec un

portable pendant 30 secondes.

On ne connaît aucun mécanisme par lequel les champs électromagnétiques dans cette gamme d’énergie et de

fréquence pourraient avoir un effet négatif sur la santé. Le rapport scientifique de l’Agence Française de

Sécurité Sanitaire Environnementale et au Travail (Afsset) sur les radiofréquences, d’octobre 20093, a

montré que les hypothèses concernant les mécanismes biologiques qui auraient pu être à l’origine d’un effet

sanitaire des radiofréquences n’ont pas été confirmées :

! les champs électromagnétiques utilisés en téléphonie mobile ne génèrent pas de radicaux libres de

l’oxygène et ne potentialisent pas le stress oxydant (p 152) ;

! ils ne sont ni génotoxiques, ni co-génotoxiques, ni mutagènes (p 165) ;

! il ne semble pas exister d’effet inducteur non thermique des radiofréquences sur l’apoptose

cellulaire, en particulier pour les cellules d’origine cérébrale (p 170) ;

! ils n’ont pas d’effet cancérogène ou co-cancérogène (p 174) ;

! ils n’ont pas d’effet délétère sur les cellules du système immunitaire (p 177) ;

! les travaux conduits depuis 2005 convergent vers une absence d’effet sur la barrière hématoencéphalique

pour des niveaux d’exposition (DAS) allant jusqu’à 6 W/kg (p 183) ;

! ils ne modifient pas la sécrétion de mélatonine (p 215) ;

! ils ne provoquent pas d’augmentation d’incidence ou l’aggravation de cancers expérimentaux dans

les conditions testées (p 401) ;

! à ce jour, aucun mécanisme d’interaction onde-cellule n’a été identifié (p 25) ;

! aucune preuve n'existe à ce jour que l’utilisation régulière de téléphone mobile augmente le

développement de cellules cancéreuses ou pré-cancéreuses et n'augmente ainsi, du fait de ce

mécanisme de « promotion », le risque de tumeur intracrânienne (p 249)

! les antennes-relais n’émettent pas de basses fréquences (p 96) ;

Ce rapport conclut : « Au vu de l’analyse détaillée et critique des travaux effectuée par le groupe de travail,

et compte tenu par ailleurs de l’état antérieur des connaissances, aucune preuve convaincante d’un effet

biologique particulier des radiofréquences n’est apportée pour des niveaux d’exposition non thermiques,

dans les conditions expérimentales testées. « (p 400). Ces conclusions rejoignent l’avis unanime d’autres

expertises collectives (OMS4, Scenihr5, rapport Zmirou6,, OPECST7 ou ICNIRP8) qui confirment l’absence

de risque des antennes-relais.

Comme le Health Council des Pays Bas9, qui lui dénie toute valeur scientifique, le rapport Affset 2009 récuse

les conclusions du rapport Bioinitiative 2007 : « Le rapport BioInitiative doit donc être lu avec prudence : il

revêt des conflits d’intérêts dans plusieurs chapitres10, ne correspond pas à une expertise collective, est de

qualité inégale selon les chapitres et est écrit sur un registre militant » (page 324).

2. L’électrohypersensibilité. A ce jour, aucun système sensoriel humain permettant de percevoir les champs

électromagnétiques utilisés par la téléphonie mobile n’a été identifié. Des dizaines d'études ont été

effectuées ; elles ont montré à la quasi-unanimité que les sujets se disant électrohypersensibles, bien que

manifestant des troubles variés en présence de dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques, sont

incapables de reconnaître si ces dispositifs sont actifs ou non. Les études suggèrent un effet nocebo (inverse

de l’effet placebo : troubles relatés résultant d’un mécanisme psychologique) et des facteurs neuropsychiques

individuels11. L’angoisse et des perceptions somatiques très variées en présence d’émetteurs de

champs électromagnétiques peuvent justifier une prise en charge adaptée. L’Académie déplore d'autant plus

que ces troubles, pouvant entraîner de graves handicaps sociaux, soient utilisés à des fins contestables au

détriment des intéressés.

3. 0,6 V/m ; La demande d’abaisser les valeurs limites à ce niveau n’a aucune justification

scientifique12. Ce dogme est fondé sur la recherche d’une protection (avec un facteur de sécurité de 500)

contre un effet qui en réalité n’existe pas13. De plus, paradoxalement, dans certains cas, au contraire, en

multipliant les antennes-relais (ce qui réduit leur zone de couverture), la puissance d'émission du portable

augmente chaque fois que l’on passe d’une zone de couverture à une autre. L’exposition au téléphone

portable étant 100 à 100.000 fois plus élevée que celle aux antennes, on risque donc d’augmenter, sans

justification, l’exposition des quelques 90% des français qui utilisent un portable, ce que précise clairement

le rapport Afsset 2009 : « le groupe de travail recommande de peser avec soin les conséquences d’une telle

réduction, notamment : 1) en terme de multiplication du nombre des antennes ; 2) et en terme

d’augmentation possible de l’exposition de la tête aux radiofréquences émises par les téléphones mobiles14.

L’Académie nationale de médecine met en garde contre une instrumentalisation systématique des

inquiétudes de l'opinion par la réduction de la complexité de la science et de la technologie à des

amalgames associant des données erronées ou imprécises. Une telle instrumentalisation aboutit à une

information biaisée par des a priori sans fondement scientifique et à invoquer le principe de précaution

de manière abusive et trompeuse.

Références

[1] http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/propositions/pion0531.pdf.

[2] Académie nationale de Médecine. Les risques des téléphones portables :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1412

Académie nationale de Médecine. Les risques des antennes de téléphonie mobile :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1542

Académie nationale de Médecine, Académie des Sciences, Académie des Technologies. Réduire l’exposition aux

ondes des antennes-relais n’est pas justifié scientifiquement :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1891

[3 ] http://www.afsset.fr/upload/bibliotheque/964737982279214719846901993881/Rapport_RF_20_151009_l.pdf

[4] Organisation Mondiale de la Santé. http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs193/fr/

[5] Commission européenne. Scientific Committee on Emerging and Newly Identified Health Risks :

Health Effects of Exposure to EMF. 19 janvier 2009.

[6] http://ebookbrowse.com/rapport-zmirou-2001-pdf-d73347810

[7] http://www.senat.fr/rap/r09-084-1/r09-084-1.html

[8] http://www.icnirp.de/documents/RFReview.pdf

[9] « le Comité conclut que le rapport BioInitiative n’est pas un reflet objectif et équilibré des connaissances

scientifiques disponibles » . The Minister of Housing, Spatial Planning and the Environment. Publication

2008/17E du 2/9/2008.

[10] Site du principal auteur de Bioinitiative 2007 : http://www.silcom.com/~sage/emf/cindysage.html

[11] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 308.

[12] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 340.

[13] La demande d’abaisser le seuil d’émission à 0,6 V/m a pour origine une proposition du Dr G. Oberfeld de

Salzbourg, fondée sur une publication de 1996* qui faisait état d’altérations de l’électroencéphalogramme de rats

soumis à un champ électromagnétique de 500 mW/m2. Pour se prémunir contre un tel effet il a préconisé de

limiter l’émission des antennes à une puissance 500 fois plus faible, aboutissant à la valeur de 0,6 V/m. En 1996,

ce seuil avait donc une réelle base scientifique. Mais en 1998** puis en 2000***, les mêmes auteurs ont montré

que l’effet qu’ils avaient décrit en 1996 n’existait pas en réalité, même pour des puissances allant jusqu’à 50 000

mW/m2.

* Mann K., Roschke J. (1996). Effects of pulsed high-frequency electromagnetic fields on human sleep.

Neuropsychobiology ; 33(1):41-7

** Mann K., Roschke J., Connemann B. et al. (1998). No effects of pulsed high-frequency electromagnetic fields

on heart rate variability during human sleep. Neuropsychobiology ; 38(4):251-6

*** Wagner P., Roschke J., Mann K. et al. (2000). Human sleep EEG under the influence of pulsed radio

frequency electromagnetic fields. Results from polysomnographies using submaximal high power flux densities.

Neuropsychobiology ; 42(4):207-12.

[14] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 406.