Nora ANSELL-SALLES

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mardi 3 décembre 2013

54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PREOCCUPES PAR LES QUESTIONS DE SANTE


Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »

Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des 25 ans de l’agence de Relations Publiques santé et divulguée au 24ème Festival de la Communication Santé, révèle que 54% des Français interrogés déclarent être de plus en plus préoccupés par les questions de santé. Malgré leur caractère souvent anxiogène, les multiples informations santé qu’ils reçoivent et consomment ont pourtant des effets bénéfiques pour 82% d’entre eux : approfondissement des connaissances, modification de certains de leurs comportements, échanges avec leur médecin. Cependant, parmi le flot d’informations diffusées, notamment sur Internet et les réseaux sociaux, il est difficile de s'y retrouver. D'où le rôle essentiel de pédagogie des médias, des émetteurs et transmetteurs d’informations santé, pour un public qui a de plus en plus besoin de repères.



PLUS D’UN FRANÇAIS SUR DEUX EST DE PLUS EN PLUS PRÉOCCUPÉ PAR LES QUESTIONS DE SANTÉ

Selon l’étude Ifop/Capital Image, 54% des Français indiquent considérer les questions de santé comme étant de plus en plus préoccupantes.


"Ce chiffre important répond à la multiplication des messages de santé avec la diffusion d'informations à la fois de plus en plus nombreuses, diversifiées et aussi parfois anxiogènes’’ commente Damien Philippot, Directeur des Études, Département Opinion, Ifop.


‘’Les campagnes de santé publique, les informations concernant la sécurité sanitaire, l’allongement de la durée de vie et le souhait de rester en bonne santé le plus longtemps possible expliquent et justifient l'intérêt croissant des Français pour l'information concernant leur santé" ajoute Stéphanie Chevrel, Co-fondatrice et DG de l'agence Capital Image


Damien Philippot

’Dans la crise, c’est le corps qui souffre. Santé et insécurité sont deux grands thèmes symptomatiques de la souffrance actuelle des Français. Alors que la santé revêt une importance plus forte pour les citoyens - l'étude le confirme - ils observent un recul du collectif et ne croient plus guère dans notre système étatique de protection sociale, pas plus que dans l’égalité des soins. Leur souffrance s’en trouve accrue. Les mots qui les inquiètent le plus ? Stress, précarité, maladie, perte d’autonomie. Leurs principaux espoirs : la recherche médicale, l’innovation’’ explique Denis Muzet**, Sociologue, Président de l’Institut Médiascopie.



* Source : étude Ifop/Capital Image (1/2). Interviews par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 juillet 2013 auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

** Auteur de « Les mots de la crise », Editions Eyrolles, 2013



 LA TELEVISION RESTE LE CANAL LE PLUS UTILISÉ POUR SUIVRE L’INFORMATION SANTÉ


42% des personnes interrogées (contre 53% en 2003**) déclarent suivre l’information santé à la télévision ; 30% (contre 36% en 2003) la suivent dans la presse écrite et 19% à la radio (contre 26% en 2003).

36% se rendent sur les sites Internet d’information alors que 20% vont sur les blogs et forums.


"La consommation d'informations santé est plus forte chez les plus jeunes, ce qui peut paraître surprenant à un âge où on a moins de chance d'être atteint de maladies graves. On peut supposer que les personnes plus âgées vont préférer se renseigner directement auprès de leur médecin" constate Damien Philippot.



‘’Certains experts ont souvent annoncé la mort de la télévision. Si ce média est touché par la montée en puissance du web, il reste très apprécié des Français, et c’est encore plus vrai pour l’information santé qui fait appel à la raison, à la science et aussi beaucoup à l’émotion. Mais aucun média à lui seul ne suffit à alimenter l’appétit d’information santé ; les médias jouent tous ensemble. Les Français élaborent leur menu, ils apprécient leur grande liberté dans le choix de leur consommation‘’ précise Denis Muzet.



59% DES FRANÇAIS VONT MODIFIER CERTAINS DE LEURS COMPORTEMENTS


Après avoir entendu parler d’un sujet santé dans les médias, 82% des Français déclarent agir tandis que 18% ont le courage d’affirmer qu’ils ne vont rien faire du tout ! Plus précisément, 2/3 (66%) vont chercher à approfondir leurs connaissances et 59% vont modifier certains de leurs comportements.


35% VONT ALLER CONSULTER LEUR MEDECIN

Ils sont 55% à évoquer avec leur médecin les sujets abordés dans les médias lors d'une consultation déjà prévue alors que 35% iront le consulter délibérément après en avoir entendu parler dans les médias. "On peut noter que la relation plus forte des personnes les plus âgées avec leur médecin les conduit à davantage interagir avec celui-ci " ajoute Damien Philippot.


‘’Les Français vont chercher sur Internet un ensemble d’informations qui vont leur permettre de creuser tel ou tel sujet, de décider d’aller chez leur pharmacien ou chez leur médecin. Avec Internet, l’individu se sent libre d’explorer et de se faire en peu de temps un bagage d’information. Certaines informations sont d’intérêt inégal, plus ou moins fiables mais en même temps, les internautes ne sont pas dupes’’ indique Denis Muzet.
Denis Muzet


**Sondage A+A/Capital Image réalisé par téléphone du 12 au 13 décembre 2003 auprès d’un échantillon de 1004 personnes, représentative de la population française âgée de 18 ans et plus



MAIS DEUX FRANÇAIS SUR TROIS TROUVENT L’INFORMATION SANTÉ FLOUE ET CONTRADICTOIRE


Attentifs à l’information santé, les Français se montrent cependant particulièrement critiques sur la qualité perçue de cette information : 69% déclarent qu’elle est souvent floue et contradictoire ; une minorité seulement juge qu’elle est toujours compréhensible (39%) et toujours fiable (25%). D’autre part, 44% estiment que l’information santé est trop importante et ils sont 42% à juger qu’elle est souvent inutile.



En matière d’information santé comme d’ ‘’information tout court’’, les Français doutent de plus en plus. La responsabilité des communicants santé – et des médias – est grande. Donner la parole à l’ensemble des acteurs et adopter une relation de transparence est une bonne posture. On peut ensuite picorer l’information, écouter le point de vue des uns et des autres, puis se faire une opinion. Ce que les individus n’aiment pas, c’est une parole unique ; ou encore, derrière un semblant de diversité, des points de vue biaisés » réagit Denis Muzet.



« Chez Capital Image, nous communiquons sur des questions de santé depuis 25 ans. Nous sommes très attentifs au choix des sujets que nous médiatisons. Nous nous posons toujours la question de savoir s'il est opportun de communiquer ou pas, comment nous allons communiquer, quels messages nous allons transmettre. Nous nous attachons à ce que les informations transmises soient utiles au plus grand nombre. Nous donnons la parole à tous les acteurs de la santé, aux experts comme aux patients. Notre responsabilité est importante car, relayées par les médias et les réseaux sociaux, nos informations sont accessibles aux malades et à leur entourage. Nous ne pouvons donner de fausses promesses et susciter de faux espoirs » indique Stéphanie Chevrel.


Stéphanie Chevrel


« Les résultats de cette étude sont un message encourageant aux bonnes pratiques pour tous les émetteurs et transmetteurs d’informations santé dont leur rôle est essentiel - effort de pédagogie, utilité, simplicité et clarté de l'information, filtrage et indication des sources - pour un public qui a de plus en plus besoin de transparence mais aussi de repères " conclut Stéphanie Chevrel.



 

Retrouvez les résultats de l’étude, l’infographie, les slides et les itws vidéos sur


www.capitalimage.net - www.acteursdesante.fr

 

 

A propos de Capital Image :

« Marquer les esprits. Faire évoluer les comportements » est le credo de Capital Image, agence de Relations Publics et Relations Médias Santé, créée en 1988 par Stéphanie Chevrel (IFP) et Gaël de Vaumas (CFPJ). Cette agence santé engagée cherche à bousculer les idées reçues et marquer les esprits pour faire évoluer les perceptions et les comportements de santé des Français. A l’origine de nombreuses campagnes d’information, Capital Image est, avec plus de 25 récompenses en 10 ans, l’agence de Relations Publiques Santé la plus primée en France.


NDLR : MGEFI et Baromètre Santé des Fonctionnaires.



· 1er baromètre santé des fonctionnaires - synthèse de l'enquête

 L’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI
 
Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.
 
Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

 
Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI

Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé

Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.
 
Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent  majoritairement à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à prendre des médicaments non prescrits.

 Des comportements favorables au maintien d’une bonne santé : une grande majorité des répondants jugent leur alimentation équilibrée et ils s’inscriraient dans des comportements à risque de manière moins prononcée vis-à-vis du tabac, du jeu et des drogues. Ainsi, 42,9% n'ont jamais fumé de leur vie et 11,2% sont des fumeurs habituels. En France, ce pourcentage est généralement supérieur à 30%. En revanche, s'agissant de la dépendance à l'alcool, 10% semblent présenter une addiction (deux fois plus d'hommes que de femmes), soit autant que parmi la population française.

Des disparités importantes

Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont « aidés » et 12,9% sont « aidants ».

Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé (les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime  que son travail a un impact sur sa santé.

Un besoin d'information et de prévention

Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur problème de santé et leur médicament.

63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.

Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur les risques cardiaques.


En conclusion

Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de cerner une partie des attentes des adhérents.

En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents, actifs et retraités, a mis en place courant 2013, des actions locales enrichies par les conclusions de cette enquête.

                                                                       

* MFP Services est délégataire de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21 mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.

 2)    5 populations distinctes : MFP Services comprenant les agents des différents ministères (hors Education Nationale), les adhérents de la MGEFI, de la MMJ de la MCDEF et de la MGAS.

  
LA RETRAITE

Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite, principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas d'activité extérieure.

LE PROFIL DES RÉPONDANTS MGEFI

59,2% de femmes et 40,8% d'hommes. 

51,5% ont plus de 60 ans.

48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.

41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.

73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.


mercredi 10 avril 2013

Pharmagora 2013 : découvrez en Avant - Première dès aujourd'hui les produits qui seront dans les pharmacies demain !


Soins Visage – Dermocosmétiques et Solaires
 

Nouvelle génération  expertises anti-âge Extrait de l'écorce de pin  IXI COSMETICS

BIOCYTE lance le 1er complément  alimentaire à base de mélanine pure,

 

FOREO le 1er système de brosse nettoyante et anti-âge pour le visage  

 

Les Laboratoire SPIRIG Nouvelle génération de solaires : Une formule liposomale unique pour une protection solaire fiable et durable !

 

PHARMA DEVELOPPEMENT présentera YDROVIT® solution de réhydratation orale, Prête à l’emploi aux Goûts exotiques : multi-fruit, noix de coco, pêche, naturel



 

BIEN-ETRE et FORME


PURESSENTIEL SOMMEIL 30 Capsules BIO : association d’huiles essentielles rigoureusement sélectionnées pour faciliter l’endormissement et la qualité du sommeil. Sans risque d’accoutumance.

 

Créée en 2006, la société Oasis, lance MoustiCare®, une gamme innovante répulsive et insecticide à base d’actifs naturels (Sprays, Bracelets, Lingettes, Spray Habitat, Concentré anti-larves, Roll’On après piqûres certifié Ecocert

 

Intimina a créé les Laselle Kit Exercices de Kegel™ pour aider les femmes à maintenir la tonicité des muscles pelviens. Essentiel pour préparer son corps à une grossesse et récupérer après un accouchement, mais aussi conserver une tonicité vaginale. Ce système de rééducation périnéale est fourni avec un programme d’entraînement complet et détaillé pour un renforcement optimal.

 

Une gamme développée pour les sports extrêmes : Pour éviter les tendinites et les déchirures musculaires Compression Zone complète sa gamme avec des manchons spécifiques pour la cuisse et le bras.

 

Pharmagora un salon d’échanges des professionnels de la pharmacie

 

Ø  Près d'une pharmacie sur deux en France est dans le rouge *

Ø  49% des officines présentent un solde de trésorerie négatif**

 

Si la situation continue à se dégrader, Celtipharm estime que d'ici 2015, 1.500 pharmacies auront mis la clé sous la porte.

 

·         Trouver un nouveau modèle de stimulation des ventes, réagencer l’officine pour en faire un cadre de vie et un cadre d’envies pour le patient/client, sont aujourd’hui des nécessités vitales pour le pharmacien.

·          

·         Dans ce contexte dominé par l’incertitude économique, concurrentielle et sectorielle, FAHRENBERGER, a dévoilé en exclusivité et avant-première européenne à Pharmagora, son nouveau concept Store EASY SHOP SANTE, qui va faire l’événement.

·          

·         EASY SHOP SANTE revisite les codes de l’agencement traditionnel, un concept breveté qui propulse le libre accès comme une activité spécifique au cœur de l’officine.

·          

·         Un concept à la fois vecteur et générateur de croissance.  Etudes chiffrées à l’appui : une marge supérieure à 35% et jusqu’à 10% du CA sur le libre accès…

·          

EASY SHOP SANTE - Un concept à 360° qui réconcilie - Ambiance – Univers – Produits - et Cash Flow

 

 

En savoir plus

 

*selon une étude réalisée pour le premier syndicat d'officines Mars 2011

** selon la 3e édition du Baromètre de la trésorerie des officines réalisé par la société d'ingénierie médico-économique Celtipharm pour le compte de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France.

 

A propos de

FAHRENBERGER, leader sur le secteur de l’agencement et spécialiste du merchandising d’officine depuis 50 ans. Il réalise plus de 200 pharmacies par an.

 

mardi 27 novembre 2012

SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des études


Paris 5 / Paris 6 / Paris 7

    Lundi 3 décembre 2012

17h00 - 20h00

  AgroParisTech. Amphithéâtre Tisserand

16, rue Claude Bernard. 75005 Paris

 

  (Re)passez votre certificat d’études !

 

17h00

DU CERCLE VICIEUX DE BRENNER AU CERCLE VERTUEUX DE L’OMS

André AURENGO - Paris VI

17h15

CÔTÉ SCIENTIFIQUE : UNE ÉTUDE PEUT EN CACHER UNE AUTRE...

Claude MONNERET : du « sans parabènes » à la une

André AURENGO : téléphones portables : du débat sur toute la ligne

Louis-Marie HOUDEBINE : on peut tout faire dire à des rats...

18h15

CONTEXTE : DEBAT PUBLIC OU MEDIATIQUE ?

Sylvestre HUET (Libération)

Marc MENNESSIER (Le Figaro)

18h45

SUIVI POLITIQUE : DÉCIDER ou décider de poursuivre les études

Un parlementaire

19h15 – 20h00

LE POINT DE VUE DE L'OPINION

Interventions du public et réponses aux questions posées par mail lors de l'inscription.

 

Si vous souhaitez assister, merci de vous inscrire


Ateliers Santé - Environnement                       

Paris 5 / Paris 6 / Paris 7

Dans le cadre du Diplôme Inter Universitaire (DIU) Santé - Environnement de Paris 5, Paris 6 et Paris 7, des ateliers ouverts sont organisés quatre fois par an pour éclairer le public sur les sujets qui font débat en santé dans sa nouvelle dimension environnementale et sociétale.

Ces ateliers sont conçus comme des « travaux pratiques » dans un objectif essentiellement pédagogique, afin de rendre compte de l'état des connaissances scientifiques mais aussi de leur évaluation, voire de leur interprétation, à tous les niveaux du débat public, depuis l'alerte jusqu'à la décision.

Deux premiers ateliers, en 2011 et 2012, sur la question des pesticides et la prise en charge des personnes électrohypersensibles ont permis de valider la pertinence de cette formule argumentaire et interactive, et d'envisager d'autres réunions sur le même modèle courant 2013.

Lundi 3 décembre 2012, de 17h00 à 20h00, les « 3e Ateliers santé-environnement » poseront la question de la validité des études telles qu'elles s'imposent aujourd'hui en référence incontournable, mais souvent discutable, à la fois sur le plan médiatique et dans un nouveau contexte de décision politique.

A partir d'exemples précis, des scientifiques, des journalistes et des décideurs démontreront, de leur point de vue, différent et complémentaire, parfois conflictuel, les difficultés actuelles et les contraintes de l'information et de la décision en santé.

Pour répondre avec des arguments validés et référencés aux incompréhensions et aux inquiétudes de nos concitoyens.

Pour fournir à ceux qui ont la responsabilité d'informer et de décider une grille de lecture adaptée aux conditions d'exercice et à l'éthique de leur métier.

 

Posez vos questions par courriel : claire.zaslavsky@upmc.fr