Nora ANSELL-SALLES

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mardi 24 août 2021

Qu'avons-nous appris ? Comment anticiper les prochaines pandémies et protéger les populations ?


Retour sur la table ronde organisée le 6 juillet dernier par l’APBM - Association pour le progrès de la biologie médicale.

Rappelons que l'Apbm fédère les grands réseaux de laboratoires de biologie médicale français, pionniers d'une révolution scientifique et industrielle dont l'objet est de rendre accessibles à tous les Français : qualité, performance, et innovation sur l'ensemble du territoire.)



AVEC LA PARTICIPATION DE :

Dr Alain LE MEUR
Président de l’APBM

Mme Nadal BOUZIGUES
Directrice Task Force Test Covid-19
Ministère des Solidarités et de la santé

Pr Anne-Claude CREMIEUX
Infectiologue
Professeur en maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Louis, à Paris

M. Gérard DE POURVILLE
Professeur émérite en économie de l’ESSEC Business School

M.Didier JAFFRE
Directeur de l’Offre de soins
ARS Ile-de-France

Dr Jean-Pierre THIERRY
Conseiller médical de France Assos

👉 Replay de la table ronde :

https://youtu.be/v6qNs_DZNgQ

 

👉 Interview d’Anne-Claude Crémieux, réalisée à l'issue de la table ronde, diffusée sur le site du monde Pharmaceutique.tv :

http://www.lemondepharmaceutique.tv/assets/movies/video/2054/1625578933.mp4


🔎ZOOM sur l'association

L'APBM, ou les précurseurs d'une "nouvelle biologie".

> En savoir plus

lundi 9 décembre 2013

12 décembre : 2013 e congrès de la Fondation de l'Avenir


La Fondation de l’Avenir vous invite à participer à son 8e Congrès

8e congrès de la Fondation de l’Avenir - Les progrès en chirurgie : la thérapie cellulaire et la chirurgie ambulatoire

Dominique Letourneau, président du directoire de la Fondation de l’Avenir, vous donne rendez-vous à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) jeudi 12 décembre 2013 à Paris pour le 8e congrès de la fondation.

Tous les deux ans, la Fondation de l’Avenir organise un congrès médical, avec le soutien de la Matmut et en partenariat avec l’Académie Nationale de Chirurgie, et convie l’environnement mutualiste pour lui présenter les travaux effectués par les chercheurs qu’elle finance. Cette journée est entièrement tournée vers l’avenir de la médecine et de la recherche chirurgicale.

Depuis plus de 25 ans, la Fondation de l’Avenir joue le rôle indispensable de passerelle entre la recherche fondamentale et l’application concrète du soin au bénéfice des patients. Aussi pour son 8e congrès, la Fondation mettra en valeur les progrès en chirurgie autour de deux thématiques : la thérapie cellulaire, le matin, et la chirurgie ambulatoire et l’impact sur l’organisation, l’après-midi.

Inscrivez vous en envoyant un courriel à infocom@fondationdelavenir.org

lundi 7 octobre 2013

8ème Congrès de la Fondation de l’Avenir


Jeudi 12 décembre

à l’Institut Mutualiste Montsouris

 Ce congrès qui se déroule tous les deux ans, sera  l’occasion de faire un point sur :

 L’avancée de la recherche médicale appliquée en générale et des recherches soutenues par la Fondation en particuliers.

Cette année, *Monsieur Dominique Letourneau*, président du
directoire de la Fondation de l’Avenir, a l’honneur et le plaisir
de vous convier au 8e congrès qui aura pour thème : « Les progrès
en  : la thérapie cellulaire et la chirurgie ambulatoire »,
deux enjeux majeurs de l’évolution de la médecine qui concernent
l’ensemble des acteurs institutionnels, professionnels de santé et
mutualistes.

Le nombre de place étant limité, merci de bien vouloir dès à
présent vous inscrire par mail : arethore@fondationdelavenir.org
mailto:arethore@fondationdelavenir.org
 ou par téléphone au 01 40 43 23 78.

Le congrès de la Fondation de l’Avenir, en partenariat avec
l’Académie Nationale de Chirurgie, est soutenu par la Matmut.

 

NDLR : MGEFI et FONDATION DE L’AVENIR


Fondation de l'avenir                                
  • La Fondation de l'Avenir encourage et soutient la recherche médicale appliquée                                
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  • lundi 10 juin 2013

    Enquête PACE : les Français face aux cancers


     

    Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité aux nouveaux traitements

    Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.

    En France, les principaux résultats de l’enquête révèlent que 59% de la population sont satisfaits des avancées effectuées ces vingt dernières années dans la lutte contre le cancer¹. En revanche, 60% regrettent la lenteur de la mise à disposition des molécules innovantes aux patients¹. Deux perceptions partagées par l’ensemble des personnes auditées dans le monde.

    Le cancer est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ13% de la mortalité mondiale2. En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2011 à 147 5003.

    Une bonne connaissance générale en oncologie mais des idées reçues persistantes

    Les résultats de l’enquête PACE soulignent la bonne compréhension en oncologie de la population générale. A l’image des 5 autres pays interrogés, près d’1 Français sur 2 (48%)¹ considère que l’annonce du diagnostic n’est plus synonyme de mort assurée (contre 65% des Américains)¹. Cet optimisme relatif est partagé par les patients (67%)¹ et les personnels soignants (56%)¹.

    34% des Français estiment également que le taux de mortalité par cancer a diminué¹. En effet, le taux de décès attribué au cancer a baissé de 22 % chez l'homme et de 14 % chez la femme, en vingt ans, en France¹.

    Cependant, certains clichés persistent chez les Français interrogés :
                ®     
    46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
                ®     
    70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.

    « Le niveau de connaissance est relativement faible car on est en face d’un paradoxe. On a une maladie qui tue près de 150 000 personnes par an en France, et nos concitoyens veulent à la fois qu’on les guérisse mais ne veulent pas trop en savoir et surtout ne pas savoir s’ils ont eux-mêmes une conduite à risque » explique le Professeur Philippe Rougier, ex-Chef de service Oncologie Digestive à Hôpital Européen Georges Pompidou. « Le niveau de connaissance varie en fonction des niveaux socio-économiques, des expériences personnelles et des âges : il augmente brutalement quand l’individu ou un de ses proches est atteint d’un cancer » affirme-t-il.

    « Au-delà de l’envie du malade d’en savoir plus ou non et de son niveau socioculturel, le niveau de connaissance sur la maladie dépend aussi de la qualité de l’information disponible » ajoute Bernard Delcour, Président de l’Association Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M).

     

    60% des Français pointent du doigt le délai d’attente trop long pour l’accessibilité des patients aux molécules innovantes¹

    59% de la population estiment que les progrès en oncologie ont été remarquables ces vingt dernières années¹ ; la moitié des Français interrogés se dit d’ailleurs satisfaite du financement de la lutte contre le cancer¹. Un point de vue que ne partagent pas les 74% des patients¹ et 81 % des personnels soignants¹ qui attendent davantage de financement. Ce manque d’investissement est aussi dénoncé par une bonne majorité de la population des cinq autres pays participant à l’enquête PACE¹.

    Autre point important soulevé par 60% de la population française¹ : le temps d’attente beaucoup trop long des patients pour accéder aux produits innovants. En effet, les patients sont 86% à se plaindre de ce délai¹ contre 65% des personnels soignants¹. Pour la recherche et le développement de nouveaux produits innovants, 77% des Français attendent plus de coopérations au niveau international¹. Et 3 personnes sur 4 souhaitent une meilleure collaboration entre les différents acteurs de la lutte contre le cancer¹, à savoir les pouvoirs publics, les ONG, les institutions académiques et les entreprises du médicament, afin d’accélérer les progrès en oncologie.

    « Avant d’être autorisées sur le marché français, toutes les molécules innovantes sont souvent autorisées bien avant aux Etats-Unis. En France, le volet réglementaire a pris le dessus. On cherche avant tout à se couvrir des risques d’image, financiers et sanitaires. Une telle approche très réglementée est antinomique avec une démarche d’innovation. La prise d’initiative doit être primordiale. Il faut viser une démarche plus globale qui prenne mieux en compte la qualité de vie des malades, développer des approches projets qui garantissent un haut niveau de sécurité sanitaire tout en simplifiant les processus et en réduisant les délais. Tout cela convergera vers une meilleure maîtrise des coûts » souligne Bernard Delcour.

    « Le public n’a pas conscience de la rigidité des critères qui s’appliquent à l’industrie et de la notion de « service médical rendu », c’est-à-dire du fait qu’un produit est jugé à la fois sur son efficacité et sur sa tolérance » ajoute le Professeur Philippe Rougier

     

    Optimiser l’accès des patients aux essais cliniques pour leur faire bénéficier des traitements innovants et faire avancer la recherche

    Les résultats de l’enquête PACE mettent en avant que 72% des Français souhaitent que les patients puissent participer à des essais cliniques¹. En effet, 56% de la population générale¹ considèrent que les essais cliniques offrent aux patients l’opportunité de faire progresser la recherche mais aussi de recevoir un traitement meilleur. Actuellement, seulement 15% des patients en France ont déjà participé à un essai clinique¹ ; 68% des patients affirment n’avoir jamais abordé ce sujet avec leur médecin¹.

    « Le rôle des médecins pour optimiser l’accès des patients aux essais cliniques est très important. Cela demande une certaine discipline parce qu’il existe beaucoup d’essais de types différents : les essais cliniques peuvent être menés par  les industriels, en particulier pour évaluer les  nouveaux produits, ces essais ne pouvant inclure qu’un nombre limité de patients ; ceux qui sont soutenus par le gouvernement à travers  les programmes hospitaliers de recherche clinique (PHRC) et ceux menés par les sociétés savantes » précise le Professeur Rougier.

    Enfin, 89% de la population française ne verraient aucune objection à ce que les médecins et les chercheurs exploitent leurs données médicales pour améliorer la recherche en oncologie¹. Près de 9 patients sur 10 en feraient de même pour aider les autres malades¹.

     

    « Le cancer n’attend pas, les malades non plus ! »

    Références

    [1] Etude PACE (Patient Access and Cancer Care Excellence) réalisée par les laboratoires Lilly auprès de la population, de patients atteints de cancer et de personnels soignants le cancer en Allemagne, en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Japon et aux Etats-Unis – août/octobre 2012. En France, 500 personnes issues de la population générale, 100 patients et 102 personnels soignants ont été interrogés du 24 août au 4 octobre 2012.
    [2] Une des plus grandes entreprises mondiales d’études, de sondages
    [3] Globocan 2008, IARC, 2010. 
    http://globocan.iarc.fr/factsheets/populations/factsheet.asp?uno=900
    [4] « La situation du cancer en France en 2012 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2012.
    http://www.e-cancer.fr/publications/69-epidemiologie/629-la-situation-du-cancer-en-france-en-2012
    [5] Dynamique d'évolution des taux de mortal- Collection Rapports & synthèses, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, novembre 2010.
    [6] Cancer Research UK, “Can cancer be prevented?”, http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerprevention http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerpreventionAccessed January 11, 2013.FRCPR00110 - Mai 2013

    lundi 20 mai 2013

    Découvrez en primeur l'édito du prochain N° de Couleurs MGEFI

    Progrès
    et réussites
     
        Serge Brichet  Président de la MGEFI
     
     
     
    L’adhésion de la MGEFI au groupe Istya et son entrée dans le réseau Optistya marquent de façon significative ce début d’année 2013.
     
    Ces deux démarches traduisent la volonté des élus et dirigeants de pérenniser notre Mutuelle dans son environnement et, en améliorant sensiblement les garanties et les services proposés, de renforcer l’accès aux soins.
     
    Elles illustrent, également, en partageant nos destinées et nos actions avec d’autres mutuelles de la Fonction publique, notre attachement à vouloir organiser la protection des adhérents dans un cadre adapté à leurs droits statutaires.
     
    Bien loin de défendre un pré carré, nous sommes sur la réaffirmation forte de valeurs fondamentales, au centre desquelles se placent les solidarités professionnelles.
     
    Dans une période où sont souvent soulignés la frilosité des initiatives communes, l’individualisme, nous manifestons clairement l’envie d’avancer sur la voie de nouveaux progrès et l’espoir de réussites collectives.
     
    D’autres dossiers majeurs viendront jalonner, dans les prochains mois, la route de la MGEFI : devenir de la gestion du régime obligatoire par les mutuelles de fonctionnaires, articulation des interventions assurance maladie/complémentaires, préparation du prochain référencement…
     
    Soyez convaincus que la MGEFI s’y investira, directement ou via ses engagements fédéraux, avec détermination en vue de préserver vos intérêts.
     
    À Paris,
    le 28/04/2013