Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 11 décembre 2015

Fondation de l' Avenir: retour sur un congrès réussi!



 

Chercher, soigner, accompagner : perspectives de la recherche, pratiques médicales et soins de demain.


Pour rendre compte de son soutien au progrès médical et éclairer les enjeux de soins à venir, la Fondation de l’Avenir organisait son 9e Congrès le mardi 8 décembre 2015 avec le soutien de la Matmut, fidèle et important partenaire.
Logée au sein de l'Institut Mutualiste Montsouris, cette journée a été l’occasion de faire un point sur l’avancée de la recherche médicale appliquée en général et des recherches soutenues par la Fondation en particulier.
Après l'ouverture de la journée par Daniel Havis, président du groupe Matmut, et Dominique Letourneau, président du directoire de la Fondation de l'Avenir, les premières discussions ont porté sur la neurochirurgie, discipline soutenue par la Fondation depuis plus de 28 ans, comme l'a présenté le Pr Guy Magalon, président du conseil scientifque de la Fondation. Les plus grands chercheurs français ont été invités à débattre sur les progrès en matière de localisation des fonctions cérébrales, des outils d’exploration de l’état du cerveau et des techniques de réparation possibles. Les recherches du Pr Alim-Louis Benabid, père de la stimulation cérébrale profonde, ont particulièrement été mises en exergue pour leur caractère avant gardiste.
La 2e table ronde de la journée, sous l'égide de l'Académie Nationale de Chirurgie, s’est articulée autour d’un véritable enjeu de société : la chirurgie des personnes âgées. Les intervenants ont abordé la question du rapport bénéfices/risques des interventions chirurgicales sur des personnes de plus de 75 ans atteintes d’un ou plusieurs handicaps moteurs ou mentaux. La question du consentement avec le patient âgé dépendant et ses proches ou ayant-droits a également été débattue.
La dernière partie du congrès était dédiée au déploiement de la télémédecine dans les structures pour personnes âgées dépendantes, les EHPAD. Les experts présents sont intervenus tour à tour sur cette problématique, en l’abordant notamment sous l’angle de la santé numérique et des initiatives portées par les établissements de soins et de santé mutualistes.
Conclue par Etienne Caniard, président de la Mutualité Française, cette 9e édition illustre ce qu’est la Fondation et ses préoccupations : chercher pour créer des conditions pour demain ; soigner ici et maintenant ; accompagner car un soin n’est pas suffisant en soi.
Vous pourrez retrouver très prochainement une synthèse de cette journée, par l’édition d’Actes et de reportages vidéo. Rendez-vous sur le site de la Fondation : www.fondationdelavenir.org

Le prochain congrès sera le 10e, en 2017, pour les 30 ans de la Fondation de l’Avenir.

lundi 24 juin 2013

État de santé sur LCP : en juin, "sport et santé : sentez-vous mieux"


En juin, l’émission « Etat de santé » de LCP Assemblée Nationale, produite par le groupe MGEN, se penche sur la question du lien entre sport et santé.

 

Le sport peut-il guérir ? Le sport permettrait-il de développer les capacités intellectuelles et limiter la dégradation de la mémoire ? Quelles maladies peut-il vraiment soigner et peut-il faire réaliser des économies de soins ? Et, si c’est le cas, comment faire pour encourager les Français à faire du sport ? Pourquoi ne serait-il pas pris en charge par les pouvoirs publics ?

 

Pour y répondre, Elisabeth Martichoux rencontre deux personnalités qui militent pour le développement du sport dans la société, et à l’école : Stéphane Diagana, ancien athlète, champion du monde du 400 mètres haies, et Arnaud Robinet, député UMP de la Marne et membre de la commission des Affaires sociales.

 


 

NDLR : MGEFI et IMAPS

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jeudi 6 décembre 2012

La vidéo santé de la semaine


Télémédecine : peut-on se faire soigner à distance - CANAL +
La vidéo 10:43

Source :
Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

mardi 27 novembre 2012

Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille !


 

 

Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ZENEO® en association avec un médicament traitant la polyarthrite rhumatoïde. Ce dispositif innovant permet aux patients de s’auto-administrer les doses prescrites en toute sécurité. Une révolution dans le monde médical et une avancée majeure pour l’entreprise. Explications.

 

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie dégénérative inflammatoire chronique qui se caractérise par une atteinte articulaire souvent bilatérale et symétrique. Evoluant par poussées vers la déformation et la destruction des articulations atteintes, elle nécessite notamment un traitement intensif et long. Dans la quasi majorité des cas, il se traduit par des injections d’antalgiques classiques, d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou de corticostéroïdes à faible dose. Des traitements de fonds existent également.

 

 

ZENEO®, un dispositif médical d’injection sans aiguille, attendu par les patients

 

« Pour soulager les personnes atteintes par la polyarthrite rhumatoïde tout en évitant les injections avec seringues et aiguilles ou des traitements parfois difficiles à suivre, Crossject a mis au point ZENEO®, un  dispositif d’injection sans aiguille, conçu pour faciliter l’auto-administration de médicaments injectables » explique Patrick Alexandre, PDG de Crossject.

 

ZENEO® est une innovation qui répond à des enjeux majeurs de santé publique encore non satisfaits :

 

-       Elimine la phobie de l’injection par aiguille qui affecte 10% de la population qui refuse pour cette raison de suivre le traitement médical (25% de la population est réticente),

-       Réduit le « stigma social » en améliorant la qualité de vie des patients par un dispositif auto-administrable qui banalise les traitements chroniques injectables qui sont ainsi mieux acceptés,

-       Favorise l’observance des traitements. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le mauvais suivi des thérapies chroniques est un problème mondial qui affecte 50% des patients.

-       Supprime les risques de contamination virale accidentelle des personnels de soin et de l’entourage des patients.

-       Accélère la prise en charge des situations d’urgence par sa simplicité d’usage pour sauver des vies ; ceci pour de nombreuses maladies telles que les allergies ou l’asthme où la rapidité d’intervention est déterminante.

Explications dans le communiqué ci-joint