Nora ANSELL-SALLES

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dimanche 10 janvier 2021

Janvier sans alcool : CHICHE!


Dans un contexte sanitaire, social et professionnel stressant, https://www.gueuledejoie.com premier acteur français de la distribution spécialisée de vins, bières, cocktails et spiritueux SANS ALCOOL, soutient les participants au Dry January 2021 ( https://dryjanuary.fr/ ) en France.

Ce MOIS DE JANVIER SANS ALCOOL sera singulier en toute forme ! L'heure est propice au changement et au « consommer autrement ». Les confinements successifs auront été des facteurs d'augmentation de la fréquence de consommation d'alcool.

Cette année, plus que jamais, les Français trouveront des bénéfices à s'abstenir de boire de l'alcool pendant un mois. Un mouvement venu d'Angleterre (5 millions de participants chaque année), devenu mondial, et qui connaît un réel engouement dans l'hexagone (plus d'un Français sur 10 a relevé le défi en 2020) pour "réinitialiser sa relation avec l'alcool" une fois par an et qui va de paire avec les modes de consommation plus sains.

L'occasion de découvrir une nouvelle manière de boire à travers l'offre d'une centaine de vins, bières, cocktails et spiritueux SANS ALCOOL disponible sur https://www.gueuledejoie.com :

- 40 vins désalcoolisés et boissons au profil de vin assemblés par des professionnels du vin aguerris
- 40 bières sans alcool de qualité en provenance de brasseries reconnues pour leur savoir-faire
- 40 cocktails et spiritueux sans alcool fruit de l'imagination de mixologues avertis et novateurs.

Pour en savoir plus
Site internet : https://www.gueuledejoie.com/

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/2019/11/DOSSIER-DE-PRESSE-GUEULE-DE-JOIE-DRY-JANUARY.pdf
Facebook : https://www.facebook.com/GUEULEDEJOIE/
Instagram : https://www.instagram.com/gueuledejoie/?hl=fr

Vous remerciant pour votre attention et vous souhaitant une agréable journée,

Bien cordialement,

Jean-Philippe Braud


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Désinscription : Si ce message ne vous intéresse pas, cliquez ici.

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mardi 17 décembre 2013

Libres propos signés José Bové


L'élevage pris en otage par les margoulins

 

Après la viande de cheval dans les lasagnes de l'affaire Spanghero du début de l'année, la viande mise en cause aujourd'hui dans le Sud de la France à Narbonne, son origine et sa traçabilité pourraient être plus préoccupantes car les prolongements pourraient être d'ordre sanitaire.

En effet, cette viande serait susceptible de provenir de chevaux ayant été utilisés dans le cadre de programmes scientifiques ou issus d'animaux traités aux antibiotiques.

 

  

Pour José Bové - Député européen - Vice-Président de la Commission de l'agriculture et du développement rural

 

"Le nombre de vétérinaires en charge du contrôle des abattoirs est en chute libre. En 2004, on en comptait 1650, il n'y en a plus que 1400 aujourd'hui. Les conséquences sont immédiates. Les possibilités de fraudes se multiplient. Le manque de scrupules d'une poignée d'escrocs jettent le discrédit sur l'ensemble de la filière animale. La dernière crise a entrainé la fermeture d'abattoirs, et de nombreux licenciements. Combien de personnes vont se retrouver sans emploi cette fois-ci ? Les répercussions vont bien au-delà du secteur chevalin. Les consommateurs n'ont plus confiance dans la viande. Ils attendent toujours de l'UE une traçabilité sans faille aussi bien pour la viande que pour les plats cuisinés.. Les producteurs  sont également frappés. Ils éprouvent de plus en plus de difficulté à écouler leurs animaux à un prix couvrant leurs coûts de production.

 

Au cours de ces quinze dernières années, la restructuration de la filière d'abattage a entraîné la disparition de très nombreux petits abattoirs de proximité dont la plupart arrivaient pourtant à répondre aux normes sanitaires européennes. La course au gigantisme des abattoirs notamment liés aux plus grandes entreprises de l'agro-industrie, doit être stoppée. Ces usines où les conditions de travail sont extrêmement éprouvantes doivent être démantelées progressivement pour ré-installer des abattoirs de proximité, plus faciles à contrôler, plus proches des paysans et des consommateurs.

 

Le nombre de vétérinaires doit être augmenté pour qu'ils soient en mesure d'effectuer correctement leur mission et assurer la sécurité alimentaire de millions de consommateurs. Sans une amélioration des conditions de contrôle sanitaire, c'est l'ensemble de l'élevage français qui courent le risque d'être mis à l'index dans les autres pays de l'Union européenne."

 

jeudi 7 novembre 2013

Le groupe MGEN fait évoluer son pilotage exécutif

Depuis la rentrée 2013, le groupe MGEN a mis en place une nouvelle organisation des responsabilités au sein de son Bureau national et structuré les directions opérationnelles en 4 grands pôles.

 
Les fonctions dirigeantes assumées par des élus mutualistes sont dorénavant structurées selon les livres du Code de la mutualité : mouvement mutualiste, offre d’assurance maladie et mutualiste, offre sanitaire, médico-sociale et sociale.

Les directions opérationnelles sont réparties entre 4 Directions Groupe Adjointes (DGA) : « Assurance obligatoire et complémentaire », « Santé, sanitaire et social », « Finances » et « Affaires générales ».

       


 

En savoir plus :
Benoît Coquille
Direction de la Communication – Relations presse
01 40 47 23 92/ BCOQUILLE@mgen.fr
3, square Max Hymans - 75748 PARIS cedex 15
Retrouvez les communiqués sur la page presse de mgen.fr
Twitter : @groupe_mgen
 

NDLR : MGEFI et Groupe MGEN  Istya
Istya en campagne : le film !                               
  • La MGEFI et son environnement                               
  • Des faits et des chiffres                               
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  • mardi 24 septembre 2013

    Une rentrée mitigée pour la prévention du tabagisme


    En ce contexte de rentrée parlementaire, sanitaire et fiscale, l’actualité dans le cadre de la lutte contre le tabagisme est tout aussi riche que controversée.

     

    Notons les conclusions du Plan Cancer 2, soulignant notamment un manque en matière de prévention, les préconisations du Professeur Vernant pour le Plan Cancer 3, le report du débat sur la directive tabac au Parlement européen, directive supposée donner le « la » en matière de lutte contre le tabagisme ainsi que le vote des Sénateurs (après celui des députés en juillet) de l’interdiction de la vente de la cigarette électronique aux mineurs.

     

    Une rentrée mitigée pour la prévention du tabagisme

    Les préconisations pour un troisième Plan Cancer après le bilan du second

     

    Plusieurs actualités soulèvent des questions dans le champ de la lutte contre le tabagisme.

    Tout d’abord, la remise du bilan du Plan Cancer 2 (2009-2013). Le point noir de ce rapport concerne la prévention. Ce rapport souligne les manques du plan Cancer 2, puisque tout d’abord seules 60% des actions du Plan Cancer 2 ont été réalisées ou le seront d’ici la fin de 2013. Ces lacunes concernent tout particulièrement la prévention car seules 21 actions (sur 37) ont été réalisées dans ce domaine, notamment dans le cadre de la prévention dans le cadre du tabac. L’Institut National du Cancer () souligne un retard dans l’application de la mesure 10-1 visant à réduire l’attractivité du tabac et de la mesure 10-2 visant à renforcer la politique d’aide au sevrage tabagique. La consommation n’a ainsi pas diminué en France alors même qu’elle est la première cause de décès liée au cancer en France. De même, les inégalités sociales au sein de la consommation tabagique sont toujours fortes, avec une augmentation de celle-ci chez les chômeurs. La mesure 10-2 du Plan Cancer 2 reposait sur un triplement du forfait de prise en charge au sevrage tabagique, étendu aux bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (CMU) comme cela avait été prévu. Cela n’a ainsi pas été réalisé, lire la suite…

     

     
    Plus d'information sur
     

    mardi 26 février 2013

    LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin


    Médicament : sûr que c'est sûr ?




    L'Assemblée Nationale débat cet après-midi de la sécurité sanitaire du médicament.

    En pleine mélasse Mediatorienne qui voit les indemnisations « rapides » des victimes s'engluer chaque jour à l'épreuve de la réalité des préjudices déclarés, au cœur des cérémonies de spiritisme célébrées par les intégristes anti-labos et au centre de la polémique contraceptive et générationnelle, les discussions s'annoncent aussi chaudes… que stériles.

    Sans être oiseau de mauvais augure, on est déjà à peu près certain qu'il ne sortira rien de ce nouveau débat de Chambre que des échanges assassins sur les responsabilités respectives des majorités successives.

    De 15h00 jusqu'à plus soif, on va se balancer à la face les scandales sanitaires que ni les uns ni les autres n'auront pu éviter ou même vu venir, malgré les changements de nom et de statut des agences chargées de garantir la qualité des produits de santé, malgré la chasse aux liens d'intérêts entre experts médicaux et industrie pharmaceutique.

    Pas folle, c'est cette même industrie pharmaceutique – pourtant conspuée par tous les bords politiques – qui a pris les devants dans une lettre adressée hier aux députés et formule des propositions que les élus se seraient grandis à discuter aujourd'hui sans son aide.

    Recherche, épidémiologie et surveillance post-AMM forment les 3 domaines de mesures que les entreprises du médicament ont soumis aux députés. Les observateurs attentifs de l'action des lobbyistes ne manqueront pas de remonter aux sources d'inspiration parlementaire à l'issue du débat.

    Jacques DRAUSSIN

    mardi 12 février 2013

    LIBRES PROPOS signés Jacques DRAUSSIN



    L'étalon dans l'estomac

    Nos fidèles lecteurs [il y en a !] nous donnent quitus d'au moins une qualité : le chiffon rouge des peurs médicales ne fait pas partie de notre boite à outils éditoriale.
    Loin de nous donc l'idée de vouloir transformer en scandale sanitaire une arnaque à la consommation, quelle qu'en soit l'ampleur.

    Pourtant, il est difficile de ne pas mettre en doute la réalité de la fameuse « traçabilité » agroalimentaire qui devrait, nous assure-t-on, quasiment permettre d'appeler par son prénom le steak que l'on sert dans notre assiette.

    Que la viande de son hachis Parmentier arrive de Roumanie par l'intermédiaire de traders néerlandais puis chypriote, achetée par un sous-traitant du Sud-ouest pour le compte d'un grossiste de Lorraine travaillant via le Luxembourg pour 15 marques internationales de surgelés et autant de distributeurs… c'est déjà dur à avaler.

    Mais qu'on ne se préoccupe à aucun moment, malgré une kyrielle de contrôles sanitaires et douaniers successifs, de distinguer entre le cheval et le bœuf amènerait le plus crédule d'entre nous à soupçonner les services vétérinaires de ne pas être en mesure de repérer une trichine chevaline en ne cherchant qu'un prion bovin, voire de laisser passer les traces d'un remède de cheval de type phénylbutazone…

    Toute la filière viande se retrouvait hier soir à Bercy pour trancher la question de la consommation. Ce sont les mêmes qui pourraient bientôt prendre le chemin de l'avenue de Ségur pour tailler une petite bavette sanitaire.

    Jacques DRAUSSIN

    Désormais, retrouvez également Bien Sûr Santé sur 21 chaines TV régionales de la TNT, en association avec l'émission quotidienne « Place à la Santé ». Cette semaine, 5 émissions sur le thème : « Faut-il croire à la prévention ? ».

    Vidéos à découvrir sur
    www.biensur-sante.com


    vendredi 25 janvier 2013

    « Libérez nos données ! »


    Depuis plusieurs décennies maintenant des informations de santé sont collectées dans de nombreuses bases de données informatisées. Au premier rang desquelles figure le système national d’information inter-régimes de l’assurance maladie (SNIIRAM).

     

    Nous avons besoin de ces données. Non pas des données individuelles nominatives légitimement protégées par la loi, sous le contrôle de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. Mais des données collectives anonymes qui constituent un bien commun, de connaissance et de savoirs potentiels, dont nous sommes privés alors que ces données ont été collectées par des services financés par nos impôts et nos cotisations. Nos données nous appartiennent !

     

    ·         Nous avons besoin de ces données parce que nous en avons tous assez d’attendre un scandale sanitaire pour nous apercevoir que nous aurions pu savoir, et donc l’éviter ou l’atténuer, si on nous avait laissé chercher. Qui peut croire que la dérive des prescriptions du Mediator ou des pilules de 3ème et 4ème générations n’était pas lisible pour qui pouvait et voulait le détecter ? On aurait du nous laisser voir et faire savoir.

     

    ·         Nous avons besoin de ces données pour plus de démocratie dans les décisions de santé publique car nous en avons assez d’un débat « formaté », sur la base d’analyses publiques contre lesquelles nous ne pouvons produire aucune contre-expertise fondée sur une approche citoyenne des faits. Ceux qui décident critiquent nos sondages et nos témoignages, mais ils ne nous donnent pas l’accès aux bases de données ! Ils ne nous laissent même pas la chance de confronter nos témoignages et notre approche de terrain avec des analyses statistiques en population globale.

     

    ·         Nous avons besoin de ces données pour gagner nos combats. Récemment encore, le Conseil d’Etat rejetait une requête de notre collectif au motif que nous ne rapportions pas la preuve. Mais nous sommes privés d’un droit au procès équitable dans la mesure où nous sommes privés d’accès aux données publiques pour démonter que nous avons raison. Combien de fois pressentons-nous qu’une mesure décidée en vue de faire des économies et en fait une mesure coûteuse et combien de fois avons-nous été privés de le démontrer. Devant les juges comme devant l’opinion.

     

    ·         Nous avons besoin de ces données pour faire nos choix dans les prestations de soins, car elles ne sont pas toutes de même qualité. Et elles ne sont pas toutes pertinentes. Cela aussi, nous avons le droit de le savoir. Car nul n’a à être contraint à des soins inutiles. Et nul ne doit payer un prix disproportionné. Il en va de l’accès à des soins de qualité.

     
     
    Pour toutes ces raisons, le CISS, qui dispose en théorie d’un accès à certaines données par sa participation à l’Institut des Données de Santé mais pas des moyens de les exploiter, est membre de l’initiative Transparence Santé et appelle à signer son manifeste sur www.opendatasante.com/petition. A suivre aussi sur Twitter : @opendatasante.

     


    ______________________________________________________________________________________________________

    ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

    APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

    France Parkinson - FSF - La CSF - Le LIEN - Les Aînés Ruraux - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde - ORGECO

    SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

     

    lundi 10 décembre 2012

    CREDIT D’IMPOT COMPETITIVITE ET EMPLOI


     
    La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

     

    Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

     

    Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

     

    Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

     

    Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.

     

     

     

     

    La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

     

    Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

     

    Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

     

    Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

     

    Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.