Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 6 novembre 2013

PLFSS : Un risque de nivellement par le bas de la qualité des équipements optiques des Français


Le projet de loi de Financement de la sécurité sociale 2014 (article 45) introduit deux mesures ayant un impact direct sur l’accès aux équipements optique et aux modalités de prises en charge.

"Si sur le fond, les mesures liées à l’optique peuvent apparaitre intéressantes, leur rédaction laisse clairement présager le renforcement des inégalités sociales et économiques, la mise à mort de notre système de protection sociale à la Française et de la filière optique au profit des complémentaires santé, seules vraies gagnantes des différentes mesures en cours de discussion !"
explique Christian Roméas, président du SynOpE.

La première mesure vise à étendre le dispositif CMUC aux bénéficiaires de l’ACS (700 000 personnes environ). La détermination de ces tarifs est renvoyée à la négociation conventionnelle tripartite. Mme La Ministre avertit : si la négociation n’aboutit pas, elle tranchera par décret !

"Mais quelle négociation Mme la Ministre ? Dans la mesure où vous la promettez sans cesse mais ne la mettez jamais en place !"

s'insurge Christian Roméas.

La seconde mesure concerne tous les français qui bénéficient d’une complémentaire santé par le biais des Contrats responsables (93% des contrats). Le gouvernement veut fixer un montant minimal de prise en charge et un plafond tarifaire.

Si nous sommes favorables à étudier la détermination d’un plancher et d’un plafond de remboursement, cela ne doit s’envisager QUE dans la concertation avec les professionnels de l’optique mais tel n’est pas le cas !

Les professionnels de santé directement concernés n’ont même pas été consultés sur cette mesure.
La rédaction du texte revient à fixer de manière déguisée des tarifs imposés au secteur de l’optique ! Avec des milliers de perte d’emplois à la clé !

Ce plafond tarifaire sera-t-il basé sur le tarif de responsabilité qui n’a pas été modifié depuis plus de 30 ans ? Et sans qu’aucune étude d’impact économique n’ait été réalisée ?

Faut-il accepter de mettre à mort la filière optique française au profit des seules complémentaires santé et au détriment de la qualité des produits optique accessibles aux français ?


Le SynOpE attend de la Ministre de la Santé qu’elle mette ENFIN en œuvre la concertation avec les professionnels de l’Optique qu’elle ne cesse de promettre mais que nous attendons toujours, alors que pendant ce temps là, les mesures pleuvent

NDLR : MGEFI ET OPTIQUE
La MGEFI et sa vision de l'optique avec Optistya                     
Rechercher un professionnel de santé                     
Remboursement des équipements d'optique vendus en ligne
Foire aux questions sur la santé                     
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Foire aux questions sur la prévoyance                     
Foire aux questions pratiques                     
Réaliser vos simulations                      
Fiches pratiques santé                     
La MGEFI, une nouvelle vision de l’optique avec Optistya
 
 

 
 
 

jeudi 13 juin 2013

La mutualité innove en Alsace et rend ses services de soins "encore plus" accessibles...

 
« La mutualité Française Alsace rend ses services de soins accessibles aux personnes sourdes et malentendants»
 
Afin de favoriser l’accès de tous à ses services, la Mutualité Française Alsace a choisi de rendre son réseau de soins accessible à toutes les personnes sourdes et malentendantes via la plateforme Acceo.
 
Depuis début mai, grâce à ce service, toute personne sourde ou malentendante, quel que soit son mode de communication, peut désormais contacter par téléphone ou venir dans les centres optiques, dentaires et audio en complète autonomie…
 
 
 
 
 
La France compte près de 6 millions de personnes en situation de handicap auditif (source enquête ministérielle Le Handicap Auditif en France).
Parmi les personnes souffrant d’une déficience auditive profonde ou totale :
L’initiative prise par la Mutualité Française Alsace permet d’anticiper les exigences de la loi
n°2005-102 pour l’égalité des droits et des chances, en favorisant l’accès aux soins de qualité pour tous et en luttant contre l’exclusion.  
 
COMMENT ÇA MARCHE ?
Un Service de mise en relation entre personnes entendantes et personnes sourdes ou malentendantes
  
De son domicile, l’usager sourd se connecte sur le site internet de la Mutualité Française Alsace www.mf-alsace.com pour télécharger l’application Acceo, signalée par un code visuel.
 
1 Il se met en relation avec un opérateur Acceo (interprète ou transcripteur) via une webcam et un micro hautparleur.
 
2 L’Opérateur Acceo contacte par téléphone le service concerné et la conversation peut démarrer.
 
3 L’opérateur, qui travaille en simultané, traduit ou transcrit la conversation entre la personne sourde et son interlocuteur entendant.
 
Mutualité Française Alsace – Services de Soins et d’Accompagnement Mutualistes
10 rue de la Durance – BP 10046 – 67023 STRASBOURG CEDEX 1
Tél. 03 88 55 91 00 – Fax 03 88 84 29 69
www.mf-alsace.com

mardi 27 novembre 2012

Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS


Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l'opticien agréé

 

Convaincue que l'organisation en réseaux d'opticiens agréés est une réponse à la diminution du reste à charge en optique pour les ménages, la Mutualité Française a fait réaliser une enquête par IPSOS pour cerner les attentes et les opinions des Français qui ont récemment acheté des lunettes correctrices chez un opticien appartenant à un réseau agréé : niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d'achats en optique.

 

Une satisfaction globalement élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l’opticien agréé

 

Constat :: Un accès aux soins difficile, notamment dans le secteur de l’optique

 

La difficulté d’accès aux soins, notamment pour les catégories sociales les plus modestes, est un constat partagé par tous. Actuellement en France, plus de 15% des Français déclarent renoncer à se soigner, et 25% d’entre eux pour des raisons financières, ou retardent des soins1.

 

Les contraintes financières se concentrent sur deux postes de dépenses en particulier : les soins dentaires et les soins optiques, devant les consultations de médecins généralistes et spécialistes2.

 

Concernant les soins optiques, plus de 2 millions de Français y renoncent ou les reportent chaque année pour des raisons financières.

 

En effet, l’optique coûte cher. Il s’agit d’un secteur très faiblement remboursé par la Sécurité sociale, de l’ordre de 4% de la dépense facturée. Les complémentaires santé prennent en charge 66% de la dépense et les ménages 29% en moyenne3. Le prix moyen d’un équipement d’optique est quant à lui de 277 euros pour des verres unifocaux, et de 591 euros pour des verres progressifs.

 

 

2 Français sur 3 portent des lunettes correctrices.

Plus de 4 porteurs de lunettes sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois. Enquête IPSOS « Les Français et l’optique », septembre 2012.

 

Le renoncement aux soins optiques est principalement lié à un reste à charge important pour les assurés du fait du désengagement de la Sécurité sociale du secteur de l’optique.

 

 

 

Enquête auprès d’’utiilliisateurs de réseaux d’’optiiciiens agréés par lles mutuelllles :: Les principaux résultats de l’enquête IPSOS4

 

Cette enquête porte sur les attentes et les opinions des Français ayant récemment acheté une paire de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle.

 

Elle montre une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, notamment liée au rapport qualité/prix des verres (93%). Et la satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau pour une partie d’entre eux. Elle révèle aussi des comportements exigeants et des achats éclairés avec des critères de choix de l’opticien agréé très centrés sur le reste à charge.

 

Des comportements exigeants et des achats éclairés

 

Comme pour les porteurs de lunettes en population générale, les acheteurs de lunettes correctrices auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé s’intéressent au coût de l’équipement avant d’acheter, 65% :

 

46% ont fait établir un ou plusieurs devis par des opticiens,

 

44% ont calculé et comparé le montant des dépenses qui resterait à leur

charge,

 

26% ont comparé les prix et les prestations chez plusieurs opticiens,

 

35% se sont également renseignés auprès de leur complémentaire.

 

Les critères de choix de l’opticien agréé sont très centrés sur le reste à charge :

 

74% des acheteurs de lunettes ont choisi leur opticien agréé pour le tiers payant et/ou le montant du remboursement,

 

71% ont pris en compte le rapport qualité-prix des verres et/ou des montures proposés.

 

Ces acheteurs ont également des exigences élevées quant à la qualité de l’ensemble des prestations proposées : ainsi, la proximité du point de vente pour 70%, la disponibilité pour 68% et la qualité d‘écoute pour 68% ont été des critères de choix importants.

 

 

Une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles

 

81% des acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé se sont déclarés satisfaits de leur dernier achat, vs 71% de l’ensemble des porteurs de lunettes.

 

Les différences portent principalement sur la satisfaction quant :

 

· au rapport qualité /prix des verres, 93% vs 88%,

 

 

· au tiers-payant proposé, 91% de satisfaits vs 79% pour les porteurs de lunettes correctrices en population générale,

 

· aux services/offres proposés, 87% vs 79%,

 

· au montant du remboursement, 83% vs 72%.

 

 

La satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau : 22% des acheteurs chez un opticien agréé sont plus satisfaits que lors de leur achat précédent, 70% sont autant satisfaits.

 

 

Un réseau d’’optiiciiens agréés,, c’’est quoii ? Quels sont les avantages en matière de coût et de qualité ?

 

Depuis le désengagement de la Sécurité sociale et pour faciliter l’accès aux soins des patients, les mutuelles ont pris le relais dans le secteur de l’optique.

 

Pour cela, elles ont créé des réseaux d’opticiens agréés. Ces réseaux ont pour double objectif de réguler le prix des lunettes et d’améliorer la qualité générale des prestations proposées en optique, pour au final maîtriser le montant des cotisations des mutuelles et les restes à charge de leurs adhérents.

 

Le principe du réseau

 

Régulièrement les mutuelles mettent en concurrence tous les opticiens qui le souhaitent sur des critères transparents de prix, de qualité, de service et de conseil, en tenant compte des conditions de mise en place des appels d’offres des réseaux de professionnels de santé agréés définis par l’autorité de la concurrence dans un avis de septembre 2009. Elles sélectionnent ensuite les offres, qui répondent à ces critères, des opticiens qui souhaitent faire partie d’un réseau. Et tout en laissant le libre choix de leur opticien à leurs adhérents, elles les orientent, sans aucune obligation, vers des opticiens agréés, pour qu’ils bénéficient de meilleurs prix et d’engagements de qualité et de services contractés, comme la dispense d’avance de frais ou la garantie d’une prise en charge par des opticiens professionnels et qualifiés.

 

En créant des réseaux, les mutuelles jouent un rôle de négociateur entre l’offre et la demande pour le compte de leurs adhérents, qu’elles représentent. Elles régulent ainsi le secteur de l’optique, qui sans leur intervention serait inflationniste, et elles évitent la mise en place d’une économie de rente pour certains professionnels qui pourraient être tentés d’ajuster leurs tarifs sur le niveau de remboursement de la mutuelle et non sur la réalité du  besoin en équipement.

 

Aujourd’hui, 7 700 opticiens sont membres des réseaux d’optique créés par les mutuelles sur environ 12 000 opticiens en France.

 

Lutter contre un système inflationniste

 

A titre d’exemple, le panier moyen, observé par les mutuelles gestionnaires de réseaux, d’un adhérent d’une mutuelle pour un équipement optique acheté au sein d’un réseau est en moyenne inférieur de 17,5% au prix moyen constaté hors réseaux.

 

Par ailleurs, pour un équipement acheté en dehors d’un réseau, le reste à charge pour le patient est en moyenne 40% supérieur.

 

Investir dans la qualité

 

En mettant en place des réseaux d’opticiens agréés, les mutuelles ne cherchent pas seulement à réguler un secteur inflationniste.

 

Sélectionnés sur des critères transparents de qualité et de prestations telles que la garantie anticasse, l’échange, l’adaptation…, les 7 700 opticiens membres des réseaux d’optique mutualistes induisent, par leurs pratiques, une hausse qualitative générale des prestations proposées dans le secteur de l’optique.

 

Leur engagement à offrir les prestations au meilleur rapport qualité – prix à leurs adhérents permet aux mutuelles d’investir de façon continue dans l’offre de santé, de manière bénéfique pour les patients comme pour le secteur de l’optique.

 

Ainsi, de 2008 à 2010, les organismes d’assurance maladie complémentaire ont constaté une augmentation des prestations versées au titre des remboursements en optique de 14%. D’autre part, les mutuelles qui s’appuient sur un réseau d’opticiens agréés constatent que le nombre d’adhérents équipés augmente. De même, elles améliorent le niveau de leurs prises en charge, sans inflation globale pour autant sur le poste des prestations d’optique. Le reste à charge est réduit à zéro pour nombre d’adhérents et leur satisfaction est accrue.

 

 

Les réseaux d’opticiens agréés :: pour lutter contre les idées reçues

 

 

Avec les réseaux, les adhérents n’ont plus la liberté de choisir leur opticien.

 

FAUX - La mutuelle n’impose d’aucune façon à l’adhérent le choix de son

opticien.

 

Quel que soit l’opticien choisi, au sein d’un réseau ou non, l’adhérent conserve le bénéfice du remboursement de sa mutuelle.

 

En revanche, si l’adhérent fait le choix d’un opticien agréé, sa garantie mutualiste lui permet de renforcer son accès aux soins au plus juste coût. Il va alors bénéficier de plusieurs avantages comme la dispense d’avance de frais grâce au tiers payant et la qualité des produits définis conventionnellement avec les opticiens agréés.

 

L’adhérent bénéficie d’une prise en charge de ses frais, qu’il se rende ou pas dans le réseau d’opticiens agréés.

 

 

Les réseaux permettent aux mutuelles d’augmenter leurs marges et de réduire leurs prestations.

 

FAUX - Les réseaux permettent un meilleur contrôle des prix au bénéfice des

adhérents.

 

La part de l’optique dans le total des prestations des mutuelles (Organisme Complémentaire d’Assurance Maladie) a augmenté de 14% entre 2008 et 2010. Les mutuelles continuent donc à rembourser massivement leurs adhérents dans un secteur délaissé par la Sécurité sociale.

 

Les réseaux d’optique permettent aux mutuelles de jouer un rôle de régulateur des prix dans un secteur très inflationniste. Depuis le désengagement de la Sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les seules à pouvoir jouer ce rôle et éviter une économie de rente pour certains professionnels de santé.

 

Il est donc faux de dire que les mutuelles cherchent à réduire leurs prestations par la mise en place d’opticiens agréés. Les réseaux permettent au contraire aux mutuelles d’investir dans la qualité et d’améliorer les prestations rendues à l’adhérent.

 

Les mutuelles investissent massivement dans le secteur de l’optique tout en jouant un rôle de régulateur des prix nécessaire dans un secteur inflationniste.

 

3. Les réseaux baissent la qualité et réduisent l’accès aux différents types d’équipement optique.

 

FAUX - Les réseaux proposent toutes les gammes d’équipement optique.

 

La qualité ainsi que la sécurité des actes et prestations au sein des réseaux relèvent des pouvoirs publics. Les autorités sanitaires continuent à fixer les règles de fabrication, de délivrance et autres caractéristiques des produits de santé.

 

Les mutuelles définissent des critères qualité qui s’ajoutent à ceux qui relèvent des pouvoirs publics pour le bénéfice de l’adhérent (ex : conditions de service après-vente).

 

 

Les réseaux permettent d’accéder à des produits « entrée de gamme », « milieu de gamme » ainsi

qu’à des produits dits « haut de gamme ».

 

Les réseaux permettent au contraire une hausse qualitative des prestations proposées par les opticiens et définies contractuellement entre les mutuelles et leurs réseaux.

 

4. Les réseaux agréés ne sont pas accessibles partout sur le territoire.

 

FAUX - Les réseaux sont conçus en fonction de la couverture du territoire.

 

La couverture du territoire est l’un des principaux critères de sélection des opticiens agréés par les mutuelles.

 

Ainsi, les mutuelles ont pour objectif de s’assurer que tous les adhérents aient un opticien agréé à proximité de leur domicile.

 

Les mutuelles ont aussi pour objectif de s’assurer que leur réseau d’opticiens maille l’ensemble du territoire, en fonction de la présence de leurs adhérents, et sur des critères précis et mesurables.

 

 

Seules les grandes enseignes peuvent être agréées par les mutuelles.

 

FAUX - Les réseaux sont ouverts à tous sur des appels d’offres libres et transparents.

 

Les réseaux mis en place par les mutuelles accueillent indifféremment tous les offreurs de santé demandeurs qui remplissent les conditions définies conventionnellement : tarifs, qualité, gamme de produits, etc.

 

Les réseaux d’opticiens agréés accueillent donc indifféremment des opticiens indépendants ou sous enseignes qui remplissent des critères de prix et de qualité définis conventionnellement.

 

 

6. Les réseaux de soins détruisent l’industrie optique française.

 

FAUX - Il existe autant de ‘’Made in France’’ dans les réseaux qu’ailleurs.

 

Les opticiens agréés, tout comme les opticiens non agréés, se regroupent en centrales d’achat. La quasi-totalité des fabricants de verres correcteurs présents sur le territoire national est référencée au sein des réseaux.

 

Par ailleurs, la part de verres ‘’made in France’’ chez les opticiens agréés est identique à celle des opticiens non agréés.

 

1 IRDES, Questions d’économie de la Santé – enquête sur le renoncement aux soins, 2011.

2 E tude de l’Institut de Recherche et de Documentation en Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011.

3 DRESS, Comptes nationaux de la santé - Le 1% manquant correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les

bénéficiaires gérés par les organismes de base.

4 Cette enquête a été réalisée du 24 au 29 octobre 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est effectuée par téléphone auprès d’un échantillon de 503 acheteurs de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle. L’échantillon est représentatif des acheteurs de lunettes correctrices au cours des mois de mai et juin 2012, selon la structure des fichiers d’acheteurs fournis par la Mutualité Française, sur les critères de sexe, âges, mutuelle, réseau agréé par les mutuelles, région et catégorie d’agglomération.

 

Recevoir les éléments : nansellsalles@mgefi.fr / www.mutualite.fr