Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 5 mars 2014

Santé bébé : protéger les dents de lait contre les caries


Les dents de lait sont trop précieuses pour ne pas en prendre soin dès le plus jeune âge !

Pour protéger les dents de lait le plus longtemps possible contre les caries, tout en respectant la santé de bébé, Nûby propose trois produits 100% naturels qui accompagneront l'enfant, de ses premières poussées dentaires jusqu’à la venue des dents définitives : un gel gingival, un gel dentaire nettoyant et un dentifrice.

Récompensée en janvier 2014 par le Baby Product Award de l’Innovation, la gamme de soin Citroganix  de Nûby est la première gamme 100% naturelle composée de 12 produits, pour le soin et l’hygiène de bébé, qui créent une barrière naturelle contre les bactéries et autres germes. Sans phénoxyéthanol, sans paraben, à la fois curative et préventive, la gamme Citroganix contient un  actif, le Citrox, efficace à 99,99 % contre les germes (bactéries, levures, champignons et protozoaires) et qui possède une activité rémanente de 4 heures.

Parmi ces 12 produits de la gamme CitroganixTM , le gel gingival, le gel dentaire nettoyant et le dentifrice apportent une réponse adaptée aux soins des gencives et des dents de lait.





jeudi 3 octobre 2013

Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur les objets :


Pour protéger les tout-petits, prenez vos précautions

Se laver régulièrement les mains, ne pas tousser devant un bébé, porter un masque… De simples gestes de prévention permettent de préserver les tout-petits en réduisant les risques de bronchiolite. Pourtant, les gestes ne sont pas toujours bien connus et mis en pratique par les Français. Seulement 6 personnes sur 10 se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper d’un nourrisson1. Très contagieux, les virus responsables de la bronchiolite affectent les bronches des bébés et peuvent être responsables de complications nécessitant une hospitalisation. A l’approche des premiers froids, l’Inpes rappelle les réflexes à avoir pour limiter les risques de transmission dans un livret d’information en ligne : « La bronchiolite ».

 

 

Faire la chasse aux virus de la bronchiolite en adoptant les bons réflexes !

 

Selon les résultats d’une enquête menée par l’Inpes en 2012, les Français ont plutôt conscience de la nécessité des gestes de prévention face aux virus de l’hiver : 79% d’entre eux déclarent adopter au moins une précaution vis à vis des infections respiratoires de l’hiver. Sachant que le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur une surface inerte2 comme les jouets, tables, poignées de porte…il faut faire attention de ne pas échanger les effets personnels des différents enfants de la famille (biberons, couverts, etc.) et de les laver soigneusement. Les mains étant un moyen de transport idéal des virus, il est important de se les laver régulièrement et de se couvrir la bouche avec le coude quand on tousse. En période d’épidémie, quelques autres gestes simples sont à adopter. Si certains d’entre eux sont devenus pour la plupart des Français un réflexe, certains restent encore peu adoptés.

 

Les gestes les plus adoptés par les Français pour diminuer les risques de transmission :

 

Ne pas embrasser un bébé sur le visage ou sur les mains en cas de rhume et de toux. Même si deux tiers (67 %) des parents d’enfants de moins de 5 ans ne les embrassent jamais quand ils sont malades, 8% continuent à le faire souvent voire systématiquement.

 

Se laver régulièrement les mains à l'eau et au savon pendant au moins trente secondes, particulièrement avant de s’occuper d’un bébé.

Le lavage de mains arrive en tête des gestes de précaution pour protéger les enfants de moins de 2 ans spontanément cités : 22% des Français et 34 % des parents d’enfants de moins de 5 ans. Néanmoins, seulement 59% des Français se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper des nourrissons. Par ailleurs, 37 % de l’ensemble de la population (29 % des parents) n’utilisent pas systématiquement le savon quand ils se lavent les mains à l’eau. Concernant les solutions hydro-alcooliques, elles se sont largement répandues (plus des trois quarts de la population en a déjà utilisées) ; elles sont plus plutôt utilisées à l’extérieur de la maison (51% déclarent les utiliser fréquemment à l’extérieur du domicile vs 33 % à l’intérieur).

 

Des habitudes à améliorer …

 

Eternuer et tousser en se couvrant la bouche avec le coude, le bras/la manche ou un mouchoir jetable. Quasiment tous les Français se couvrent la bouche en cas d’éternuement ou de toux (98%) principalement avec la main (48%) et plus rarement avec le coude (11%). Le réflexe de se couvrir la bouche avec le coude est plus fréquent chez les parents d’enfants de moins de 5 ans. Ils sont 19% à le faire.

 

1 Etude Inpes / BVA – novembre 2012 – échantillon national représentatif de 1206 personnes dont 306 parents de moins de 5 ans.

2 Kramer A, Schwebke I, Kampf G. How long do nosocomial pathogens persist on inanimate surfaces? A systematic review. BMC infectious

diseases. 2006;6:130. Epub 2006/08/18.

2

Porter un masque chirurgical pour s’occuper d’un bébé (en vente en pharmacie).

Peu de parents de jeunes enfants ont recours au masque pour éviter de contaminer leur entourage lorsqu’ils sont enrhumés ou grippés : ils sont 6 % à l’utiliser souvent ou systématiquement.

 

Mis à part ces conseils d’hygiène, il est important d’éviter les visites de personnes malades (enrhumées, notamment) ou d’éviter de leur rendre visite avec un bébé. Il faut aussi éviter d’emmener un nourrisson dans des lieux publics où il risquerait d’être en contact avec des personnes malades (centres commerciaux, transports en commun…), surtout s’il a moins de 6 mois.

 

S’il est indispensable d’adopter quelques gestes pour préserver son bébé des virus, il est aussi important de le laisser dans un environnement approprié : sain, non enfumé, aéré quotidiennement et maintenu à une température à 19 degrés.

 

Parents, tout comprendre et tout savoir sur la bronchiolite

 

Qu’est-ce que la bronchiolite ? Comment limiter les risques de transmission du virus ? Que faire si son bébé est malade ? Les parents se posent fréquemment des questions en période hivernale.

 
Afin de répondre à leur inquiétude et leurs interrogations, l’Inpes met à leur disposition un livret d’information qui permet de faire le point sur la maladie : « La bronchiolite ». Ce livret est téléchargeable sur le site www.inpes.sante.fr. Il est mis gratuitement à disposition du grand public chez les médecins, pédiatres, kinésithérapeute, dans les crèches et à la CAF.



NDLR : MGEFI et BRONCHIOLITE
 
 
 
 
bronchiolite bb                               
  • Bronchiolite : campagne annuelle d'info nov-avril enfants 0-2 ans                               
  • Bronchiolite                     
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    jeudi 14 mars 2013

    Prévoir aujourd'hui pour se protéger demain

    LE GUIDE PRÉVOYANCE MGEFI VIENT DE PARAÎTRE
     Ce nouveau document de près de quarante pages rassemble l’ensemble des informations sur la couverture prévoyance des membres participants directs.

     

    Les garanties statutaires et les différentes options sont détaillées, les prestations sont clairement expliquées. Tous les renseignements sur un sujet complexe mais emblématique de la vocation solidaire de la MGEFI sont ainsi réunis en un document unique initié par la Direction de l’offre et de la qualité.
     
    D’ores et déjà accessible en ligne sur EDL et internet, le guide version papier est diffusé depuis le début du mois  auprès des conseillers mutualistes pour les aider à accompagner les adhérents dans leur choix de couverture face aux risques majeurs de l’existence.
     
    www.mgefi.fr

    vendredi 8 mars 2013

    C'est à lire : « Le guide pratique des Donations et des Donations-Partages » Savoir donner, anticiper, protéger, économiser de Christophe Chaillet - Editions Lextenso

    Christophe Chaillet a l’art de rendre limpide pour tout un chacun des problèmes de gestion de patrimoine qui, à première vue, devraient rester l'apanage des juristes professionnels ! Son ouvrage sur les donations et donations-partages, qui concernent aujourd'hui de plus en plus de nos concitoyens, analyse et décrypte ainsi tout une série de situations auxquelles donateurs et donataires sont susceptibles d'être confrontés leur vie durant.
     
    Pour le faire, il propose 11 fiches introductives qui permettent de comprendre "comment marchent" les donations et donations-partages. Puis, par le jeu d'une série de 54 "question/réponse", explique comment s'y prendre pour donner dans les meilleures conditions possibles, quel que soit son profil patrimonial et sa situation personnelle. Comment donner entre époux, concubins ou pacsés ; à ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants ; à ses parents et grands-parents, frères et sœurs, neveux et nièces… voire à des amis ou à des personnes morales car, si la très grande majorité de ces opérations se fait en famille, elles peuvent être l'occasion de gratifier des personnes étrangères au "clan". Au terme de cet ouvrage, le grand public aura une vision claire et précise des "outils" juridiques et fiscaux qui lui sont proposés pour transmettre son patrimoine à ses héritiers et/ou se montrer généreux à l'égard de tiers. Et, en s’y prenant bien, de le faire sans frais grâce aux abattements et avantages consentis par les pouvoirs publics.
     
     

    mardi 26 février 2013

    SEMAINE EUROPÉENNE DE LA VACCINATION

     
    20 - 27 avril 2013

     

    Vaccination, êtes-vous à jour ?

    Suis-je à jour de mes vaccins ? Quels vaccins nécessitent un rappel ? Ne concernent-ils que les enfants ? Quels sont les délais entre chaque vaccin ? Quelles nouveautés en 2013 ?

     


    Autant de questions auxquelles la Semaine européenne de la vaccination vous permettra de répondre du 20 au 27 avril prochain.
     

    Cet événement, organisé à l’initiative de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), se tiendra simultanément dans près de deux cents pays en Europe et dans le monde. En France, cette Semaine est coordonnée par le ministère de la Santé et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) et pilotée en région par les agences régionales de santé (ARS). Pour faire vivre cet événement, un grand nombre d’acteurs est mobilisé sur le territoire.

     

    La 7e édition sera l'occasion pour chacun de faire un point sur ses vaccinations et de rencontrer les acteurs et professionnels de santé mobilisés près de soi. De nombreuses actions seront mises en place dans les 26 régions : expositions, séances d’information, conférences, jeux, animations, séances de vaccination, etc. Ces actions auront toutes un objectif commun : aider les Français à mieux comprendre les bénéfices individuels et collectifs de la vaccination pour se protéger contre certaines maladies infectieuses.


    NDLR : MGEFI et Vaccins

     


    Définition des termes usuels en matière de santé.



    À consulter sans modération tous les jeudis !


     

    mercredi 23 janvier 2013

    Méningite



    Novartis obtient pour Bexsero®, son autorisation de mise sur le marché  Européenne, le premier vaccin européen à protéger contre la principale cause de la méningite en Europe et ses conséquences potentiellement fatales.
    www.novartis.fr

    PS : Un point presse sera organisé le lundi 18 février de 11h à 13h  pour présenter ce nouveau vaccin en présence d'experts.


    mercredi 14 novembre 2012

    Plan hivernal : la Ville de Paris mobilisée et vigilante pour protéger les personnes à la rue


    À l’occasion de sa visite du centre d’hébergement Vésale (5e), Bertrand Delanoë a rappelé aujourd’hui l’engagement de la collectivité parisienne pour la prise en charge des personnes sans abri et présenté le dispositif hivernal mis en place par la Ville.

     

    Pour cet hiver, la Ville de Paris :

    ·         se tient prête à mobiliser durant les phases de grand froid jusqu’à 950 places de mise à l’abri dans 12 gymnases et 90 places dans les mairies des 1er, 3e, 4e, 11e et 15e arrondissements. Dans les gymnases, l’accueil sera assuré par des agents volontaires du Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP) avec l’appui de bénévoles. Un coordinateur social sera également présent pour faciliter l’évaluation sociale des personnes accueillies et les orienter vers l’offre d’hébergement de droit commun ;

    ·         ouvre 20 appartements pour l’accueil de familles rue de Gergovie (14e) dans quelques semaines ;

    ·         assure une veille renforcée dans les bois de Vincennes et Boulogne en lien avec les associations et renforce les maraudes du Samu Social avec quatre équipes véhiculées mobilisables ;

    ·         élargit les horaires des accueils de jour de la Ville (dans les 14e et 16e) en cas de grand froid.

     

    De plus, pour renforcer l’aide alimentaire aux personnes démunies tout au long de l’année, le maire de Paris a annoncé l’ouverture en 2013 d’un 6ème restaurant solidaire dans le 11ème arrondissement. Un restaurant social géré par les Restaurants du Cœur vient par ailleurs d’ouvrir rue Saint-Roch (1er) dans des locaux de la Ville.

     

    Cependant, en dépit des moyens accrus qui seront consacrés par l’Etat à la prise en charge des personnes sans abri cet hiver, la Ville de Paris reste très inquiète sur l’hébergement des personnes sans abri, particulièrement des familles. En effet, le Samu Social de Paris se trouve actuellement dans l’incapacité de répondre chaque jour à des centaines de demandes du fait de la saturation de l’offre hôtelière. Dans ce contexte, l’Etat devra renforcer sans attendre les moyens du Samu Social afin qu’aucune famille ne soit contrainte de dormir dans la rue.

     

    mercredi 24 octobre 2012

    Plan hivernal : la Ville de Paris mobilisée et vigilante pour protéger les personnes à la rue


    La Ville de Paris note avec satisfaction l’annonce d’une augmentation sensible du nombre de places d’hébergement provisoire qui seront ouvertes à Paris pendant la période hivernale par les services de l’Etat.

    Pour la première fois, le gouvernement affirme également qu’une attention particulière sera portée aux sorties du dispositif à la fin de l’hiver, ce qui était une demande récurrente de la Ville et des associations. Le dispositif d'hébergement étant saturé, la Ville sera très vigilante sur la création de places pérennes à l’échelle métropolitaine, afin d’éviter les remises à la rue des personnes sans abri.

     

    Comme chaque hiver, bien qu’il s’agisse d’une compétence de l’Etat, la collectivité parisienne se mobilisera fortement pour protéger les personnes sans abri.

    Aussi cet hiver, la Ville de Paris :

    ·         peut mobiliser jusqu’à 950 places de mise à l’abri durant les phases de grands froids dans 12 gymnases et dans les mairies des 1er, 3e, 4e, 11e et 15e arrondissements. Dans les gymnases, l’accueil sera assuré par des agents volontaires du Centre d’action sociale de la Ville de Paris avec l’appui de bénévoles. Un coordinateur social sera présent dans chaque gymnase pour faciliter l’évaluation sociale des personnes accueillies et les orienter vers l’offre d’hébergement de droit commun ;

    ·         propose la mise à disposition de 20 appartements rue de Gergovie (14e) pour permettre l’accueil de familles ;

    ·         assure une veille renforcée dans les bois de Vincennes et Boulogne en lien avec les associations et renforce les maraudes du Samu Social avec quatre équipes véhiculées mobilisables ;

    ·         élargit les horaires des accueils de jour en cas de grand froid dans les espaces solidarité insertion (ESI) de la Ville (dans les 14e et 16e).

     

    En cas de crise, la Ville se tient prête à ouvrir des places de mise à l’abri pour les mineurs étrangers isolés, en lien avec l’Etat.

     

    Cependant, en dépit des moyens accrus qui seront consacrés à la prise en charge des personnes sans abri, la collectivité parisienne reste très inquiète sur l’hébergement des familles, constatant dès aujourd’hui l’incapacité du Samu Social de Paris à répondre chaque jour à des centaines de demandes, du fait de la saturation de l’offre hôtelière. L’Etat devra renforcer sans attendre les moyens du Samu Social pour qu’aucune famille ne soit contrainte de dormir dans la rue.

     

     

    A noter : Olga Trostiansky, adjointe chargée de la solidarité, de la famille et de la lutte contre l’exclusion se rendra ce mercredi 24 octobre à 18h au Centre d'hébergement d'urgence Mouzaïa (66, rue de Mouzaïa – Paris 19e), avec les ministres Cécile Duflot et Marie-Arlette Carlotti.

    vendredi 19 octobre 2012

    Bronchiolite : l'INPES rappelle les conseils indispensables pour protéger votre bébé.


    Le froid arrive, la bronchiolite revient ! Les conseils indispensables pour protéger bébé

     

    La bronchiolite est une infection qui inquiète les nouveaux parents à l’approche de l’hiver. La difficulté d’un bébé pour respirer est toujours éprouvante pour la famille. Mais en adoptant quelques gestes simples de prévention, les parents minimisent les risques de bronchiolite pour leur bébé. Car la bronchiolite est une infection saisonnière du petit enfant due à un virus très contagieux. Elle affecte les petites bronches du nourrisson et si elle est la plupart du temps bénigne, elle est parfois responsable de complications graves  nécessitant l’hospitalisation. Elle touche chaque année, entre fin septembre et février, près de 30 % des enfants âgés de moins de deux ans1. A l’approche de la période d’épidémie, l’Inpes rappelle les conseils indispensables pour préserver les bébés de ce virus dans le livret « la bronchiolite » téléchargeable sur www.inpes.sante.fr.

     

     

    On ne partage pas ses microbes !

     

    La bronchiolite est une infection virale respiratoire très contagieuse. Le virus se transmet essentiellement par voie aérienne (éternuement, toux), mais aussi par les mains ou les objets souillés par une personne infectée. Grands et petits, nous sommes ainsi tous des porteurs potentiels. Un rhume qui nous paraît tout à fait bénin peut être responsable d’une bronchiolite chez les petits. Donc premier mot d’ordre : gardons nos microbes. Pour cela :

     

    Se laver les mains régulièrement et particulièrement après s’être mouché.

    Porter un masque chirurgical (en vente en pharmacie) pour s’occuper d’un bébé lorsqu’on est malade ; un Français sur deux considère encore que c’est un geste pas vraiment indispensable voire tout à fait inutile2.

    En cas de rhume et de toux, ne pas embrasser un bébé sur le visage ou sur les mains.

    Eternuer et tousser en se couvrant la bouche soit avec le coude, le bras/la manche, un mouchoir jetable.

    Eviter les visites de personnes malades (enrhumées, notamment) ou éviter de leur rendre visite avec le bébé.

    Ne pas emmener le nourrisson dans des lieux publics où il risquerait d’être en contact avec des personnes enrhumées (centres commerciaux, transports en commun…), surtout s’il a moins de 6 mois!

     

    Les Français sont plutôt conscients des risques de transmission du virus responsable de la bronchiolite2 : ils sont ainsi 70% à mentionner le risque qui existe lorsqu’on embrasse un bébé en étant enrhumé. Pour autant, ils sous-estiment le risque de transmission dans les lieux publics, où un enfant peut être en contact avec des personnes enrhumées ou grippées : à peine plus de la moitié d’entre eux considèrent en 2010 que le risque de contamination y est très important.

     

    Pour garder les microbes éloignés : le lavage de main et quelques bons réflexes !

     

    Si une personne enrhumée doit clairement faire attention avec un bébé, les virus peuvent aussi être véhiculés par les personnes sans symptôme de rhume. Il est donc important de garder de bonnes habitudes dont la  principale est le lavage de mains. Pour minimiser les risques de transmission au bébé, il est conseillé de :

     

    Se laver systématiquement les mains à l'eau et au savon pendant au moins trente secondes avant de s’occuper d’un bébé.

    Ne  pas échanger les effets personnels des différents enfants de la famille (biberons, couverts, etc.) et les laver soigneusement.

    Laver régulièrement le nez de l’enfant avec du sérum physiologique.

    1

     

    1 Source : Institut de Veille Sanitaire - InVS.

    2 Source : Enquête BVA 2010 menée pour l’Inpes « Attitudes et comportements en matière de prévention de la transmission des virus respiratoires »

     

    On préserve l’environnement de bébé !

     

    S’il est indispensable d’adopter quelques gestes pour se préserver des virus, il est aussi important de laisser son bébé dans un environnement approprié :

     

    Ne pas exposer un enfant à un environnement enfumé, car le tabagisme passif implique un risque accru de formes graves de bronchiolite.

    Aérer quotidiennement au moins 10 minutes la chambre de l’enfant et maintenir une température à 19°C.

     

    Que faire si un bébé est malade : les bons réflexes

     

    Assez souvent impressionnante par la gêne respiratoire qu’elle provoque, cette maladie hivernale est le plus fréquemment bénigne. Elle peut, néanmoins, être responsable de complications graves, en particulier chez les plus fragiles : enfants de moins de 3 mois, bébés prématurés ou ayant des affections cardiaques ou respiratoires. En 2009, 29 784 nourrissons de moins de 1 an ont été hospitalisés pour une bronchiolite aiguë.3

    La bronchiolite débute généralement par un simple rhume et une toux, puis l’enfant est gêné pour respirer et il peut présenter des difficultés pour boire et manger. Les quintes de toux, très fréquentes, peuvent s’accompagner de sifflements. Si le nourrisson présente des signes simples de bronchiolite, il est déconseillé de se rendre aux urgences de l’hôpital. Il faut en revanche prendre rendez-vous rapidement chez son médecin, qui pourra confirmer le diagnostic de bronchiolite et prescrire des conseils et un traitement adapté.

    Lorsque l’enfant a une bronchiolite, il est important de :

     

    Continuer à le coucher sur le dos, tout en mettant un coussin sous son matelas pour surélever sa tête.

    Lui donner à boire régulièrement.

    Ne pas trop le couvrir.

    Désencombrer régulièrement son nez à l’aide d’un sérum physiologique.

     

     « La bronchiolite », le livret à télécharger pour tout savoir sur la bronchiolite

     

    Comment limiter les risques de transmission ? Que faire si bébé est malade ? Dois-je aller aux urgences ? … autant de questions que les parents peuvent se poser en période hivernale. C’est pourquoi l’Inpes a rédigé un livret d’information à destination des parents. Le livret « La bronchiolite » permet de faire le point sur la maladie et de répondre à l’ensemble de ces questions. Elle est téléchargeable sur le site www.inpes.sante.fr et est mise gratuitement à disposition du grand public chez les médecins, pédiatres, kinésithérapeutes, dans les crèches et à la CAF.

     

    NDLR : Chaque année la mutuelle MGEFI reconduit une Campagne d’informations à destination des adhérents parents d’un enfant de moins de deux ans concernés par la bronchiolite. Elle met à leur disposition un réseau de kinésithérapeutes se déplaçant à domicile le week-end. Un numéro de téléphone leur est également dédié  Pour en savoir plus rendez-vous sur le site www.mgefi.fr ou contactez votre conseiller mutualiste