Nora ANSELL-SALLES

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samedi 8 mars 2025

8 mars 2025 : Journée internationale des droits des femmes


En cette journee internationale des femmes une pensée combattive et reconnaissante pour toutes celles qui œuvrent à la solidarité humaine à la fraternité et à la conquête de nouveaux droits profitables à tous : la femme est et restera l’avenir de l’Homme . amitiés

Nora Tréhel 


Journée internationale des droits des femmes



Le 8 mars est une journée de sensibilisation et de mobilisation des élèves des écoles, collèges et lycées pour les droits des femmes et l'égalité entre les filles et les garçons.

8 mars 2025

La thématique 2025

La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du 20e siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote. Elle a été officialisée par les Nations unies en 1977.

La Journée internationale des droits des femmes 2025 aura pour thème "Pour TOUTES les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation".

Une journée d’action et une politique publique au sein des établissements scolaires

Le 8 mars est une journée de rassemblements à travers le monde et l'occasion de faire un bilan sur la situation des femmes. Traditionnellement les groupes et associations de femmes militantes préparent des événements partout dans le monde pour fêter les victoires et les acquis, faire entendre leurs revendications, améliorer la situation des femmes.

Le code de l'éducation rappelle que la transmission de la valeur d'égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes, se fait dès l'école primaire. Cette politique publique est une condition nécessaire pour que, progressivement, les stéréotypes s'estompent et que d'autres modèles de comportement se construisent sans discrimination sexiste ni violence. 

Les établissements sont invités à inscrire cette problématique dans leur règlement intérieur et à mettre en place, dans le cadre des comités d'éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC), des actions de sensibilisation et de formation dédiées. Les écoles, collèges et lycées sont également incités à nouer des partenariats, notamment avec des acteurs du monde économique et professionnel ou du secteur associatif, pour développer des projets éducatifs autour de l'égalité.

  • Au début du XXe siècle en France, la loi considère encore les femmes comme des mineures, des enfants. 
  • En 1907, les femmes peuvent dépenser leur salaire comme elles le veulent. Plus besoin de demander l'autorisation à leur mari, comme avant.
  • En 19445, elles peuvent voter et être élues. Et à partir de 1965 elles travaillent où elles veulent, sans que leur mari donne son accord.
  • En 1975, la loi autorise l'interruption volontaire de grossesse : l'IVG. Les femmes enceintes sans l'avoir choisi, peuvent être aidées par un médecin pour arrêter leur grossesse. La même année, l'école devient mixte : filles et garçons sont ensemble en cours.
  • En 2000, c'est la loi sur la parité. Il doit y avoir autant de femmes que d'hommes dans les lieux où l'on prend des décisions pour le pays. Aujourd'hui la parité n'est toujours pas respectée. Et des injustices existent encore : les femmes sont toujours moins bien payées que les hommes, même quand elles font le même travail.

Le problème de l'instrumentalisation politique niche même dans des causes nobles des causes importantes pour moi une femme c'est universelle il y a pas des femmes juives des femmes chrétiennes des femmes  musulmanes violer une femme c'est violer une femme quelle que soient leurs origines et aujourd'hui pour des raisons politiques ont perd  l'essentiel...


 #8mars à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, et année des 50 ans de la #loiVeil en France.

✍🏽 Signons et partageons cette pétition pour soutenir l'accès à l'IVG en #Europe et garantir que chaque femme puisse exercer son droit de choisir. 

vendredi 14 février 2025

Liberté, Égalité, Fraternité... toujours vrai en 2025... rien de moins sûr

Message d'alerte signé 

@junique_s


48 ans. C’est l’espérance de vie d’une personne qui vit dans la rue.

Alors que le nombre de personnes sans domicile a plus que doublé entre 2012 et 2023 atteignant près de 350 000 et que 9 millions de personnes vivent sous le seuil de #pauvreté, nous ne pouvons plus détourner le regard.

Le droit à la #Sante, au #logement sont des droits fondamentaux qui s’inscrivent pleinement dans le combat contre la pauvreté. C’est celui que je porte, à titre personnel, et avec le @Groupe_VYV.

Rejoignez le mouvement et signez…
👉petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-…

@NoamLeandri 

@chrstphe_robert

@AlethGrard

@dacostaph

lundi 27 janvier 2025

🟥 Le député Rodrigo Arenas lance une pétition pour :SAUVER L’INSTITUT MUTUALISTE MONTSOURIS

AVANT PROPOS
Mine d’infos a souhaité donné la parole à l’ensemble des acteurs concernés.

Voici en primeur la réponse du député Rodrigo Arenas, reçu aujourd'hui, invitant les lecteurs de Mine d’infos qui souhaite  sauver l'Institut Mutualiste Montsouris à signer sa pétition mise en ligne en décembre 2024.  


SAUVER L’INSTITUT MUTUALISTE MONTSOURIS : UN SYMBOLE D’EXCELLENCE MÉDICALE EN
PÉRIL

Depuis son inauguration en 1999, l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) s’est hissé parmi les 
institutions les plus respectées de la médecine française. Né de la fusion du Centre Médico-Chirurgical de la Porte de Choisy et de l’Hôpital International de l’Université de Paris, l’IMM a su conjuguer innovation, pluridisciplinarité et humanisme pour répondre aux défis de la santé moderne. 
Aujourd’hui, cet établissement emblématique est à l’aube d’un péril majeur. Victime d’un modèle économique déséquilibré et de l’indifférence des décideurs publics, sa survie est gravement 
compromise.

Une institution d’exception au service de tous

L’IMM n’est pas un hôpital comme les autres. Premier centre français pour les hépatectomies, 
référence internationale dans le traitement des cancers de la prostate et du poumon, précurseur en chirurgie robotique et mini-invasive : cet établissement est le creuset d’une expertise unique, où la 
médecine de pointe rencontre un véritable souci de l’humain.

Son excellence ne s’arrête pas aux prouesses techniques. L’IMM s’est également imposé comme un modèle d’inclusivité, notamment pour les personnes en situation de handicap. Tout, dans cet établissement, est pensé pour accueillir chaque patient sans distinction : fauteuils roulants disponibles dès l’entrée, espaces adaptés dans les unités de soins et une maternité exemplaire dans son accessibilité. Avec ses équipements spécifiques – comme une table de gynécologie électrique ou des chambres équipées pour les patientes à mobilité réduite –, la maternité incarne cette vision inclusive. 
Les salles de bain adaptées, avec strapontins pour les douches et dispositifs pour les soins du bébé, complètent ce dispositif tourné vers l’égalité d’accès aux soins.

L’innovation va plus loin encore avec des services uniques en France : des calques thermoformés permettent aux patientes malvoyantes de mieux visualiser les échographies obstétriques, tandis que 
des consultations adaptées en langue des signes ou destinées aux personnes en situation de handicap moteur ou visuel assurent un accompagnement personnalisé.

Mais l’engagement de l’IMM ne se limite pas aux soins physiques. L’établissement joue un rôle crucial dans la prise en charge de la santé mentale, en particulier chez les adolescents et jeunes adultes, une population souvent en situation de précarité psychologique. Dans ces moments charnières de 
construction personnelle et professionnelle, les pressions sociales et l’isolement peuvent provoquer des crises graves. En leur offrant un accompagnement accessible et adapté, l’IMM agit en prévention, limitant les drames individuels et contribuant à la résilience de notre société.

Une crise économique aux racines structurelles

Malgré une augmentation de 13 % de son activité sur les trois dernières années, l’IMM se trouve aujourd’hui au bord du gouffre financier. Sa dette dépasse 120 millions d’euros, et une fermeture pourrait survenir courant 2025 si des solutions ne sont pas rapidement trouvées.

Cette situation alarmante ne résulte pas d’une mauvaise gestion, mais de l’injustice d’un modèle économique inadapté. L’IMM, en tant qu’Établissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC), assume les mêmes missions de service public qu’un hôpital public : accessibilité des soins, réinvestissement des bénéfices dans l’innovation, et qualité irréprochable de la prise en charge. 
Pourtant, son financement, similaire à celui des hôpitaux publics, n’est pas assorti des subventions indispensables pour compenser ses coûts.

Géré par des mutuelles, l’IMM n’est pas soumis aux règles des marchés publics, mais partage leurs exigences. La gestion de spécialités lourdes comme la chirurgie cardiaque ou la psychiatrie, couplée aux investissements nécessaires dans des domaines comme la santé mentale, pèse lourdement sur les finances de l’établissement.

Une crise politique révélatrice d’un système défaillant

Au-delà de l’IMM, cette situation met en lumière un problème systémique : la marchandisation 
croissante du système de santé, où la logique comptable supplante l’intérêt public. Les ESPIC sont poussés à fonctionner dans un cadre concurrentiel, jonglant avec des tarifs plafonnés, des coûts fixes 
en hausse et des réformes favorisant les soins ambulatoires – souvent moins rémunérateurs.
Par ailleurs, les augmentations salariales décidées au niveau national, comme celles du Ségur de la Santé, n’ont pas été accompagnées de financements suffisants pour absorber ces hausses. Ainsi, des 
choix politiques, déconnectés des réalités des établissements, asphyxient progressivement des 
structures comme l’IMM et la livre à la commercialisation de la santé.
Ce modèle fondé sur la rentabilité dévoie la mission essentielle des hôpitaux : garantir des soins de 
qualité accessibles à tous. Il est impératif de repenser ce paradigme pour replacer le soin aux patients au cœur de nos politiques de santé.

Un impact désastreux pour les patients et le personnel

La fermeture de l’IMM serait une catastrophe. Les patients dépendant de ses services, notamment en santé mentale, devraient se tourner vers des hôpitaux publics déjà saturés, allongeant les délais 
d’attente et dégradant la qualité des soins.
Pour le personnel, cette fermeture serait une tragédie. Les efforts immenses déployés par ces professionnels, incarnant à la fois l’excellence et l’humanisme de cet établissement, seraient réduits à néant. Ce serait également un signal funeste pour les autres ESPIC, confrontés aux mêmes défis.

Un appel à la mobilisation générale

L’heure est à l’action. Sauver l’IMM, c’est préserver bien plus qu’un hôpital. C’est défendre une vision de la santé où excellence, innovation et inclusion se conjuguent pour tous. Deux fois déjà, en octobre et en décembre, j’ai interpellé la ministre de la Santé. Mais les paroles ne suffiront pas. Une pétition a 
été mise en ligne pour rassembler le soutien citoyen autour de cette cause.
Ensemble, nous avons le pouvoir de garantir la pérennité de l’IMM et d’affirmer haut et fort que la 
santé est un droit fondamental, pas un privilège. Face à l’urgence, la mobilisation doit être massive et déterminée. Signons, agissons, et sauvons ce symbole d’excellence et d’humanité pour les générations à venir.

L’IMM est bien plus qu’un hôpital : il est une promesse. Une promesse que la santé, en France, peut encore rimer avec humanisme, excellence et progrès. Mais cette promesse, aujourd’hui, repose sur nous. 


Propos recueillis par Nora Ansell-Salles auprès de Rodrigo Arenas Député de Paris


mercredi 2 juin 2021

#OsezJoséphine

PÉTITION #OsezJosephine nthéon cette héroïne de la résistance qu'est Joséphine Baker.

11 mai 2021 — Cinq femmes au Panthéon, contre 75 hommes. Pour Laurent Kupferman, Joséphine est « une ...
10 mai 2021 — "Osez Joséphine" : c'est le nom de la pétition en ligne qui demande la Panthéonisation de ...
Osez Joséphine Baker au Panthéon ! 32 241 ont signé. Prochain objectif : 35 000 ! Quand elle atteindra 35 000 signatures,  ...
Vidéo pour "#ozez josephine au panthéon"
2:15
10 mai 2021 — ... "Osez Joséphine" demandant l'entrée de Joséphine Baker au Panthéon, a été lancée le 8 ...
Et si Josephine Baker entrait au Panthéon ? Cette proposition a été initiée, entre autres, par l'essayiste Laurent Kupferman.
19 mai 2021 — C'est l' objectif de la pétition "Osez Joséphine au Panthéon". Danseuse, meneuse de revue ...

lundi 12 décembre 2016

Pétition pour la sécurité sociale

POUR LA SÉCURITÉ SOCIALE



Les soussignés tiennent à manifester leur attachement à la Sécurité sociale, moyen le plus juste et le plus efficient pour un système de santé solidaire, seul à même de garantir l’égalité de toutes et de tous face à la maladie.

Pour maintenir la solidarité entre les bien portants et les malades, entre les plus jeunes et les plus vieux, entre les personnes ayant des niveaux de revenus différents, la Sécurité sociale doit continuer à rembourser non seulement les affections graves et les maladies de longue durée mais aussi les soins courants, préventifs et curatifs , dès lors qu’ils sont justifiés et que les traitements prescrits ont une efficacité démontrée. 

Les économies doivent être faites sur les traitements inefficaces, les prescriptions injustifiées et les hospitalisations évitables (soit plus de 20% des dépenses), sur le prix parfois exorbitant et non justifiable des médicaments et dispositifs médicaux nouveaux, sur le coût de la gestion du système de santé (les frais de gestion des mutuelles et compagnies d’assurances représentent 20% de leur chiffre d’affaires contre 6% pour la Sécurité sociale). La prévention doit être développée.

Nous demandons au futur président de la République de garantir pour le prochain quinquennat le niveau actuel de remboursement des soins par la Sécurité sociale. »

Cette pétition peut être signée à l’adresse suivante : http://bit.ly/2gPkSXP




Premiers signataires :
André Grimaldi, professeur de médecine
Docteur Irène Frachon
Docteur Mady Denantes
Didier Tabuteau, juriste-économiste de la santé
Alain Fischer, professeur de médecine, membre de l’académie des sciences
Christophe Jacquinet, ancien directeur d’agence régionale de santé(ARS)
Docteur Anne Gervais
Pierre Joxe, avocat
Yves Bur, député honoraire, vice-président de l’euro-métropole de Strasbourg
Marcel Gauchet, philosophe
Edouard Couty, conseiller maître honoraire de la cour des comptes, ancien directeur général des hôpitaux
Pierre Ronsavallon , professeur au collège de France
Serge Haroche, prix nobel de physique
Jean-Claude Ameisen , professeur d’immunologie
Etienne Baulieu, professeur honoraire au collège de France
Axel Kahn, professeur de médecine, ancien président de l’université Paris Descartes
François Morel, acteur scénariste
Michel Onfray , philosophe
Jean-Pierre Kahane, mathématicien, professeur au collège de France
Serge Hercberg, professeur de médecine
Pierre Lombrail, professeur de santé publique
Julien Lenglet , président de l’intersyndicat national des chefs de clinique
Alain Gely , statisticien économiste
Perrine Morenghi, infirmière
Maryline Berthaux, secrétaire
Jean-Paul Vernant, professeur de médecine
Bernard Granger, professeur de médecine
Docteur Sophie Crozier
Florence Million, infirmière
Docteur Gérard Ostermann, psychiatre
Véronique Leblond , professeur de médecine
Agnès Hartemann, professeur de médecine
Thomas Sannié, président de l’association des hémophiles
Karine Clément, professeur de médecine
François Chast, professeur de pharmacie
Olivier Beaud ,professeur de droit constitutionnel
Anne –Marie Magnier, professeur de médecine
Christophe Chevalier, secrétaire
Marie Germaine Bousser, professeur de médecine
Didier Sicard, professeur de médecine, ancien président du comité consultatif national d’éthique
Docteur Pierre De Haas
Docteur Julie Peltier
Christophe Dejours, professeur de psychologie du travail
Robert Zittoun, professeur de médecine
Gerard Couly, professeur de médecine
Marie Clémence Lecoq Paille, infirmière
Docteur Serge Tisseron, psychiatre
Bertrand Godeau, professeur de médecine
Docteur Gérard Ribes
Gérard Raymond, président de la Fédération française des diabétiques
René Frydman, professeur de médecine
Frédéric Pierru, chercheur au CNRS
Jean Christophe Vaillant, professeur de médecine
Georges Couffignal, professeur de sciences politiques
Christian Saout, ancien président de la Conférence nationale de santé
Jacques Trévidic, pharmacien hospitalier
Bertrand Fontaine , professeur de médecine
Docteur Georges Picherot
José Alain Sahel, professeur de médecine
Jean-François Bergmann, professeur de médecine
Brigitte Greis infirmière
Eric Bruckert, professeur de médecine
Thomas Papo, professeur de médecine
Joël Ménard, professeur de médecine, ancien Directeur général de la santé
Isabelle Gueguen Infimière
Jean-Pierre Bouchon, professeur de médecine
Catherine Lubetski, professeur de médecine
Docteur Simon Daniel Kipman,psychiatre
Gisèle Hoarau Cadre supérieure de santé
Philippe Passa , professeur de médecine
Docteur Dora Levy
José Timsit, professeur de médecine
Ronan Roussel, professeur de médecine
Docteur Anne Laure Feral Pierssens
Pierre Gervais, professeur d’histoire
Docteur Claire Georges
Dominique Méda, professeur de sociologue
André Cicolella toxicologue, chercheur en santé environnementale
Benjamin Coriat Professeur d’économie
Françoise Chauvel , pédicure-podologue
Jean-Pierre Grunfeld, professeur de médecine
Jean-Pierre Dubois, professeur de droit public, président d’honneur de la ligue des droits de l’homme
Bruno Riou, professeur de médecine
Mayé Gallois, professeur d’art plastique , retraitée
Marie Brouard, chef d’exploitation agricole
Pierre Wolkenstein, professeur de médecine
Marie Christine Gros Favrot , professeur de médecine
Julien Haroche, professeur de médecine
Berni Hasenknopf , professeur de chimie
Zahir Amoura, professeur de médecine
Etienne Larger, professeur de médecine
Gérard Cornilleau, économiste
Yvan Tourjansky ,kinésithérapeute, secrétaire général du syndicat national des kinésithérapeutes
Philippe Levy, professeur de médecine
Daniel Costantini, entraîneur sportif
Bruno Ventelou, Chercheur au CNRS
Dominique Maraninchi, professeur de médecine, ancien directeur de l’agence de sécurité du médicament
Michel Leporrier, professeur de médecine
Docteur Nathalie Leporrier, maître de conférence
Antoine Spire, Journaliste
Philippe Chanson, professeur de médecine
Philippe Barrier, philosophe, docteur en sciences de l’éducation
Maxence Revault d’Allonnes, professeur au muséum d’histoire naturelle
Brigitte Rossigneux, journaliste
Xavier Onraed , avocat spécialiste du droit du travail
Michel Krempf, professeur de médecine
Patrick Weill, directeur de recherche au CNRS
Dominique Plihon, professeur d’économie
William Fouillot, diffuseur de presse
Jean-Marie Harribey, économiste
Mathieu de-Brunhoff, pédiatre retraité
Françoise Milewski , économiste
Pierre Maugeais, Psychiatre
Dominique Maugeais, avocate
Claude Rambaud secrétaire générale du CISS
Lidija Bizjak, pianiste
Sanja Bizjak, professeur de piano
Christian Hervé professeur de médecine légale et droit de la santé
Alain Masquelet, professeur de médecine
Alain Gaudric, professeur de médecine
Laurence Maunoury, avocate
Docteur Pierre Suesser, président du syndicat national des médecins de PMI
Docteur Yves Gervais
Docteur Marie José Del Volgo, maître de conférence
Anne Festa, directrice du réseau Ac Santé 93
Marie Josée Augé-Caumon pharmacienne
Docteur Dominique Dupagne
Docteur Richard Torrieli
Antoine Pelissolo , professeur de médecine
Laurent Sedel, professeur de médecine
Henri Bergeron, Chercheur CNRS- SciencesPo
Docteur Tobias Gauss
Christian Baudelot sociologue
Docteur Bruno Devergie
Brice Gayet, professeur de médecine,
Docteur Marc Schoene
Christophe Duguet, directeur des affaires publiques AFM-Téléthon
Gérard Lévy, professeur de médecine, doyen honoraire de la faculté de Caen
Gérard Reach, professeur de médecine
Michel Zerah, professeur de médecine,
Docteur Hector Falcoff,
Yann Bourgueil, médecin de santé publique
Jean-Pierre Escaffre , universitaire, Sciences de Gestion
Israël Nisand , professeur de médecine
Docteur Pierre-Yves Traynard
Docteur Jean-Jacques Bourcart
Patrick Zylberman, professeur d’histoire de la santé
Michel Naïditch, médecin de santé publique
Docteur Jean-Pascal Dewailly
Christophe Debout , directeur de l’Institut des soins infirmiers supérieurs
Docteur Lindia Meziani
Docteur Catherine Fermon
Docteur Muriel Cordonnier
Docteur Pierre Antoine Dufieux
Docteur Raphaël Briot, maître de conférence des univerités
Docteur Annie Brachimont
Docteur Elisabeth Chevrier
Matthieu Ternois, chirurgien-dentiste
Hélène Ternois-Berthouart, professeur de lettres
Blandine Louvieaux, infirmière
Raphaël Favier, ancien directeur d’école d’ingénieurs
Docteur Nicole Smolski, déléguée générale de l’intersyndicat avenir hospitalier
Michèle Vitse , cadre supérieur de santé
Docteur Gérard Escano
Docteur Jacques Martini
Docteur Georges HA VAN
Sophie Marrelec , cadre de santé
Chantal Bauchelet , cadre de santé
Docteur Laurence Detourmignies
Pierre-Henri Brechat ,médecin de santé publique
Docteur François Dorey
Docteur Myriam Moret
Marie Laure Doize, cadre de santé
Hubert Krivine, physicien
Docteur Emmanuel Sonnet


J'espère que les signataires de la pétition pour la sécurité sociale penseront a interpeller les candidats également sur