Nora ANSELL-SALLES

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lundi 8 décembre 2014

C'est à lire : guide de la fin de vie aux éditions "Petit Futé"

Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. Les experts prévoient 682 000 décès par an en France à l’horizon 2030. C’est un vrai business de la mort qui s’est mis en place depuis de nombreuses années et ce n’est pas fini.

 

 





lundi 25 novembre 2013

Street Lab : une rue du futur pour les malvoyants à Paris


 

L’Institut de la vision est le premier centre français entièrement dédié à la recherche scientifique et médicale sur les maladies de l'œil. A ce titre, il ouvre le mardi 26 novembre 2013 une rue Artificielle dénommée Street Lab, nouvelle plateforme du Pôle Handicap de l’Institut de la Vision. Cette rue « indoors » est un environnement unique de recherche et développement, qui permet de concevoir, de développer des solutions technologiques innovantes avec les personnes malvoyantes.

 

Au premier regard, la rue artificielle ressemble à une rue commerçante. Il s’agit en fait d’un espace de recherche et de développement mis à disposition des chercheurs et des industriels, disposant d’équipements ultra sophistiqués offrant la possibilité de contrôler l’ensemble des paramètres de l’environnement - éclairage, ambiance sonore, éléments de décor - et d’évaluer quantitativement l’amélioration des conditions de vie quotidienne des personnes se soumettant aux tests, par exemple en conditions de mobilité. Les domaines visés sont la mobilité, l’éclairage, les transports, l’accès à l’information, le  etc.

 

Localisé au cœur de l'hôpital des Quinze-Vingts, l’Institut de la Vision réunit des scientifiques et des industriels qui développent et valident des technologies innovantes d'aide au handicap.
 

NDLR / MGEFI et Malvoyants

Votre revue MGEFI désormais en ligne !

Lire Couleurs MGEFI
 
De plus Les personnes intéressées peuvent recevoir gratuitement à leur domicile une version audio (compatible format Daisy) du trimestriel Couleurs MGEFI.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 
 

jeudi 21 novembre 2013

C'est à lire : Un guide très utile à tous....


« Guide de la fin de vie 2014 »
Accompagnement, maladies, décès, obsèques...
Edition n°3 Novembre 2013
 
 
 
Disponible sur : www.petitfute.fr
 
Retrouvez maintenant vos guides Petit Futé sur votre Smartphone et sur votre tablette

 

Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. La fi n de vie aujourd’hui revêt des caractères différents par rapport au passé. Les Français vivent de plus en plus vieux mais ils se retrouvent souvent de plus en plus seuls pour affronter la maladie, le handicap, les problèmes liés à l’âge. Les familles sont éclatées, les enfants pris dans la vie quotidienne, l’éloignement de plus en plus fréquent.

 

Depuis quelques années cette période ultime avant le décès commence à être prise en compte : des médecins, des psychologues, des sociologues, des hommes et femmes de loi, des associations, des sociétés de service travaillent au quotidien, soit dans des structures adaptées soit à domicile, pour l’améliorer. Ainsi, le premier Salon de la Mort s’est tenu à Paris en avril dernier, etc. L’idée :

 

Faire tomber les tabous autour de la mort, en parler pour mieux vivre.

 

Un Observatoire national de la fi n de vie vient également de voir le jour. Son rôle : dresser un état des lieux des situations et des besoins à l’approche de la mort.

 

Mais la mort ne frappe pas que les personnes âgées : des enfants, des adolescents, des jeunes adultes sont confrontés pour eux-mêmes ou pour leur entourage à ce qui est parfois inéluctable. Comment y faire face ? Comment accepter, accompagner, comprendre la fi n de vie et la mort ?

 

L’angoisse, la souffrance morale, la douleur physique sont le plus souvent difficiles à surmonter.

 

Ce guide, respectueux de la déontologie, est conçu de façon pratique pour aider celles et ceux qui un jour ou l1autre devront gérer ce « temps du départ » pour eux-mêmes ou pour des proches. Il tente d’aborder et de répondre aux questions juridique, sociale, financière ou psychologique que l’on se pose avant le décès, au moment des obsèques et après le décès. Il informe sur l’évolution des funérailles et du funéraire sans oublier l’arrivée d’internet qui a révolutionné les habitudes de communication y compris sur le deuil. L’étape de la fi n de vie est une étape à vivre en toute conscience et en toute humilité. Pour Saint-Exupéry, «ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort ».

 

 

PLAN DU GUIDE :

 

Avant le décès :

 

rester à domicile ou en établissement spécialisé. L’accompagnement de la fi n de vie (la dépendance, les maladies du grand âge, les soins palliatifs, législation...). Les aides financières et la protection juridique. Transmission du patrimoine (testaments, legs, dons, assurances vie, etc.). Prévoir ses obsèques. Immortaliser. S’informer.

 

Le décès :

 Les formalités, avant les obsèques, organisation des funérailles, choix du funéraire, les obsèques.

 

Après les obsèques :

succession, l’étape du deuil, informations pratiques et complémentaires...



NDLR: MGEFI et DECES
 
Offre facultative : Plurio Obsèques                     
  • Offre facultative : Plurio Education                     
  • Offre facultative : Prémuo capital avantages                      
  • Offre statutaire renforcée - Prémuo M022                     
  • Offre statutaire de référence - Prémuo M022                     
  • SMODOM, une solution au problème de l'éloignement en cas de décès    
  • Plurio obsèques                     
  • Plurio éducation                     
  • Plurio conjoint – rente décès                     
  • Plurio capital décès                     
  • jeudi 10 octobre 2013

    Le chiffre : 400


    C'est le nombre de morts par jour du aux maladies cardiovasculaires, 1ère cause de mortalité chez la femme, 2ème chez l'homme juste après le cancer... pour autant  ces pathologies non pas la place qu'elle mérite dans le Plan santé publique. La FFC - Fédération Française de Cardiologie lance la 5ème édition du Donocoeur du samedi 26 octobre au dimanche 3 novembre 2013. Un livre blanc des Etats généraux devrait être remis au ministre de la Santé en octobre 2014.

    Sources : FFC

     

    En savoir plus
    www.federationcardio.org / www.plan-coeur.com

    mardi 25 juin 2013

    PREMIER OBSERVATOIRE EUROPEEN SUR L’AUTOMEDICATION :


    Une initiative inédite pour rendre compte de la situation francaise dans l’Europe de l’automédication

    L’Afipa (Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable) vient de rendre public le premier observatoire européen sur l’automédication, réalisé par Celtipharm.[1] Cette étude totalement inédite s’intéresse à huit pays européens (EU8 : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède) et compare différents indicateurs pour rendre compte de la situation française de l’automédication au regard des autres pays européens étudiés.

    Une démarche novatrice et originale

    L’observatoire européen sur l’automédication est une initiative nouvelle et fondatrice en Europe. Elle répond à la volonté de l’Afipa de développer une approche comparative à même de traduire au fur et à mesure des années les évolutions du marché français au regard des autres pays européens considérés. Les données de cette étude sont issues des informations fournies par l’Association européenne des spécialités grand public (AESGP) et les associations représentatives des industries de l’automédication dans les huit pays européens analysés. Les définitions de l’automédication n’étant pas identiques d’un pays à un autre, le périmètre considéré dans le cadre de l’observatoire a été défini de manière rigoureuse et répond à la diversité des situations observées au niveau européen.[2]

    Un développement de l’automédication en France inférieur à la moyenne européenne

    L’observatoire montre ainsi que la part de marché en volume de l’automédication en France reste inférieure à la moyenne des 8 pays étudiés (15,9% en France vs. 23,3% en Europe). La dépense moyenne annuelle en produits d’automédication par habitant suit également la même logique puisque celle-ci s’élève à 34,5 euros pour la France pour une moyenne européenne[3] légèrement supérieure à 39 euros.

    Une situation indépendante du niveau des prix des spécialités d’automédication en France

    Ces résultats interviennent alors même que le niveau des prix est relativement faible au regard des autres pays européens. Le prix moyen d’une spécialité en automédication atteint ainsi 4,5 euros en France contre 5.2 euros aux Pays-Bas ou 6 euros en Espagne (pour une moyenne de 5,2 euros dans l’ensemble des 8 pays concernés par l’analyse). De même, l’observatoire démontre que pour des spécialités de même présentation et de même posologie dans chacun des 8 pays, le prix en unité de prise est en général le plus bas en France.

     

    Un potentiel de délistage encore important en France

    Si 95 molécules sont actuellement commercialisées en automédication en France, un chiffre proche de la moyenne calculée pour les 8 pays européens (94), il existe encore un potentiel de développement important de l’automédication en France au vu des principes actifs déjà délistés dans au moins un des pays EU8 hors-France. Sur cette base d’analyse, l’observatoire conclut en effet que 53 molécules actuellement commercialisées en France seraient potentiellement éligibles pour une utilisation en automédication.

    Un rattrapage progressif de la France sur la moyenne européenne ?

    D’après cet observatoire, une consultation chez le médecin généraliste en France donne lieu dans 74% des cas à une prescription, soit le taux le plus élevé après la Belgique (80%). Pour Pascal Brossard, Président de l’Afipa : « le retard français en matière d’automédication s’explique donc notamment par l’organisation du système de soins et le recours encore trop fréquent au médecin généraliste pour les pathologies mineures. Avec le problème de la démographie médicale, les perspectives pour l’automédication sont cependant encourageantes et le marché français devrait connaitre une évolution positive pour s’aligner progressivement sur la moyenne européenne. Pour atteindre cet objectif, il faudra par contre garantir une offre adaptée et suffisante de médicaments d’automédication avec notamment une politique de délistage plus volontariste, une meilleure information des patients et un renforcement de la formation des professionnels de santé. »

     

     

    L’AFIPA, acteur de Santé Publique, est l’association professionnelle qui représente les industriels du médicament d’automédication dont les membres sont :
     
    ABBOTT, ALMIRALL, BAYER SANTE FAMILIALE, BOEHRINGER INGELHEIM, BOIRON, BOUCHARA-RECORDATI, BRISTOL MYERS SQUIBB – UPSA CONSEIL, DERMOPHIL INDIEN, DIEPHARMEX, EXPANSCIENCE, GALDERMA, GENEVRIER, GIFRER BARBEZAT, GSK SGP, HEPATOUM, JOHNSON&JOHNSON SBF, LABCATAL, LEHNING, MAYOLI SPINDLER, MERCK MEDICATION FAMILIALE, NEGMA LERADS, NOVARTIS SANTE FAMILIALE, NUTRITION ET SANTE, OMEGA PHARMA, PFIZER SANTE FAMILIALE, PROCTER & GAMBLE PHARMACEUTICALS FR, RECKITT BENCKISER, ROTTAPHARM MADAUS, SANOFI-AVENTIS FRANCE, SEMES S.A, TONIPHARM, URGO, WELEDA, ZAMBON FRANCE.
     
     
    L’automédication consiste pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés, accessibles sans ordonnance, sûrs et efficaces dans les conditions d’utilisation indiquées (définition OMS 2000), avec le conseil du pharmacien.

     


    [1] Définition du marché source Afipa et Celtipharm : tous les médicaments  de prescription médicale facultative, remboursables ou non, vendus sans ordonnance avec le conseil du pharmacien.
    [2] Les données et analyses ont par ailleurs été validées par un Comité scientifique composé d’économistes de la santé et de pharmaciens d’officines
    [3] Moyenne des 8 pays européens étudiés

    vendredi 15 mars 2013

    Santé et environnement au coeur des préocupations de la MGEFI...


    Nous passons en moyenne 14 heures par jour à notre domicile. Nous évoluons dans un environnement que nous souhaitons confortable et agréable à vivre, mais l’air que nous y respirons est parfois chargé de particules potentiellement nocives pour la santé. Ainsi, notre intérieur est susceptible de provoquer allergies, irritations ou maladies des voies respiratoires, et intoxications.


     

     

    2 questions à Jean Guesné

    Président de la Commission Prévention de la MGEFI

    Engagée de puis toujours dans la prévention, la MGEFI a choisi en 2013 de sensibiliser ses adhérents au thème de la santé et de l’environnement. Jean GUESNE, président de la Commission Prévention, explique les raisons de ce choix.

     

    Pourquoi le thème de la santé et environnement ?

     

     « Il est aujourd’hui admis que de nombreux facteurs environnementaux, la qualité de l’air intérieur, de l’air extérieur, la qualité des eaux distribuées, les pollutions des sols, la radioactivité, l’insalubrité, le bruit… peuvent avoir un rôle déterminant dans la survenue de pathologies, telles que le cancer, les maladies cardio-vasculaires, l’asthme, les allergies, les troubles neurologiques, troubles du sommeil ou de l’audition.

     

    Chacun de nous est concerné. C’est pourquoi La MGEFI a souhaité aborder la problématique de la qualité de l’air intérieur.

     

    Pourquoi ce périmètre ?

     

    :« La notion de qualité de l’air intérieur est récente. Les enquêtes de l’INSPES montrent que la pollution de l’air fait l’objet d’un sentiment d’information particulièrement bas. Or, des études témoignent d’une pollution spécifique à l’intérieur des logements, des bureaux ou des écoles, due à la présence de certains polluants. Notre mode de vie conduit la plupart d’entre nous à passer plus de 80% du temps dans des espaces fermées, au domicile ou au travail. Si la pollution de l’air intérieur touche une personne sur cinq, les gestes préventifs sont simples à mettre en œuvre.

     

    En savoir plus

    Retrouvez dans le N° 11 de Février 2013 de Couleurs MGEFI  ainsi que sur le CD audio cet article


     

    mercredi 6 mars 2013

    Maladies chroniques, maladies invisibles : quel soutien le web social apporte-t-il au patient ?


     

    Pour les personnes atteintes de maladies chroniques, l’impact sur le quotidien est souvent double. Elles doivent non seulement faire face à la gestion d’une maladie « à vie », mais également à l’isolement. En effet, les symptômes dits « invisibles » comme la fatigue ou les douleurs sont souvent mal compris par leur entourage. Pas étonnant que ces patients manifestent un besoin particulier d’échanger et de partager leur expérience avec d’autres ! Ces échanges que l’on retrouve sur les réseaux sociaux permettent de répondre à leurs attentes et offrent de belles perspectives grâce à de nouveaux outils dédiés. Premier réseau social dédié aux malades chroniques en France, Carenity met à la disposition de ses membres une information médicale de qualité, des espaces communautaires sécurisés et modérés et des applications personnalisées de suivi de la maladie. Lire la suite...

    mardi 26 février 2013

    Reconnu d’utilité publique le pilulier SIVAN de MedSecure vient d’obtenir un agrémentService à la personne


    avec un abattement fiscal de 50% accordé sur l’abonnement mensuel, qui revient à 19,5 euros au lieu de 39 euros

     

    Les nouvelles technologies au service de la bonne observance des traitements Le 1er pilulier intelligent arrive en pharmacie

     

    37 milliards de Dollars et 125 000 décès par an aux Etats-Unis, 2 milliards d’Euros et 8 000 à 12 000 décès par an en France. La mauvaise observance, qui concerne 30 % à 50 % des patients est aujourd’hui un enjeu de santé publique planétaire aux répercussions d’ordre médical et économique.

     

     

    Près de 13 millions de personnes en France seraient polymédiquées, personnes âgées de plus de 60 ans et/ou atteintes de Maladies Chroniques.

     

    L'utilisation d'un pilulier est aujourd'hui préconisée par les professionnels de santé comme une aide majeure à l'observance. Un saut technologique de rupture

    Avec SIVAN de MedSecure, qui est aujourd’hui le 1er pilulier doté d’un réseau GSM avec une carte SIM intégrée et ainsi capable d’appeler le patient ou son entourage mais aussi d’envoyer des SMS et E-mails de rappel en cas d’oubli.

     En savoir plus


    http://pharamster.over-blog.com/article-un-meilleur-usage-du-medicament-entrainerait-378-milliards-d-euros-deconomies-

    http://lemondedelaesante.wordpress.com/tag/igas/--‐

     

    SEMAINE EUROPÉENNE DE LA VACCINATION

     
    20 - 27 avril 2013

     

    Vaccination, êtes-vous à jour ?

    Suis-je à jour de mes vaccins ? Quels vaccins nécessitent un rappel ? Ne concernent-ils que les enfants ? Quels sont les délais entre chaque vaccin ? Quelles nouveautés en 2013 ?

     


    Autant de questions auxquelles la Semaine européenne de la vaccination vous permettra de répondre du 20 au 27 avril prochain.
     

    Cet événement, organisé à l’initiative de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), se tiendra simultanément dans près de deux cents pays en Europe et dans le monde. En France, cette Semaine est coordonnée par le ministère de la Santé et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) et pilotée en région par les agences régionales de santé (ARS). Pour faire vivre cet événement, un grand nombre d’acteurs est mobilisé sur le territoire.

     

    La 7e édition sera l'occasion pour chacun de faire un point sur ses vaccinations et de rencontrer les acteurs et professionnels de santé mobilisés près de soi. De nombreuses actions seront mises en place dans les 26 régions : expositions, séances d’information, conférences, jeux, animations, séances de vaccination, etc. Ces actions auront toutes un objectif commun : aider les Français à mieux comprendre les bénéfices individuels et collectifs de la vaccination pour se protéger contre certaines maladies infectieuses.


    NDLR : MGEFI et Vaccins

     


    Définition des termes usuels en matière de santé.



    À consulter sans modération tous les jeudis !