Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est publics. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est publics. Afficher tous les articles

mercredi 13 novembre 2013

La Ville de Paris étendra la gratuité des transports publics parisiens aux veuves d’anciens combattants dès le 1er janvier 2014

A l’initiative de Bertrand Delanoë, la Ville de Paris étendra la gratuité des transports publics parisiens aux veuves d’anciens combattants à partir du 1er janvier 2014. Cette mesure fera l’objet d’une délibération au Conseil de Paris des 16, 17 et 18 décembre.
 
 
Actuellement, seuls les anciens combattants et les veuves de guerre bénéficient de la gratuité des transports publics à Paris.
 
 
Le maire de Paris a annoncé cette mesure aux anciens combattants d’Algérie et à leurs familles, à l’occasion de la clôture du congrès de la FNACA de Paris vendredi 8 novembre.


mercredi 6 novembre 2013

TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques ?



 

 


 

Le Pôle AURA MUNDI – veille et analyse des médias en ligne – de l’Argus de la presse présente les résultats du deuxième volet de son enquête sur les usages et les pratiques de Twitter en France, consacré aux personnes ayant un compte Twitter et l’utilisant actuellement.

Retrouver l’infographie de l’étude ici

 

L’USAGE DE TWITTER EN FRANCE

Le 1er volet de l’enquête (publié en avril dernier) montrait qu’aujourd’hui, 5% des Français détiennent un compte Twitter et l’utilisent actuellement. Si Twitter est devenu un outil incontournable, peu de Français utilisent donc réellement cet outil au quotidien.

Ce 2e volet de l’enquête s’intéresse plus particulièrement à ces 5% de Twittos actifs : Ipsos a ainsi réalisé pour le pôle Aura Mundi de l’Argus de la presse une enquête auprès de 500 personnes ayant un compte Twitter et l’utilisant actuellement, afin de comprendre de manière détaillée qui ils sont et comment ils utilisent Twitter.

« Twitter fait partie du Paysage de la communication en France, et la mesure précise des usages de ce nouvel outil, des attentes et motivations de ses utilisateurs reste encore rare.
Cette étude nous apprend comment le réseau social établit de nouvelles relations entre l’information et les publics. Nous sommes ravis de faire progresser la connaissance du secteur avec ces résultats chiffrés. Ils donnent à réfléchir et confirment que la surveillance et l’analyse de ces avis doit trouver sa place aux côtés de l’ensemble des médias. Une démarche devenue nécessaire pour garder le contrôle de sa réputation et inspirer de nouvelles communications », précise Arnaud Steinkuhler, Directeur du pôle AURA MUNDI.


 

mercredi 24 avril 2013

L'Unapei dénonce l'immobilisme des pouvoirs publics face aux situations dramatiques de plus de 30 000 familles confrontées au vieillissement de leur enfant handicapé mental.


Combien de drames devrons-nous compter avant que la problématique du vieillissement des personnes handicapées mentales soit prise en compte ?

 

Un père a tué son fils autiste d'une quarantaine d'année lundi 22 avril en fin d'après-midi à leur domicile de Poissy (Yvelines) et a tenté ensuite de se suicider. Un geste de désespoir qui met en cause la responsabilité des pouvoirs publics, qui ne peuvent pas dire qu'ils ignoraient la situation !

 

En effet, depuis plus de 5 ans, l'Unapei les a de très nombreuses fois alertés sur l'impasse dans laquelle se trouvaient ces familles.

 

Les parents s'inquiètent du devenir de leurs « enfants » lorsqu'ils ne seront plus là, ou en mesure de les aider. Les frères, les sœurs s'interrogent sur leurs responsabilités lorsque leurs parents disparaîtront. Les personnes elles-mêmes craignent pour leur avenir : « Après mes parents, qui s'occupera de moi et qui prendra soin de moi ? »

 

En 2009, l'Unapei recensait dans son réseau 15 000 personnes handicapées mentales de plus de 45 ans dans l'impasse, sans solution d'accueil ni d'accompagnement. En 2014, elles seront 30 000 !

 

L'Unapei demande la mise en place du troisième plan Autisme et celle d'un programme pluriannuel de création de 30 500 places dédiées à l'accueil et l'accompagnement des personnes handicapées mentales vieillissantes.

 

À propos de l'Unapei

Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis :

Créée en 1960, l'Unapei est la première association française représentant et défendant les intérêts des personnes handicapées mentales et de leurs familles. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres.

L'Unapei est un mouvement national qui fédère près de 600 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).

L'Unapei en chiffres :

·         180 000 personnes handicapées accueillies

·         60 000 familles adhérentes des associations affiliées

·         3 000 établissements et services spécialisés

·         75 000 professionnels employés dans les associations et les établissements

Plus d'informations sur : www.unapei.org

La MGEFI dans la presse....


Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

www.acteurspublics.com - 16 AVRIL 13

 

Titre : PARIS / Dossier / Quand les mutuelles des agents publics se marient

presseagence.com   - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

www.acteurspublics.com  - 17 AVRIL  13

 

Titre : PARIS / Dossier complémentaire santé / Les assureurs privés fourbissent leurs armes

presseagence.com - 18 AVRIL 13

 

Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 16 AVRIL 13

 

Titre : Ces inégalités criantes de couvertures santé entre fonctionnaires

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 15 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER  - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les dernières avancées de la MGEFI

LA PROVENCE - 19 AVRIL 13

 

Titre : Prestations en hausse et trésorerie générale en baisse

LA MARSEILLAISE ED.ALPES -  18 AVRIL 13

 

Titre : Le volet des Complémentaires

UNITE ACTION  - FEV/MARS 13

 

Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

www.acteurspublics.com - 16 AVRIL 13

 

Titre : PARIS / Dossier / Quand les mutuelles des agents publics se marient

presseagence.com  - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

www.acteurspublics.com  - 17 AVRIL  13

 

Titre : PARIS / Dossier complémentaire santé / Les assureurs privés fourbissent leurs armes

presseagence.com - 18 AVRIL 13

 

Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 16 AVRIL 13

 

Titre : Ces inégalités criantes de couvertures santé entre fonctionnaires

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 15 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER  - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les dernières avancées de la MGEFI

LA PROVENCE - 19 AVRIL 13

 

Titre : Prestations en hausse et trésorerie générale en baisse

LA MARSEILLAISE ED.ALPES -  18 AVRIL 13

 

Titre : Le volet des Complémentaires

UNITE ACTION  - FEV/MARS 13
 

NDLR : Retrouvez toute l’actualité de la Mutuelle Générale de l’Economie des Finances et de l’Industrie sur : www.mgefi.fr

mardi 26 février 2013

FEDERATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CERVEAU



 




« Touchant  directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être « cause d’intérêt national ». Il relève plus que jamais de la vocation de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ».


Arnaud Brunel, Président de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemble 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau**.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau a pour vocation de :

Permettre au public de mieux comprendre le rôle du cerveau, son fonctionnement et ses maladies et informer des dernières avancées de la recherche en neurosciences.

Aider les chercheurs à mieux connaître le cerveau, son fonctionnement et ses maladies en contribuant financièrement à leurs travaux.

Militer pour la mise en place d’une vraie politique de santé centrée sur les maladies du cerveau.

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteur intellectuel et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…

parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau alerte l’opinion à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 sur le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ! ».

« Pour que les chercheurs travaillent et trouvent, il leur faut des moyens. C’est pour cela que la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau collecte tout au long de l’année et pendant la Semaine du cerveau sous le label « Neurodon ». Elle finance, en complément des associations membres, la recherche sur le cerveau. Celle-ci devrait être aujourd’hui la priorité pour préserver la santé de tous les citoyens ».

Professeur André Nieoullon, Président du conseil scientifique de

la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

*La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union Nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC (accidents vasculaires cérébraux) / Huntington France / La Fondation Motrice (paralysie cérébrale)).

**La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau se bat pour vaincre les maladies du cerveau. Toutes sans exception, de la plus répandue à la plus rare.

Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, l’épilepsie, la Sclérose en plaques, l’AVC, l’Atrophie multisystématisée, la dystonie, la Chorée de Huntington, les tumeurs cérébrales, la paralysie cérébrale, la Sclérose Latérale Amyotrophique) et les maladies psychiques et psychiatriques (anxiété, dépression, addictions, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs… et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives). Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.



Alerte de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La décennie à venir doit être celle du cerveau !

1/ Les maladies du cerveau sont en augmentation constante…

Plus d’1 Français sur 10

souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler

entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050*.

2/ Les maladies du cerveau sont des maladies violentes et dramatiques…

Le cerveau est l’organe clé de notre corps. Il nous permet de penser, de bouger, d’avoir des émotions…

Tout le reste de notre corps dépend de lui.

3/ Les maladies du cerveau sont un fléau social …

Bombes à retardement, les maladies du cerveau, sont pour la plupart des maladies chroniques, les patients doivent être soignés pendant 20 à 30 ans… leur coût est considérable pour la société.

Les
enjeux économiques sont à la mesure de la fréquence de ces maladies, du handicap associé et des dépenses hospitalières engendrées.


4/ La recherche sur les maladies du cerveau ne bénéficie pas

des fonds publics qu’elle mérite…

Les fonds publics alloués à la recherche sur le cancer sont deux fois plus importants que ceux attribués à la recherche sur les maladies du cerveau, alors que ces dernières coûtent à la société environ deux fois plus !**

5/ Comprendre les maladies du cerveau est un défi majeur.

Perte progressive et insidieuse de la conscience, perte de motricité, état de dépendance physique et morale, autonomie ébranlée…es maladies du cerveau sont des maladies pour lesquelles seule la recherche peut prévenir, freiner et enfin stopper l’évolution.

La recherche sur les maladies du cerveau est un enjeu à l’échelle mondiale pour le XXI
ème siècle. Les traitements qui, jusqu’à présent, n’étaient que symptomatiques et palliatifs devront être plus efficaces, préventifs et curatifs. Pour cela, il faut percer à jour le cerveau et son « code neural » !


Parce que la recherche sur le cerveau est la clé de notre futur, parce qu’il est impératif de s’organiser pour assurer un mieux-être aux patients et familles concernés.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau fait front commun et revendique la mise en place d’une vraie politique de santé sur les maladies du cerveau

Maladies du cerveau : donnez avant qu’elles ne vous rattrapent !

www.frc.asso.fr

Pour donner cliquer neurodon

lundi 28 janvier 2013

Café nile avec Etienne Caniard, président de la FNMF,


6 février 2013 de 8h30 à 10h au Sir Winston "Quel rôle pour les complémentaires dans la régulation des dépenses de santé ? "

Les déficits publics atteignent des sommets et rien ne semble actuellement efficace pour enrayer leur progression. La course permanente et vaine entre l’augmentation des taxations et la perte de revenus pour l’Assurance Maladie risque de mettre à mal les bases même du système solidaire français. Dans ce contexte, les payeurs complémentaires ont un rôle grandissant à jouer, même si leur participation au remboursement des dépenses de santé des citoyens semble se stabiliser aux alentours de 13,5%. C’est surtout dans le débat sur de nouvelles idées, de nouveaux concepts et de nouvelles façons d’organiser les soins et les prises en charges que les complémentaires peuvent apporter une contribution nouvelle.

Diane® 35 et ses génériques

Une analyse spécifique par lANSM des données de sécurité de Diane 35 et de ses génériques est en cours. Un rapport complet, ainsi que des mesures concernant lutilisation de ce traitement de lacné, seront rendus publics la semaine prochaine.

 Diane® 35 a obtenu son autorisation de mise sur le marché (AMM) en France en juillet 1987 dans le traitement de l'acné chez la femme. Compte tenu de sa composition, ce médicament comporte un effet sur l’inhibition de l’ovulation qui est mentionné dans le Résumé des Caractéristiques des Produits (RCP). 
 
Diane® 35 est autorisée dans 135 pays et commercialisée dans 116 pays. Dans la majorité d’entre eux, ce médicament a l’indication "acné" ou "androgen dependent disease", mais, dans certains cas, l’indication "contraception orale" est également associée.
 
Les contre-indications à l’utilisation de Diane® 35 précisées dans le RCP sont notamment les antécédents de thromboses artérielles ou veineuses, ainsi que la présence de facteurs de risques cardiovasculaires.

En 2012, on peut estimer qu’environ 315 000 femmes étaient en France traitées par Diane® 35 ou ses génériques (sur la base d’une consommation de 13 plaquettes par an).

 
En raison de son indication particulière dans l’acné, d’un usage possible en dehors de l’indication de l’acné et de son profil de risque, l’ANSM a initié l’analyse du bénéfice/risque de cette spécialité, comme elle le fait régulièrement pour les médicaments les plus anciens. Les données concernant l’évaluation du profil de sécurité de ce médicament seront présentées, comme il était prévu, la semaine prochaine au comité technique rassemblant les centres régionaux de pharmacovigilance.

 
S’agissant des informations publiées dans la presse, l’ANSM, précise que les cas mentionnés sont le reflet des déclarations faites par les médecins dans le système national de pharmacovigilance pendant les 25 dernières années, c’est-à-dire depuis 1987. Parmi les cas cités issus de la base de pharmacovigilance, quatre décès sont imputables à une thrombose veineuse liée à Diane® 35. Pour les trois autres cas mentionnés, la cause du décès est liée à des pathologies sous-jacentes des patientes concernées. Ces pathologies semblent avoir joué un rôle essentiel dans le décès et la prise de Diane® 35 ne semble pas incriminée. Par ailleurs, 125 autres cas de thrombose ont été notifiés sur la même période : 113 concernaient des thromboses veineuses et 12 des thromboses artérielles.

 
L’ANSM rendra ses conclusions sur l’analyse bénéfice/risque de Diane® 35 et de ses génériques la semaine prochaine, comme prévu à l’issue de la réunion du comité technique, et prendra les mesures appropriées. Elle publiera, à cette occasion, l’ensemble des données ayant fondé son analyse.

 
Contacts : presse@ansm.sante.fr  

 

mercredi 7 novembre 2012

Emploi des personnes handicapées, une conférence parlementaire fait le point


La 16ème semaine pour l’emploi des personnes handicapées, qui se déroulera du 12 au 16 novembre prochain, a pour objectif de sensibiliser le plus grand nombre au recrutement et au maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés dans les secteurs privés et publics.

 

Mais qu’en est-il des politiques publiques en faveur de l’insertion des personnes handicapées dans le monde du travail ? Quelle politique managériale du handicap est appliquée dans les entreprises françaises ?

 

Pour faire le point et échanger sur ces questions, Martine Carrillon-Couvreur, députée de la Nièvre, vice-présidente de la Commission des affaires sociales et Denis Jacquat, député de la Moselle, membre de la Commission des affaires sociales proposent aux institutionnels et professionnels de se réunir le 15 novembre, à l’occasion d’une conférence parlementaire sur les entreprises et le handicap.