Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 10 avril 2014

Dominique Baudis est décédé

Lu dans "Les Echos" aujourd'hui
 
+VIDEO Ancien maire de Toulouse, Dominique Baudis était Défendeur des droits depuis juin 2011. Il est décédé jeudi matin à l’âge de 66 ans


Dominique Baudis - AFP/LIONEL BONAVENTURE
Dominique Baudis - AFP/LIONEL BONAVENTURE

Figure médiatique et politique, Dominique Baudis est décédé jeudi matin à l’âge de 66 ans d’un cancer généralisé à l’hôpital du Val-de-grâce à Paris, a indiqué l’institution qu’il dirigeait.

Diplômé de Sciences po Paris, Dominique Baudis commença sa carrière comme journaliste pour la télévision et la radio à Beyrouth. Il devint ensuite grand reporter pour TF1 pour le Proche-Orient et finit par présenter le journal de la Une, puis celui du Soir 3 de FR3, jusqu'en 1982.

Cette année là, avec son groupe de Centre des démocrates sociaux, composante de l'UDF, Dominique Baudis prit la suite de son père à la mairie de Toulouse et dirigea la ville rose durant dix-huit ans. Les succès politiques s'enchaînèrent et Dominique Baudis fut élu député de Haute-Garonne en 1986 et président du conseil régional la même année. Mais il refusa toujours d’entrer au gouvernement.

Il abandonna tous ses mandats en 2000 lorsque Jacques Chirac, alors président de la République, lui proposa le poste de président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA). Il resta six ans à la tête de l'institution, de 2001 à 2007, où il oeuvra notamment au lancement de la TNT.
 
 

La réaction de Matignon 

 
C’est avec une profonde tristesse que Manuel VALLS a appris le décès de Dominique BAUDIS.
Journaliste de terrain, grand reporter, Dominique BAUDIS a couvert au début de sa carrière l’actualité du Proche-Orient, avant d’être dans les années 80, en tant que présentateur du journal télévisé, notamment sur le service public, un visage et une voix appréciés des Français.

Sa connaissance fine du monde des médias l’a conduit à la tête du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Le lancement de la Télévision numérique terrestre a alors été son principal cheval de bataille.

Président de l'Institut du Monde Arabe en 2007, Dominique BAUDIS a toujours conservé pour cette région du monde un regard d’expert et de passionné. Homme de lettres, il y a consacré plusieurs de ses ouvrages.

Dominique BAUDIS s’est également impliqué très jeune dans la vie politique. Maire de Toulouse, ville si chère à son coeur, il s’est aussi investi dans les mandats locaux, en Haute-Garonne et Midi-Pyrénées. Elu et réélu député, européen convaincu, Dominique BAUDIS a également siégé à Bruxelles.

Le 22 juin 2011, Dominique BAUDIS avait démissionné de tous ses mandats pour occuper la fonction nouvellement créée de Défenseur des droits. Très attaché à la laïcité, à l’accès de tous à la justice, il a su faire de cette institution un outil au service de ceux qui souffrent.

Combattant de toutes les discriminations, intègre et courageux, Dominique BAUDIS était un homme de dialogue, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir des convictions.

La France perd une voix qui comptait, un défenseur engagé au service de la République. Manuel VALLS tient à adresser à sa femme, à ses enfants et à ses proches ses sincères condoléances.
 

La réaction d'Anne Hidalgo, maire de Paris



J’apprends avec beaucoup d’émotion le décès de Dominique Baudis, humaniste et démocrate totalement dévoué au service de notre pays.

Comme journaliste engagé au Proche-Orient, comme responsable élu profondément enraciné dans le Sud-Ouest, mais également comme défenseur des droits, il n’a jamais cessé de faire valoir les principes républicains qui réunissent les Français. En France comme à l’étranger, il s’est en particulier toujours engagé au service de la concorde et de la justice sociales.

En se faisant systématiquement ces dernières années le porte-parole des plus vulnérables, il s’est imposé comme une figure de sagesse et d’équilibre au sein de notre République.

J’adresse à sa famille et à ses proches toutes mes condoléances.



 
 


mardi 21 janvier 2014

VOEUX A LA PRESSE :Texte du discours du 1er ministre


Hôtel de Matignon

Lundi 20 janvier 2014

Seul le prononcé fait foi
Mesdames et Messieurs,

Merci à vous d’être présents aussi nombreux ce soir, et merci à vous,  pour les voeux que vous m’avez présentés au nom de l’association de la presse ministérielle.

Recevez en retour mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année. Pour vous, pour ceux qui vous sont chers et pour tous ceux qui suivent au quotidien l’activité du Gouvernement et de Matignon, avec une pensée évidemment pour vos collègues actuellement retenus en otages.

C’est un rôle exigeant que le vôtre, et ce rôle porte en lui une responsabilité vis-à-vis de nos concitoyens. Cela mérite le respect des responsables publics, et je ne crois pas m’être écarté à aucun moment de cette ligne de conduite, contrairement à certains de mes prédécesseurs. J’ai pu, effectivement, avoir à me plaindre d’une certaine forme de « bashing », mais je l’ai dit : ce n’est pas le Ayrault-bashing qui me préoccupe, c’est le « France-bashing » que je n’accepte pas, parce que notre pays mérite mieux que ces critiques erronées et injustes.

2013, vous le savez, n’a pas été une année facile. La presse, vous l’avez dit, n’a pas été épargnée par ces difficultés. Elle connaît de profondes mutations et doit, elle aussi, accomplir un effort considérable d’adaptation. De nombreux médias, dont chacun est un gardien de la liberté d’expression, sont aujourd’hui fragilisés. Ce sont d’ailleurs des sujets sur lesquels nous avons travaillé, et nous continuerons à le faire. Tout récemment encore, la TVA à taux super réduit pour la presse en ligne a été l’illustration.

Mais au-delà du cas spécifique de la presse, c’est bien la situation économique générale du pays qui est en cause, et c’est dans tous les domaines de la vie de la Nation qu’il a fallu agir vite et prendre des mesures fortes. Je ne vous en ferai pas la liste ce soir, pas à vous qui la connaissez bien. Je souhaite plus simplement – et comme c’est, je crois, le sens d’un échange de voeux - partager avec vous un constat et une conviction.
Le constat, c’est que la France est aujourd’hui en passe de s’en sortir. Elle est officiellement sortie de la récession, après cinq ans de croissance zéro en moyenne qui nous fait retrouver à peine aujourd’hui le niveau de richesse du pays en 2008. Les observateurs extérieurs comme les organisations internationales prévoient désormais une poursuite de la reprise, avec une croissance de l’ordre de 1% en 2014, et plus ensuite.




C’est évidemment une bonne nouvelle pour le pays, qui vient de traverser la plus longue crise de l’après-guerre, mais c’est surtout un encouragement car il reste beaucoup à faire.

La croissance et l’emploi sont en effet la clé de tout. C’est grâce à l’un et à l’autre que nous pourrons améliorer la situation de nos concitoyens. C’est donc à ce double objectif que le Président de la République m’a chargé, ainsi que tous les membres de mon Gouvernement, de consacrer toute notre énergie depuis le premier jour.

La situation reste encore difficile pour beaucoup de Français, et notre premier devoir est de penser à ceux de nos concitoyens qui continuent à souffrir de la crise. Car si les choses vont déjà mieux pour certains secteurs, certaines catégories ou certaines régions, pour d’autres, la crise est encore là et elle frappe durement. Cette situation contribue fortement à cliver les attentes de la société, et certains de nos concitoyens subissent la tentation du repli sur soi et de l’individualisme. C’est une vraie menace sur la confiance de nos concitoyens dans leur avenir et dans leur pays. Parce qu’aux yeux des Français, il ne peut y avoir qu’une France, et la promesse républicaine doit être la même pour tous et partout. C’est la meilleure réponse à toutes les formes de populisme qui prospèrent sur le sentiment d’abandon et le découragement.

Vous m’avez demandé ce qu’était devenu le nouveau modèle français un an après – et je vous remercie de vous en préoccuper. Eh bien rassurez-vous, il est là, au coeur de toute notre politique de remise en marche de la France, qui est exigeante mais indispensable.

Il ne s’agit pas en effet seulement de restaurer la compétitivité du pays, mais de le faire tout en préservant un modèle social auquel les Français sont profondément attachés.

Il ne s’agit pas seulement d’assainir notre situation financière, mais de le faire tout en finançant nos priorités, que sont l’emploi, l’éducation, la sécurité ou encore la santé.

Il ne s’agit pas seulement de réformer ce qui fait le moteur même du pays : l’école, la formation ou les entreprises, mais de le faire au service de l’emploi, pour que chaque Français ait sa chance, tout au long de sa vie.

Certains de nos voisins européens, à qui on nous compare souvent, ont fait un choix somme toute plus facile, celui de financer leurs économies budgétaires par des coupes brutales dans la protection sociale et les services publics rendus aux citoyens.

Telle n’est pas ma conception de la réforme, ni l’esprit de la politique que nous menons. Nous prouvons que la modernisation, ce doit être aussi des droits nouveaux pour les salariés, et non pas systématiquement des droits en moins. Nous prouvons qu’on peut être rigoureux dans la gestion publique et en même temps volontariste dès qu’il s’agit du progrès social. Nous prouvons que notre pays peut se réformer dans le dialogue, y compris sur des sujets sensibles comme les retraites, et sans trahir ce qui fait son modèle et ses valeurs.

Nous travaillons avec les partenaires sociaux –et je les recevrai ici-même à Matignon le 27 janvier. Nous faisons confiance à la majorité parlementaire. Et le résultat, c’est qu’en un an, un nombre considérable de réformes ont été menées, y compris sur des sujets où rien n’était joué d’avance.
Il suffit d’ailleurs de voir à quel point les critiques qui nous sont adressées ont évolué pour mesurer le chemin parcouru. Il ne se trouve par exemple plus grand monde pour écrire, comme il y a un an, que le Gouvernement fait complètement fausse route et que la sanction 3 Hôtel de Matignon - 57, rue de Varenne - 75007 PARIS



des marchés va tomber très vite. La situation du pays s’améliore à nouveau, le Gouvernement travaille et la majorité fait bloc autour des grandes réformes.

Non, aujourd’hui, la tonalité est plus raisonnable : on se dit –ou en tout cas on se disait avant la conférence de presse du Président- que « c’est trop peu », que « cela ne va pas assez vite » et qu’il faudrait « aller beaucoup plus loin ». Je le prends comme un encouragement, car l’essentiel, à mes yeux, c’est que les choses avancent, c’est que les réformes se fassent, parce que la France en a besoin. La seule issue, c’est l’action, toujours l’action.

Les chantiers engagés seront amplifiés en 2014, et le Président l’a dit avec force lors de ses voeux aux Français et à l’occasion de sa conférence de presse.

Il a confirmé la priorité donnée à l’emploi et à la croissance, à la compétitivité et au dialogue social. C’est la base du pacte de responsabilité qu’il a annoncé.

Il a confirmé l’objectif de réduction de la dépense publique, avec au moins 50 milliards d’économies entre 2015 et 2017.

Il a confirmé aussi la nécessité d’une remise à plat de la fiscalité et des dépenses.

Et il a confirmé enfin l’objectif de baisse des prélèvements obligatoires.

Cela supposera évidemment de continuer à mener des réformes de structure, dans l’Etat, mais aussi dans les collectivités locales et la protection sociale, pour faire mieux avec moins, pour pérenniser notre modèle et doter la France d’un Etat et d’un service public plus justes, plus simples et plus efficaces.

Mais qui s’en étonnera ? Cet objectif a toujours été celui de la gauche. C’est ce que les Français retiennent de son histoire et c’est ce qu’ils attendent de nous : non pas toujours plus de dépenses comme on le croit trop souvent, et à tort, mais des réformes de structure pour démocratiser, moderniser le service public, porter des droits nouveaux en faveur de l’égalité des chances, de l’intégration républicaine, conforter la protection sociale ou encore sécuriser l’emploi sur le marché du travail.

C’est ce type de réformes qui ont forgé la société dans laquelle nous vivons, c’est là que la gauche a toujours consacré le meilleur de son énergie, c’est là qu’elle s’est montrée à la hauteur de sa mission, qui est de porter une vision de l’avenir. Et 2014 sera résolument tournée vers l’avenir.

Ce sera une année européenne, avec un scrutin majeur pour l’avenir de l’Union et la poursuite, par le Président de la République, de ses initiatives en faveur de la réorientation de l’Europe.

Ce sera l’année de la transition énergétique, qui constitue un levier fondamental de transformation de notre modèle économique et social.

Ce sera l’année de la décentralisation, avec pour objectif le développement économique de nos territoires et la maîtrise des dépenses publiques.
Ce sera aussi l’année de la simplification pour les entreprises et pour les citoyens, l’année de la réforme pénale pour s’attaquer, enfin, aux racines de la récidive dans notre pays, l’année aussi d’une grande loi de solidarité sur l’autonomie.



Bref, ce sera une année de modernisation, qui mobilisera l’Etat autour de projets d’avenir, fondateurs et porteurs d’une dynamique de changement et de progrès pour tous.

Ce sont là de grands défis pour le pays, et nous avons tous ici une responsabilité, qui est d’éclairer les choix de nos concitoyens, de tenir un langage de vérité et de faire vivre une démocratie exigeante. C’est la condition pour que la France retrouve confiance dans sa force et dans son avenir. C’est le cap que le Président de la République a fixé, c’est ma feuille de route et celle du Gouvernement, et vous me trouverez, cette année encore, entièrement dévoués à ma mission.

Bonne année à vous, bonne année à tous vos proches, et bien sûr à tous vos médias.

jeudi 8 août 2013

Opération "Des vacances pour tous" - Secours populaire à Matignon


Dans le cadre de l’opération « Des vacances pour tous » initiée par le Secours populaire, Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, recevra près de 300 enfants à l’Hôtel de Matignon, lundi 12 août, de 11h à 16h.

 

Comme chaque année, le Secours populaire français mobilise ses bénévoles pour offrir des moments d’évasion aux Français qui ne peuvent partir en vacances, et tout particulièrement aux enfants des familles monoparentales en situation de précarité. Aux côtés des nombreux départs en villages vacances et avant la grande « Journée des oubliés des vacances », le 28 août 2013 à Cabourg, ce sont 300 enfants accompagnés par le Secours Populaire qui passeront la journée du 12 août à l’Hôtel de Matignon. Au programme : rencontre avec le Premier ministre et son épouse, visite du site, activités ludiques à caractère culturel et sportif proposées par l’UCPA dans les jardins de l’Hôtel Matignon.

jeudi 11 avril 2013

Information sécu ...

Réforme de l'Etat. Le second Cimap esquisse les premières mesures du "choc de simplification" annoncé par François Hollande



Tous les ministres étaient conviés le 2 avril à Matignon pour un deuxième comité interministériel de modernisation de l'action publique (Cimap) afin de donner suite au "choc de simplification" souhaité par le président de la République. Il en ressort une série de 30 nouvelles "décisions" concernant à la fois la poursuite de l'évaluation des politiques publiques (un nouveau cycle d'évaluations couvrira le second semestre), la modernisation des administrations relevant de chaque ministère, l'allègement des normes (les administrations devront adopter "une interprétation facilitatrice" - moratoire général sur les nouvelles normes), la rationalisation des achats de l'Etat, la rationalisation du paysage des agences et opérateurs de l'Etat, la suppression d'une centaine de commissions administratives (sachant qu'une autre vague suivra d'ici à l'été), l'ouverture des données publiques (open data), la simplification des démarches en faveur des particuliers et des entreprises. Les mesures de simplification engagées en décembre 2012 portent leurs premiers fruits. Il est ainsi possible de déclarer en ligne et en une seule fois le décès d'un proche auprès des principaux organismes concernés (Cnav, Cnaf, Ircantec ...).



Le mouvement de simplification engagé se poursuit et son ambition s'accroît avec de nouvelles mesures. Un site proposant une information adaptée sur la qualité des prises en charge dans les établissements de santé à destination des usagers et de leurs représentants est prévu en 2013. Pour 2014, une procédure de déclaration de grossesse en ligne sera mise en place d'ici le premier semestre. Du côté des entreprises, des travaux de simplification seront engagés sur dix formulaires courant 2013 (s'ajoutant au pré-remplissage de la C3S décidé lors du premier Cimap).


"La plupart de ces décisions sont à placer dans la continuité de celles qui avaient été listées lors du premier Cimap de décembre 2012 et devront être concrétisées par des annonces plus précises attendues dans les mois qui viennent. En sachant aussi que d'autres mesures destinées aux entreprises interviendront en avril lors d'un séminaire gouvernemental sur le bilan du pacte de compétitivité", souligne Localtis.info. Un prochain Cimap se tiendra dans trois mois.


 


La MSA lance son appli mobile "ma MSA & moi"



La Mutualité Sociale Agricole lance son appli mobile "ma MSA & moi" permettant aux assurés du régime de consulter en temps réel où qu'ils soient leurs paiements et remboursements concernant la santé, la famille, la retraite ou encore l'action sociale. Cette application est la première à proposer un test d'éligibilité à l'ACS et à la CMU-C sur smartphone ouvert à tous les publics, qu'ils relèvent de la MSA ou non. Enfin, un fil d'actualité permet de se tenir informé, en temps réel, sur toutes les nouveautés de la MSA. Avec cette application, la MSA entend compléter et élargir son offre digitale au service de ses adhérents déjà constituée de sites Internet, de plus de 50 services en ligne et d'une présence sur les réseaux sociaux.



L'application "ma MSA & moi", gratuite, est disponible sur Apple store et Google play. Les identifiants de connexion de l'espace privé mobile MSA sont identiques à ceux de l'espace privé internet.


 


Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 546 du 24 mars 2013




1 -

Circulaire Ucanss n° 013-13 du 29 mars 2013 sur les conditions d'inscription sur la liste d'aptitude aux emplois d'agent de direction dans la Sécu - (1744)



2 - Le billet "




3 -

Ricordeau s'en va. Quel bilan ! - Déclaration CGT du 26 mars 2013 - (593)



4 - Perspectives du système de retraite en 2020, 2040 et 2060. Le COR examine les projections régime par régime -




5 -




6 -

La lettre de la Michodière 12-2013 du 29 mars 2013 - SNFOCOS - (528)

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Newsletter réalisée par Gérard Bieth
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mercredi 30 janvier 2013

renforcement du plan Vigipirate



En raison du renforcement du plan Vigipirate,

le jardin de l’Hôtel de Matignon ne sera pas ouvert au public

le samedi 2 février 2013 après-midi.