Nora ANSELL-SALLES

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lundi 15 février 2016

Sénat : audition des candidats appelés à siéger au Conseil constitutionnel

Jeudi 18 février 2016, en salle Clemenceau,

la Commission des lois du Sénat procède aux auditions

des personnalités appelées à siéger au Conseil constitutionnel :

  • à 10h M. Michel Pinault, candidat proposé par le Président du Sénat ;
  • à 11h M. Laurent Fabius, candidat proposé par le Président de la République.



Cette audition est ouverte à la presse et au public.
Le public est invité à s’inscrire auprès du secrétariat de la commission des lois (secretaires.loi@senat.fr) au plus tard le mercredi 17 février 2016.
Les journalistes sont invités à s’inscrire auprès de la direction de la communication (presse@senat.fr).
Le jour de l’audition, les journalistes sont invités à se présenter au 15 rue de Vaugirard, munis d'une pièce d'identité et de leur carte de presse.
L’audition sera diffusée en direct sur le site du Sénat puis disponible en VàD


mercredi 26 mars 2014

Libres propos signés MGFrance


Réquisitions des médecins à Angoulême : le procureur au pied du mur !
 
Depuis juin 2013, les généralistes d’Angoulême demandent que les réquisitions médico-judiciaires ne soient plus supportées par le médecin effecteur de la permanence des soins ambulatoires (PDSA), y compris la journée précédant une astreinte de PDSA. Ces réquisitions concernent le plus souvent l’examen médical de personnes placées en garde à vue ; leur trop grande fréquence désorganise de façon inacceptable aussi bien la permanence des soins que l'activité des médecins traitants pendant les heures d’ouverture des cabinets libéraux.
 
En l’absence d’unité médico-judiciaire (UMJ) à Angoulême, il revient au procureur de la République d’organiser un réseau de proximité pour répondre à ces réquisitions. Ceci n’a manifestement pas fait partie des préoccupations de celui d’Angoulême.

Les généralistes d’Angoulême ont dû médiatiser leur mouvement pour que l’administration judiciaire finisse par admettre qu’elle avait un problème à résoudre.

Il a fallu que les syndicats de médecins MG France et FMF interviennent au niveau national pour qu’une réunion de concertation locale ait enfin lieu le 13 janvier 2014, grâce à la médiation du président de la commission de la permanence des soins du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
 
À l’issue de cette réunion, les principes d’une astreinte spécifique, basée sur le volontariat de l’ensemble des médecins actifs et dédiée à ces réquisitions médico-judiciaires, ont été posés. Mais le résultat final est resté suspendu à la question de la rémunération d'une indemnité d’astreinte et au montage financier permettant de régler rapidement les actes. Car il faut souvent un à deux ans pour que le médecin soit rémunéré. Les généralistes d’Angoulême proposaient de garantir un service de qualité pour un coût annuel au moins cinq fois inférieur à celui d’une UMJ.
 
Les généralistes d’Angoulême ont accepté d’assumer seuls et gratuitement cette nouvelle astreinte sur une période de deux mois (jusqu’au 24 mars) afin que les tutelles aient le temps de finaliser le dispositif. Aucun moyen financier n’a été cependant été dégagé pour les astreintes et aucun montage financier n’a été validé pour permettre le règlement rapide des actes.
 
Depuis le 25 mars, le procureur d’Angoulême est au pied du mur : il doit quotidiennement réquisitionner un médecin "non volontaire", sans lui proposer des conditions d’exercice décentes.
 
Il n’est plus question de faire porter les réquisitions sur les seuls généralistes. Le procureur doit respecter une parfaite équité entre tous les médecins actifs quelques soient leur statut et leur mode d’exercice.
 
MG France défendra tous les médecins généralistes libéraux qui pourraient être victimes d'une discrimination dans le cadre de ces réquisitions.

 
 
·         Dr Claude LEICHER -
·         Dr François WILTHIEN
      ·Dr Jacques BATTISTONI
Référence du communiqué de presse : N° 307 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)




 
"Fiers d'être généralistes"
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mercredi 19 mars 2014

Rapport MSF sur la Centrafrique


Rapport MSF
République Centrafricaine :
« Un an d’escalade de la violence »
Rapport disponible sur :
http://www.msf.fr/sites/www.msf.fr/files/dp-urgence_centrafrique-bd.pdf

Nouvelles images vidéos HD (Bangui – Carnot) disponibles :
François DUMAINE : 01.40.21.28.40.  / francois.dumaine@paris.msf.org   

 

  

Massacres, tueries, tortures, déplacements, regroupements de certaines populations, exodes massifs… Un an après le coup d’Etat en République Centrafricaine (RCA), dans un rapport intitulé « RCA : un an d’escalade de la violence », les équipes de Médecins Sans Frontières (MSF) reviennent sur les atrocités dont elles sont les témoins dans ce pays.

 

Paris, le 19 mars 2014. Il y a un an, le 24 mars 2013, les forces de l’ex-coalition rebelle de la Séléka prenaient Bangui, la capitale de la République Centrafricaine (RCA).

 

Depuis plus de 12 mois, ce pays déjà exsangue traverse une crise politico-militaire majeure, dont les conséquences sont, pour la population, dramatiques et sans précédent. « Ce qui se passe en RCA est choquant. Nous avons l’habitude de travailler dans des contextes très violents mais là, même les plus aguerris d’entre nous ont rarement vu un tel niveau de violence. La vulnérabilité sécuritaire et sanitaire des populations est absolue » témoigne Marie-Noëlle RODRIGUE, directrice des opérations à MSF, de retour de RCA.

 

Si ces derniers mois, la minorité musulmane - condamnée à s’exiler massivement vers les pays voisins - paye plus particulièrement le prix de cette instabilité, c’est l’ensemble de la population centrafricaine qui est touchée. «  Tout le monde a peur. Chrétiens comme musulmans, à Bangui comme dans le reste du pays... Les populations sont terrorisées, les familles sont déchirées. La tension est exacerbée, les discours sont haineux » rapporte Delphine CHEDORGE, coordinatrice des activités d’urgence MSF.

 

Parce que malgré la dégradation des conditions sécuritaires il faut répondre à une masse croissante de besoins, MSF, acteur médical majeur en RCA, a fait de ce pays sa priorité et y déploie un important dispositif opérationnel.

 

Depuis plusieurs années, nous n’avons eu de cesse d’alerter sur les conséquences de l’abandon, y compris financier, qui entoure la crise en RCA. Ce rapport est un nouvel appel pour la Centrafrique : malgré la présence des forces armées internationales, le contexte sécuritaire reste volatile et très précaire. «  La situation humanitaire et médicale était déjà catastrophique avant le coup d’Etat. Depuis un an, elle ne fait qu’empirer. Nous le savons, la crise en RCA durera encore un moment. Or aujourd’hui, sur le terrain, nous sommes encore trop peu nombreux pour répondre à la masse des besoins. Pourtant, l’urgence perdure » rappelle Marie-Noëlle RODRIGUE.

  

MSF travaille dans le pays depuis 1997. Actuellement, 85 expatriés et environ 600 centrafricains  travaillent pour MSF-France en RCA. L’organisation gère 3 projets réguliers (à Carnot, Bria, et Paoua) et mène des projets d’urgence à Bangui et dans l’Ouest du pays. Une assistance est également apportée aux centrafricains réfugiés dans le sud du Tchad.

 

 


La section française de Médecins Sans Frontières (MSF) lance un appel à la générosité des Français
pour l’ensemble de ses activités d’urgence en République centrafricaine (RCA) et au Tchad :

Pour faire un don :

Médecins Sans Frontières

URGENCE RCA

75011 PARIS

Ou sur le site www.msf.fr


 

 

lundi 11 février 2013

Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa


« Quels  enjeux pour le Plan Cancer 3 ? »

 

20 février 2013

8h30 à 10h

Au Sir Winston "Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? "

Les progrès réalisés dans la lutte contre le cancer sont indéniables, tant sur le plan du dépistage que sur le plan thérapeutique. On peut considérer positivement les avancées de la lutte contre ce fléau, lutte commencée avec la création de l’Institut National du Cancer et des Plans Cancer 1 et 2. L’annonce par le Président de la République du Plan Cancer 3 doit normalement poursuivre ces efforts et ces réalisations. Assisterons-nous à une continuité des actions ? Verrons-nous au contraire une inflexion dans le combat ?

 

Malgré une baisse annoncée de la mortalité liée au cancer, les chiffres parlent d’eux-mêmes en ce qui concerne l’ampleur de cet enjeu de santé publique : 365 000 nouvelles personnes atteintes par an et plus de 147 000 décès en 2011. De plus, les cancers sont à la fois la source et la conséquence des inégalités sociales.

 

 

Inscription : "Olivier MARIOTTE" <olivier.mariotte@nile-consulting.eu>

 

Blog de nile en suivant le lien http://loeildenile.eu

Site de nile : www.nile-consulting.eu