Nora ANSELL-SALLES

lundi 10 juin 2013

Enquête PACE : les Français face aux cancers


 

Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité aux nouveaux traitements

Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.

En France, les principaux résultats de l’enquête révèlent que 59% de la population sont satisfaits des avancées effectuées ces vingt dernières années dans la lutte contre le cancer¹. En revanche, 60% regrettent la lenteur de la mise à disposition des molécules innovantes aux patients¹. Deux perceptions partagées par l’ensemble des personnes auditées dans le monde.

Le cancer est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ13% de la mortalité mondiale2. En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2011 à 147 5003.

Une bonne connaissance générale en oncologie mais des idées reçues persistantes

Les résultats de l’enquête PACE soulignent la bonne compréhension en oncologie de la population générale. A l’image des 5 autres pays interrogés, près d’1 Français sur 2 (48%)¹ considère que l’annonce du diagnostic n’est plus synonyme de mort assurée (contre 65% des Américains)¹. Cet optimisme relatif est partagé par les patients (67%)¹ et les personnels soignants (56%)¹.

34% des Français estiment également que le taux de mortalité par cancer a diminué¹. En effet, le taux de décès attribué au cancer a baissé de 22 % chez l'homme et de 14 % chez la femme, en vingt ans, en France¹.

Cependant, certains clichés persistent chez les Français interrogés :
            ®     
46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
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70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.

« Le niveau de connaissance est relativement faible car on est en face d’un paradoxe. On a une maladie qui tue près de 150 000 personnes par an en France, et nos concitoyens veulent à la fois qu’on les guérisse mais ne veulent pas trop en savoir et surtout ne pas savoir s’ils ont eux-mêmes une conduite à risque » explique le Professeur Philippe Rougier, ex-Chef de service Oncologie Digestive à Hôpital Européen Georges Pompidou. « Le niveau de connaissance varie en fonction des niveaux socio-économiques, des expériences personnelles et des âges : il augmente brutalement quand l’individu ou un de ses proches est atteint d’un cancer » affirme-t-il.

« Au-delà de l’envie du malade d’en savoir plus ou non et de son niveau socioculturel, le niveau de connaissance sur la maladie dépend aussi de la qualité de l’information disponible » ajoute Bernard Delcour, Président de l’Association Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M).

 

60% des Français pointent du doigt le délai d’attente trop long pour l’accessibilité des patients aux molécules innovantes¹

59% de la population estiment que les progrès en oncologie ont été remarquables ces vingt dernières années¹ ; la moitié des Français interrogés se dit d’ailleurs satisfaite du financement de la lutte contre le cancer¹. Un point de vue que ne partagent pas les 74% des patients¹ et 81 % des personnels soignants¹ qui attendent davantage de financement. Ce manque d’investissement est aussi dénoncé par une bonne majorité de la population des cinq autres pays participant à l’enquête PACE¹.

Autre point important soulevé par 60% de la population française¹ : le temps d’attente beaucoup trop long des patients pour accéder aux produits innovants. En effet, les patients sont 86% à se plaindre de ce délai¹ contre 65% des personnels soignants¹. Pour la recherche et le développement de nouveaux produits innovants, 77% des Français attendent plus de coopérations au niveau international¹. Et 3 personnes sur 4 souhaitent une meilleure collaboration entre les différents acteurs de la lutte contre le cancer¹, à savoir les pouvoirs publics, les ONG, les institutions académiques et les entreprises du médicament, afin d’accélérer les progrès en oncologie.

« Avant d’être autorisées sur le marché français, toutes les molécules innovantes sont souvent autorisées bien avant aux Etats-Unis. En France, le volet réglementaire a pris le dessus. On cherche avant tout à se couvrir des risques d’image, financiers et sanitaires. Une telle approche très réglementée est antinomique avec une démarche d’innovation. La prise d’initiative doit être primordiale. Il faut viser une démarche plus globale qui prenne mieux en compte la qualité de vie des malades, développer des approches projets qui garantissent un haut niveau de sécurité sanitaire tout en simplifiant les processus et en réduisant les délais. Tout cela convergera vers une meilleure maîtrise des coûts » souligne Bernard Delcour.

« Le public n’a pas conscience de la rigidité des critères qui s’appliquent à l’industrie et de la notion de « service médical rendu », c’est-à-dire du fait qu’un produit est jugé à la fois sur son efficacité et sur sa tolérance » ajoute le Professeur Philippe Rougier

 

Optimiser l’accès des patients aux essais cliniques pour leur faire bénéficier des traitements innovants et faire avancer la recherche

Les résultats de l’enquête PACE mettent en avant que 72% des Français souhaitent que les patients puissent participer à des essais cliniques¹. En effet, 56% de la population générale¹ considèrent que les essais cliniques offrent aux patients l’opportunité de faire progresser la recherche mais aussi de recevoir un traitement meilleur. Actuellement, seulement 15% des patients en France ont déjà participé à un essai clinique¹ ; 68% des patients affirment n’avoir jamais abordé ce sujet avec leur médecin¹.

« Le rôle des médecins pour optimiser l’accès des patients aux essais cliniques est très important. Cela demande une certaine discipline parce qu’il existe beaucoup d’essais de types différents : les essais cliniques peuvent être menés par  les industriels, en particulier pour évaluer les  nouveaux produits, ces essais ne pouvant inclure qu’un nombre limité de patients ; ceux qui sont soutenus par le gouvernement à travers  les programmes hospitaliers de recherche clinique (PHRC) et ceux menés par les sociétés savantes » précise le Professeur Rougier.

Enfin, 89% de la population française ne verraient aucune objection à ce que les médecins et les chercheurs exploitent leurs données médicales pour améliorer la recherche en oncologie¹. Près de 9 patients sur 10 en feraient de même pour aider les autres malades¹.

 

« Le cancer n’attend pas, les malades non plus ! »

Références

[1] Etude PACE (Patient Access and Cancer Care Excellence) réalisée par les laboratoires Lilly auprès de la population, de patients atteints de cancer et de personnels soignants le cancer en Allemagne, en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Japon et aux Etats-Unis – août/octobre 2012. En France, 500 personnes issues de la population générale, 100 patients et 102 personnels soignants ont été interrogés du 24 août au 4 octobre 2012.
[2] Une des plus grandes entreprises mondiales d’études, de sondages
[3] Globocan 2008, IARC, 2010. 
http://globocan.iarc.fr/factsheets/populations/factsheet.asp?uno=900
[4] « La situation du cancer en France en 2012 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2012.
http://www.e-cancer.fr/publications/69-epidemiologie/629-la-situation-du-cancer-en-france-en-2012
[5] Dynamique d'évolution des taux de mortal- Collection Rapports & synthèses, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, novembre 2010.
[6] Cancer Research UK, “Can cancer be prevented?”, http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerprevention http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerpreventionAccessed January 11, 2013.FRCPR00110 - Mai 2013

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MINE D'INFOS: La santé des 15-30 ans d’aujourd’hui : comment va ...: Données du Baromètre santé jeunes Inpes 2010 Sommeil, addictions, recours aux soins, … la bonne santé des adultes de demain se joue au...

La santé des 15-30 ans d’aujourd’hui : comment va la France de demain ?


Données du Baromètre santé jeunes Inpes 2010

Sommeil, addictions, recours aux soins, … la bonne santé des adultes de demain se joue aujourd’hui.

 

Les 15-30 ans se trouvent, en effet, dans une période charnière où les perceptions, les comportements, mais aussi les inégalités sociales de santé, apparaissent et s’ancrent durablement à l’âge adulte.

 

Quelles sont les habitudes de santé des jeunes ?

Quels sont leurs comportements à risques ?

Quelle perception les 15-30 ans ont-ils de leur bien-être ?

 
Se sentent-ils bien informés sur les grandes questions de santé ?

 

Pour répondre à toutes ces questions, et à l’occasion des Journées de la Prévention, l’Inpes publie le nouveau Baromètre santé jeunes Inpes 2010 qui dresse un portrait de la jeunesse et de sa santé dans toute sa diversité. Mettre les jeunes à l’honneur à l’occasion des Journées de la Prévention du 5 au 7 juin, c’est pour l’Inpes rappeler que l’adoption des habitudes favorables à la santé le plus tôt possible est l’investissement nécessaire pour améliorer durablement la santé de toute la population.

 

La santé de la Génération « Y »

La jeunesse est souvent une période synonyme de nouveaux comportements et de prise de risques en matière de santé, à un âge où l’influence des parents se fait moins présente. Alors qu’entre 11 et 15 ans, les adolescents restent au stade de l’expérimentation, entre 15 et 30 ans, de nombreuses habitudes - bonnes ou mauvaises - peuvent s’ancrer et perdurer à l’âge adulte. Le Baromètre santé jeunes Inpes permet de mettre en évidence leurs perceptions et comportements de santé. En analysant la santé des jeunes d’aujourd’hui, c’est la santé des adultes de demain que l’on peut anticiper et, plus globalement, la santé de l’ensemble de la population que l’on peut mieux comprendre.

 

Parmi les principaux constats à retenir :

 

Des différences nettes entre les deux sexes, les jeunes femmes ayant une appréciation plus négative de leur santé que les hommes du même âge, alors qu'elles sont plus nombreuses à adopter des comportements favorables à leur santé (moins nombreuses à fumer et boire, plus soucieuses de leur équilibre alimentaire…).

 

Des évolutions notables entre les 15/25 ans et les 25/30 ans, l’avancée dans l’âge étant accompagnée d’un sentiment de bien-être moins important, en parallèle d’une hausse de plusieurs habitudes défavorables à la santé (consommation plus élevée de tabac, temps consacré au sommeil moins long…).

 

Jeune et en bonne santé : un sentiment plus masculin que féminin chez les 15-30 ans

Globalement chez les jeunes de 15 à 30 ans, 96 % se déclarent en bonne santé. La moitié d’entre eux considère même que leur santé est excellente (48 %). Ces perceptions tendent à diminuer avec l’avancée dans les années : 59,5 % des 15-19 ans se disent en bonne santé, alors que les 20-25 ans ne sont plus que 45 % à avoir cette opinion et les 26-30 ans sont encore moins nombreux, soit 38 %.

 

Si l’âge joue sur le sentiment d’être en bonne santé, le sexe aussi. Les jeunes femmes présentent toujours une appréciation plus négative de leur santé que les hommes du même âge. Elles obtiennent un score en matière de qualité de vie inférieur de plus de 10 points sur les indicateurs de santé physique : 70 % pour les femmes et 80 % pour les hommes. Elles s’avèrent aussi plus sujettes aux problèmes d’anxiété (36 % vs 28 %) et de dépression (34 % vs 24 %).

 

Des différences sont également à noter en fonction de la catégorie socio-professionnelle de l’individu. Ce sont ainsi les jeunes chômeurs qui se considèrent le plus en mauvaise santé (9 %) parmi l’ensemble des groupes de jeunes.

 

Le médecin généraliste, professionnel de santé le plus consulté par les jeunes

Le généraliste demeure le professionnel de santé le plus consulté puisque près de 80% des 15-30 ans l’ont consulté au moins une fois dans l’année, devant le gynécologue pour les femmes (53%), le dentiste (49%), le médecin ou l’infirmière scolaire pour les jeunes scolarisés (40%)…

 

Si le tabac n’est pas une motivation pour consulter, la consommation d’alcool peut l’être. Les hommes à l’inverse des femmes ont tendance à davantage consulter un médecin si leur consommation d’alcool, évaluée par l’Audit- C, est à risque. Lors de leur dernière visite chez le généraliste, 4% des  ommes de 15-30 ans et 0,6% des femmes ont parlé de leur consommation d’alcool. Dans 4 cas sur 10, parler de leur consommation d’alcool venait de leur propre initiative. Par ailleurs, 5% des 15/30 ans ont consulté un médecin généraliste dans l’année pour des questions de tristesse, déprime.

 

Si les jeunes peuvent paraître éloignés des problématiques de santé, près de la moitié des 15-30 ans (49%) déclarent avoir consulté leur généraliste pour une visite de routine, il y a moins d’un an. Il est probable qu’une partie de ces visites s’explique par un motif administratif : certificat d’aptitude au sport, certificat de vaccination…

 

Alors que la HAS recommande une visite annuelle chez le dentiste, moins d’un jeune sur deux a vu un dentiste dans l’année.

 

Internet, un réflexe fréquent pour les questions de santé

La quasi-totalité des 15-30 ans (93%) sont des internautes et 48% d’entre eux ont cherché au cours des douze derniers mois des informations ou des conseils sur la santé sur la toile. Les 15-30 ans sont parmi la population générale, les premiers utilisateurs d’internet pour des questions précises de santé : 45% des 15-30 ans, 43% des 31-45 ans et 34% des 46-60 ans.

Parmi les 15-30 ans qui utilisent Internet pour des informations sur la santé : les trois quart déclarent l’avoir fait

en lien avec une consultation dont 45% juste avant ou après. Près de 15% des 15-30 ans vs 10% en

population générale déclarent un changement dans la façon de s’occuper de sa santé du fait de l’usage d’Internet.

 

Des jeunes plutôt bien informés en matière de santé

Le sentiment d’information en matière de santé apparaît souvent élevé et en hausse à l’échelle de la décennie. Ce constat se vérifie à la fois parmi les 15-30 ans et le reste de la population. Les jeunes se distinguent du reste de la population pour un certain nombre de thèmes : ils se sentent plus souvent mieux informés que les 31-75 ans sur le tabac, et beaucoup plus informés sur le cannabis que leurs aînés (+15 points). Les jeunes expriment un niveau d’information globalement très élevé sur le tabac, l’alcool, la contraception et le sida (entre 88 et 93 % se disent « bien » ou « très bien » informés), thèmes ayant fait l’objet de nombreuses campagnes d’information du CFES puis de l’Inpes, ainsi que sur le cannabis, sujet sur lequel 75% des jeunes se sentent bien informés. Soulignons également la hausse très significative du sentiment d’information sur la dépression (+9 points depuis 2005), même si cela reste à un niveau nettement inférieur à celui observé parmi les plus âgés (-13 points par rapport aux 31-75 ans). Par contre, ils accusent un déficit d’information plus net que les 31-75 ans sur les maladies professionnelles et le cancer (–9 points pour chacun) et la maladie d’Alzheimer (respectivement –13 et –14 points).

 

 

 
Les jeunes, une population au cœur des actions de prévention de l’Inpes
L’Inpes a pour mission de donner à chacun les moyens d’agir en faveur de sa propre santé, en particulier les jeunes. C’est, en effet, à ces âges que les inégalités de santé se créent, voire se renforcent, et peuvent  perdurer au fil des années si aucune action n’est menée.
 
La santé des jeunes sera ainsi à l’honneur des Journées de la Prévention les 5, 6 et 7 juin. Autour de
sessions et d’ateliers, les participants pourront échanger, en particulier, sur les stratégies de communication pour sensibiliser les adolescents à la prévention, la promotion de la santé en milieu scolaire ou encore les comportements à risque (risques auditifs liés à la musique amplifiée).

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MINE D'INFOS: Aujourd'hui 10 juin 2013: J -8 avant la 10ème Asse...: 18 et 19 juin 2013 10 ème Assemblée Générale de la MGEFI   Centre des congrès de Reims 12 Boulevard du Général Leclerc, 5110...

Aujourd'hui 10 juin 2013: J -8 avant la 10ème Assemblée générale de la MGEFI - REIMS 2013


18 et 19 juin 2013

10 èmeAssemblée Générale de la MGEFI

 

Centre des congrès de Reims

12 Boulevard du Général Leclerc, 51100 Reims

 


Les travaux débuteront le 18 juin à 9 h00 et se termineront le 19 juin vers 18 heures.

 

 

La Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie – MGEFI , mutuelle référencée au sein des ministères du budget et de l’économie, réunit une fois par an ses 300 délégués élus par ses adhérents, à l’occasion de son assemblée générale annuelle.

 

La MGEFI en quelques mots

 

La MGEFI organisme de référence en matière de santé comme de prévoyance pour l’ensemble des personnels des finances.

 

Cette légitimité est en partie liée au fait que la MGEFI est un acteur de poids avec 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées, la MGEFI est la 11ème mutuelle Française. Un atout de taille pour répondre aux exigences et aux contraintes imposées par les évolutions du contexte législatif et réglementaire, pérenniser l’esprit mutualiste, garantir la solidarité et offrir à chacun les prestations dont il a besoin, au meilleur coût et tout au long de sa vie.



 
 
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Ordre du jour
 
Mardi 18 juin
 
Matin : Ouverture de l’AG
Travaux statutaires
– Rapport moral
– Rapport de gestion
– Modifications statutaires
 
Après-midi : Point sur l’activité des services
Table ronde
Élections pour le renouvellement du CA
 
Mercredi 19 juin
 
Matin : Résultat des élections
Travaux en sous-groupe : le système contributif de la MGEFI : quelles évolutions possibles ?
 
Après-midi : intervention du représentant du Secrétariat général du ministère Interventions des invités : président FNMF, président MFP, président MFPS
Résolution générale
Clôture de l’AG



AGENDA PRESSE

 

18 juin 2013

 

13H déjeuner presse sur place

Inscription auprès de Nora ANSELL-SALLES

 

15H /17H :

 

LA PROTECTION SOCIALE MALADIE EN VOIE DE RÉORGANISATION

Quel avenir pour le mouvement mutualiste ?

Malgré l’absence de vraies réformes structurelles, la protection sociale maladie est en voie de réorganisation, de façon plus ou moins insidieuse, avec pour corollaire les conséquences sur l’accès aux soins.

 

Dans un tel contexte, où l’ANI est venue amplifier les problématiques, on peut s’interroger sur le devenir des réformes obligatoires et complémentaires, leur articulation et les stratégies des différentes familles de la Mutualité.

 

Regards croisés de responsables mutualistes et d’un expert de l’économie de la Santé.

 

POUR EN DEBATTRE:

Introduction au débat:

Serge BRICHET, Président de la MGEFI


Animateur:

Pascal LELIEVRE, Responsable du département Information multimédia de la Mutualité Française


Intervenants:

Thierry BEAUDET, Président de la MGEN et d’ISTYA

Maurice RONAT, Président de la FNMI

Joseph DENIAUD, Vice-président de Harmonie mutuelle

Claude LE PEN, Professeur de Sciences Economiques
Directeur du Master 210 en formation initiale "Économie et gestion de la santé"

 

Débat avec la salle   

 

19 juin 2013

 

13H déjeuner presse sur place

Inscription auprès de Nora ANSELL-SALLES

 

15H

Intervention:

Etienne CANIARD, Président de la Mutualité Française

 

Echanges avec la salle  

 

Dialoguez avec eux sur twitter :

Pascal LELIEVRE, @mutualite_fr

Thierry BEAUDET, @groupe_mgen

Joseph DENIAUD, @hmutuelle

Etienne CANIARD, @EtienneCaniard

Nora ANSELL-SALLES, @pressentinelle2

Relations presse :
Nora ANSELL-SALLES
06 70 74 15 42 / 06 60 43 58
 
Dès le 18 juin et durant l’AG, retrouvez sur Mine d’Infos des INFOS MISES EN LIGNE PLUSIEURS FOIS PAR JOUR SUR L’ACTU DE L’AG MGEFI en direct de REIMS
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