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Lundi 09/03 - dimanche
10/05
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Vendredi 10/03 - dimanche
17/05
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UNIVERSITÉ POPULAIRE Cycle Grandes Révoltes
: La naissance de
la Résistance, par Dan Franck, romancier
et scénariste
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UNIVERSITÉ POPULAIRE Décalages : les autres et
nous : La virginité, par Tobie Nathan, psychologue et
écrivain et Elisabeth Claverie,
anthropologue
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LECTURE Lectures dans le noir dans le cadre du
Printemps des Poètes par des lecteurs non-voyants de l’association
Percevoir
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Samedi 14/03 - dimanche
15/03
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ÉVÉNEMENT L’ETHNOLOGIE VA VOUS SURPRENDRE
! DEUX JOURS POUR EXPLORER LE XXIᵉ
SIECLE
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Lundi 23/03 - dimanche
29/03
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RENCONTRE Poètes de
l’insurrection, avec la comédienne Sara Darmayan et le
saxophoniste Steve Potts, à partir de textes de différents auteurs, poètes de
l’insurrection : Amiri Baraka alias LeRoi Jones, Abu Nuwas, Taslima Nasreen,
dans le cadre du Printemps des
Poètes
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RENCONTRE De pages et d’encre : le tatouage dans les
collections de la médiathèque, avec Pierre-Yves Belfils, responsable
des publications périodiques et numériques au musée du quai
Branly
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RENCONTRE Juifs éthiopiens, Juifs noirs et
Rastafaris : rencontres mystiques en et hors d’Ethiopie, avec Giulia
Bonacci, historienne ;
Jérémie Dres, auteur de bande dessinée ; Daniel
Friedmann, sociologue et cinéaste ; Maurice Dorès, chercheur et cinéaste ;
Gaëlle Beaujean-Baltzer, responsable de collections Afrique du musée du quai
Branly
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L’INCA ET LE
CONQUISTADOR
Mardi
23/06 – dimanche 20/09
Mezzanine Est
L’exposition
met en scène la conquête du Pérou à travers l’épopée de
l’Inca Atahualpa et du conquistador Francisco Pizarro. La
rencontre de ces hommes illustre la confrontation de 2 mondes radicalement
différents qui allaient vivre, en s’affrontant, une profonde révolution
politique, économique, culturelle et religieuse. Leur conflit marqua le
destin du plus grand empire jamais connu aux Amériques, le Tawantinsuyu inca
(1450-1532), et celui de l’empire espagnol, alors en pleine expansion sous le
règne de Charles Quint. Des années 1520 jusqu’à l’assassinat de Pizarro
par les siens en 1541, l’exposition retrace les moments clés de
l’histoire du continent sud-américain.
Présentant des objets incas
et hispaniques, des peintures coloniales et républicaines, des gravures et des
cartes anciennes, l’exposition revient sur les épisodes de cette conquête et met
l’accent sur la rencontre avec l’Autre.
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AU-DELÀ
Samedi
03/06 – dimanche 14/06
Théâtre Claude Lévi-Strauss
10
représentations
Au
Congo-Brazzaville, le chorégraphe, danseur et musicien DeLaVallet
Bidiefono fait figure de pionnier de la danse contemporaine. Dans ce
pays qui se remet douloureusement des successives guerres civiles des années 90,
la mort est omniprésente. Danser prend alors l’intensité d’un engagement
politique, d’un combat, c’est une manière de résister, de jouer avec la
mort.
Le
musée du quai Branly présente avec AU-DELÀ un spectacle mêlant danse,
théâtre et musique live. DeLaVallet Bidiefono convoque les morts avec
lesquels les artistes partagent le même espace, funeste mais vivant.
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SERGE JULY
Grand
Témoin
Mercredi
08/04, 18h30
Théâtre Claude Lévi-Strauss
En accès libre et
gratuit
L’Université
populaire du quai Branly invite Serge July en tant que Grand
Témoin. Journaliste et documentariste engagé, il revient sur
son parcours d’homme de gauche et d’éditorialiste politique.
Dédicace
de l’ouvrage « Dictionnaire amoureux du journalisme » à 17h30 au Théâtre Claude
Lévi-Strauss.
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JEAN BESANCENOT
Photographies de
parures marocaines dans le Haut Atlas
Lundi
06/04 – dimanche 05/07
Cabinet d’Arts graphiques
Jean-Girard
Besancenot (1904-1922) est artiste peintre formé à l’Ecole des arts décoratifs
de Paris. De 1934 à 1939, il parcourt le Maroc et en particulier le Haut
Atlas, pour réaliser une étude importante sur les costumes et les parures
marocaines. Son travail constitue aujourd’hui une référence pour l’histoire du
patrimoine vestimentaire et des bijoux marocains.
Jean
Besancenot procède à un relevé minutieux des costumes, s’attachant à
constituer une documentation visuelle aussi complète que possible,
accompagnées de descriptions vestimentaires, des caractéristiques des groupes,
leur origine et évolution, classées selon leur origine urbaine ou rurale. Il
réalise des gouaches en couleurs et des centaines de photographies. Sa «
démarche était celle d’un artiste, dessinateur et peintre, au service de
l’ethnographie » écrit-il.
Le musée du quai Branly
conserve un ensemble de plus de 630 photographies dont 106 tirages d’exposition
de moyen format réalisés et retravaillés par l’artiste. La médiathèque
du musée détient également des exemplaires de l’édition luxueuse de son ouvrage
Costumes et types du Maroc, publiée en 300 exemplaires en 1942, et présentant 60
gouaches reproduites en fac-similés et en camaïeu.
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Maître
de Totokro. Masque. Côte d’Ivoire, région baoulé, vers 1900 ; H. 30 cm.
Collection
comte B. de Grunne.
LE
« MAÎTRE DE TOTOKRO »
Réalisatrice et professeur d’Histoire de l’art à l'université de Columbia,
Susan Vogel a été la première à identifier un artiste qu’elle a nommé le
« Maître de Totokro ». Non seulement elle a été en mesure de localiser
Totokro, village non loin de Dimbokro dans la région d’Agba, comme le lieu
d’origine de cette œuvre, mais elle a pu également photographier une
statue sculptée de la main du même maître dans un autre village des
environs.
Elle a, en outre, pu confirmer l’attribution de toutes ces œuvres à
un maître sculpteur unique, du fait de la « signature » laissée par
l’herminette : à la loupe, on remarque sur toutes ses œuvres les traces bien
reconnaissables d’une encoche dans la lame de l’herminette avec laquelle il
travaillait.
Ce masque du Maître de Totokro fut acheté par le collectionneur italien
Franco Monti dans la région d’Ara vers 1950. Les paupières mi-closes, la bouche
légèrement retroussée et les sourcils élégants en demi-cercle, ce masque se
distingue par une élégante asymétrie double de la barbe et de la coiffure.
Cette œuvre sera présentée dans la Galerie Jardin du musée du quai
Branly au sein de l’exposition LES MAÎTRES DE LA SCULPTURE DE CÔTE D’IVOIRE
(14/04 – 26/07). Réunissant près de 200 œuvres historiques et
contemporaines, l’exposition met à l’honneur les grands sculpteurs et les écoles
de sculpture de Côte d’Ivoire et de ses pays limitrophes.
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